Le Gouvernement de la République du Mali informe l’opinion nationale et internationale que des bandits armés ont attaqué dans la nuit du 3 au 4 avril 2015 les locaux de la brigade territoriale de gendarmerie de Boni, cercle de Douentza, faisant 2 morts, un homme et une femme, tous civils et blessant un gendarme.
Le Gouvernement de la République du Mali, présente ses condoléances aux familles des victimes et rassure les populations qu’une opération de ratissage de grande envergure est en cours dans toute la zone pour mettre ces terroristes hors d’état de nuire.
Il rappelle que cette attaque de Boni intervient quarante huit heures après celle perpétrée à Boulkessi, dans la même zone géographique et invite les populations à coopérer avec les forces armées et de sécurité afin de prévenir de tels actes terroristes.
Le Gouvernement de la République du Mali rappelle que ces actes terroristes n’ont pour seul objectif que de mettre en mal le processus de paix en cours dont l’aboutissement final permettrait, avec l’appui des partenaires et amis du Mali, d’isoler et d’éradiquer tous les groupes terroristes sur notre territoire et dans l’espace sahélo-saharien.
Le Gouvernement de la République du Mali saisit l’occasion pour saluer l’engagement constant des forces armées et de sécurité nationales et les forces internationales amies dans leur mission de sécurisation du territoire et de lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes.
Bamako le 04 avril 2015
Le Ministre de l’Économie numérique, de l’Information et de la Communication, Porte-parole du Gouvernement
Dr. Choguel Kokalla MAIGA
Je continue à croire que le président ibk ne pourra jamais pacifier ce pays tellement l’escroquerie étatisée à savoir le vol à ciel ouvert de l’argent du peuple malien demeure le péché originel qui continuera à le suivre jusqu’à la fin des temps. Ce n’est point un homme qui commence à travailler à midi , après s’être pinte toute la nuit qui pourra sauver ce pays.. Il faut boire la bière pardon le calice jusqu’à la lie. Ibk est un être complexé à tout point de vue,
IBK complexé ?! Ca se voit à son entourage…
————BONNES ET JOYEUSES FETES DE PAQUES A TOUS LES CHRETIENS DU MALI EN MEMOIRE DE LA RESURRECTION DE JESUS CHRIST 😉 –OUI LA NAISSANCE DU CHRISTIANISME————–VIVE MALIWEB POUR UN MALIBA MEILLEUR UN ET INDIVISIBLE————-GRAZIE DI CUORE 😀
Dr. Choguel Kokalla MAIGA, Ministre de la Nécrologie.
Chaque jour que Dieu fait, ce Monsieur nous annonce des morts et des blessés. Si rien n’est fait, bientôt, Monsieur le Ministre de la Nécrologie comptera ses morts par centaine.
😆 😆 😆 , cocaine, c’est coollll ca. Effectivement ce Mr. Chokala est vraiment le ministre de la necrologie du Mali. Elle est bonne celle la .
Toujours c’est le Mali qui informe l’opion national et international de X ou de Y et ou Z. Continuons a les informer et Nous verrons bien si c’est eux qui feront le boulot a Notre place ou bien si Nous allons creuver tous et toutes, le dormant peuple de koalas.
Que leur ame repose en paix en attendant que le Mali soit envahi et que Nous Nous retrouvions tous et toutes a keurs cotes un jour 👿 .
Si j’ai bonne mémoire, un journaliste tirait ici même sur la sonnette d’alarme sur les agissements de la brigade de gendarmerie de Boni qui s’adonnait aux pillages des pauvres populations.
Je pense que beaucoup ne se rendent pas compte encore que l’armée malienne, la gendarmerie et la police sont le vrai problème pour ces populations.
Ces soi-disant agents de sécurités ne sont en fait que des délinquants sans foi ni loi qui ne font que piller les pauvres citoyens avec l’uniforme de l’état.
C’est bien fait pour eux et c’est dommage que ces assaillants n’ont pas éliminés un maximum de ces voleurs pilleurs de vieilles femmes…
voici le lien qui faisait allusion à la besogne de la gendarmerie de Boni.
