Les bandits armés de Kidal et en tête, leur chef, en l’occurrence Bilal Ag Cherif, Secrétaire général des violeurs de Gao et des assassins de nos soldats, non moins, Président de la CMA, ne se privent d’aucune occasion pour tenter de remettre en cause, l’Accord de Paix et de Réconciliation, issu du processus d’Alger.
Tout cela, sur fond de prétention indépendantiste à laquelle, ils n’ont jamais renoncé malgré, le changement de discours au gré des circonstances et des interlocuteurs.
Depuis trois longues années, ils ont érigé Kidal en enclave autonome dans la République du Mali, en empêchant toute présence militaire malienne dans la ville de Kidal.
Au même moment, ils se pavanent dans les rues de Bamako, escortés, par ceux qu’ils tuent à Kidal, et passent du bon temps dans les hôtels luxueux de la capitale aux frais du contribuable malien. Quelle injustice !
Invité de RFI, suite aux affrontements entre ses affidés et le GATIA, il menace clairement de ne plus reconnaitre l’Accord de « Paix et de Réconciliation au Mali ». Un Accord faut-il le rappeler à souhait, que les maliens ont signé, le couteau à la gorge.
«A ce rythme-là, il risque de ne plus avoir d’accord auquel se référer». Quelle mauvaise foi ! Ces propos de Bilal Ag Cherif sont suffisamment explicites pour que les autorités maliennes prennent leurs responsabilités en envisageant des solutions alternatives à un éventuel rejet de l’Accord d’Alger par ces renégats.
D’ores et déjà, il semble clair que notre Etat ne pourrait en aucune façon, faire l’économie d’une guerre contre ces bandits armés qui écument Kidal et ses alentours, s’il voudrait exercer sa pleine et entière souveraineté sur l’ensemble du territoire national, y compris, Kidal. A bon entendeur, salut !
Nous y reviendrons.
Idrissa I. MAIGA
pour vous dr. AG RHISSA http://www.bbc.com/news/magazine-37344210 POUR LES AUTRES QUI CROIENT AUX BELLES PAROLES RELIGIEUSES….
Bonsoir,
Merci Rodrigez-Suarez pour cette histoire émouvante que vous avez bien voulu partager avec nous.
Elle concerne un guerrier noir, “emporté” (esclavagisme) du Botswana par un Européen au début du dix neuvième siècle, “momifié et exposé” après sa mort dans les musées comme un animal sauvage.
On retient, entre autres, DEUX points importants :
– l’influence entre cultures différentes comme nous en avions parlée à travers nos contributions respectives. On remarque le traitement avilissant qu’a subi l’esclave.
Une prière (acte culturel) accompagne toute cérémonie de deuil : le prêtre Chrétien du Bolswana disait : “au nom de Jésus Christ, nous souffrons avec vous”,
– comme dit le Ministre du Bolswana, au retour de son cercueil au Bolswana : “nous sommes prêts à pardonner mais nous ne devons pas oublier les crimes du passé, ainsi, nous ne les récidiverons pas”.
Par rapport à la réconciliation au Mali, ce dernier point est important lorsque des crimes ont été commis, avant d’être pardonnés, ils doivent être reconnus comme crimes (du passé) afin de ne pas les oublier et de ne pas les récidiver, ensuite justice doit être rendue et la réparation éventuelle doit être faite.
Félicitations pour les leçons apprises de cette histoire émouvante.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
Bonsoir,
APPEL A TOUS LES ACTEURS POUR UNE MISE EN ŒUVRE DILIGENTE DE L’ACCORD POUR LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION AU MALI ET POUR L’ENGAGEMENT, FRANC, HONNÊTE ET SANS COMPLAISANCE, DE TOUS
Félicitations pour l’initiative citoyenne des chefs religieux, des notabilités communautaires et de certaines composantes de la société civile, à laquelle ont pris part les parties prenantes et la médiation, sous la houlette du Haut Représentant du Président pour la mise en oeuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali.
La session associée a eu lieu à Bamako et a duré trois semaines.
Merci à tous et à toutes pour vos contributions pour une sortie durable de la crise au Mali.
Malgré tout, le Mali est dans une insécurité totale (embrasement qui risque de se généraliser : trop de morts dans les régions du nord du Mali ainsi qu’au centre du Mali et au sud du Mali, djihadisme, terrorisme, …) et tout progresse lentement du fait de la non application de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali.
Une minorité (terroristes et autres) ne doit pas prendre tout un peuple en otage.
Comme certains le disent, nous avons des solutions idoines de sortie de crise, elles sont refusées ou ignorées par tous et toutes.
