Par sa résolution 2085 (2012), adoptée à l’unanimité de ses 15 membres, le Conseil de sécurité indique que la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA) actuellement en gestation prendra toute mesure utile pour aider à reconstituer la capacité des Forces de défense et de sécurité maliennes et pour aider les autorités de Bamako à reprendre les zones du nord de son territoire. Ces actions, souligne-t-il, devront se faire « dans le respect du droit international humanitaire et des droits de l’homme, et dans le respect le plus total de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et de l’unité du Mali ».
Liberté de mouvement de la MISMA accès immédiat et sans entrave à tout le territoire malien
Le Conseil engage les États Membres, y compris ceux du Sahel, ainsi que les organisations régionales et internationales à fournir un appui coordonné à la MISMA. Il « invite les autorités de transition maliennes et toutes les autres parties maliennes à apporter un concours plein et entier au déploiement et aux opérations de la MISMA, notamment en assurant la sûreté et la sécurité de la Mission et la liberté de mouvement de son personnel, avec accès immédiat et sans entrave à tout le territoire malien ».
Création d’un fonds d’affectation spéciale
En matière de financement, le Conseil prie le Secrétaire général de créer un fonds d’affectation spéciale auquel les États Membres pourront verser des contributions destinées à la MISMA ou à la formation et à l’équipement des Forces de défense et de sécurité maliennes. Il demande également au Secrétaire général d’apporter son concours à la tenue, dans les meilleurs délais, d’une conférence des donateurs pour solliciter le versement de contributions au fonds. Il en appelle aux États Membres pour qu’ils versent sans tarder des contributions généreuses à ce fonds. Il prie aussi le Secrétaire général de créer une « présence multidisciplinaire des Nations Unies au Mali ».
Enfin, le Conseil exige que les groupes rebelles maliens rompent tout lien avec des organisations terroristes, en particulier avec Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) et les groupes qui lui sont affiliés. Il prend note de l’inscription du Mouvement unicité et jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) sur la liste des personnes et entités visées par les sanctions contre Al-Qaida. Le Conseil se déclare à nouveau disposé à continuer d’adopter des sanctions ciblées contre les groupes rebelles et les individus qui ne rompraient pas tout lien avec Al-Qaida et les groupes y affiliés, y compris AQMI et le MUJAO.
Mettre en place rapidement un cadre de référence crédible pour les
Dans le but de répondre aux préoccupations de longue date des populations du nord du pays, le Conseil demande instamment aux autorités de transition maliennes de mettre en place rapidement un cadre de référence crédible pour les négociations avec toutes les parties se trouvant dans le nord du pays qui ont rompu tout lien avec une organisation terroriste. Ceux-ci doivent aussi accepter sans conditions l’unité et l’intégrité territoriale de l’État malien, précise-t-il.
Des élections présidentielles et législatives crédibles d’ici à avril 2013 Par ailleurs, le Conseil engage instamment les autorités maliennes à achever de rétablir pleinement l’ordre constitutionnel et l’unité nationale, notamment en tenant dans des conditions pacifiques des élections présidentielles et législatives crédibles d’ici à avril 2013.
Rétablir au Mali le système de gouvernance démocratique et l’ordre constitutionnel En préambule de sa résolution, le Conseil condamne fortement toutes les atteintes aux droits de l’homme commises dans le nord du Mali par des rebelles armés, des terroristes et d’autres groupes extrémistes.
Il « condamne vigoureusement par ailleurs l’ingérence de membres des Forces de défense et de sécurité maliennes dans les activités des autorités de transition du pays ». Il souligne aussi la nécessité de « s’employer en toute diligence à rétablir au Mali le système de gouvernance démocratique et l’ordre constitutionnel ».
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2 copains discutent:
Depuis le 4ème mois de sa grossesse, Patricia a des nausées tout le temps!
Oh je connais, avec Odile c’était pareil! Sauf que elle, les nausées ça l’a prenait bien avant le 4ème mois! Pendant les rapport, déjà…
E ye batarasen!!!
Sale negre de merde
Tu me the dis meme pas ke des entrant viennent sur ce site…?
