Signé le 15 mai 2015 par le gouvernement malien, la médiation et les éléments de la plateforme puis le 20 juin 2015 par la Coordination des mouvements de l’Azawad (Cma), l’accord pour la paix et la réconciliation serait vain sans un comité de suivi. Ce comité suivi fut mis en place dès le lendemain de la signature de l’accord. Après une première réunion de ce comité de suivi qui s’est achevé en queue de poisson puis une deuxième réunion qui n’a pas pu établir le règlement intérieur. Il aura fallu cette troisième réunion qui a commencé ses travaux le mardi 21 juillet, et a pu adopter le règlement intérieur le même jour. Selon une source bien introduite, après l’adoption à l’unanimité dudit règlement, les parties examinaient également hier mercredi 22 juillet 2015 la mise en place des membres dudit comité, le chronogramme de mise en œuvre et les modalités de financement des activités. Et ce n’est qu’a l’issu des travaux, qu’un montant se dégagera pour le financement des activités à réaliser, précise la même source. Le point 7, chapitre 3 du règlement intérieur indique que le Comité de suivi pour la mise en œuvre de l’accord (CSA) a son siège à Bamako. Il tient ses réunions et peut exceptionnellement se réunir ailleurs, s’il juge nécessaire.
Selon notre confrère du journal l’Indépendant, le gouvernement malien, pour montrer sa bonne foi, a libéré une quarantaine membres de la Coordination des mouvements de l’Azawad (Cma) à la veille même de la réunion du Comité de suivi pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation. Une mesure de confiance qui aura certainement permis de décanter la situation. En tout cas, selon les indiscrétions, la mise en œuvre de cet accord s’annonce rude.
Aguibou Sogodogo
Des vrais opportunistes qui n’ont jamais travailler de leurs vies a par abuse de l’ETA et ils ont compris que notre Mali est diriger par un président faible et lache ils en profite pour demander ce qu’ils veulent
Ibk a tromper le peuple a cause de sa lachete Ibk ne maîtrise plus rien
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