http://www.maliweb.net/la-situation-politique-et-securitaire-au-nord/gendarmerie-territoriale-de-boni-une-brigade-qui-pille-les-populations-890812.html
Gendarmerie territoriale de Boni : Une Brigade qui pille les populations
Par La Révélation – Date: 01 Avril 2015 11 réactions Taille de la police: (image utilisée juste a titre d`illustration)Certes, les longues journées d’occupation que connaissaient les pauvres populations de la zone du Gourma et du Séno ne sont plus d’actualité. A ce jour, même si plusieurs jeunes de la contrée avaient commis l’erreur de se faire enrôler dans les rangs de rebelles et jihadistes, personne n’ose s’afficher. On est conscient de la présence effective de forces de défense et de sécurité après l’offensive française de janvier 2013.Mais ici, le pire est que les populations de ces zones arides, où les eaux non traitées des quelques vieux puits sont rares et que les lampes à pétrole et panneaux solaires sont encore un luxe, les éléments de la brigade de gendarmerie sur place, s’en tapent de leur sort et se croient en territoire uniquement conquis à leur seule cause.Il faut rappeler qu’ici, on ne vit pratiquement que grâce à trois sources de revenus : l’agriculture, l’élevage et le petit commerce.Cependant, après l’hivernage, les populations n’ont que le commerce des articles, des denrées alimentaires et du bétail pour assurer leur survie. Or, il nous revient que la plupart des brigades de gendarmerie, officiellement déployées pour la sécurité des populations, se sont érigées en bourreaux de ces dernières qui ne savent à quel saint se vouer.L’exemple de la brigade territoriale de Boni est patent.En fait, le village de Boni est la plus grande localité proche du Burkina Faso après Douentza. Là, jeunes désœuvrés, commerçants détaillants et transporteurs se contentent du colportage de céréales et de produits en général fabriqués au Mali vers le Burkina voisin. Pour y parvenir, ces produits dont le besoin se fait sentir à l’est, au Burkina et même vers la frontière sur le sol malien, sont transportés par des camions et véhicules tout-terrain, en général originaires du Burkina.Mais le triste constat est que les gendarmes, en cas de présentation d’un camion chargé en voie de sortie, ne se contentent pas juste de la fouille, mais exigent des taxes aux commerçants sur tous les produits bien que fabriqués par les usines maliennes et légalement vendus au Mali.« Même si vous chargez du sucre SUKALA-SA, fabriqué à Dougabougou, vous êtes obligés de payer cinq à dix-mille FCFA par tonne ou on vous décharge sur le champ, a témoigné un commerçant dans l’anonymat. Même si votre véhiculé dispose de tous les documents afférents, une fois à Boni, sans reçu ni laissez-passer, vous payez quinze-mille FCFA ou on vous met à la fourrière, alors que chez nous au Burkina, les camions maliens qui y vont ne subissent aucune tracasserie tant qu’ils sont en règle, s’est indigné un chauffeur burkinabé. »Effectivement, à Boni, la gendarmerie s’est non seulement érigée en Douane, mais a plutôt outrepassé même les compétences d’un poste de douane. « Je n’ai jamais vu des produits locaux, en voie d’être acheminés hors du pays d’origine se faire taxer si ce n’est ici, a persiflé un autre commerçant détaillant qui se rappelle désespérément de l’époque où les occupants faisaient juste leur loi sans s’immiscer dans les affaires commerciales des populations qui ne cherchent qu’à survivre. »Gravement, en réplique, les commerçants burkinabés aussi qui importent les produits comme l’huile du Burkina, ont décidé de doubler, voire tripler leurs prix. Les raisons sont simples : pour s’acquitter des droits illégaux sur les véhicules à la gendarmerie de Boni, les propriétaires des véhicules sont obligés de doubler les frais de transport. A leur tour, les commerçants aussi doublent leur prix pour faire face aux taxes payés sans aucun reçu de la douane puis aux taxes de sortie lorsqu’ils auront à exporter des produits maliens vers leur pays. Pauvres contribuables !Ce qui, en substance, loin de Bamako où le Président IBK ne cesse de décréter les ans en périodes de lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite.Il faut le dire, longtemps le Président Ibrahim Boubacar Keïta et son ministre de la sécurité Sada Samaké ont promis le changement aux populations. Et si toutefois, il y a besoin de mettre fin à la vraie corruption et aux abus causés par les forces de sécurité, l’endroit où le pire des cas se pose s’appelle Boni (Cercle de Douentza). Ici, les populations préfèrent rester seules que de se faire emprisonner par ces porteurs de tenues dont le salaire mensuel net n’excède pas 150.000 FCFA mais qui ont tous acheté des voitures en l’espace de douze mois d’installation.En attendant de fixer le sort de ces agents impitoyables qui n’encouragent pas la paix et la quiétude, le ministère de la défense et celui de la sécurité doivent mener des enquêtes diligentes sur leurs agissements décriés par les populations.Il faudra dès maintenant, les démettre tous de leurs fonctions afin de les remettre à la justice qui s’en chargera de fixer leur sort. En tout cas, pour la vérité, votre journal ne restera les yeux fermés sur aucun agent qui outrepassera ses prérogatives.L’objectif de l’après guerre dans cette zone quasi-nord du Mali, est d’aider les populations à reprendre le goût du revivre-ensemble. Il s’agit d’aider les populations à ravoir la paix et la sécurité et non de les piller pendant qu’elles n’ont ni l’eau potable, ni électricité encore moins d’autres sources de revenus autres que le petit commerce et l’élevage en de telles dures périodes d’insécurité.
La Rédactionredactionlarevelation@yahoo.frSource: La Révélation
Le Ministre Sada Samaké doit démissionner car il est incapable de mettre de l’ordre au sein des forces de sécurité. C’est un ventru incapable.
CHOGUEL, ALLAH VA JUGER. Les populations sont impuissantes et je tiens à préciser que l’armée malienne venue à Boni la même nuit à 1 heure du matin est repartie d’où elle est venue vers 14 heures
bla bla que des ragots . les populations du nord souffrent et abandonner
Il faut arrêter les discours bidons . nom de dieu
gouvernement de la république du Mali
gouvernement de la république du Mali
gouvernement de la république du Mali
foutaise la deception et la colère du peuple est immence .
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