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Nous disons donc que le temps est venu pour les maliens et maliennes fiers honnêtes aimants leur Mali de faire bloc autour de l’armée car cette guerre de libération est avant celle du peuple malien et de son armée et aucun soldat étranger en viendra se faire tuer pour 1cause qui n’est pas sienne et l’exemple récent de Goma en RDC est là pour le prouve I l viendra tout juste pour renflouer son compte bancaire de renouvelement en renouvelement de mandats
Nous rappelons que tout le monde sait avec 1brin d’honnêteté que l’armée malienne fut trahie par l’ex chef suprême des armées ex chef d’état et par les lettrés mutants des exécutifs d’ATT des députés partis politiques sociétés civiles Hommes en armes et religieux de l’ex mouvance « enfants ingrats égoïstes cupides bouffeurs voleurs impénitents des deniers publics » complices tacites avec la vente d’1partie du pays avec les faux accords d’Alger par l’affaiblissement de l’armée en la sous équipant en y introduisant des rebelles comme « cheval de Troie » en renforçant la force de feu des ennemis avec les déserteurs lâches de l’armée libyennes
Nous disons donc à Dioncounda au Django malien aux lettrés politiques de l’exécutif actuel aux députés partis politiques sociétés civiles Hommes en armes et religieux pour 1fois de penser honnêtement au Mali qui les a tant donné et laisser leurs comportements de la démocratie bananière des tropiques et 1) ne pas trahir encore l’armée 2) de bien équiper l’armée en matériels appropriés 3) d’extirper de l’armée les soldats et officiers qui ont été introduits comme « cheval de Troie »
Nous disons bien que cela soit condamnable et regrettable l’affrontement entre les bérets vert et rouge dans 1passé récent a montré la hargne de combat des soldats maliens et qu’ils n’ont pas de mourir au combat quand il n’y a pas de traites parmi eux pour informer l’ennemi
Nous disons partout à travers le monde dans les armées dignes et responsables les déserteurs quelque soit leur grade et valeur sont considérés comme des traites et lâches jusqu’à ce qu’ils soient innocentés après leur passage devant 1cours martiale ou 1juridiction militaire
Nous disons donc que tous les officiers et soldats déserteurs de l’armée malienne sont des traites des lâches jusqu’à ce qu’ils passent devant 1cours martiale ou 1juridiction militaire comme cela se passe partout dans le monde au sein d’1armée sérieuse digne et responsable
Nous disons également pour 1raison de stratégie de prudence et de rigueur ils ne doivent pas participer aux futurs combats quelque soit leur valeur et grade
Nous disons en cas d’effectifs insuffisants l’armée doit faire appel aux réservistes
Nous disons que les groupes de résistants et résistantes (appelés milices ou bandits de tout temps et partout dans le monde par les ennemis et leurs collabos) issus des zones sous occupation que sont les Gandakhoye et les Gandasho doivent participer à la libération comme cela se passe et s’est passé partout dans le monde quand 1zone est occupée par les ennemis aux fins d’avoir cette satisfaction morale (qui est 1sentiment humain normal) d’avoir mis hors d’état de nuire ceux qui ont commis des exactions et crimes sur leurs parents
Nous disons que tout le monde sait avec 1brin d’honnêteté que depuis la nuit des temps jusqu’au dernier conflit Israёl Hamas aucune guerre n’est propre et ne sera jamais propre
Nous disons que l’armée devra faire son travail sans aucun d’âme car ils ont à faire avec des êtres primaires
Nous disons aux maliens et maliennes fiers honnêtes aimants leur Mali d’être prêts mentalement et physiquement car c’est maintenant que débute la guerre de libération des zones occupées après la déclaration de l’ONU
Nous disons que le constat qui se dégage de la décision de l’ONU est qu’elle a divisé la poire en deux
