La Mission de l’ONU au Mali (Minusma) avait annoncé le 22 mai l’envoi « d’une équipe d’enquête » à Tin Hama (nord), après avoir reçu signalement de « violations graves des droits de l’Homme et du droit international humanitaire, dont l’exécution », la veille, « d’un certain nombre de civils ».
Le gouvernement malien avait rejeté toute implication, évoquant des « règlements de comptes sanglants entre des éléments de groupes armés » locaux après une attaque le 20 mai de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA, rébellion à dominante touareg), qui avait tué trois civils avant d’être repoussée par son armée, selon lui.
EXECUTIONS A LA SUITE D’AFFRONTEMENTS
Dans un communiqué, la FIDH et l’Association malienne des droits de l’Homme (AMDH) disent avoir obtenu confirmation que « six personnes civiles, dont un humanitaire, ont été exécutées le 21 mai à Tin Hama » à la suite d’affrontements opposant la CMA « aux forces armées maliennes et au Groupe d’autodéfense touareg Imghad et alliés » (Gatia, pro-gouvernemental).
Rappelant que la CMA et Bamako se sont renvoyé la responsabilité des exactions à Tin Hama, elles soulignent que « certains de ces décès seraient des exécutions sommaires et extra-judiciaires de personnes civiles qui constitueraient par conséquent des crimes de guerre dont les auteurs devraient être poursuivis par la justice malienne et le cas échéant la Cour pénale internationale ».
FIDH -AMDH il faut que vous commencerez d’abord depuis le 17 janvier 2012 vos associations mafieuses foutres nous la paix vous êtes nul 🙄 🙄 🙄
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