A peine, la médiation internationale a fini de faire les derniers réglages du projet d’accord de paix d’Alger V, que le gouvernement du Mali s’est précipité sur la table pour parapher le document, sans au préalable, consulter le peuple malien.
Au même moment, la coordination des mouvements de l’Azawad annonçait qu’elle ne pouvait parapher le dit document sans l’avis de sa base. C’était le coup de nez des groupes armés au gouvernement de Bamako. Qui passe de compromis à compromissions dans le seul but de sauver un régime en perte de repères et qui visiblement agit sous la pression de l’extérieur…
Même si le projet d’accord était favorable au Mali, la logique voudrait que les représentants de l’Etat prennent la mesure de le soumettre, juste pour avis, aux maliens. Mais, ceux-ci avaient, au mépris de toutes les vertus de la bonne gouvernance, ignoré la volonté du peuple sur un document qui parle de son avenir. Le 1er mars, les représentants du gouvernement et la médiation internationale ont paraphé le projet d’accord d’Alger dans l’espoir de voir s’instaurer au nord une paix sur la base du compromis. Car, on n’a pas besoin de crier sur tous les toits que le projet d’accord paraphé est loin des espérances de paix murmurées dans les coulisses à Bamako. C’était scandaleux, et le collectif des ressortissants du nord l’a signalé, de reconnaitre dans le projet d’accord « l’Azawad comme une réalité socio-culturelle, mémorielle et symbolique partagée par différentes populations du nord Mali… ». Et Aujourd’hui, on n’est pas loin de ce qu’a prédit le Coren : « Cette reconnaissance (de l’Azawad, ndlr) est une brèche dans laquelle les forces occultes vont s’engouffrer pour la partition du Mali afin d’atteindre leur but… ».
Les groupes armés, au service des forces occultes, viennent de rejeter l’accord paraphé par Bamako et la médiation internationale. Ils exigent plus qu’une reconnaissance de l’appellation « Azawad ». Les groupes armés de Kidal veulent une « reconnaissance officielle de l’Azawad comme une entité géographique, politique et juridique ». C’est un message clair. Il est adressé non seulement au gouvernement du Mali, mais aussi à la médiation dirigée par l’Algérie : « Il n’y aura pas d’accord, sans l’autonomie totale des régions du nord ». De nouvelles revendications et une nouvelle négociation, c’est la demande explicite de la coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) qui ne ménage, ni son temps, encore moins ses efforts pour arriver à ses fins.
Pressions sur Bamako
Pendant que Bamako est en train de faire le porte à porte pour faire croire aux maliens que le gouvernement a paraphé un « bon accord », de l’autre côté, on l’a tout simplement mis au feu. Des ministres, des acteurs politiques et de la société civile sont mis à contribution pour camoufler les failles du projet d’accord. Et donner l’impression que le Mali tient le bon bout. Sauf que Dieu aime le Mali. Les groupes armés, eux-mêmes, refusent de parapher « le bon accord ». Bamako emploie même des manières peu orthodoxes pour aligner tout le monde sur un accord qui ne fait dans la réalité que l’affaire des groupes armés. Les partis d’opposition ont largement décortiqué les failles du projet d’accord, mais n’ont pas été suffisamment courageux pour le rejeter. Car le projet d’accord ne présente pas que des failles, elle contient les germes de la partition de notre pays. Malgré tout, Bamako voulait aller à un compromis, sinon même, à une compromission. Pourvu que les bandits de Kidal laissent le régime conduire tranquillement son mandat. Ceux-ci ont vite compris le manège et la faiblesse du pouvoir de Bamako. C’est pourquoi, ils ne se gênent plus à se moquer du gouvernement malien et même de la médiation internationale. Qui, à Alger, avait annoncé sur les antennes qu’on ne changera pas une virgule dans le projet d’accord soumis aux parties, le 25 février 2015. Dès lors, les observateurs ont senti la pression sur Bamako de ne pas broncher sur le contenu du projet d’accord. Cette pression qui venait visiblement de l’Algérie, est aussi celle de la France. Qui a entretenu et encouragé les mouvements de Kidal dans leur volonté de diviser le Mali. Si les rebelles rejettent le projet d’accord, la France et l’Algérie doivent rendre compte à Bamako et assumer leur responsabilité pleine et entière. Les groupes armés de Kidal appellent à une nouvelle négociation à laquelle Bamako ne doit pas participer pour avoir été « forcé » à parapher un accord, sans même consulter le peuple malien. Bamako va-t-il s’opposer à une nouvelle négociation et perdre toute crédibilité aux yeux de la communauté internationale ou accepter une compromission pour des raisons inavouées ? Wait and see.