Nous disons que l’ONU a contenté les 2parties avec cependant 1léger penchant pour les commanditaires maîtres (ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie du Mali et membres aussi de l’ONU) de ces « ramassis de voyous » enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » » que sont les criminels narcotrafiquants voleurs violeurs tueurs handicapeurs à vie Suppôts de Satan Satan fait humains adeptes et fidèles de Dajal ou l’Antéchrist d’Ansar Eddine et les bandit sans foi ni loi de rebelles touaregs voleurs violeurs tueurs sur des bases raciales tribale de MNLA en demandant à l’exécutif malien de s’asseoir à la même table que ces criminels et voyous chose qu’elle n’a jamais demandé depuis sa création aux « Autres » qui ont poursuivi et mis hors états de nuire les criminels et voyous qui se sont attaqués chaque fois à eux même fussent ils leurs compatriotes
Nous disons que les contours d’1intervention sous mandat de l’ONU restent flous
Nous disons que si selon la formule sacrée du Président Abraham Lincoln « la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » Nous disons que la sécurité le bien être du citoyen lambda malien doivent primer et si la démocratie signifie l’égalité de tous les citoyens et citoyennes Nous demandons alors à Dioncounda au Django malien au gouvernement de lancer immédiatement des mandats d’arrêts internationaux à l’encontre des responsables d’Acqmi Mujao d’Ansar Eddine MNLA pour crimes contre l’unité la paix crimes de guerre et crimes contre l’humanité
Nous leur disons pour 1fois dans leur vie de penser honnêtement Mali et abandonner les comportements de la république bananière des tropiques où le citoyen lambda n’est moins qu’un rien où on s’en fiche de la sécurité du bien être du pauvre citoyen lambda et où l’impunité est 1droit pour des criminels au nom d’1 soit disant dialogue ou réconciliation
Nous disons si selon la formule sacrée du Président Abraham Lincoln « la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » Nous disons à Dioncounda au Django malien au gouvernement aux lettrés mutants des partis politiques et aux députés de penser 1fois honnêtement au Mali qui les a tant donné et laisser de côté leurs comportements de la démocratie bananière des tropiques dont ils sont si friands et encouragés en cela par leur soit disant amis les « Autres » et de voter dès cette semaine 1loi interdisant les élections présidentielles et législatives tant que le pays n’est pas unifié
Nous disons des élections excluant les 2/3 du pays ne sont point démocratiquess et elles seraient en fait 1partition malicieuse satanique du pays en 2 car les 2/3 ou des individus issus des 2/3 peuvent ne pas reconnaitre le président élu contester sa légitimité et déclarer leur autonomie et c’est leur droit car ils ont été exclus sans leur avis(car le droit de vote est sacré en démocratie et aucune autorité n’a le droit et ne peut oter ce droit à des citoyens honnêtes lambda quelqu’en soit la raison)
Merci pour votre analyse que je partage totalement.
Si tous les maliens comprenaient comme vous, le mal serait moindre.
OH! EH! HALTE A l’ARNAQUE!
C’EST PAS POSSIBLE QU’EN L’ESPACE DE QUELQUES HEURES TU AIS PU APPRENDRE A ECRIRE DE FACON INTELLIGIBLE!!!
JE MARCHE PAS LA!
Y A CLAIREMENT USURPATION (OU PRET) DE PSEUDO!
Sans pisser qui dit que celui qui se tape etc. est en train de nous prendre pour des cons! 8) 8) 8) 8) 8)
Oooooops! Pardon!
Je viens de voir que le pseudo commence par “Merci à celui”, et qu’il n’ya que 20 posts au compteur;
Donc, nous avons affaire à facétieux petit nouveau! Et donc, j’ai rien dit!…
Bienvenu à “Merci à celui” etc… Surtout qu’à le lire, ça va nous changer un peu de l’original! Ouuuuuuf!
😆 😆 😛 😛 😀 😀
Organiser des élections parcellaires sans le Nord, c’est élire un président pour le Sud du Mali et non pour le Mali
Si on tient compte du seul intérêt supérieur du Mali, les maliens et la communauté internationale comprendront qu’il faudra d’abord libérer le pays des forces du mal (MNLA et ses alliés islamistes)avant de penser à des élections.
Si la communauté internationale n’a pas confiance aux dirigeants actuels pour les soutenir à sortir le Mali de la crise, elle doit aussi se convaincre que les élections qu’elle préconise seront d’avance injustes dans la mesure où elles sont organisées par des autorités indignes de confiance et dans un contexte de crise.
Le machin (Conseil de sécurité) a décidé de faire élire un président pour le Sud du Mali et non un président pour l’Etat Malien.
