La Commission vérité, justice et réconciliation (CVJR) veut accélérer la mise en œuvre de son calendrier. Une assemblée plénière a réuni lundi à Bamako les commissaires et chargés de mission de la Commission. Parmi les points inscrits à l’ordre du jour figure la validation de la fiche de déposition des victimes. Les associations de défense des victimes tirent la sonnette d’alarme et exigent “la justice avant toute réconciliation“.
L’assemblée plénière est intervenue alors que la mission venait de boucler une série de missions dans les régions. Pour le président de la Commission, la rencontre lundi consacrait une étape décisive dans la mise en œuvre de la mission de l’institution. Selon lui, “la Commission mettra tout en œuvre pour réussir cette mission”.
Le président de la CVJR, Ousmane Oumarou Sidibé, a souligné que “ces fiches sont disponibles. La fiche comporte l’état-civil, l’appartenance de la victime aux différentes organisations dont elle serait membre. Toutes les informations relatives à la position où elle était au moment où elle a subi les violences. Nous disons aux victimes que nous travaillons activement pour la mise en place de toute cette logistique. C’est un travail qui nécessite non seulement la mise en place d’outils, la mobilisation de plusieurs acteurs (acquisition de locaux sur le terrain, recrutement des personnels, etc.). Je peux vous assurer que par rapport aux autres commissions dans le monde, on considère que nous sommes allés beaucoup plus vite que pratiquement toutes les commissions. Mais il y a un temps et j’espère que très prochainement nous allons pouvoir démarrer ce travail sur le terrain et faire face aux attentes des populations”.
Les associations de défense des victimes de la crise se réjouissent de l’élaboration et de la validation de la fiche de déposition des victimes. Toutefois, elles mettent en garde contre “les arrangements politiques qui peuvent entraver le travail de la justice”. Selon elles, “la justice doit passer avant le pardon”.
Jointe au téléphone par Studio Tamani, Mme Bintou Founè Samaké, présidente de l’ONG Wildaf, une des associations de défense des victimes, a prévenu : “Les Maliens attendent beaucoup de cette Commission, car non seulement on veut connaître la vérité, que les responsabilités soient situées, mais également qu’elles puissent également proposer des stratégies et des solutions pour que désormais ce qui s’est passé au Mali ne se reproduise pas. Nous avons constaté qu’au passage des membres de la Commission dans les régions, chaque fois c’est le mot pardon et réconciliation qui apparaissent couramment dans le langage. Mais personne n’ose parler ouvertement de justice. Or, on ne peut pas chaque fois prendre des armes, tuer des gens, violer des femmes, et chaque fois venir s’asseoir sur la même table. Moi, je pense que cette Commission doit travailler encore sur ces questions, faire la part des choses et parler ensuite de réconciliation. Les mots vérité, justice, réparation doivent être les expressions primordiales dans leur langage, et non le pardon et la réconciliation”.
Avec Tamani
C’est vrai que ce n’est pas facile de vivre avec nos bourreaux mais le pouvoir de la justice et du pardon doit nous permettre de surpasser cet état d’esprit. Nous sommes tous des maliens donc la cohabitation s’impose à nous aujourd’hui, demain et pour toujours.
Les victimes doivent savoir que justice sera rendue mais nous amènera pas nos parents, amis et autres. Le plus important c’est connaitre la vérité et acceptera de vivre avec celui qui t’a fait du mal. C’est cela la vraie réconciliation et le vrai pardon.
Nous pouvons que pendant la crise, beaucoup d’atrocités ont été commises et aujourd’hui est temps d’y face afin de situer les responsabilités pour rendre la justice aux victimes qui n’attendent que ça.
Nous sommes condamnés à vivre ensemble donc nous devons trouver les remèdes pour aller à la paix et à la réconciliation. Il est temps de table rase pour écrire une nouvelle page de notre histoire.
La réconciliation est la chose la plus difficile après une crise. J’en appelle personnellement la CVJR a fait valoir le droit des victimes s elle veut une véritable réconciliation de tous les fils de notre Maliba. Oui on peut y croire, pourquoi donc échouer où les autres ont réussi.
Je pense personnellement que les accords de paix ont déjà porté des fruits avec la libération des prisonniers et maintenant le processus de DDR qui vient de commencer. Et tout porte à croire que les accords aboutiront pour le bien-être de l’ensemble des maliens
Il est dit que la paix passe par la justice donc la commission CVJR doit tout mettre en oeuvre afin que justice soit rendue aux victimes. Cela permettra une justice équitable et une réconciliation sans tache
Comme son nom l’indique la CVJR ne pourra pleinement être acteur de la réconciliation que si la vérité et la justice est rendu aux personnes qui ont subi les affres de la guerre dans notre pays. Il faut que les cœurs meurtris puissent de nouveau avoir une raison de revivre et cela passera certainement par la justice rendue.