Idrissa Maïga
nul na le monopol du patriotisme.nous aimons tous le Mali.nous sommes a la recherche de la paix durable dans notre pays.l accord ne veut pas dire la fin de comfli.on vas doucement et surment.etape par etape.ca prend des annees et des annees pour instaure la paix durable.dans notre pays.il faut le concour de tout le monde. majorite.opposition.societe civile.y compris les citoyens lamda.la paix n est pas un mot c est un comportement. je lance un appel a toutes les Maliennes et Maliens du nord et ceux du sud de ce donne les mains pour construire la paix.rien ne vaux la paix.sans la paix pas de developpement.vive le Mali un et indivisible.vive la paix entre les filles et fils du Mali.que sauve le Mali et ses enfents.
nul na le monopol du patriotisme.nous aimons tous le Mali.nous sommes en recherche de la paix durable dans notre pays.l accord ne ve pas dire la fin de comfli.on vas doucement et surment.etape par etape.ca prend des annees et des annees pour instaure la paix durable.dans notre pays.il faut le concour de tout le monde. majorite.opposition.societe civile.y compris les citoyens lamda.la paix n est pas un mot c est un comportement. je lance un appel a toutes les Maliennes et Maliens du nord et ceux du sude de ce donne les mains pour construre la paix.rien ne vaux la paix.sans la paix pas de developpement.vive le Mali un et indivisible.vive la paix entre les filles et fils du Mali.que
Tant que l’armée malienne sera en décrépitude, ces bandits armés feront la pluie et le beau temps dans région en traumatisant les populations des trois régions et en les imposant toute formation d’exactions, les populations négroïdes sont les plus fatiguées avec de tel comportement de ces bandits armés. La seule chose qu’il faut pour Kidal, c’est d’instaurer l’autorité de l’état, si la France et François Hollande n’arrive pas à comprendre çà, c’est vraiment dommage. Pourtant, il y a le problème Corse chez lui qu’il n’a pas traité comme ce qu’il nous a fait à Kidal. Son Ministre des Affaires Etrangère, Mr Laurent Fabius ne cessait de dire “nos amis les Touareg”, on dirait que les autres ethnies maliennes ont fait quelque chose à la France.
AHAHAHHHHHHHHHHHHHL’HYPOCRISIE QUAND TU NOUS TIENS 😉 ——-Mme VOUS ETE VRAIMENT UNE DAME SANS PUDEUR 😉 —RELIRE TON PSEUDO GENERAL SANOGO MON FRéRE IBK AHAHHHHHHHHHHHHOHOHOOOOOOHIHIHIHHHHHIIIIIHèHéèèèèèèèèèè– MAIS OU EST FINI IBKON? AHAHHHHHHHHHH OHOHOOOOOOOOOOOOOOOET L’AUTRE ATT 😉 HIIIIIIIIIIIHIIIIIIIIIIIIIIPARDON DANIELA JE RETOURNERAI SUR L’ARTICLE . 😉 —————– 😉 AVEC MON CHOU CHA CHACHACHA ET PUIS CHI CHI RI CHI ——————————————————————————————— IL Y A T’IL UNE PLACE DANS LE KABANDO —NE MA MOGO TOGO FODEH 😉 HIHIHIIIIIIIINE BIYEREDON AHAHAHAHAAAAAAAAAAA
Même en donnant l’indépendance, le fédéralisme et l’autonomie à ces hommes, il n’y aura pas de paix dans cette partie du Mali. Ces hommes Touareg se sont entendus à ne jamais s’entendre.
Monsieur le journaliste, etale nous point par point toutes les faiblesses de cet accord au lieu d écrire du flou et utilser des gros mots.du n importe quoi?
Ceux qui representaient le mali avaient la confiance du peuple malien et autour du president de la république il y a des juristes alors que voulait mr le journaliste? Un referendum avant que le mali paraphe? Aller consulter sa base etait la manière polie du CMA pour refuser l accord, il fallait s y attendre.
Mon frere, IBK et son equipe sont sur la bonne voie!!!! LES IDIOTS N’ONT TOUJOURS RIEN COMPRIS!!! Tout indique qu’il faut etre COULIBALY POUR COMPRENDRE LA SITUATION DE NOTRE FASO. (RIRE)!!!
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