En effet, j’ai fait des propositions pour résoudre le problème de Kidal ET pour la garantie du respect de l’accord et de l’engagement des acteurs pour la mise en œuvre et le suivi de l’accord de Bamako, pourquoi les acteurs ne les testent pas ?
Ceux qui supportent l’accord de Bamako et ceux qui ne le supportent pas devront prendre de la hauteur en mettant en avant le Mali et en se rapprochant sur la base des intérêts des Maliens et de leur bien-être.
Des intérêts cachés ou des mains invisibles pourront empêcher l’accord de Bamako de démarrer et de se dérouler normalement. Dans ce cas, ils doivent être mis en évidence et les auteurs exhibés devant tous pour que cesse ce qui empêche que l’accord se déroule normalement.
Si toutes les parties prenantes et la médiation s’engagent honnêtement, franchement et sans complaisance, pour une mise en œuvre et un suivi stricts de l’accord, ces intérêts cachés (ou ces mains invisibles) seront débusqués (es), ainsi que ceux qui sont derrière.
Nous devons, FAIRE ARRÊTER IMMÉDIATEMENT LES HOSTILITÉS, ENTRE GATIA ET LA CMA, SUR LE TERRAIN, et URGEMMENT mettre en place les autorités intérimaires, le DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion), le MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) via les patrouilles mixtes et, graduellement, les forces de défense et sécurité Maliennes reconstituées et lancer la conférence d’entente nationale prévue dans l’accord au lieu des concertations nationales à cause de la complexité et de l’issue incertaine, à court terme, de ces dernières.
ENGAGEONS-NOUS (tous les acteurs), honnêtement, franchement et sans complaisance, acceptons le partage de responsabilités (en particulier à Kidal) ET METTONS, TOUS/TOUTES, RAPIDEMENT, EN ŒUVRE, indépendamment des bords politiques, L’ACCORD DE BAMAKO, pour la paix et la réconciliation au Mali, pour l’intérêt général, pour le bonheur de TOUS/TOUTES, pour résoudre définitivement le problème de Kidal et pour éviter l’embrasement généralisé (sur lequel j’ai alerté les acteurs depuis plus d’un an).
Pour ce faire, je lance un appel à tous les acteurs (parties prenantes, médiation, CSA, partenaires, …).
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
Bonsoir,
Merci Rodrigez-Suarez de vos messages qui se polarisent tous sur la culture et le fait que l’attribution du pouvoir doit être indépendante de la couleur de la peau.
Vous vous trompez, une des richesses du Mali, c’est sa diversité culturelle et sa diversité ethnique.
Vous avez raison, l’attribution du pouvoir doit être indépendante de la couleur de la peau et de l’appartenance à telle ou telle ethnie mais cela ne veut pas dire qu’il faille faire disparaitre les ethnies.
Ces dernières permettent de véhiculer la culture ou les cultures.
La religion musulmane ou toute autre religion n’empêche pas d’être ouvert (au modernisme, aux autres, …) ou de s’intégrer, elle contribue aussi à la culture mais ne la tue pas.
On peut appliquer la bonne gouvernance et gérer au mérite un pays multi-ethnique, tel que le Mali, et accéder au pouvoir à partir de critères de performance (de bonne gouvernance, de compétence, …).
Ces critères ne prennent pas en compte la couleur de la peau ni l’appartenance à telle ou telle ethnie.
Soyons ouverts mais ne perdons pas notre culture ou nos cultures, c’est notre richesse.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
CHER DR. tittlesake
> LES CULTURES COHABITENT, (PEUVENT verbe-ER)
> LES CULTURES S’ENGAGENT DANS DES DIALOGUES, ENRICHISSANTES, DANS LE RESPECT MUTUEL.
>LES CULTURES NE S’ENTRE ELIMINENT PAS (NE DOIVENT PAS verbe-ER), SINON L’AUTRE SERA ESCLAVAGISE….
> PAS DE GOUVERNANCE HORS DE LA CULTURE (LE VECU ET LE PRATIQUE DURANT DES SIECLES, L’ENRICHI PAR DES APPORTS MULTIPLES ET SECULAIRES)…
> LES CULTURES AU MALI DOIVENT DIALOGUER MAIS ELLES SONT TOUTES DETRUITES OU AU MOINS BIEN DEVOREES PAR LA RELIGION ABRAHAMIQUE QUI N’EST AUTRE QU’UNE SYNTHESE DE METHODES ABRUTISSANTES ET DESTRUCTIVES POUR TOUS LES PEUPLES DU MONDE, ET VISANT A VREER UNE AUTORITEE UNIQUE VERTICALE ET BASEE SUR LA TERREUR ET LA DESTRUCTION DE L’AUTRE DES AUTRES….
