Protester contre les tergiversations des autorités maliennes qui brillent par un silence coupable pour engager nos forces armées afin de barrer la route aux bandes criminelles qui pullulent à Tombouctou, Gao, Kidal et Douentza. Dénoncer les relations ambiguës et malsaines entre le médiateur désigné de la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), M. Blaise Compaoré et le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Revendiquer une médiation saine, transparente et impartiale de la Cédéao. Tels sont les mots d’ordre de la marche organisée ce dimanche 09 septembre à Paris par trois collectifs de la diaspora malienne de France.
Il s’agit de l’Alliance patriotique pour la souveraineté du Mali (APSM), le Collectif des Maliens de France pour la paix (CMFPaix) et le Mouvement pour la dignité et le droit des Maliens (MDDM). C’était un parcours marathon accompli avec le doyen du foyer de Rue Bara, M. Adama Diawara, 82 ans. Le jeu vaut la chandelle. Plus de cinq mois, les régions de Tombouctou, Gao et Kidal ont été agressées et occupées par des bandes criminelles : Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), Ansar Eddine, Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’ouest (Mujao) et Boko-Haram. Il s’agit d’intégristes criminels, bouffis de “haram” (chose illicite défendue par l’islam) issus de rançons et du narcotrafic, avec leur charia dans une “sale gueule” barbue, pour imposer leur volonté à une population qui n’aspire qu’à la paix. Quelle imposture !
Non aux intégristes, non à la charia !
L’itinéraire partait de l’ambassade du Mali à Paris au 89 Rue Cherche Midi dans le 6ème arrondissement de Paris pour aboutir au 159 boulevard Haussmann dans le 8ème devant l’ambassade du Burkina Faso, soit 6 km. Près de 1500 marcheurs, des Maliens, des amis du Mali (des Français, Sénégalais, Congolais, Algériens, Marocains, des Mauritaniens….) des femmes et des hommes des plus petits sur les épaules de leurs parents aux plus grands, la crème du monde des artistes maliens de France, Toumani Diakité alias Tom, Habib Dembélé le Guimba National et son épouse Fantani Touré, Askia Modibo, des responsables associatifs, des militants et simples citoyens dévoués pour leur patrie en danger, tous étaient là. L’ambiance était à la hauteur de l’événement au rythme des sons de tam-tam sous un soleil de plomb. Pendant que des dizaines de drapeaux aux couleurs éclatantes du Mali (vert, jaune rouge) palpitent dans les airs, les slogans étaient fièrement affichés, voire exhibés. Des slogans scandés en chœur sur tous les tons, tels des cris de détresse, d’indignation et de révolte : “APSM, CMFPaix, MDDM, Grande marche pour dénoncer les relations ambiguës du président du Burkina Faso avec le MNLA”, “Le médiateur de la Cédéao Blaise Compaoré = Mnla = Mujao”, “Oui à la Cédéao, Non à la gouvernance du Mali par la Cédéao”, “Grande marche pour : Non à toute négociation avec les 5 Bandes Criminelles”, “Non aux intégristes, Non à la Charia”, “Le Mali : Un Peuple-Un But-Une-Foi : n’est pas négociable !”, “Les Femmes maliennes de la diaspora et d’Afrique disent : Non aux exactions perpétrées dans le Nord du Mali, Non aux viols et l’humiliation, Non aux casses des écoles, des hôpitaux et des maternités, Non à la Barbarie ! Non à la charia ! Trop c’est trop, on en a marre !”, “MNLA, Ansar dine, Aqmi, Mujao, Boko haram, Al Qaïda, Tous Dehors” “Dehors les envahisseurs criminels, Pour la Paix au Mali”.
Aucune négociation avec les criminels !
A 14h30 après le chant de l’hymne national, M. Ismaël Touré a lu la motion d’interpellation du gouvernement malien. Nous disons à notre Président de la république, affirme t-il, qu’il y en a marre de l’attentisme et de la passivité, de son Gouvernement et de l’Armée, réduits en de simples spectateurs, impuissants servant de caisse de résonnance aux actes odieux des bourreaux sans foi ni loi ! « Disons non à toute forme de négociation avec ces bandes criminelles et terroristes du MNLA et de ses alliés. Qu’elles soient maliennes ou étrangères, elles ont toutes délibérément et farouchement perpétré des crimes odieux contre le Peuple et l’Etat maliens. Car ces bandits doivent répondre de leurs actes devant la Cours Pénale Internationale. », a-t-il ajouté. A l’issue de la lecture de la motion, celle-ci a été remise en main propre à son S.E. M. Aboubacar Sidiki Touré, ambassadeur du Mali à Paris. Après avoir remercié les marcheurs pour le sens de leur combat, à savoir la paix et la restauration de l’intégrité territoriale de notre pays, il a promis de transmettre la motion aux plus hautes autorités. Les marcheurs ont ensuite mis le cap sur l’ambassade du Burkina Faso, sur 6 km en traversant tout le cœur de Paris de part et d’autre de la seine. La chanteuse Fantani Touré a chanté tout le long du parcours des chants à la gloire d’un Mali éternel sous le regard admiratif et les vivats de certains parisiens installés sur les terrasses de cafés. Après plus de trois heures de marche, le cortège est arrivé devant l’ambassade du Burkina Faso.
