L’Algérie vient de connaitre l’une des pages les plus sombres de son histoire à l’issue de la tragique prise d’otages sur le site gazier d’In Amenas avec un dénouement tragique et effroyable.
Malgré la promptitude et la fermeté de la réaction des autorités algériennes, jugée « adaptée à la circonstance », selon le Président François Hollande, le monde découvre chaque jour un peu plus l’horreur infligée aux otages par leurs ravisseurs. Des corps calcinés, certains froidement abattus ou sommairement exécutés pendant que d’autres manquent encore à l’appel, voilà le triste décor laissé par « les fous de Dieu » dans leur basse et répugnante besogne.
Cet acte démontre, si besoin est, que l’Algérie a forcément une communauté de destins avec l’ensemble des pays de la sous-région, voire la communauté internationale, dans le combat contre le terrorisme.
Pourrait-il en être autrement lorsqu’on sait le lourd tribut payé par ce pays depuis pratiquement deux décennies du fait du fanatisme religieux et terrorisme ? Les victimes innocentes (algériennes et étrangères) se comptent par milliers depuis le déclenchement de cette autre forme d’expression de la barbarie humaine au début des années 90.
Malgré la détermination constante et sans relâche des autorités algériennes à détruire « le mal du siècle », la menace demeure toujours forte et permanente.
En effet, du Groupe Islamique Armé (GIA) à Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) en passant par le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Coran (GSPC), Alger a été généralement en première ligne dans la guerre contre l’islamo-terrorisme. Le pays s’en est également donné les moyens appropriés, à travers notamment une politique des plus rigoureuses en la matière, des capacités logistiques sans commune mesure dans toute la sous–région ainsi qu’une constance dans la méthode de traitement et de réponse à tout chantage émanant des terroristes.
Cependant, la prise d’otages d’In Amenas marque incontestablement un tournant décisif par rapport à tout ce qui était fait jusque-là dans ce sens. En effet, jamais auparavant le terrorisme ne s’était attaqué avec autant de « courage » à l’industrie pétrolière du pays qui demeure le secteur clé de l’économie nationale. Il va de soi donc qu’à partir d’In Amenas, la menace montre désormais d’un cran et doit être analysée et traitée comme telle.
Cela a été dit et redit, aucun pays, surtout en Afrique, ne peut à lui seul combattre un phénomène aussi pernicieux et complexe que le terrorisme international, encore moins le vaincre efficacement.
La guerre contre le terrorisme, le narcotrafic et le crime organisé, actuellement en cours dans le nord du Mali, fait qu’aucun pays voisin, encore moins limitrophe, ne peut raisonnablement ne pas se sentir concerné aujourd’hui par la menace. Car, avec des communautés reparties de part et d’autres des frontières, l’immensité des territoires, la porosité des frontières et le manque de moyens adéquats pour faire face aux missions régaliennes des Etats en matière de défense et de sécurisation de leurs territoires, l’Afrique ne saurait gagner seule cette guerre qui se doit « implacable » contre le terrorisme et le narcotrafic habillés en pseudo Djihad pour un islam rigoriste et moyenâgeux n’ayant absolument rien à voir avec la religion musulmane prônée par le Prophète Mohammad (PSL).
De par cette communauté de destins, les pays sont condamnés à plus de solidarité, d’engagement et de détermination à travers des actions concertées et conjointement menées pour vaincre cette menace récurrente à la paix et la stabilité dans le monde, pire que la bombe atomique.
Bréhima SIDIBE
Nous n’avons pas de communauté de destins avec le Mali.
les seuls pays frères de l’Algérie , sont le Maroc et la Tunisie.
Les autres sont des pays voisins géographiquement , sauf quelques ethnies comme les touaregs .
Voila la vérité .
De plus , l’Algérie ne permettra pas de verser le sang de ses enfants pour des lâches.
Combattez comme des hommes ou allez vous prostituer pour vos maitres blancs (la France).
Vous êtes la honte de l’Afrique noire.
okm merci sale arabe de merde.
AUJOURD’HUI, LES MALIENS SONT LA HONTE DE L’AFRIQUE NOIRE , MAIS
PENDANT LA GUERRE D’ALGÉRIE C’EST BIEN LE PRÉSIDENT MALIEN MODIBO KEÎTA QUI A EU LE COURAGE DE SOUTENIR L’ALGÉRIE CONTRE LA FRANCE .
JE DIRAI QUE DEGAULLES N’AVAIT PAS TORT DE DIRE QUE LE MALI
A SACRIFIÉ SON AMITIÉ AVEC LA FRANCE QUI EST UNE COMMUNAUTÉ DE DESTIN ALORS QUE SON AMITIÉ AVEC L’ALGÉRIE N’EST QU’UNE AVENTURE. C’EST BIEN CE QUI S’EST CONFIRMÉ AUJOURD’HUI.