>LES RELIGIONS ABRAHAMIQUES- ACCULTURELLES- ANTI-CULTURES EN ACIDE CONCENTRE, PRONENT L’UNICITE DU DIEU SI MULTIPLE ET SI DIVERS DANS SA NATURE, NOS PEUPLES L’AVAIENT BIEN SU, ET AINSI L’ADORAIT, ET JE SUIS CONVAINCU L’ADORERONT POUR LEUR PROPRE SALUT….
> LE TIC ET LA GOUVERNANCE, LA SECURITE ET LA GOUVERNANCE, DR. C’EST DEJA ASSEZ DE CHOSES, VOUS, DEVEZ Y AJOUTER LES ETUDES DE NOS CULTURES CHACUNE, ELLES ONT ETE OUVERTES MAIS DOIVENT GARDER LE BACKBONE…(le vecu le connu, le practique, le concu….)
* le MALI a commencer sa degringolade depuis le jour de la planification du pelerinage a la mecque du FOU, TRAITRE, RENEGAT, kankou moussa….EN S’OUVRANT= EN OUVRANT LE MALI, SA GOUVERNANCE, EN ABANDONNAT SA CULTURE, IL A DONNER LE START DES PILLAGES, ET L’ESCLAVAGISATION DE SES PEUPLES….ca continue a nos jour…
merci, la bonne gouvernance part de la culture propre, qui est en fait un ensemble de pacts elementaires mais reglementaires….
Bonjour,
Merci Rodrigez Suarez de votre exposé.
Vous avez tendance à croire qu’il y a des cultures qui dévorent ou dévoreraient d’autres en dehors de la volonté humaine, donc, qu’il y a des cultures qui sont esclaves d’autres cultures.
C’est à l’homme d’accepter ou pas de nier ou renier sa culture ou de la laisser disparaître au profit des autres.
CE N’EST PAS LE CAS DE LA RELIGION MUSULMANE QUI EST PRATIQUÉE PAR PLUSIEURS PEUPLES DIFFÉRENTS ET QUI ARRIVENT TOUS A ÉVOLUER TOUT EN GARDANT LEURS CULTURES.
Bien sûr, une culture peut subir des impacts des autres car des acteurs des autres cultures sont plus entreprenants en utilisant leur culture et leurs langues comme véhiculent de ce qu’ils font.
Une culture non utilisée est une culture qui meurt ou qui mourra petit à petit car elle sera oubliée.
Au Mali, certaines de nos ethnies ont des cultures différentes, elles cohabitent depuis des millénaires mais plusieurs cultures sont restées presque inchangées, cas de la culture de mes cousins, les Dogons.
C’est par l’entremise des Hommes, de ce qu’ils font ou ce qu’ils étudient ou développent que des cultures pourront dominer ou mieux avoir plus d’influence que d’autres, pas les “esclavager” (je préfère le mot dominer ou avoir plus d’influence que esclavager).
Une même culture peut avoir des influences sur d’autres et d’autres pourront avoir des influences sur elle : il s’agit plutôt des influences qu’ont les Hommes les uns sur les autres, mais pas obligatoirement esclaves les uns des autres.
Des fois, c’est juste l’influence d’une relation de service (un rend service à l’autre) ou de partenariat temporaire ou de longue durée ou de solidarité ou d’une relation sociale ou commerciale ou de cousinage à “plaisanterie” (les Dogons sont des cousins des Touaregs, les uns se disent esclaves ou maîtres des autres).
Dans la régionalisation, des régions ou des communes pourront avoir ce type de relations entre elles, de même que des projets et/ou des personnes.
Ceci est valable dans tous les domaines, celui qui travaillent beaucoup, partagent ce qu’il sait faire de pertinent avec les autres (exemple, un chercheur de renommé qui utilise sa langue natale et son contexte (culture, …), écrit et partage ce qu’il fait), aura généralement plus d’influence sur ceux qui sont intéressés par ses écrits et son contexte (culturel incluant ses connaissances, environnemental, …) que celui qui en fait moins ou pas du tout.
Soyons ouverts aux autres et enrichissons-nous de leurs cultures, de leurs expériences et connaissances, nous en sortirons grandis.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
MERCI DR. POUR VOTRE APPREHENTION DE LA CHOSE….
De quel Accord parle encore Bilal, le retardataire dormeur ?