Blaise Compaoré, complice des criminels MNLA
Ici la motion a été lue par M. Sangaré Charly. Etant un pays souverain et indépendant, rappelle t-il, membre fondateur de la Cédéao ayant été agressé par des groupes armés rebelles et terroristes et son intégrité territoriale entamée, le Mali a certes, besoin de l’aide et du soutien des pays frères de la Cédéao, mais dans le respect de sa souveraineté et de son peuple. « Pour cela nous disons Oui à la Cédéao mais Non à la gouvernance du Mali par la Cédéao », a-t-il martelé. Ensuite M. Sangaré a indexé la position partisane et complaisante du médiateur Blaise Compaoré en faveur de l’organisation criminelle : le MNLA. Le MNLA est la première organisation instigatrice de tous les crimes odieux commis dans les régions de Gao, Kidal et Tombouctou avec l’appui de ses anciens alliés intégristes et terroristes. « Nous considérons que ce parti pris du grand médiateur de la Cédéao le disqualifie de fait à poursuivre une médiation sereine et trouver une bonne résolution menant le Mali à une sortie durable de cette crise. Ainsi, nous récusons la médiation trouble du président Blaise Compaoré et exigeons à cet effet, qu’il soit dessaisi du dossier malien, qui sera confié à un chef d’Etat neutre, crédible et consensuel de la sous-région » a-t-il ajouté.
Après le dépôt de la motion de protestation dans la boîte aux lettres de l’ambassade du Burkina Faso (car le personnel ayant décliné l’invitation), la marche a pris fin par l’hymne national et des bénédictions pour un Mali uni et apaisé. La seule fausse note a été le cas de malaise d’une sénégalaise, qui était venue soutenir les Maliens. Elle a été vite secourue par les pompiers de Paris. Le combat continue tant que le drapeau du Mali ne flottera pas sur les gouvernorats de Tombouctou, Gao et Kidal !
Correspondance particulière
Ils ont dit :
MME AWA NIAMBELE :
« Je suis militante associative et politique, car je suis membre d’un parti politique que je ne nommerai pas ici, car c’est le Mali qui est en cause. Bon sang, où sont les hommes maliens, pour laisser leurs femmes, leurs enfants, violés, assassinés ? Alors messieurs, défendez-nous ! Défendez-nous ! Contre les mœurs rétrogrades des envahisseurs. Ce qui se passe actuellement dans le Nord du Mali n’a rien n’avoir avec la religion. Réveillez-vous ! Messieurs défendez-nous ! Les viols, ça suffit ! »
HABIB DEMBELE, ALIAS GUIMBA NATIONAL :
« Nous disons que ceux-là, les politiciens chercheurs de place, qui ne sont pas des patriotes convaincus ou qui sont des voleurs camouflés, qui sont simplement des chercheurs de place, quand nous parviendrons avec l’aide de la communauté internationale à récupérer l’intégrité territoriale du Mali, ils nous trouveront sur leur chemin. Vive le Mali ! »
LASSANA NIAKATE, PRESIDENT DE L’ASSOCIATION DES MALIENS DE MONTREUIL :
« Je pense que cette marche est légitime, pour dénoncer les prises de position du médiateur de la Cédéao, M. Blaise Compaoré. Car nous constatons une complicité énorme avec les envahisseurs du Nord du Mali. C’est tout à fait normal de dénoncer cet état de fait, afin que les autorités maliennes se ressaisissent pour enfin, mettre les points sur les “i”, et obtenir un vrai médiateur ».
MME COULIBALY RAMATA MAÏGA :
« L’organisation de cette marche, c’est la continuité de toutes les actions de mobilisation que nous avons entreprises depuis le 17 janvier 2012. Nous n’avons pas baissé les bras, nous continuerons ce combat tant que le Mali n’est pas libéré. Le Mali fait 1.240.000 km2 que nous ont laissés nos parents, nos grands parents. Il est inadmissible pour nous Maliens de laisser un centimètre carré à qui que ce soit. Donc notre combat ira jusqu’au bout. On a bien dit “Un Peuple”, le peuple malien a toujours été soudé. Le peuple malien à travers tout ce qui a été bâti jusque là (l’union, la solidarité, la compréhension), ne peut être détruit d’un coup. Un But, le but du Mali, c’est la prospérité du Mali, c’est l’intégrité territoriale du Mali, c’est le développement du Mali. Une Foi, la foi, c’est, ce que nous pouvons construire ensemble. La foi, c’est cet amour entre les Maliens, ça c’est la foi que nous ont léguée nos grands empires, que nous ont léguée Soundjata Kéita, Firhoun, El Hadj Oumar Tall, Babemba, j’en passe, et que nous a laissé bien sûr le premier président du Mali, Modibo Kéita. Je suis une fille de Modibo Kéita, notre grand président, qui a passé tout son temps à bâtir l’union des Maliens. J’ai un cri de cœur : c’est que les femmes ont été mises à l’écart par rapport aux négociations et à la gestion de la crise. Il n’y a que quatre femmes dans le gouvernement dit, d’union nationale. Nous, les femmes, nous sommes également capables de participer à la résolution des crises au Mali et dans le monde entier ».
