Plus jours après l’annonce faite par la plateforme, ses combattants n’ont toujours pas quitté la ville d’Anéfis. Une situation délicate qui prolonge la mission des responsables de la Plateforme dépêchés à Gao depuis le dimanche dernier.
Dépêchés à Gao depuis le dimanche dernier, les responsables de la Plateforme n’ont pas toujours fini avec «mission d’explication et de sensibilisation sur son retrait d’Anéfis aux populations et à ses combattants ». L’annonce faite par la direction du mouvement de quitter « sans condition » Anéfis pour le weekend dernier pour “accéder à la volonté du président de la République » est totalement ignorée par les combattants sur le terrain qui expriment vigoureusement leur opposition à la décision les localités reprises à la Coordination des mouvements de l’Azawad à l’issue des affrontements de la mi-août. Une situation très compliquée pour les leaders de la Plateforme contre qui pèsent des menaces de sanction. Sur les antennes de Studio Tamani, le secrétaire général adjoint du Gatia et membre de la délégation à Gatia a expliqué la difficulté de leur tâche. C’est pourquoi,
« Quand nous sommes arrivés à Gao, nous étions dans la logique de continuer immédiatement sur Anefis. Malheureusement avant d’arriver à l’aéroport de Gao, nous avons trouvé un rassemblement de la population avec les responsables de la Plateforme. On n’a pas du tout compris ce qui se passe, il y a eu beaucoup d’intoxication autour de ce retrait. Il était important pour nous de maîtriser ce qui se passe ici à Gao. Il y a beaucoup de combattants qui ne comprennent pas cette décision, il y a beaucoup de populations qui la comprennent pas également que le fait que les gens sont rentrés chez eux, ils ont été très bien accueillis par leurs populations et qu’on leur dise retourner dans vos positions », explique Hambala Ag Amzata qui s’empresse d’ajouter que « nous avons besoin du temps pour bien expliquer aux uns et aux autres les enjeux, pour qu’on aille de l’avant, pour sauver le processus et que les gens rentrent dans la mise en œuvre de l’accord ».
Quant à l’appel du président de la République à la Plateforme de quitter sans « condition » Anéfis, il ajoute ceci : « Je ne vois en rien, et en quoi ça gène quelqu’un, que son président de la République l’appelle pour lui donner des conseils, à cause du prix qu’on avait payé pour la paix, et à cause de tout ce qu’on a fait comme effort pour avoir l’accord. Je ne pense pas que le président de la République appartient à nous tous il doit nous conseiller ».
La Plateforme demande du temps pour « mieux expliquer les enjeux » du retrait. Et sa tâche est loin d’être aisée surtout que du côté de la communauté internationale, on doute de la bonne foi des organisations d’auto-défense
Nabila
vivou gatia je defandre la gatia po le le mali et maliene
Mon problème a moi est toujours avec les titres des articles, qui disent une chose et le journaliste traite autre chose.
Quand vous titrez que “la plateforme refuse de partir”, c’est comme que vous confirmez que la plateforme n’a pas respecté sa parole, ceci, cela.
Si tout simplement vous aviez titré que la population s”oppose au départ de la plateforme et exige le retour de l’armée”, votre article aurait tout son sens.
Mais?
Ce soir j’écoutais le journal de la première radio de propagande de la MINUSMA dont je vais taire le nom pour ne pas faire leur publicité. Le journaliste, “pourtant malien” a totalement déformé les dis d’un interview réalisé avec une personne suite à l’attaque de Tombouctou.
Alors que l’interviewé accusait la MINUSMA de sa passivité lors qu’il s’agit des populations de la région de Tombouctou, ce “pauvre journaliste” fait croire dans son titre que l’interviewé a accusé les autorités maliennes.
Un autre journaliste de la même station qui prétendait organiser un débat sur foncier au Mali, débute ses propos par une “boutade” volontairement bien réfléchie de leurs part, désignant l’état comme accusé dans le dossier de Souleymanebougou.
Si j’étais le Ministre Bathily, je n’hésiterais pas a porter plainte contre cette station et ce journaliste.
L’invité, un ancien maire en commune 4 a fleuré la “maladresse volontaire” du journaliste, et l’a rappelé à l’ordre.
vous qui ne comprenez rien LA GATIA est la main cachée du gouvernement et le MNLA la main cachée de la france
Tres bon article….. IBK est incapable de soutenir l’honneur, la dignite du Mali et des maliens et il veut en empecher ceux qui ont decide de ne plus dormir et de se faire marcher sur les cou…….
Bravo Gatia tout le Mali digne est derriere vous….. refusez de bouger et l’on verra …. peut etre c’est le sursaut dont le Mali a besoin pour enfin sortir de ce merdier entretenu par IBKON est ses allies de la MINUSMA et de la CMA car IBKON est bien le probleme du Mali…. et non la solution….
Un vrai lache ce Monsieur… aucun honneur, aucune dignité…
Tres bon article….. IBK est incapable de soutenir l’honneur, la dignite du Mali et des maliens et il veut en empecher ceux qui ont decide de ne plus dormir et de se faire marcher sur les cou…….
Bravo Gatia tout le Mali digne est derriere vous….. refusez de bouger et l’on verra …. peut etre c’est le sursaut dont le Mali a besoin pour enfin sortir de ce merdier entretenu par IBKON est ses allies de la MINUSMA et de la CMA car IBKON est bien le probleme du Mali…. et non la solution….
Un vrai lache ce Monsieur… aucun honneur, aucune dignité…Tres bon article….. IBK est incapable de soutenir l’honneur, la dignite du Mali et des maliens et il veut en empecher ceux qui ont decide de ne plus dormir et de se faire marcher sur les cou…….
Bravo Gatia tout le Mali digne est derriere vous….. refusez de bouger et l’on verra …. peut etre c’est le sursaut dont le Mali a besoin pour enfin sortir de ce merdier entretenu par IBKON est ses allies de la MINUSMA et de la CMA car IBKON est bien le probleme du Mali…. et non la solution….
Un vrai lache ce Monsieur… aucun honneur, aucune dignité…
La MINUSMA au service de la france defendre la CMA contre le Mali
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