Je préjuge que Bilal parle de l’Accord qu’il avait signé, le dernier, par réticence, Accord qui est, sinon caduque, du moins un machin qui « désaccorde » les maliens. Ce que semble dénoncer Bilal, n’est-il pas ce à quoi tout le monde devait s’attendre ?
La situation actuelle de Kidal est la suite naturelle et logique des événements de 2012. Les scissions, les divisions et les haines qu’elles génèrent sont toutes inhérentes à toute rébellion de ce genre.
Certes la guerre ne pourrait être la solution mais aussi toute solution n’incluant pas la guerre ne serait une solution durable. Pour que ces différents groupes parviennent à se mettre d’accord sans qu’une autre force ne les mette en difficulté, il va falloir une longue guerre d’épuisement, fratricide et encore plus meurtrière. Ce qui n’est de l’intérêt de personne. Surtout pas de la population civile.
En tout état de cause, je pense que tous ceux, à commencer par le Gouvernement du Mali, qui prônent la seule négociation et qui se fient à la bonne fois des groupes de combattants ne sont pas de cœur avec ces pères et mères qui meurent ou qui voient leurs enfants mourir des conditions dans les camps de réfugiés. Dans toutes ces négociations, ces querelles et ces surenchères on n’entend rien qui fait penser au martyre de ces pauvres dont tout le monde prétend défendre les intérêts.
Au regard des réalités actuelles sur le terrain, les communautés des régions du Nord du Mali, toutes ethnies confondues, doivent décider de l’avenir du Nord du Mali, y compris Kidal.
Entre temps, les Ichoumar, ces SDF sahariens sans attaches sociales, comme qui dirait “des clébards sans colliers”, qui se chipotent dans les environs de Kidal, n’ont encore rien vu, parce que, si hier, ces mercenaires de Kadhafi battus et débandés au Nord du Mali depuis 2011, faisaient de la propagande verbale de type “agit prop” pour leur Awadrêve et aujourd’hui voleurs, pilleurs et coupeurs de route au Nord du Mali, croient, maintenant, que la situation est grave, ils doivent s’attendre à ce que ceux – FAMAs et Affidés « gatiacilinisés » – qui les avaient combattus et qu’ils avaient battus, , furent momentanément absents – « reculer pour mieux sauter » ou « replis stratégique » – , reviennent bien armés.
Ce que les Coalisés Mafieux Apatrides (CMA), amenés par le HCHA et Ançar-Chaïtan, je nomme des “enfants égarés cocaïnisés” Ifoghas, Idnan, Rguéibat et Barabiche, preneurs en otage de femmes et enfants à Kidal, avaient vécu à Kidal, de 2013 à 2016, ne serait qu’une petite sieste par comparaison à ce qui va venir, sous peu.
Sincèrement
Je me pose la question de savoir est ce que réellement faire la guerre est la solution de la crise malienne?
Nous avons fait la guerre mais elle ne nous a emmenée nulle part c’est pour cette raison que nous avons opté pour la négociation.
Est ce qu’une paix obtenue au prix du sang des fils de ce pays peut apporter la paix définitif dans ce pays?
Idrissa Maïga; on peut tout dire sauf que “que les maliens ont signé, le couteau à la gorge” parce que vu que nous n’ayons pas d’armée; c’est la seule option qui nous restait pour limiter les dégâts. Cet accord nous l’avons voulu car même ceux qui le rejettent aujourd’hui étaient aux premières heures des négociations. L’accord n’est certes pas parfait mais c’est le seul moyen dont nous disposons pour le moment pour que notre pays espère retrouver la paix.
On peut dénoncer la mauvaise foi de la CMA face au retard accusé dans la mise en œuvre des accords de paix mais il faut dire qu’en signant les accords de paix; la cma a abandonné de manière officielle son désir d’indépendance de l’azawad et c’est à cette réalité que nous devons nous en tenir. Tant que la cma ne déclarera pas officiellement qu’elle tient toujours à avoir l’indépendance de l’azawad; on doit lutter pour la mise en application des accords pour la paix.
Je pense que nous devons être on ne peut plus objectif. Nous avons perdu la guerre; nous avons choisi d’aller à la paix et nous devons avancer dans cette lancée. Si toutes les parties ont acceptées cet état de fait; le comportement du Gatia ne se justifie en rien car tous les affrontements nous éloignent de plus en plus de la paix. Il faille que le gatia et la cma fument le calumet de la paix et s’entendent sur la gestion de la ville de Kidal en attendant que les autorités intérimaires soient mis en place pour régler définitivement cette affaire.