ADAMA DIAWARA, DOYEN DU FOYER RUE BARA :
« J’ai 82 ans. On a plus besoin de manifestations. Il faut agir ! 15 millions de personnes contre une poignée de quelques 300 personnes. On n’a pas besoin de la Cédéao, ni des français, ni des américains. C’est à nous [Maliens, ndlr] d’aller nous battre ! A vous la jeune génération montante, de vous battre. Nous, nous avons fait notre temps ? C’est à vous de faire le vôtre. Pour parler de l’histoire de cette guerre dans le nord du Mali, elle date de 1958. Lorsque De Gaulle a donné l’indépendance aux africains, le roi Idriss de la Libye a armé les Touaregs en disant qu’il ne faut pas que les Kidas-Kidas, les Kaoulousses, c’est-à-dire ceux qu’il considère comme étant des esclaves, ne les commandent. Alors De Gaulle, en tant que président de la République française a dit aux Touaregs, pas un centimètre de la terre du Soudan (à l’époque ce n’était pas le Mali) ne vous sera cédé. Les Touaregs ont eu peur. Ils ont attendu jusqu’à ce que Modibo Kéita arrive au pouvoir. La guerre a commencé, lorsque Modibo Kéita arriva au pouvoir en 1960. Modibo les a tués. Après Moussa Traoré les a également anéantis et c’était fini. Ensuite le président Alpha Oumar Konaré est venu avec sa médiation. A l’époque il y avait un embargo sur la Libye sous Khaddafi. Il y est allé comme intermédiaire. Après l’embargo, il est venu allumer, la flamme de la paix. A cause de cette flamme de la paix, le Mali se trouve aujourd’hui, excusez-moi l’expression, dans la merde. Ce sont les présidents Alpha Oumar Konaré et Amadou Toumani Touré qui ont échoué dans la gestion de cette crise dans le Nord du Mali. On récolte ce que l’on a semé. Ils vont récolter ce qu’ils ont semé. On va les juger » !
TOUMANI DIAKITE ALIAS TOM, ARTISTE, CHANTEUR, COMPOSITEUR :
« Où que les maliens se trouvent, il faut qu’ils se mobilisent. Le pays a besoin de retrouver son intégrité territoriale. On est envahi par des bandits, des voyous qui nous pourrissent la vie. Le Mali est un pays laïc. Ce pays est aujourd’hui menacé par des vendeurs de drogue, des narcotrafiquants, par des imbéciles, on ne sait même pas d’où ils viennent. Ils terrorisent nos populations. Il faut que les Maliens se retrouvent, car notre pays a besoin de la paix. Que le Mali se retrouve en paix avec ses fils ».
MAMADOU DIAKITE, COMMUNICATEUR :
« La laïcité du Mali a commencé en l’an 703. Quand les premiers émissaires sont venus du monde arabe, nous étions dans l’empire du Ghana. Nous avons appris, rapporte t-ils, qu’il y a un peuple au sud du Sahara, très fier, un peuple très heureux, et nous aurons bien voulu apporter à ce peuple, notre religion. L’empereur Kaya Makan Cissé, leur a répondu, vous êtes les bienvenus, et c’est moi-même qui vous accueille. Mais moi je ne peux adhérer à votre religion, car moi je détiens le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel. Je suis à la fois le temporel et le spirituel. Mais allez-y, voici le peuple, ceux qui y adhéreront à votre religion seront les vôtres et ceux qui n’adhéreront pas, seront avec nous. Donc la laïcité du Mali a commencé il y a plus de 1000 ans avec l’empire du Ghana. Alors qu’on ne vienne pas nous raconter des histoires aujourd’hui. Les Almoravides sont venus piller ce même empire du Ghana, alors que l’islam y était pratiqué. Mais qu’à cela ne tienne, chaque fois que le Mali a été envahi, le Mali a été libéré par les Maliens ».
HAMSATOU MAÏGA, RESSORTISSANTE DE GAO.
« J’appelle de tous mes vœux, que Gao, Tombouctou et Kidal soient libérées, le plus rapidement possible. On ne se reconnaît pas du tout dans la charia que les intégristes veulent nous imposer ».
MAHAMADOU CISSE, VICE- PRESIDENT DU CONSEIL DE BASE DES MALIENS DE FRANCE (CBMF) :
« Je pense que c’est encourageant. Car depuis six mois la crise a commencé et malgré tout il y a autant de monde mobilisé pour cette cause juste, à savoir l’intégrité territoriale de notre pays. Les violations de droits de l’Homme dans le Nord de notre pays et tous les drames humains que nous avons dénoncés à maintes reprises, sont là pour motiver les gens. Voyez-vous, autant de monde dans les rues de Paris un dimanche, surtout sur un itinéraire entre l’ambassade du Mali et l’ambassade du Burkina Faso, c’est quitter Bamako pour aller à Kati à pieds. Cela signifie simplement que les Maliens de France sont déterminés et ils veulent en même temps transmettre cette énergie aux maliens de l’intérieur. Parce qu’on ne sent pas les Maliens de l’intérieur aussi motivés pour défendre ce pays que nous aimons tant. Mon impression est que sous ce soleil ardent où on entend le tam-tam, on entend des slogans, il y a encore de l’optimisme. La mobilisation doit continuer et nous pousserons les décideurs à agir conformément à notre volonté ».