LE MALI EST UN PAYS DE PAIX QUI NE CONNAÎT PAS LA GUERRE, NI LA CRUAUTÉ : LE TERRORISME N’EXISTE PAS DANS NOTRE CULTURE. LES VRAIS LÂCHES SONT DES TERRORISTES; SI CE SONT DES VRAIS HOMMES QU’ILS SE BATTENT PHYSIQUEMENT SANS ARMES VOLÉES AILLEURS, SANS ARMES FABRIQUÉES PAR DES OCCIDENTAUX .CE SONT DES GENS COMME VOUS ET LES GROUPES TERRORISTES SANGUINAIRES, CRUELS QUI FAITES HONTE AUX BONS ET VRAIS MUSULMANS .
La volonté 1ère du Mali est la paix!
La 2ème volonté : la paix!
La 3ème volonté : la paix!
Mais puisqu’il s’est trouvé des ennemis de la paix pour nous imposer la guerre, nous la ferons et leur porterons une riposte cinglante et massive qui qu’ils soient et où qu’ils se trouvent.
Bonsoir,
Selon l’Algérie, elle a choisi la solution politique pour diverses raisons dont le fait d’éviter les dommages collatéraux qui pourraient être potentiellement importants, d’éviter le massacre des Touaregs, de ne pas vouloir envenimer la situation, …
Mais pourquoi, maintenant, que la guerre a commencé, ne fournit-elle pas un contingent pour aider le Mali à extirper le terrorisme hors de son territoire ?
Comme c’est sous l’égide de l’Algérie que les accords de cessation des hostilités ont été signés, en décembre 2012, par le MNLA et Ansar Dine, et qu’ils ont été rompus par Ansar Dine, ne devait-elle pas réagir fortement en participant à travers un contingent à cette guerre au Mali qui a été provoquée par Ansar Dine et ses alliés d’AQMI et MUJOA ?
Le terrorisme étant contagieux, elle devait faire sienne les problèmes du Mali à cause de la communauté de destins et de l’immense frontière qu’elle partage avec lui.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC/GOUVERNANCE
pENDANT PLUS DE QUINZE ANS, L’ALGERIE A LUTTE SEULE CONTRE LE TERRIRISME. eLLE ETAIT ACCUSEE DE TOUS LES MOTS PAR CELA MEME QUI SE PREVALENT D’ETRE LES CHAMPIONS DE LA MANIERE FORTE.
L’ARMEE ALGERIENNE N’A PAS VOCATION A COMBATTRE EN DEHORS DE SON TERRITOIRE. sI VOUS ETES EXPERT VOUS DEVEZ LE SAVOIR.
Nous avons rien demande a Algerie.
Occupez vous de vos propre problemes.
Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
En disant que l’armée Algérienne n’a pas vocation à combattre en dehors de son territoire, alors en cas d’attaque de son territoire venant de l’extérieur, que doit-elle faire ?
Aucun pays n’a vocation à combattre hors de son territoire, mais quand l’obligation se présente quelque part, cas du terrorisme au Mali, vaut mieux s’en occuper, ensemble, avant que ça n’envenime la région.
LES OTAGES DERNIÈREMENT EN ALGÉRIE AURAIENT PU ÊTRE ÉVITÉS SI LE MAL AVAIT ÉTÉ CANALISÉ ET ÉLIMINÉ AU MALI.
L’Algérie est un pays vraiment frère du Mali. Quand un frère est attaqué, on se sent automatiquement attaqué.
L’AlGÉRIE DOIT SE RESSAISIR ET ENVOYER UNE TROUPE AU MALI.
Compte-tenu de ses relations avec le Mali et ce qu’elle a déjà fait pour le Mali (fermeture de la frontière, …), j’ai espoir qu’elle ne se laissera pas isoler et qu’elle enverra une troupe au Mali.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
Webanassane@yahoo.com
Je crois que je me suis mal exprimé. Je suis personnellement pour l’éradication de ces terroristes. Le problème est que l’armée Algérienne a vocation à défendre le pays. Dans le cas où le pays est attaqué, elle réagit. C’est ce qu’elle a fait en 1963 pendant la guerre des sables. La seule fois où elle a combattu en dehors des frontières Algériennes, c’était du temps de Boumediene qui avait envoyé des troupes combattre auprès de l’armée Egyptienne. Pour ce faire et pour être en conformité avec la constitution, il a dû faire une déclaration de guerre à l’etat d’Israel (déclaration qui est par ailleurs toujours valable). Dans le cas du Mali frère, l’armée Algérienne ne peut qu’aider. Ce qu’elle fait depuis toujours.
Amicalement.
l algerie n a pas a envoyer des troupes hors de ses frontieres .le fait de fermer ses frontieres et avec quelques 35000 hommes sur la frontiere du mali et la mobilisation de moyens aeriens ne constitue pas pour vous une assistance importante ? avec cette mobilisation qui depasse de loin celle de la cedeao la tache des troupes maliennes et autres se trouve facilitee.Il ne vous reste plus qu a faire le menage chez vous.Et puis encore que pouront faire quelques groupes d a peine 2000 terroristes en face de 10000 soldats de la coalition cedeao et france ?
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