De nombreux sacrifices ont été consentis pour obtenir cet accord de paix donc toutes actions qui peuvent faciliter son application sont la bienvenue.
Le président IBK travaille dans ce sens et à besoin du soutien du peuple
Aussi faut-il que la CMA s’engage pleinement pour mettre en œuvre l’accord de paix.
Chers acteurs politiques faisons de telles sortes que les acquis obtenus à travers ces accords de paix ne soient pas remis en cause.
Tous derrière nos autorités pour la paix au pays…
Le Mali a assez souffert de cette crise qui a trop duré. Donnons-nous la main pour que ce pays puisse avoir la paix car sans paix il n’y a pas de développement; il n’y a pas de vie en vérité…
Alors mettons-nous ensemble et évitons pour mettre le feu au poudre pendant que nous sommes sur la route de la paix;
Tous les partis signataires de l’accord de paix et la réconciliation du 20 juin dernier doivent se donner la main pour le bonheur des Maliens. La paix viendra au Mali si et seulement si les maliens sont au cœur de l’accord et prennent part chacun à son niveau à l’application de l’accord. C’est là que la paix définitive viendra !
Comme le réprésentant spécial du SG de l’ONU l’a dit suite aux affrontements entre le gatia et la cma; les adrars et les ifogahs sont des frères. Tous les peuples qui vivent dans ce pays sont des frères.
Il n’y vraiment donc pas de raison que les armes soient utilisés comme moyens de résolution des problèmes.
Il faut que les uns et les autres s’asseyent à la table de discussion pour trouver un compromis à cette situation.
Nous sommes dans une logique de paix et toutes actions qui mettraient en danger ce processus déjà fragile n’est vraiment pas la bienvenue.
Il faut que la CMA et la Plateforme se retiennent et fassent la paix pour que nous poursuivions le chemin vers la paix.
Le problème entre les Imghads et les Ifoghas est assez vieux que les accords de paix. Il ne pourra pas trouver de solution réel que si l’état est déployé sur toute l’étendue du territoire et assure ses missions régaliennes parmi lesquels la sécurisation des populations.
C’est la Minusma qui pouvait l’aider dans cette tâche en sécurisant comme il se doit toutes ces populations sans distinction afin d’éviter les exactions dont elles sont victimes les unes de la part des autres. Mais tout porte à croire que la Minusma même a déjà choisi son camp ce qui rends la tâche encore plus difficile.
Il faut donc que le gouvernement puisse mettre les moyens pour retenir le gatia et la cma; mettre en place les autorités intérimaires, redéployer les services de l’état afin d’assurer la sécurité des populations et chercher les voies et moyens de régler ce conflit communautaire.
Pour que l’accord d’Alger soit précurseur de paix et de sécurité au Mali, il faut que la Coordination des Mouvements de l’AZAWAD fasse preuve de vouloir parvenir avec les autres parties à la paix. Depuis qu’elle a signé l’accord le 20 juin dernier, elle ne fait que violer celui-ci.
Parmi toutes les parties signataires de l’accord, à savoir le gouvernement malien, la CMA et la Plate-forme don le GATIA fait partie, seule la CMA est de mauvaise foi. La preuve est qu’après la signature elle devrait procéder à la libération de certains prisonniers maliens non impliqués dans des crimes de guerre et autres crimes. Comme le gouvernement malien l’a fait. Mais cette partie de s’est pas acquittée de cette obligation de l’accord.
le Mali est un parce que les habitants sont les mêmes. celui qui n’est pas touareg a un parent touareg. Un peulh est peut avoir une mère targuie. Certains touaregs ont des pères bambara ou senoufo ou mianka. Indivisible grâce au brassage millénaire. Les français sont jaloux de notre nation et nous devons tout faire pour taire cette guerre attisée par la france.
COMBIEN DE PERE ARABES OU AUTRES ONT DES ENFANTS AVEC LES ESCLAVES, CES ENFANTS SONT ILS INTEGRES DANS CES FAMILLES OU ONT DES CONDITIONS SECONDAIRES PARTICULIERES? TOUT JUSTE UNE / DES QUESTIONS…
NE JOUEZ PAS LE JEUX DE L’AUTRUCHE…
JE CONNAIS BIEN L’HISTOIRE DE LA REGION ET LES HABITUDES PSYCHISQUES SOCIALES DES COMPOSANTES DE L’ARC EN CIEL MALIEN.