L’ARTISTE ASKIA MODIBO, MUSICIEN, CHANTEUR :
« Nous sommes là aujourd’hui en plein cœur de Paris, pour manifester notre mécontentement, notre désaveu vis-à-vis de la situation de crise dans notre pays. Le nord de notre pays est occupé par des bandits armés, des narcotrafiquants, des islamistes radicaux. Cette situation concerne non seulement le Mali, mais aussi toute la sous-région. Il est temps que l’on se lève pour se donner la main afin de bouter hors de nos frontières ces islamistes, ces narcotrafiquants qui sont en train de semer la terreur sur notre population dans le Nord de notre pays. Nous voulons la paix, nous ne voulons pas la guerre. Nous voulons que notre pays le Mali, Un-Peuple-Un-But-Une-Foi, retrouve son intégrité territoriale ».
MME THERESE-MARIE DEFFONTAINES, ANCIENNE JOURNALISTE DU JOURNAL LE MONDE :
« Je suis vraiment triste. Je trouve que le Mali est dans un état dramatique, qu’il faut faire savoir, le dire pour réclamer un changement. Ce n’est pas à moi de décider comment ? Justement au moment où le président intérimaire [M. Dioncounda Traoré, ndlr] a demandé l’appui de la Cédéao et réclamé, en étant nombreux ici pour dire, d’accord il faut intervenir, si c’est nécessaire. Mais que cela ne soit pas une prise de pouvoir de la Cédéao sur le Mali dans l’état où il est. Je pense que par rapport à çà, il aurait été important que les Maliens soient sortis en nombre plus important ».
ELIZABETH DIAKITE :
« Tout le Mali pleure, on n’est sous le choc ! Je voudrai vraiment la paix pour le Mali, pour qu’un jour je puisse mettre un pied au Mali pour notre avenir et surtout pour notre culture. Nous comptons sur nos parents, nos frères, et surtout sur vous [les médias, ndlr] ».
ABDOUL KARIM SYLLA, UN DOYEN DE LA DIASPORA MALIENNE DE FRANCE :
« Je pense que la manifestation est un succès. Mon souhait est que l’on parvienne à atteindre notre objectif, c’est-à-dire la libération des régions occupées. La solution idoine est la solution arrêtée par la Cédéao. Car étant donné que le Mali, seul n’est pas à même de juguler la crise. Ce n’est pas du tout une honte que d’avoir recours à l’aide du monde extérieur pour nous en sortir. Est-ce que pendant la seconde guerre mondiale, la France seule s’est débarrassée d’Hitler ? Non ! Alors pourquoi les Maliens ne peuvent pas se mettre d’accord et mettre de côté l’orgueil mal placé, des considérations totalement abjectes afin d’avoir comme seul objectif, libérer le pays ? »
ALLASSANE TOURE, PRESIDENT DE LA COORDINATION DES RESSORTISSANTS DU NORD DU MALI EN FRANCE ET ANCIEN COMBATTANT GHANDA KOYE :
« Pour moi, la manifestation est un succès. Cette manifestation, c’est pour exprimer notre indignation par rapport à M. Blaise Compaoré qui a pris position dans sa médiation, de manière plus ou moins officielle concernant le MNLA et Ansar Eddine. Donc la première solution c’est dessaisir Blaise Compaoré de la médiation car, il est en train d’organiser, d’armer des bandits contre le Mali. Il a envoyé un avion pour récupérer un bandit. Il a organisé une rencontre MNLA au Burkina Faso. D’autre part, pour nous il n’y a pas de négociations avec des bandits armés qui cherchent à diviser le pays ».
Correspondance particulière
Sans doute Blaise est un pion et surtout une porte d’entrer de la mafia occidentale en Afrique…Ce n’est au moins pas sa faute… un Burkina b qui joue avec la survie du Mali traduit un manque d’hommes dans le Mali aujourd’hui. ATT et AOK doivent se suicider.
Cher frères frères maliens de France avec le grand respect que doit au mali ,1ère des chose banal vous avez versé l’imagie du Mali avant qu’au 1 pays africain n’a commis laisser des marcheurs allé jusqu’à la présidence de votre république même touche votre président jamais on vue sa dans le monde soif le Mali qui eu le courage de faire de tell act . Si vous étiez près allé y combattre les rebelle cela fai combien de mois seul Att es votre meilleur président
Toujours en retard. Il y a deja 7 mois que j’appellais les maliens de la France de se faire entendre vu leur potentiel de pouvoir mettre la pression… mais helas chacun etait plutot occupe a ses besonges jusqu’a ce qu’ils se sont rendu compte qu’ils n’ont plus d’avenir car leur pays est pris par MUJAO… cest devenu personnel. On est tout simplement pourri a tous les niveaux.