Je pense que nous devons aller à la paix et à la réconciliation. Pour ce qui est de la justice; elle sera rendue car elle figure en bonne place dans les textes de l’accord de paix. Toutes les personnes qui se seront rendus coupable d’actes répréhensibles devront répondre devant la justice.
Il est indéniable que la paix passe impérativement par la justice. Il faut donc que les responsabilités soient situées pour que les personnes qui ont subi des préjudices durant cette phase sombre de notre histoire soit un tant soit peu soulager et permettre une réconciliation véritable!
Nous sommes vraiment condamné à vivre ensemble pour le meilleur et le pire et dans cette optique nous devons créer les conditions du meilleur car c’est seulement dans ce meilleur que notre société sera épanouie et nous serons heureux d’avoir contribué à cela et le laisser en héritage à nos enfants.
Ensemble pour la paix dans notre pays!
Les maliens sont pour le retour définitif de la paix, nos dirigeants également. A présent, nous convions les ex rebelles à coopérer d’avantage pour la paix et la réconciliation.
Le gouvernement malien n’est pas l’ennemi de ce pays, il agit en fonction des principes pouvant assurer la protection de notre Maliba
L’application d’un accord de paix relève toujours des défis. Et ces défis sont pour les signataires et la population civile bénéficiaire qu’on est.
Il faut que tous les partis signataires de l’accord de paix respectent leurs engagement pour que la bonne application de cet accord, le gouvernement Malien a besoin la contribution de tout un chacun pour que la paix revienne au Mali de façon définitive.
Nous devons savoir que les conditions sont mises en place pour le retour à la paix comme l’a signifié les acteurs et les observateurs.
Le pessimisme de l’intelligence ne doit pas l’importer à l’optimisme de la volonté.
La signature d’un accord de paix au Mali par toutes les parties suscite de l’espoir.
Nous remercions tous les signataires et pour ce dessein de paix .
VIVE L’ESPOIR ET LA PAIX
les efforts remarquables des parties signataires pendant les négociations tout comme l’engagement « de l’Algérie, qui a conduit la médiation . Maintenant il faut appliquer cet accord dans ses moindres détails.
Et il faut faut savoir que ces signataires respecterons cet accord
Cet Accord va contribuer à la restauration de la stabilité et de la sécurité, à l’amélioration des conditions de vie pour la population et ouvrira la voie à la réconciliation nationale
Cet accord de paix a donc été salué dans tous le Mali,on se félicite de cette « nouvelle étape importante du long processus visant à rétablir la confiance mutuelle »La paix est le souhait de toute la population et nous remercions tous les signataires
Là où le péché abonde, dit Saint-Paul, le pardon surabonde.Le pardon c’est renoncer à toute revanche sans conditions.Pardonnons donc et allons à la paix.
Rien n’est impossible à la toute puissante rémission.Je pense donc que pardonner ne doit pas être conditionné.Il faut le vouloir pour aller à la réconciliation.
Le pardon est un sacerdoce.Le caractère difficile du pardon est mis en exergue par JANKELEVITCH qui affirme.« Un crime contre l’humanité n’est pas une affaire personnelle. Pardonner, ici, ne serait pas renoncer à ses droits, mais trahir le droit. ».Il faut donc que chacun fasse des sacrifices pour parvenir à la réconciliation.
Le pardon n’implique pas que victimes et coupables mais toute la société.A ce propos LEVINAS a dit: « Si un homme commet une faute à l’égard d’un homme,…il faut qu’un tribunal terrestre fasse justice entre les hommes ! Il faut même plus que la réconciliation entre l’offenseur et l’offensé, il faut la justice et le juge. Et la sanction. Le drame du pardon ne comporte pas seulement deux personnages, mais trois. ». Pour arriver donc à la réconciliation il faut l’implication de tous
La justice est le socle de la stabilité d’une société.C’est donc à juste titre que les victimes demandent la justice avant de pardonner.
Ce mi-mandat restant du président IBK doit être consacré à la bonne gestion du pouvoir. Alors, c’est le moment de se donner au travail, car bientôt ce mandat prendra fin. Mais quoi qu’il en soit les ex rebelles seront bientôt dans un nouveau gouvernement.