MON PROBLEME N’EST PAS TOUAREG OU PEULH, MON SEUL PROBLEME – C’EST LA PSEUDO- CULTURE, CE BOUILLON PUANT ARABO- ISLAMIQUE ET JUDEO-CHRETIEN-LATINISE, QUI ENGOUFFRE CE PEUPLE ET L’EMPECHE D’AVANCER, TOUS ENSEMBLE VERS UNE VRAIE COHESION SANS ETHNIES, COULEURS SOUMISES/DOMINANTES ET SOCIETES EN PYRAMIDES TOUJOURS DES CONTRES NATURES.. CETTE RELIGION MUSULMANE QUI, COMME UN FEU DE BROUSSE CONSUME NOS CULTURES ET CONNAISSANCES SANS LESQUELLES NOUS NE SOMMES RIENS ET VALUONS ZERO, RAISON POUR LAQUELLE LA SITUATION ACTUELLE, ET L’ETRANGER ENVAHISSEUR EST MAITRE ET PERPETUE CE QU’IL A COMMENCE DES SIECLES AUPARAVANT…
DR. ANASSER SANS LA CULTURE, SA RENAISSANCE DANS SES VALEURS PROPRES ET EVOLUTIVES RIEN A ATTEINDRE, TOUT SERA EPHEMERE… COMME LES COULEURS DE L’ARC EN CIEL, MEME AU MALI.
….les religions abrahamiques et leurs adeptes ont toujours 2 outils le verbe contradictoire( di-ablo) et le banditisme arme, depuis toujours….l’essentiel c’est se poster haut le pyramide et feneantiser…
Bonsoir,
Merci Rodrigez-Suarez de vos messages qui se polarisent tous sur la culture et le fait que l’attribution du pouvoir doit être indépendante de la couleur de la peau.
Vous vous trompez, une des richesses du Mali, c’est sa diversité culturelle et sa diversité ethnique.
Vous avez raison, l’attribution du pouvoir doit être indépendante de la couleur de la peau et de l’appartenance à telle ou telle ethnie mais cela ne veut pas dire qu’il faille faire disparaitre les ethnies.
Ces dernières permettent de véhiculer la culture ou les cultures.
La religion musulmane ou toute autre religion n’empêche pas d’être ouvert (au modernisme, aux autres, …), elle contribue aussi à la culture mais ne la tue pas.
On peut appliquer la bonne gouvernance et gérer au mérite un pays multi-ethnique, tel que le Mali, et accéder au pouvoir à partir de critères de performance (de bonne gouvernance, de compétence, …).
Ces critères ne prennent pas en compte la couleur de la peau ni l’appartenance à telle ou telle ethnie.
Soyons ouverts mais ne perdons pas notre culture ou nos cultures, c’est notre richesse.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
dites -nous Dr. ou est ce que le NEGRE matrice generatrice de TANT DE CULTURES, s’est laisse co-habite par les ABRAHAMIQUES et s’est preservee meme evolue?…
LES TOUAREGS ET LES ARABES SONT DES FILS DES NEGRES, SANS DOUTE AUCUN, MAIS BEAUCOUP PENSENT POUVOIR SE POSER EN DOMINANTS, PAR LA DOUCE PAROLE ET/OU L’EPEE…
LE NEGRE DOIT CESSER D’ETRE TROP DOUX TROP BONS, CE QUE POUR D’AUTRES – TROP CONS…
CHER DR. PAS DE GOUVERNANCE SANS CULTURE BONNE ELLABOREE DANS L’ANCIEN- CE QUI VEUT DIRE BIEN FILTREE PAR TEMPS ET PRATIQUES, CELA VEUT DIRE SA PROPRE CULTURE ET NON CELLE ENONCEE PAR UN LIVRE DIT SAINT, OU PAR UN AUTRE VENANT AVEC UNE MISSION CIVILISATRICE ESCLAVAGISANTE….
je suis convaincu, sans exageration que vous me comprennez….
Bonjour,
Merci Rodrigez Suarez de vos exposés.
Soyez convaincu, je vous ai compris mais je ne suis pas d’accord sur tout ce que vous avez dit quoique certaines parties soient correctes
Effectivement, il n’y a de gouvernance sans culture.
Vous avez tendance à croire qu’il y a des cultures qui dévorent ou dévoreraient d’autres en dehors de la volonté humaine, donc, qu’il y a des cultures qui sont esclaves d’autres cultures.
C’est à l’homme d’accepter ou pas de nier ou renier sa culture ou de la laisser disparaître au profit des autres.
CE N’EST PAS LE CAS DE LA RELIGION MUSULMANE QUI EST PRATIQUÉE PAR PLUSIEURS PEUPLES DIFFÉRENTS ET QUI ARRIVENT TOUS A ÉVOLUER TOUT EN GARDANT LEURS CULTURES.