Depuis longtemps je me pose une question. La communauté dite internationale se propose d’aider le Mali par des hommes et des armes. Une partie de l’armée malienne refuse. Pourquoi cette partie refuse t-elle? Leur logique est-elle illogique? Très peu de journalistes leur ont accordés la parole pour comprendre leur logique. Quel sera ou est le coût financier d’une guerre de la CEDEAO sous couvert UA, sous couvert ONU au Mali? Qui paiera la facture? E et hommes) au Mali. Dans ce cas de figure, ce sont les contribuables de l’espace CEDEAO qui prennent en charge cette intervention. Ok. Quelle est l’intérêt du contribuable ghanéen, nigérian, togolais, béninois, cap verdien, libérien, sierra léonais, de la Guinée Bisseau (pour ne citer que les pays non voisins immédiat du Mali) à contribuer pour cette guerre ? On me dira que le voisin du Mali a un intérêt car elle rebelle peuvent entrer chez le voisin mais et le non voisin, quel est son intérêt ? Si la guerre est financé par la CEDEAO, sous couvert UA, sous couvert ONU, quel est l’intérêt du contribuable de ces pays à financer cette intervention au Mali ? Pour les pays voisins du Mali et Membres de la CEDEAO, il est clair, que pour toute intervention (100% malienne, ou 100% CEDEAO ou 50% malien et 50% CEDEAO), ces pays voisins doivent sécuriser leurs frontières avec el Mali aux frais de leur contribuables. Dans ce cas, Si la guerre est menée par la CEDEAO au frais du contribuable CEDEAO, les contribuables des pays voisins ont 2 contributions : celle de la CEDEAO et celle de la sécurisation de leur frontière avec le Mali. Ainsi, le contribuable nigérien, Burkinabè, ivoirien, guinéen, et sénégalais vont contribuer 2 fois. Alors quel est leur intérêt à contribué 2 fois ?
Hypothèse 2. Quelle soit 100% menée par le Mali ou 100% par la CEDEAO, le coût est à supporter à 100% par le Mali. Dans ce cas de figure, le Mali devrait s’endetter des années et des années pour payer sa dette emprunter auprès de la communauté dite internationale qui vient y mener une guerre pour récupérer l’argent donné à crédit au Mali. A ce sujet, il parait que la Libye doit payer près de50 ans de pétrole pour sa “libération” (si on doit/peut parler de libération). Il parait que la cote d’ivoire continue de payer la France pour sa “libération”(arrestation de Gbagbo. Dans cette logique, le Mali n’aura-t-il pas une facture trop salée à payer sur plusieurs années? Et quel est l’intérêt du Mali, du contribuable malien à payer une facture de guerre trop salée, alors que le pays dispose d’homme connaissant le terrain et payés presque gratuitement depuis 1960 soit pendant 52 ans. En rappel, les soldats maliens depuis leur enrôlement n’ont pas livré de véritable combat sur leur territoire, sauf 2 entrainements (guerre dite des pauvres) avec le Burkina Faso en 1974 et 1984 (chaque pays pense avoir gagné. Faut-il continuer à payer des soldats et la CEDEAO + la communauté internationale viennent faire une guerre à facture trop salée? Je pense que nous allons mieux comprendre et juger adéquate ou inadéquate le refus du Mali si nous avons la réponse à la question, qui paiera le coût financier de cette guerre.
Je poursuis ma réflexion sans mes hypothèses et je prend position
Si le Mali refuse la force CEDEAO, que cette force aille sécuriser toutes les frontières Burkina Mali, Niger Mali, Mauritanie Mali, Alégrie Mali Sénégal Mali pour empêcher ces rebelles de rentrer et ressortir plus tard chez un voisin du Mali et que la CEDEAO donne au Mali l’équipement, la formation dont ils ont besoin pour libérer eux même leur pays. Les soldats maliens chôment depuis 1960 c’est presque un de leur rare occasion de rembourser aux contribuables maliens qu’ils ont bouffé depuis. Par ailleurs la CEDEAO veut aller se baser à Bamako, à près de 690km de Mopti qui est aussi à des km de la zone occupé. Pourquoi ne pas aller directement à Mopti et faire économiser 690km à tous les contribuables ? La cedeao bloque des armes commandées par le Mali en Guinée. Pourquoi font-ils cela? Pour leur imposer une intervention cedeao à facture trop salée? Et en ce moment on dit que le Burkina laisse passer des armes pour le Nord du Mali ?
A mon avis, l’intervention de la CEDEAO/UA/ONU, ressemble à un deal de la France et des USA qui sous le nom de la communauté internationale veut vendre leur intervention au Mali qui paiera pendant des années. Non, le Mali a les armes, envoyé le matériel (à prix moins cher) et sécurisé vos frontières pour qu’ensemble on prenne les rebelles en tenaille.
Si le reste du plan est connu. Après la guerre (qui risque de ne jamais finir à 100% si une armée étrangère intervient car le but inavouée de son intervention est de ne jamais finir sa mission comme en Afghanistan), la force CEDEAO devient une force d’occupation. La communauté internationale va stimuler le Mali pour qu’il emprunte de l’argent pour se reconstruire (les bâtiments les routes les écoles au Nord) le Mali s’endette, la communauté international lui demande de faire un appel à marcher, ses entreprises postulent gagnent le marché, m’argent repart dans la communauté internationale et le Mali paie sa dette de reconstruction a ceux qui ont construit.