Aucun citoyen de la partie occupée ne doit se reconnaître à travers un président issue d’une élection à laquelle il n’a pas participé et organisée au moment où la population est sous l’enfer des agresseurs.
Les élections ne sont pas une priorité pour celui qui est sous les atrocités.
Sous la pression de l’Algérie roulant pour son leadership régional et ses intérêts économiques, qui est le manipulateur incontestable du MNLA et Ançardine, la communauté internationale a décidé de créer un nouveau piège pour l’avenir au lieu de résoudre le problème malien à la racine.
Négocier avec le vampire et criminel du MNLA c’est pire que de négocier avec les islamistes. Le MNLA a commis plus de crimes et n’a pas de parole d’honneur pour respecter une solution négociée.
Le MNLA n’a ni foi ni loi et est prêt à tout pour parvenir à ses fins matérielles et financières. En plus des tueries, des viols et des pillages des villes, c’est le MNLA qui a vendu les otages français aux islamistes, c’est lui qui est principalement impliqué dans le narcotrafic et ce sont ses membres qui ont repris leur tradition de brigandage sur les routes.
Blaise qui est leur partenaire du narcotrafic a largement contribué à rouler la CEDEAO dans la farine et à compromettre l’intérêt du Peuple Malien.
Comme pendant les crises précédente, les populations majoritaires du Nord ont été écartées des négociations préconisées. Gandakoy et Ganda izo ont été taxés de milices pour être écartés.
On est parti pour rééditer les privilèges de même type pour le MNLA qui n’hésitera pas à reprendre les armes aussitôt qu’il aura l’occasion.
L’ONU et la communauté internationale oublient que tant que les rebelles touaregs n’apprendront pas à travailler et à vivre à la sueur de leur front, ils seront incapables de vivre sans voler et brigander.
Mais les populations du Nord ne sont plus prêtes à cohabiter avec leur tueurs et leur violeurs du MNLA.
Le MNLA est plus à craindre pour les populations que les islamistes qui sont appelés à quitter un jour ou l’autre. Ils faut que nos dirigeants le sachent et choisissent la voix de l’honneur au lieu de penser à leur protefeuille.
Si on tient compte du seul intérêt supérieur du Mali, les maliens et la communauté internationale comprendront qu’il faudra d’abord libéré le pays des forces du mal (MNLA et islamistes alliés)avant de penser à des élections.
Si la communauté internationale n’a pas confiance aux dirigeants actuels pour les soutenir à sortir le Mali de la crise,il doit aussi se convaincre que les élections qu’elle préconise seront d’avance injustes dans la mesure si elles sont organisées par des autorités indignes de confiance et dans un contexte de crise.
Le machin (Conseil de sécurité) a décidé de faire élire un président pour le Sud du Mali et non un président pour l’Etat Malien.
Aucun citoyen de la partie occupée ne doit se reconnaître à travers un président issue d’une élection à laquelle il n’a pas participé et organisée au moment où la population est sous l’enfer des agresseurs.
Les élections ne sont pas une priorité pour celui qui est sous les atrocités.
Sous la pression de l’Algérie, qui est le manipulateur incontestable du MNLA et Ançardine, la communauté internationale a décidé de créer un nouveau piège pour l’avenir au lieu de résoudre le problème malien à la racine.
Négocier avec le vampire et criminel du MNLA c’est pire que de négocier avec les islamistes. Le MNLA a commis plus de crimes et n’a pas de parole d’honneur pour s’en tenir à une solution négociée.
Le MNLA n’a ni foi ni loi et est prêt à tout pour parvenir à ses fins matérielles et financières. En plus des tueries, des viols et des pillages des villes, c’est le MNLA qui a vendu les otages français aux islamistes, c’est lui qui est principalement impliqué dans le narcotrafic et ce sont ses membres qui ont repris leur tradition de brigandage sur les routes.
Comme pendant les crises précédente, les populations majoritaires du Nord ont été écartées des négociations préconisées. Gandakoy et Ganda izo ont été taxés de milices pour être écartés.
On est parti pour rééditer les privilèges de même type pour le MNLA qui n’hésitera pas à reprendre les armes aussitôt qu’il aura l’occasion.
L’ONU et la communauté internationale oublient que tant que les rebelles touaregs n’apprendront pas à travailler et à vivre à la sueur de leur front, ils seront incapables de vivre sans voler et brigander.