Bien sûr, une culture peut subir des impacts des autres car des acteurs des autres cultures sont plus entreprenants en utilisant leur culture et leurs langues comme véhiculent de ce qu’ils font.
Une culture non utilisée est une culture qui meurt ou qui mourra petit à petit car elle sera oubliée.
Au Mali, certaines de nos ethnies ont des cultures différentes, elles cohabitent depuis des millénaires mais plusieurs cultures sont restées presque inchangées, cas de la culture de mes cousins, les Dogons.
C’est par l’entremise des Hommes, de ce qu’ils font ou ce qu’ils étudient ou développent que des cultures pourront dominer ou mieux avoir plus d’influence que d’autres, pas les “esclavager” (je préfère le mot dominer ou avoir plus d’influence que esclavager).
Une même culture peut avoir des influences sur d’autres et d’autres pourront avoir des influences sur elle : il s’agit plutôt des influences qu’ont les Hommes les uns sur les autres, mais pas obligatoirement esclaves les uns des autres.
CETTE RELATION D’INFLUENCE PEUT ETRE UNE RELATION DE GOUVERNANCE (entre gouvernants et gouvernés).
Des fois, c’est juste l’influence d’une relation de service (un rend service à l’autre) ou de partenariat temporaire ou de longue durée ou de solidarité ou d’une relation sociale ou commerciale ou de cousinage à “plaisanterie” (les Dogons sont des cousins des Touaregs, les uns se disent esclaves ou maîtres des autres).
Dans la régionalisation, les niveaux de gouvernance différents pourront avoir ce type de relation d’influence entre eux, des régions ou des communes pourront avoir ce type de relations entre elles, de même que des projets et/ou des personnes.
Ceci est valable dans tous les domaines, celui qui travaillent beaucoup, partagent ce qu’il sait faire de pertinent avec les autres (exemple, un chercheur de renommé qui utilise sa langue natale et son contexte (culture, …), écrit et partage ce qu’il fait), aura généralement plus d’influence sur ceux qui sont intéressés par ses écrits et son contexte (culturel incluant ses connaissances, environnemental, …) que celui qui en fait moins ou pas du tout.
Soyons ouverts aux autres et enrichissons-nous de leurs cultures, de leurs expériences et connaissances, nous en sortirons grandis.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
Bonjour,
Une méthodologie inclusive pour la mise en œuvre de l’accord de Bamako doit être utilisée.
Naturellement, tout le processus de mise en œuvre doit se passer dans toutes les régions du Mali et doit être inclusif c’est-à-dire INTÉGRER dans chaque région, les représentants de TOUTES les communautés de la région.
Comme je l’avais déjà proposé (voir ma lettre ouverte en ligne, publiée le 21 JUIN 2016 sur Maliweb, sur s’entendre sur les autorités intérimaires, le DDR et plus pour la mise en oeuvre et le suivi stricts de l’accord de Bamako), afin que la mise en œuvre de l’accord soit inclusive et profite à tous les Maliens, il est nécessaire de choisir une méthodologie inclusive consensuelle et d’échanger sur cette dernière et sur la mise en œuvre de l’accord à travers un dialogue intra et intercommunautaire.
Devant la complexité des concertations nationales proposées par l’opposition, la conférence d’entente nationale, prévue dans l’accord de Bamako pourrait servir, entre autres, pour échanger sur ces éléments. Elle pourrait aussi avoir des ramifications régionales et communales.
Processus inclusif de mise en œuvre
Des ramifications régionales et communales du processus inclusif de mise en œuvre de l’accord doivent être créées.
Vu que l’accord de Bamako doit être mis en œuvre aux niveaux national, régional et communal, la parallélisation doit être utilisée.
Une organisation stricte dans chaque région doit être mise en œuvre avec des synchronisations régulières avec les autres niveaux.
Pour les Maliens de la diaspora, des antennes pourront être créées dans des pays judicieusement choisis.
Tous les Maliens doivent s’impliquer et participer à ce dialogue et à cette mise en œuvre
Compte-tenu du problème de représentativité et d’inclusivité qui se posent sérieusement pour la composition des membres des autorités intérimaires aux niveaux régional et communal, il convient lors de la future conférence d’entente nationale, prévue dans l’accord, de désigner quelques représentants (exemple, deux pour une région et un pour une commune) pour compléter les autorités intérimaires de chaque collectivité territoriale du Mali.
