Pour les responsables de l’Alliance pour la démocratie au Mali-parti africain pour la solidarité et la justice (Adema-Pasj), le moment que vit actuellement le Mali est simplement est tragique. Le peuple malien et son armée sont, estiment les premiers responsables du parti de l’abeille, en face d’une guerre, qui pourrait être imminente et très coûteuse.
Pour le président par intérim de l’Adéma, Ibrahima N’Diaye, “le face à face de Konna entre l’armée malienne et les rebelles est gros de risque et l’étincelle peut se produire à tout instant “. Pour le parti rouge et blanc, l’heure est à l’unité sacrée, à la mobilisation de tout le peuple et au soutien concret et infaillible aux forces de défense et de sécurité du Mali.
“Face à cette situation, l’heure n’est pas aux marches, aux déclarations qui divisent et qui distraient. Toute manifestation, tout discours, toute action non orientée et consacrée à la reconquête des territoires occupés doit être évité et considéré contraire aux intérêts supérieurs de notre peuple“.
Et les abeilles de marteler un vibrant oui à des concertations nationales. Mais, poursuivent les premiers responsables du PASJ, à condition que ces assises soient préparées avec impartialité et tenues à bonnes dates et surtout ” qu’elles ne remettent pas en cause les acquis du peuple, en l’occurrence la Constitution de Février 1992 et l’ordre constitutionnel actuel. Faisons confiance au Gouvernement à peine constitué, où les principaux protagonistes ont accepté d’y être “, a souligné Iba N’Diaye.
L’Adema-PASJ demande à tous ses militants, à tous ses cadres et à tous ses élus de rester sereins, vigilants et mobilisés. Le comité exécutif de l’Adema-PASJ lance un appel pressant à toutes les forces patriotiques et démocratiques pour développer, de concert, des actions de rassemblement, de mobilisation et de soutien pour les deux seules priorités du moment, à savoir : la libération rapide des zones occupées et l’organisation d’élections crédibles.
«Nous renouvelons notre confiance et notre soutien au président de la République, à l’armée nationale et à toutes les institutions. Pour l’intégrité du Mali, pour sa laïcité et pour la démocratie, nous sommes prêts à tous les sacrifices. La victoire revient toujours aux causes justes. Nous gagnerons Inchallah ce combat d’honneur et de dignité», a conclu le président par intérim du parti.
Bruno D SEGBEDJI
Mouvements des terroristes et jihadistes dans le Nord :
Le PDES condamne les déclarations irresponsables et les menaces proférées
Le Parti pour le développement économique et la solidarité (PDES) ne se fait pas prier pour fustiger les manœuvres d’intimidations des terroristes et bandits armés qui occupent le Nord du pays. Pour les premiers responsables du parti, les menaces lancées par ces jihadistes appellent à une réaction à la mesure de l’offense et l’humiliation faites au peuple malien
Le Comité directeur national du parti pour le développement économique et la solidarité (PDES, réuni le 6 janvier 2013, a procédé à une analyse approfondie des dernières évolutions de la situation sécuritaire qui prévaut dans notre pays.
Le Comité directeur national, tout en réaffirmant son soutien indéfectible aux forces armées et de sécurité du Mali, condamne fermement les déclarations irresponsables et les menaces proférées par les représentants du groupe jihadistes Ansardine à l’endroit du Mali et du peuple malien.
Il attire par la même occasion l’attention de la communauté internationale sur les actes barbares de mutilations, les crimes imprescriptibles et les atteintes graves aux droits de l’homme que le groupe Ansardine et ses alliés AQMI, MUJAO continuent de perpétrer en toute impunité contre les populations civiles des régions nord du Mali sous occupation.
Le Comité directeur national du PDES réaffirme enfin sa pleine et entière disponibilité à accompagner et du Gouvernement de transition visant à restaurer l’intégrité territoriale du Mali, à préserver l’unité nationale et la laïcité de l’Etat.
Rappelons que le PDES est une formation politique réputée très proche de l’ancien président de la République, Amadou Toumani Touré renversé par le coup d’Etat du 22 mars 2012. Ce parti que dirige l’ancien ministre Ahmed Diané Séméga, aujourd’hui réfugié à Dakar, ne cache pas sa frustration d’être un peu marginalisé dans la gestion des affaires publiques depuis le renversement du régime du président Touré.
Bruno D SEGBEDJI
L’HEURE EST BIEN A’ LA MOBILISATION TOTALE POUR SUPPORTER SANS CONDITION NOS FORCES ARME’ES ET DE SECURITE’ QUI SE BATTENT POUR LIBERER NOS POPULATIONS ET NOS VILLES DU NORD!!!! UNE FOIS QUE NOS POPULATIONS ET NOS VILLES SONT LIBERE’ES ET SECURISE’ES, NOUS POUVONS PARLER DU RESTE!!!! AUJOURD’HUI N’EST POINT LE MOMENT DE LUTTER POUR LE POUVOIR A’ BAMAKO!!!
VIVE LA REPUBLIQUE INDIVISIBLE ET LAIQUE DU MALI!
VIVE LE VAILLANT PEUPLE MALIEN!
VIVE LES FORCES ARME’ES ET DE SECURITE’ DE NOTRE MALIBA!!!!
INCHALLAH LE MALI VAINCRA CONTRE LES TERRORISTES, LES NARCOTRAFIQUANTS ET LEURS ALLIE’S LES POLITICIENS VENDUS ET CORROMPUS!!!!
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