Mais les populations du Nord ne sont plus prêtes à cohabiter avec leur tueurs et leur violeurs du MNLA.
Le MNLA est plus à craindre pour les populations que les islamistes qui sont appelés à quitter un jour ou l’autre.
Je partage votre raisonnement. En particulier, sur le fait que la population majoritaire du nord est une fois encore écarté des discussions.
Mais je pense que c’est à eux de s’organiser, de cette manière:
-Militairement: chaque famille Soninké (les fondateurs de Kidal, Tombouctou, Gao (de son vrai nom KawKaw)…) peul, songhai, bella, bozo Bambara… doit envoyé un fils et une fille, pour ce qu’ils peuvent dans l’armée malienne, pour apprendre à defendre la patrie et leurs intérêts.
Cet enfant choisi doit comprendre qu’il rentre dans l’armée pour une mission bien précise: apprendre à se battre, la stratégie, à tuer etc… Bref apprendre à faire la guerre, afin que les touaregs ne viennent plus jamais les tuer.
-Politiquement: Ce qui manque à Ganda Koy et Ganda Izo (ceux qui sont les propriétaires du nord du mali), c’est leur manque de cohésion et d’agenda. Il faut qu’ils aient une branche politique. Dès maintenant Ganda Koy et Ganda Izo doit mettre en place un parti politique:
Le Parti du Développement du Mali
Ils doivent se préparer à présenter des représentant dans tous les coins du Mali, après la libération.
Danda Koy et Ganda Izo doivent mettre en place des comités:
-comité chargé de la surveillance des activités criminelles
-comité chargé de s’assurer que les élus ne détournent pas l’argent des régions
-comité chargé d’écrire du mali, et de ses grandes villes (car j’entendu trop de mensonges sur les médias français…). Et bien divulguer cette histoire
-comité chargé des relations extérieurs (Amérique, Europe, Arabie et Asie…)
-etc…
Je suis ouvert aux échanges intelligents.
-etc…
comité chargé d’écrire l’histoire du mali
Les élections oui dans la mesure du possible pour avoir un pouvoir crédible constitutionnel en mettant hors d’état de nouir ce fameux sanogo et sa bande; Pour rappel la recente catastrophe n’a pas empêcher aux usa d’aller aux élections et d’aucun diront que c’est pas la même chose, oui mais labas aussi il y a eu des citoyens qui n’ont pas pu voter
SANS ACCEPTER L’IMPUNITÉ ET LE TERRORISME, SAUVER DURABLEMENT LA FAMILLE MALIENNE EN SE PARLANT ET EN S’ENTENDANT, DANS L’UNITÉ ET LA COHÉSION, POUR UN AVENIR MEILLEUR ET POUR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS.
Bonjour,
Merci pour tous ceux qui contribuent à la recherche d’une solution durable pour sortir de la crise au Mali.
Contrairement à ce que DISENT certains, ce n’est pas tous les touaregs qui ont profité du pacte national issu des accords signés suite à la dernière rébellion. Ce n’est pas non plus tous les touaregs qui font partie du MNLA ou d’Ansar Dine.
Contrairement à ce que CROIENT certains, ceux qui ont profité le moins du pacte national, c’est la communauté touareg de base : celle qui ne connait le MNLA et Ansar Dine que par les atrocités qu’ils commettent et dont elles sont grandement victimes.
Cette communauté touareg de base est de loin plus importante que les touaregs membres du MNLA et Ansar Dine. En plus, elle ne supporte pas le MNLA ni Ansar Dine ET elle n’est pas d’accord sur les atrocités que le MNLA et Ansar Dine ont commis.
La seule solution durable de sortie de crise au Mali, c’est celle qui permettra aux Maliens de vivre ensemble sans exclusion et sans problèmes et qui refuse le terrorisme et l’impunité.
Sachez que toutes les filles et tous les fils du Mali attendent du Mali, qu’il leur donne de l’espoir pour une telle vie commune sans exclusion et sans problèmes en n’acceptant pas l’impunité et le terrorisme.