Pour améliorer la représentativité et l’inclusivité, cette conférence d’entente nationale doit avoir des ramifications dans TOUTES les régions du Mali.
Il faut aussi penser à la représentation des Maliens de la diaspora.
Lors de cette conférence d’entente nationale des représentants des forces vives (partis politiques, société civile, députés, …), du gouvernement, des collectivités territoriales, des communautés de base seront choisis pour intégrer les autorités intérimaires des collectivités territoriales.
Ainsi, les autorités intérimaires mettront tous les Maliens d’accord, indépendamment des bords politiques, et renforceront l’inclusivité en intégrant des représentants, choisis par la conférence d’entente nationale, de la société civile, des anciens élus, de toutes les régions du Mali et ceux des mouvements armés.
S’unir autour de la mise en œuvre et du suivi de l’accord de Bamako
Comme le disent, certains internautes et les Maliens qui supportent l’accord de Bamako, nous sommes TOUS/TOUTES condamnés à mettre en œuvre l’accord de Bamako pour le bien-être des TOUS les Maliens.
Engageons-nous (tous les acteurs), franchement, honnêtement et sans complaisance.
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL (223) 95 58 48 97
Bonjour,
Les Touaregs, tout comme les Peulhs et les autres composantes ethniques, font partie de la même nation Malienne, elles doivent toutes mettre le Mali en avant.
Ne nous trompons pas de combat, le seul combat qui veuille c’est le combat démocratique pour un MALI UN ET INDIVISIBLE acceptant la diversité ethnique, refusant l’esclavagisme et permettant la libre administration des régions et communes.
Nous y sommes.
A travers l’accord de Bamako, c’est le Mali tout entier, via toutes ses composantes ethniques, qui est plus fort et qui gagne et non une ethnie donnée, qu’elle soit Touareg ou Peulhe ou autre.
L’accord a opté pour le développement équilibré de toutes les régions du Mali en commençant par celles qui sont en retard, celles du nord du Mali.
L’Union fait la force. Dans un Mali Un et Indivisible, cultivons la diversité (ethnique, culturelle, …) et l’union à travers la mutualisation de nos forces et de nos ressources issues de la régionalisation où chacun doit occuper sa place, nous serons encore plus forts.
D’après l’accord de Bamako, cette régionalisation permet aux filles et aux fils d’une même région de gérer, ensemble, leurs régions (et communes) à travers la libre administration des régions (et communes).
C’est ainsi que, malgré le poids du passé, nos frères et sœurs de Kidal, incluant les Ifoghas et les Imghads, doivent gérer ensemble la région de Kidal. Les accords de Annefis et Niamey, entre parties prenantes, vont dans ce sens.
Le Mali est pour nous tous/toutes, nous devons, TOUS/TOUTES, chercher des solutions idoines à nos problématiques au lieu d’attendre que ça vienne toujours du haut.
Le problème de Kidal est un des plus saillants mais la réconciliation concerne tout le Mali, y compris la région de Kidal, car le tissu social, aux niveaux national, régional et local, est affecté et l’impact de la crise (sur le vivre ensemble, …) et les amalgames induits ont affecté tout le Mali.
Il faut, donc, travailler sur la cohésion sociale, la cohésion nationale, l’unité, cultiver la paix partout au Mali et ré-apprendre ou renforcer le vivre ensemble même si la solidarité et la force des liens ancestraux ont aidé à maintenir certains liens sociaux.
Appliquons l’accord de Bamako, pour la paix et la réconciliation au Mali, sensibilisons partout sur cet accord et sa mise en œuvre, en particulier à travers la mise en place du DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion) , du MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination via les patrouilles mixtes) et des autorités intérimaires, et faisons-le respecter strictement, franchement et sans complaisance par tous les acteurs, en particulier ceux qui l’ont signé (toutes les parties prenantes, la médiation internationale et les partenaires) et on résoudra le problème de Kidal.
D’où ma contribution que je conseille de lire ou relire. Elle est intitulée “Accord de Bamako : Comment garantir son respect et l’engagement des parties prenantes ?”
A propos de cette contribution, j’avais écrit il y a bientôt un an, le 21 SEPTEMBRE 2015, une lettre ouverte en ligne, adressée au Président, Ibrahim Boubacar Keïta, aux Maliens et aux Partenaires, pour proposer une approche pour répondre à cette question.
Engageons-nous, honnêtement, franchement et sans complaisance, acceptons le partage de responsabilités (en particulier à Kidal) et mettons, TOUS/TOUTES, rapidement, en œuvre, cet accord.
Cdlt
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Comments are closed.