Ainsi, le Mali est entrain d’être dealé par la CEDEAO/UA/ONU. Seuls une armée révolutionnaire à l’envergure de N’krumah, Sankara peut dire non à ce deal international fait sur le dos de tous les contribuables du monde (à des degrés différents) mais enrichissants les autorités du monde à des degrés différents. Vive le refus du Mali en attendant qu’on me disent que l’intervention CEDEAO/UA/ONU est 100% gratuite.
Tres bonne analyse. Voila ce que les Tapo pronnent pour le Mali. Et n’oublions surtout pas qu’on ne cherche jamais a endeter un pays vide ou pauvre… donc cela nous indique que l’endettement du Mali sera projeté sur sa richesse immense au Nord: petrol, or, Uranium, fer, gaz etc…
Chers frères maliens cessez la grande gueule, laissez les bouc-émissaires et battez-vous. Sept (7) mois d’occupation des 2/3 du territoire sans un seul couaque contre les agresseures, sans une seule tentative de contre attaque de la par de l’armée ou de quiconque; voyez vous même ça fait honte. Un peuple de guerriers agressé se bat sans attendre. Les anglo-americains ont envahi l’IRAK, n’avez-vous pas vue leur réaction ? Alors oubliez la légende de SOUNDIATA , laissez Blaise on en a mare nous aussi!
J’avais vu un article disant que le senegal et le ghana n’etaient pas partant pour aider le mali militairement. Le Burkina si.
J’imagine ce que l’on aurait vu comme commentaire si c’est le contraire qui avait été dit.. Apparement l’article a été retiré car trop positif pour l’image de Blaise..
MERCI LES COMBATANTS COMPATRIOTES DE FRANCE, CAR LA GUERRE NE SE FAIT PAS SEULEMANT AVEC LES ARMES, ON A VRAIMANT BESOINS DES AIDES DELA COMMUNEAUTÈ INTERNATIONNAL, MAIS LES DEUX RESPONSABLES DE LA CEDEAO: ALASSANE ET BLAISE NE SONT PAS POUR L’INTEGRITÉ TERITAURIAL DE LA RÉPUBLIQUE LAIQUE DU MALI ILS SONT SUR LE CHEMIN DE L’ORDRE DE LEURS DIEU (SAL DÉMOND SARKOZY) QUI DEMANDAIT UN PEUT D’OTHAUNOMI AU TRAITRE DROGEUR MNLA.
BLAISE QUI À ANONCER L’ARESTATION DU SAL TRAITRE HASSAN AGMEHDI(Djimi le Rebel)QUE CET DERNIER VOULAIT SORGASER POUR ATTAQUER LE MALI QUE ALOR LE BOURKINA NE SERAIT PAS UNE TERRE QUE LES RÉFUGIÉS VONS SORGANISER CONTRE LE MALI, ET QUE LUI IL EST AU COTÉ DU MALI JUSQU’A LA FIM DE CETTE CRISE MALIENNE.
DJIMY LE RÉBEL EN TEMP QUE PRISONIER IL S’EST ORGANISER AU BOUKINA FASSO ET IL EST A LA TÊTE D’UN GROUPE DE BANDIT ET PRÊT À ATTAQUER LE MALI, BLAISE DOIT S’AVOIR QUE SIL DONNE UN BON OU MAUVAIS PLAT AU MALIENS NOUS ALLONS DIVISER CETTE PLAT AVEC NOS FRÈRES BOURKINABÈS.
Mon cher npogo, ou as tu appris ton francais? J`ai comme l`impression que tu reflechis avec ton anus et c`est tant pis pour toi! Ton commentaire pue la charogne. Vas te brosser un peu les dents
Excellence Monsieur Blaise COMPAORE, President du Faso, je vous demande sincerement et honnetement de renoncer a cette mediation. Ils vous vomissent au Mali, et tout votre peuple avec, laissez les tranquilles. Ils preferent resoudre leur probleme eux-meme, et bien soit! Laissez les, concentrez vous sur les problemes du Faso: le chomage, la vie chere, le manque d`eau potable, le probleme de l`education, la gratuite des soins de sante, voila ce que le peuple attend de vous. Laissez les Maliens tranquilles, on ne peut pas forcer l`ane a boire de l`eau. De toutes facons, nous sommes convaincus de vos talents, vous avez fait vos preuves, tout le monde a vu. Alors laissez les Maliens tranquilles, laissez les se debrouiller, ca nous peine, ca nous frustre de voir le nom de notre beau et hospitalier pays vilipende par certains Maliens. Trop c`est trop, arretez, ARRETEZ! De grace!
L’ÂNE C’EST TON PÈRE ET TA MÈRE .TU FERAS MIEUX DE QUITTER LE MALI SI TU N’EST HONNÊTE. SANS VOUS ON VA VIVRE . LE BURKINA N’EST PLUS ÂGÉ QUE LE MALI.
PUISSE QU’IL FAIT MAL DE DIRE LA VÉRITÉ ;IL FAUT DIRE A BLAISE D’ÊTRE HONNÊTE. TU TE FÂCHES COMME SI C’EST TOI BLAISE .QUAND IL VA CHERCHE LES OTAGES EUROPÉENS DANS LE NORD DU MALI;OU ÉTAIS TU ? QUAND LE mnla ORGANISAIT SA RENCONTRE PAR L’AIDE DE LA SUISSE A OUAGADOUGOU ;OU ÉTAIT TU? LE JOUR OU LE mnla A ÉTÉ CHASSE DU NORD DU MALI PAR LE MUJAO ;QUI LES A ACCUEILLI A BRAS OUVERT AU BURKINA ?