Sans accepter l’impunité et le terrorisme, les Maliens doivent trouver un terrain d’entente pour vivre mieux ensemble, dans l’unité, une vraie vie de famille unie, solidaire ayant des projets d’avenir pour son bonheur et celui de ses enfants et petits enfants.
Les frères et sœurs Maliens doivent se réconcilier tout en REFUSANT L’IMPUNITÉ ET LE TERRORISME et en garantissant à tous, la quiétude, la paix et la sécurité durables.
Après une guerre entre Maliens, entre frères et sœurs, la réconciliation nationale sera difficile voire impossible.
Sachant que la guerre contre le terrorisme, qui doit de toute façon être engagée, comme le prévoit la nouvelle résolution 2085 de l’ONU, votée à l’unanimité le 20 décembre 2012 à New York, exige un front uni (national et international) et une cohésion nationale pour la remporter, ça serait dommage de la démarrer en ordre dispersé.
Sans accepter l’impunité, le terrorisme, la charia “destructrice” et la scission du pays, les Maliens doivent ouvrir leurs cœurs et s’accepter pour créer un Mali nouveau où plus jamais ce qui s’est passé et ce qui s’était passé ne devront se répéter.
Pour ce faire, l’engagement responsable de tous (respect des principes et conditions) est indispensable et il n’est jamais tard de se mettre ensemble pour sauver durablement la famille Malienne.
J’ai proposé dans la lettre ouverte adressée, en ligne, au Président du Mali et à tous les Maliens, un guide et une plateforme de concertations nationales et de négociation pour une sortie durable et honorable de la crise au Mali, qui intègrent de tels principes et conditions.
Ces principes (refus du terrorisme, non impunité, respect des droits de l’homme, coexistence pacifique) et ces conditions (dépôt des armes, intégrité du Mali et laïcité) constitueront un engagement responsable.
Ce dernier doit être signé par toutes les parties prenantes avant de commencer les négociations, qui doivent être inclusives.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC et Gouvernance
E-mail: Webanassane@yahoo.com
La 2085 est très bien faite!
Elle pose comme première condition l’intégrité du territoire du Mali
Elle invite le gouvernement malien d’engager des « négociations credibles » avec les groupes armés non reconnus comme terroristes qui acceptent « sans condition » l’intégrité territoriale du Mali.
(N’oubliez pas que nos autorité ont déjà soit officiellement soit officieusement commencé à discuter avec les bandits armés du nord, alors même qu’ils ne reconnaissaient ni l’intégrité territoriale du Mali ni le caractère laïc de notre république, demandez à l’ancien ministre Soumeilou Boubeye Maïga et au ministre Tieman Coulibaly qu’ils vous disent la vérité sur ce qu’ils faisaient à Alger et à Ouaga vous verrez que la 2085 est un progrès notable car c’est un texte qui garantit l’unité du Mali « sans condition »).
Elle invite le gouvernement malien avec l’aide de la Cedeao à engager des poursuites judiciaires contre tous ceux (au nord comme au sud) se sont rendus coupables de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Ensuite la 2085 exige des élections avant avril 2013 car franchement entre nous, personne ne traitera avec un pays où des militaires débarquent nuitamment pour remplacer un premier ministre et renverser un gouvernement.
Au 21ème les gens sont beaucoup plus sérieux que ça. Puisque ce sont les états membres de l’ONU qui financeront la guerre (notamment l’union européenne) et enverront des troupes (notamment africaines) il faut avoir d’abord des engagements fermes des états dans ce sens pour boucler et budget et unités de combats.
Pour cela les états qui mettent la main dans la poche et qui envoient leurs enfants à la mort en lieu et place des drogués de Kati, ont besoin d’avoir un interlocuteur crédible à Bamako (qui n’est ni la marionnette Dioncounda, ni le fusible Diango, encore moins l’ivrogne fuyard des combats qu’est Sano-de-la-gueule alias De Gaule des manguiers de Kati), donc il faut des élections crédibles et vite.
Elles vont avoir lieu avant avril 2013, et l’Onu donnera armes, argent et troupes au nouveau président issu des urnes car légitime et légal pour exécuter les termes du droit international d’une résolution onusienne.
Au apprentis sorciers et les charlatans jetteurs de cauris qui parlent de division de fait du pays si les élections sont faites avant la libération du nord, je leur dis que cette division de fait c’est maintenant qu’elle existe car ni l’armée ni l’administration ne daignent pas mettre le pied au nord.