C’est vrai que la bonne nuit se sent depuis le crépuscule, mais la patience aussi est un chemin d’or. Même après deux ans de gestion peu raffiné, à mon humble avis rien ne nous empêche d’attendre et d’espérer encore.
Après avoir été élu à 77 % des voix électorales, le président de la République doit confirmer son autorité sur toute l’étendue du territoire malien. Quoi qu’il en soit nous devons le soutenir jusqu’à la fin de son quinquennat.
En tant que malien, on doit s’unir tous pour marcher vers un Malikura. Ce pays nous appartienne tous, personne d’autre ne viendra faire ce pays à notre place. Donc, il est mieux qu’on unisse nos forces et nos faiblesses pour sortir ce pays dans la crise.
En tant que malien, on doit s’unir tous pour marcher vers un Malikura. Ce pays nous appartienne tous, personne d’autre ne viendra faire ce pays à notre place. Donc, il est mieux qu’on unisse nos forces et nos faiblesses pour sortir ce pays dans la crise.
Tu as raison, la population malienne ne demande que justice, de nombreuses atrocités ont été commit en ces dernier temps. La justice doit faire valoir ces droit pour la population malienne puisse avoir le cœur soulager et que la paix et la réconciliation puisse régner.
La CVJR se doit d’accélérer la mise en œuvre de son programme et cela en suivent la procédure au pied de la lettre. La population malienne depuis le début de cette crise demande que la justice soit faite sur qui et pour qui de droit.
Toute personnes réclamant justice se verra soulagé, s'il est vraiment atteinte dans son plein droit. Justice sera rendu pour qui de droit et comme in doit sans favoritisme. Le Mali sortira de cette crise, mais sauf si la justice à été équitable.
Les nombreux crime commis ne doivent rester impunie. La CVJR doit d'abord rendre la justice à qui de droit avant de pensée à une quelconque réconciliation possible. Il y a des parcours dont la CVJR doit suivre pour bien mener son travail.
Les atrocités commis ne doivent rester impunie, les responsables doivent répondre de leur actions devant la justice malienne ou même internationale. Qui parle de pays paisible, parle de justice juste et équitable.
De nombreux atrocités ont été commis par certain groupes armées œuvrant dans le nord Mali. Lors de la crise de débuter en 2012, plusieurs atrocité ont été enregistré dans le nord Mali et même à Bamako aussi. La justice doit être rendu à qui de droit.
Justice sera rendu comme il se doit, le Mali a besoin de justice pour repartir sur de nouvelle base. La justice doit être rendu à tous ce qui ont l'on de droit. Le Mali actuellement est à la quête de paix et de réconciliation raison pour laquelle la (CVJR) doit vite élaborer son travail.
Plusieurs crime d’une extrême gravité ont été relève dans la crise malienne, ces crimes ne doivent rester impunie telle est la lutte du droit de l’homme. Dans crise malienne les population du Mali ont vraiment souffert parce que les droit de l’homme ont été violé et c’est la population qui ramassa les pots cassés.
Plusieurs crimes ont été commis dans la crise malienne, surtout en ses dernier années. Cela la vérité et la justice peuvent conduire à une paix et réconciliation durable. La CVJR doit très vite faire son travail pour que notre pays retrouve vite la paix.
Sans une justice juste et équitable on ne peut parler de paix et de réconciliation, j’invite (CVJR) à mettre son compteur de temps en marche. Le travail de la (CVJR) est très important dans cette crise malienne.
La justice et la vérité sont font parti des fondements d’une vie sociale en cohésion et harmonieuse, nous devons tous tendre vers cela pour le bien être de tout un chacun !!!
Que la justice soit rendue, c'est tout ce qui compte !! Les familles ont vraiment besoin cela dans ce pays, une bonne fois pour toutes !!!
Les maliens ont vraiment besoin de cela, qu’il y ait une situation qui permettra de redonner aux maliens l’égalité en matière de justice que nous avions perdu il y a très longtemps, vraiment il faut que justice soit rendu !!!
Dans la religion MUSULMANE le pardon est fortement recommandé, nous devons être à même de nous pardonner entre nous, avant que DIEU nous pardonne tous !!!
Nous avons besoin d’égalité en matière de justice, que le droit de l’homme soit appliqué comme il se doit dans notre pays, et surtout qu’il n’y ait plus d’abus de pouvoir au sein de notre communauté !!!