EN GÉNÉRAL LE MOSSI EST HONNÊTE ,FRANC ,INTÈGRE . JE SAIS PAS SI RÉELLEMENT TU ES UN VRAIS MOSSI.DIT PLUTÔT A BLAISE DE SE DÉBARRASSER DU nmla SI NON LE BURKINA GAGNERA SON COMPTE. LE TOUAREG N’EST PAS UNE PERSONNE A QUI ON DOIT FAIRE CONFIANCE.C’EST DE CETTE MANIÈRE QU’ILS ABUSENT DE L’HOSPITALITÉ ET DE LA CONFIANCE DES GENS.A BON ENTENDEUR SALUE .
toi aussi broso, ta gueule pue, vas te brosser. Baaga ma ziigr biiga!
Pauvres maliens c’est dieu seul qui vous soutient. Sinon tout le monde est contre vous et vous envie. Tout le monde est jaloux de vous. Le malien c’est vraiment un patriote qui aime son pays…
tout ce que vous faites est l’expression de la faiblesse face aux islamistes. Vous qui avez soutenu votre Ben Laden, voici l’occasion pour l’accueillir avec sa bande de barbus au nord de votre pays. Vous qui etes patriotes, venez au nord où le charia règne avec vos complices d’hier. Pourquoi ne sont-ils pas allez au Niger, en Mauritanie ou en Algerie? Et c’est au Mali leur terre d’accueil, ces barbus. N’eut eté le fait que chaque pays de la cedeao a peur de les voir un chez eu, on aurait vous abandonner avec votre patriotisme et on vera la suite. La faiblesse ne s’exprime pas par la haine. Mettez votre ball à terre pour un jeu franc. Pour une médiation, il faut réunir toutes les parties en conflit sans exception, ce vous ignorez. Blaise ne vous a pas demandé à etre mediateur. C’est la cedeao qui l’a designé vu ses qualités en la matière dans des crises difficile à résoudre comme les votres. Si Blaise ne s’etait investit, aujourd’hui on ne parlera d’institutions republicaines à Bamako. Sanago allait s’accaparé son trone et imaginez la suite. Raisonnons chers Maliens car l’heure est plus que grave pour votre nation.
Mon frère!!!Il faut dissocier les intérêts égoistes de Blaise et de son marchand de Diendéré et compagnie,du reste de ce vaillant peuple hospitalier,respectueux des valeurs humaines!Entre le Mali et le Burkina,nous ne ne sommes pas ennemis plutôt des frères,j’allais dire de sang n’eût été les frontières artificiels voulues par nos colonisateurs.
Toutefois,sachez que ce monsieur contrairement à ce qu’il fait miroiter à l’extérieur n’est pas du tout populaire encore moins un patriote,il n’aime pas son peuple,juste lui et sa famille,il préfère sacrifier ce paisible peuple sur l’autel du gain et de la cupidité,oubliant que toutes ces fortunes amassées au cours de leur règne ne leur profitera guère,parce que lui-même sentant sa fin imminente,et irréversible.Où est ce qu’ils vont demander asile et s’y installés pour jouir de leur fortune?Peut etre en chine taiwane ou le Qatar!
VOUS MALIENS, OCCUPEZ VOUS DE VOS BARBUS, NOUS BURKINABÉ ON VA NOUS OCCUPER DE BLAISE ET DE SA BANDE. 2015 C’EST LA FIN DE SON BEURE ET 2016 LE DÉBUT DE SON PIMENT.
Ce serait encore mieux si toutes ces marches étaient coordonnées de PARIS, à BAMAKO, en passant par le maximum de capitales mondiales…
1. On aura tout vu avec les djihadistes : la colonisation et la réduction à l’esclavage au 21ème siècle. Des voleurs de véhicules qui coupent la main à d’autres voleurs, des gens qui volent des humains (pas leurs biens mais leur personne même : français d’AREVA et diplomates algériens), et tranchent la main à d’autres voleurs. Des violeurs de Gao qui fouettent d’autres violeurs. Des violeurs de tombes qui lapident d’autres violeurs. Des assassins d’AGUELHOC (et de l’un des diplomates algériens) qui ferment les yeux pour les leurs, ou tuent d’autres assassins (à Diré) selon une logique à toute épreuve.
2. Sont HARAM : l’école laïque, les habits qui dépassent la cheville, le visage découvert des femmes, etc. Certains djihadistes soutiennent aussi que sont HARAM tout ce qui ne date pas de l’ère du prophète : l’eau de robinet, le téléphone, les engrais, les routes bitumées, etc. Mais sont HALLAL : le trafic de drogues, d’armes, de cigarettes, la prise d’otages, etc.