Le Mali, avec la 2085, a une garantie internationale sur L’INTÉGRITÉ DE SON TERRITOIRE il nous faut juste un président élu pour aller récupérer nos terres reconnues comme telles par l’ONU.
MALI: QUELS CRITÈRES ET CONTRAINTES POUR GAGNER LA GUERRE DANS L’UNITÉ ?
Bonjour,
La nouvelle résolution 2085 de l’ONU, adoptée le 20 décembre 2012, à l’unanimité, comprend deux volets, réconciliation politique et militaire, qui doivent être menés parallèlement.
Le volet RÉCONCILIATION POLITIQUE doit:
(1) via le dialogue politique, rétablir l’ordre constitutionnel à travers les élections présidentielles et législatives avant avril 2013,
(2) engager des négociations entre les autorités de transition du Mali et les groupes présents au Nord Mali et n’acceptant pas le terrorisme, essentiellement les groupes Touaregs, comme le spécifie la résolution.
Le volet MILITAIRE avec deux étapes:
– parallèlement à la réconciliation politique, la préparation de l’armée Malienne et des troupes de la force internationale pour être prêtes à reconquérir le Nord Mali,
– déploiement de la force internationale MISMA (Mission Internationale de Soutien au MAli) après accord du conseil de sécurité de l’ONU s’il juge l’état de préparation suffisant à partir de certains critères (entraînement suffisant, efficacité du commandement, équipement et adaptation au terrain).
Compte-tenu du temps nécessaire à la préparation de cette force mondiale et pour des raisons climatiques, des responsables de l’ONU et des diplomates estiment que le déploiement de cette force MISMA ne peut démarrer avant l’automne 2013.
DONC, CETTE RÉSOLUTION 2085, DE L’ONU, DONNE, IMPLICITEMENT, LA PRIORITÉ AUX ÉLECTIONS AVANT LA LIBÉRATION DU NORD MALI.
C’est dommage, une partie de la population Malienne sera dans l’impossibilité de participer à ces élections.
POUR QUE LES ÉLECTIONS AIENT LIEU APRÈS LA LIBÉRATION DU NORD MALI, IL SERA IMPÉRATIF DE LE LIBÉRER AVANT AVRIL 2013.
Est-ce possible ?
DIFFICILE, compte-tenu de la complexité de la situation et de l’état de préparation de l’armée du Mali ET celui de la force internationale de soutien, sauf si les forces de défense et de sécurité du Mali et les Maliens s’engagent SEULS, le plus rapidement possible, pour cette libération. Dans ce cas, les conditions sont-elles réunies pour que la libération du Nord Mali, dans l’unité, soit effective ?
Compte-tenu de la complexité de la situation (guerre exigeant de la précision car pouvant se dérouler en ville avec la population mélangée avec les terroristes des fois sans qu’elle le sache, extensions et renforts régionaux et internationaux possibles), IL EST PRUDENT, COMME L’EXIGE LES CRITÈRES POSÉS PAR L’ONU, que l’état de préparation des forces de défense et de sécurité du Mali et de la force internationale de soutien soit vraiment satisfaisant avant d’envisager la guerre contre les terroristes.
L’exigence d’une guerre précise, ciblée et de courte durée milite, comme je l’ai proposé dans ma solution de sortie durable de la crise du Mali, pour une guerre informationnelle d’intelligence collective ou guerre stratégique de renseignements sur les terroristes.
UNE TELLE GUERRE EXIGE L’ENGAGEMENT DE TOUS LES MALIENS EN FRONT UNI ET CELUI DES PARTENAIRES RÉGIONAUX ET INTERNATIONAUX.
ELLE EXIGE AUSSI UNE DURÉE CONSÉQUENTE POUR DES INFORMATIONS (CORRÉLÉES/SÉCURISÉES) FIABLES SUR LES TERRORISTES.
Ce qui constitue d’autres contraintes indispensables dont l’ONU n’a pas parlé.
Finalement, pour gagner la guerre contre les terroristes et assurer la réconciliation nationale, dans l’unité, les Maliens doivent les préparer avec précaution.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC et Gouvernance
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