L’Algérie, chef de file de la médiation dans la crise malienne a invité toutes parties prenantes à se rendre le 15 Avril à Alger. Objectif : convaincre la Coordination des mouvements armés de l’Azawad (CMA) de parapher le pré-accord de paix accepté par Bamako, et d’ouvrir ensuite des discussions, les 16 et 17 avril, sur des amendements au texte à intégrer éventuellement avant la signature finale.
Mais à Bamako, Ibrahim Boubacar Keïta a très mal pris la situation. “Dans un premier temps, le président malien a refusé d’envoyer des représentants. Il avait posé comme condition préalable le paraphe de la CMA sur l’accord. Mais à la dernière minute, il a finalement accepté de mandater une équipe du gouvernement à Alger”, explique une source occidentale bien informée.
Les conditions de la CMA
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Opportunistes
Il n’y a aucune rationalite juridique dans la proposition du Chef de la Mediation.Loin de trouver une porte de sortie,elle aggrave le manqué de credibilite a ces pourparlers.Parapher signifie que des pourparlers ont lieu entre des parties,qu’un Accord a ete atteint ,consigne par un Chef de Mediation dans un Document ,atteste par des temoins,des membres de la Negociation,les parties viennent y mettre leur paraphe,a chaque page pour s’assurer qu’a la signature,c’est bien ce Document avec le Contenu paraphe qui fera l’objet de signature,pas un autre.Parapher un texte legal ,ensuite ouvrir des discussions sur le meme texte et presenter le texte modifie a la signature des parties est une absurdite juridique,au sens propre du mot.
Ibk Traitre
Avec un etat et un gouvernement faibles, corrupteurs-corrompus alors le Peuple de koalas ne peut que continuer a dormir et attendre que d’autres fassent le boulot a Notre Place. 😥 .
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