3. Pendant ce temps au SUD MALI, nos braves soldats du CNDERRIERE se livrent aux intimidations de leaders politiques, même de marabouts. Après les tentatives de liquidations d’hommes politiques et de tueries de bérets rouges maintenant ils tuent les barbus non armés. NATURELLEMENT, LES BANDITS ARMES DU NORD (DJIHADISTES) ET LES BANDITS ARMES DU SUD (CNDERRIERE) S’EVITENT PRECAUSIEUSEMENT ET S’OPPOSENT CHACUN, DE FAÇON TRES UNANIME, A L’ARRIVEE INCONDITIONNELLE DES TROUPES DE LA CEDEAO.
4. Et la majorité silencieuse malienne laisse faire. Stoïquement. Ou Impassiblement. C’EST TOUJOURS LA TOUTE PETITE MINORITE D’ANARCHISTES ET DE REACTIONNAIRES QU’ON ENTEND LE PLUS. PARCE QUE COMME CERTAINS TOUAREGS QUI ONT COMPRIS QU’IL FAUT PRENDRE LES ARMES POUR OBTENIR DES POSTES JUTEUX, DE L’ARGENT, ETC. COMME CERTAINS POLITICIENS ET SYNDICALISTES A BAMAKO QUI ONT COMPRIS QU’ON EST RECOMPENSE EN FONCTION DE SON POUVOIR DE NUISANCE. ET LA SOCIETE CIVILE, POLITIQUE ET RELIGIEUSE MAJORITAIRE JOUE A L’INDIFFERENT: AUCUNE PROTESTATION COORDONNEE CONTRE LES INEPTIES DES MILITAIRES ET LA RECESSION AVEC SON CORTEGE DE CHOMAGE, DE CHOLERA, DE FERMETURE D’ENTREPRISES, DE CLASSES, DE CENTRES DE SANTE…
J’estime que vous n’êtes pas conséquents. Comment un illustre astronaute se laissera berner par un terrien ennemi juré depuis la nuit des temps jusqu’à ce point!!
A ce que je sache Blaise n’a pas de port pour confisquer vos armes!! C’est vous qui êtes venus à Blaise tout larmoyant et ne sachant où donner de la tête qu’il vous aident…Si souveraineté y a il fallait attaquer les barbus qui menacent de vous bousculer de Bamako. Si ce que vous débitiez est exact remerciez Blaise pour vous avoir évité la honte!!
A qui la faute?! si vous avez eu des précurseurs, des fossoyeurs et des destructeurs..
C’est pas la honte de demander à la CEDEAO de vous aidez car les populations du nord estiment que votre disque est raillé. eux ils subissent en live comme dirait l’autre mais vous supputez!Savez-vous comment fait mal un panaris? pas de commune mesure avec un bras ou une jambe coupée à vif!!
Pendant que vous marchez des compatriotes n’ont plus l’usage de leurs pieds ou de leurs mains pour brandir une quelconque banderole. Dites à vos vaillants soldats de sortir sur le terrain c’est là où se trouve le vrai pays et cessez de vous trouvez des boucs émissaires..
moi il y a quand meme une chose qui me fait marrer ,c’est que tous ces grands patriotes maliens vivent en France et que bon nombre d’entre eux ont la nationalité française ou l’on demandée pourquoi manifester à Paris plutot qu’à Bamako ?? c’est plus sur ?? 😉 😉
Bien dit,
Je suis malien de nationalité française et je suis tout à fait d’accord avec vous. C’est une réponse logique.
Tout le monde sait que le président burkinabé ne veut pas que le Mali se releve de cette situation car il sait qu’il à perdu une partie du Mali qu’il voulais il y a des année et ça il ne la pas digérer.
En plus le renouvelement des stock en armement du Mali ne sera une bonne chose pour lui donc faut pas compter sur lui pour nous défendre
C’EST CETTE HYPOCRISIE DE NOUS MALIENS QUI FAIT QUE DES IMBÉCILES VIENNENT VIOLER NOS FEMMES ET NOS FILLES ET ON LES REGARDE PUIS ON TOURNE LA TÊTE AILLEURS POUR ACCUSER LES AUTRES. DANS CETTE MARCHE, IL Y AVAIT BIEN DE BURKINABÉ MAIS LE DIRE SERA TROP DIFFICILE POUR NOUS. ALORS PAR HYPOCRISIE HABITUELLE ON SE CACHE LA VÉRITÉ. PAUVRE DE NOUS. DES BURKINABÉ M’ONT DIT EN DÉTAIL CE QU’IL S’ÉTAIT PASSÉ.
Nous à l’interieur sommes content de savoir que vous labà ,loin arrivez à comprendre au fil du temps que notre democratie etait de façade comme le dit bien laurent bigot sinon nous autresavons denoncé en vain et mlheureusement vos MEDIATS etaient là à empoisonner le monde (500000 votes annulé, un president elu avec 22% de quel electorat avec tripatoillages,,,,,,les maux sont nombreux).Nous sommes fiert de notre diasporat devoué et nous vous demandons d’écouter vos freres restés ici en lieu et place des mediats politiques sinon nos politiciens font la politique d’autruis et non celle du peuple; Merci et merci j’ajoute que le doyen a touché du doigt la maladie que tous les autres le comprennent.
vous le burkina va jamais soutenu le mali arête de rêver on n’est sourpri pour ça blaise es premier ennemi du mali je crois ke le masque tombe petit a petit
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