Nous sommes dans une période où nous sommes plus confronté à l’inégalité en matière de justice que n’importe quel autre moment. Cette situation nous permettra de restaurer le droit de l’homme dans ce pays, car apparemment nous l’avons perdu !!!
Nous voulons que justice soit rendu parce que nous en avons absolument besoin, car pour moi elle peut vraiment aider dans le processus de mise en oeuvre de l’accord de paix et de réconciliation pour notre pays !!!
La justice équitable, nous en avons besoin pour un MALI fort, uni, à cheval sur l’application du droit de l’homme en tant que telle et qu’on n’abuse pas des couches sociales les plus démunies !!
En faisant le diagnostic de la crise que connait notre pays depuis bien avant son accession à l’indépendance, c’est-à-dire dans les années 1950. En se référant à ce diagnostic, je trouve que la paix n’est possible que si l’on oublie certaines choses et se pardonner pour sauver le Mali de nous tous. La justice doit bel et bien être rendue mais le pardon doit primer sur cette justice pour la paix dans ce pays.
La paix n’est possible au Mali que si les maliens essayent d’oublier certaines douleurs et se donner au pardon. La panacée des problèmes de ce monde est le pardon. Pardonne une personne dans la difficulté est la seule chose qui pourrait aider à tourner une page sombre de notre existence.
Dans une situation de guerre et de fraction, la paix n’est possible que les personnes concernées quelle que soit la souffrance subit ou la perte connue apprennent à se pardonner dans de telles conditions. C’est difficile de pardonner une personne qui nous arrher un être cher. Mais sachons tout simplement que la haine et la vengeance ne sont des remèdes à notre problème.
Dans cette situation, tous les citoyens sont invités à se pardonner, à enterrer les haches de guerre. L’accord de paix a été signé par tous les groupes rebelles, mêmes ceux intransigeants depuis les années 1950. Ce qui doit nous servir de leçon pour aller à une paix sans dessous.
Je suis entièrement d’accord avec vous en ce qui est du pardon que vous proposée aux maliens pour la sortie de crise. Celui-ci nous aidera à aller de l’avant en tournant la page de cette crise sans fin et qui ne fait que s’aggrave du jour au lendemain. Sans ce pardon, cette page demeurera et il faut la déchirer depuis qu’il est temps de la faire car comme on a souvent l’habitude de la dire, il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Le pardon doit être notre compagnon pour aider les autorités à changer le destiné, infligée par la médiocrité de certains de ses gouvernants, de cette nation. Il est prévu que les coupables des crimes seront sanctionnés par la justice.
Le pardon est la solution à tous les maux qu’on ne peut l’imaginer. Une fois se pardonner les uns et les autres, rien ne sera impossible, à ce que les bonnes mœurs nous enseignent. C’est un signe de sagesse. De la même sorte où les ex groupes adversaires ont pu se pardonner, il nous est recommandé de faire la même chose pour sauver ce pays, notre patrimoine commun.
Ce n’est pas en continuant de se haïr que nous allons pouvoir enterrer les hache de guerre et passer à autres choses. Tant que certaines personnalités s’adonnent à des propos racistes, le mali ne connaîtra de paix durable et de vraie réconciliation. Il est temps qu’on apprend à pardonner.
Chaque fois que cette crise fait rechute, elle devient pire. Au début les autorités faisaient appel à des dialogues de réconciliation. Mais aujourd’hui, voir que la situation est tendue cette option n’est pas possible, voir même non favorable. Donc on doit tous apprendre à se pardonner. La justice doit être secondaire pour le retour de la quiétude dans ce pays.
Certes, des crimes ont été commis. Mais rien ne vaut le pardon. La justice sera rendue. Pour le moment, au nom de la paix et de la réconciliation nationale, le pardon doit être au rendez-vous. C'est quand la paix sera de retour que la justice sera rendue.
Le Mali se trouve aujourd’hui dans une situation très délicate de rébellion. Notre pays connait cette crise depuis les années 1950. Depuis l’avènement de cette crise jusqu’aujourd’hui elle s’aggrave à chaque tentative. Au début elle n’engageait que deux ou trois groupes. Mais aujourd’hui, toute la communauté touareg s’est infiltrée dans cette rébellion ce qui a donné naissances à des crimes graves. Les coupables seront sanctionner mais pour le moment, le pardon doit primer sur la justice pour aller de l’avant dans le processus de paix et de réconciliation nationale. La commission vérité, justice et réconciliation est là pour tous.
Pas réconciliation sans verite et justice…..
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