Nations unies- Le Conseil de sécurité de l’ONU a annoncé mercredi qu’il se pencherait dans les mois à venir sur l’avenir de sa mission de Casques bleus au Mali, visée par des roquettes dans la journée, en soulignant dans une déclaration adoptée à l’unanimité que tout changement ne devait pas compromettre la stabilité du pays.
Vendredi, les Etats-Unis avaient jugé qu’il était temps d’évaluer si une mission de maintien de la paix de l’ONU était toujours la meilleure solution au vu de l’insécurité qui continue de régner au Mali.
En regrettant le manque de progrès dans l’application de l’Accord de paix, ils avaient été les premiers à réclamer des options à Antonio Guterres sur l’avenir des 14.000 Casques bleus déployés depuis 2013 dans le pays.
Trois ans et demi après l’accord de paix de 2015, des zones entières du pays échappent encore au contrôle des forces maliennes, françaises (Barkhane) et de l’ONU, qui sont régulièrement visées par des attaques meurtrières.
Le camp des forces de l’ONU (Minusma) et de l’armée française à Kidal (nord) a été visé mercredi en début d’après-midi par des tirs d’obus, selon un habitant de ce bastion de l’ex-rébellion à dominante touareg.
Le gouverneur de la région, Sidi Mohamed Ag Icharach, a indiqué à l’AFP que les roquettes avaient “dépassé le camp”, ne faisant “aucun dégât matériel”. Un Casque bleu tchadien s’est néanmoins blessé en sautant de son poste de garde.
Dans sa déclaration, le Conseil de sécurité “regrette vivement que plusieurs dispositions de l’Accord (…) n’aient pas encore été pleinement appliquées, voire amorcées, malgré ses appels répétés dans ce sens, ces derniers mois”.
Il cite un manque de décentralisation d’administrations dans le Nord, une démobilisation et une réintégration de combattants insuffisantes.
– “Certains progrès” –
S’il note “certains progrès” depuis la présidentielle de 2018, le Conseil de sécurité rappelle disposer de “sanctions” pour les contrevenants à l’accord de paix. Comme l’avait réclamé vendredi la France, il demande au gouvernement une “nouvelle feuille de route” pour s’y conformer pleinement.
Vendredi, Antonio Guterres avait affirmé voir “de forts risques que la situation dégénère” au Mali.
Présent à New York, le Premier ministre malien, Soumeylou Boubèye Maïga, avait averti qu'”une réduction des moyens ou des missions de la Minusma” aurait “des conséquences extrêmement négatives” qui aboutiraient “au final au renforcement des groupes terroristes et à une nouvelle dégradation de la situation”.
Au cours des mois de janvier, février et mars, 400 civils et 150 militaires (soldats maliens, de Barkhane et de la Minusma) ont été tués, a par ailleurs affirmé mercredi devant le parlement le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, Salif Traoré.
Le ministre était interrogé par les députés sur une tuerie imputée à des chasseurs dogons se présentant comme un “groupe d’autodéfense” antijihadiste ayant fait quelque 160 morts le 23 mars dans le village peul d’Ogossagou, près de la frontière burkinabè. Le gouverneur de Mopti (centre), Sidi Alassane Touré, a affirmé mercredi à l’AFP que “le bilan était de 157 morts et 65 blessés à ce jour”.
Dans un communiqué, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM ou JNIM), principale alliance jihadiste du Sahel, liée à Al-Qaïda, s’est présenté comme le “rempart” des Peuls, les appelant au jihad et accusant la France de “complicité totale”.
“Nous disons aux croisés français et au gouvernement fantoche de Bamako, ainsi qu’à ses milices (autant les Forces armées gouvernementales, gendarmerie et police que les milices dozo et autres) que votre guerre et vos agressions contre nos parents et frères peuls ne resteront pas sans réponse”, selon le communiqué, reçu par le centre américain de surveillance des sites jihadistes SITE.
LES FAITS TRES BIEN DOCUMENTÉS QUI SUIVENT LAISSENT ENTENDRE QUE LES AUTORITÉS MALIENNES , Á COTÉ DE LA FRANCE, TRANSFERENT L’ ÉTAT ISLAMIQUE DAESH DE SYRIE VERS LE SAHEL, DONC LE TERRORISME ISLAMISÉ-INTERNATIONALISÉ.
En novembre 2018 á peine 5 mois, un groupe de 43 « Syriens » infiltrés clandestinement par la frontière malienne a été arrêté près de Tamanrasset.
En langage algérien cela signifie, comme dans le cas des dits « Afghans » des années quatre-vingt, des mercenaires d’origines diverses ayant servi en Syrie, mais du moins sait-on qu’il s’agissait d’arabophones, pas de Français (plus gros contingent européen détaché en Syrie).
Il y avait en tout cas parmi eux de vrais Syriens, anciens officiers déserteurs passés aux forces islamistes.
Porteurs de grosses sommes d’argent destinées au recrutement de réseaux en Algérie, ils se sont réclamés de l’Armée Syrienne Libre (faction soutenue notamment par la France), ont en effet bénéficié immédiatement de pressions étrangères en vue de leur libération et surtout de leur éviter un renvoi vers la Syrie, et ont été expulsés début décembre en direction du Soudan prêt à les recevoir, avec un groupe de Yéménites (ou islamistes arabes revenus du Yémen) d’effectif non diffusé.
Quelques jours plus tard 53 Palestiniens ont été à leur tour capturés dans la région de Tamanrasset après leur infiltration.
Puis le 8 décembre une trentaine de « Syriens » a encore été capturée à Tamanrasset, et d’autres encore à Ghardaïa.
Quelques individus avaient quitté la Syrie, après la défaite de État Islamique, par la Jordanie, mais la grande majorité étaient passés par la Turquie d’où ils avaient ensuite été acheminés par avion vers Khartoum, dotés là de faux passeports soudanais, transférés par voie aérienne à Bamako et de là par voie terrestre sous escorte armée.
Si des centaines de mercenaires islamistes ont été ainsi interceptés depuis novembre il est difficile d’estimer combien ont été introduits sans être interceptés.
Le 2 janvier le ministère de l’Intérieur algérien a révélé que des centaines de « Syriens » avaient ainsi été capturés, après leur entrée clandestine par la frontière malienne alors que les Syriens n’ont pas besoin de visa pour se rendre légalement en Algérie, et a annoncé des mesures comme l’interdiction formelle aux Syriens d’entrer par la frontière sud dans un pays qui a accueilli légalement 50 000 vrais réfugiés syriens depuis le début de la guerre.
Pour sa part le Mali ne cache pas son hostilité (récente) envers l’Algérie, coupable d’avoir décidé en 2017 l’expulsion du cinquième de la centaine de milliers de clandestins dits subsahariens (parmi lesquels on estime 5% d’islamistes), et d’y avoir procédé de manière à dissuader la récidive, en déposant ces clandestins « en plein désert », en l’occurrence sur la route mais à la frontière puisque l’armée algérienne ne saurait faire incursion en territoire malien.
Ainsi la police malienne n’a pas empêché l’attaque et le saccage de l’ambassade algérienne à Bamako par des « refoulés » le 12 mars de l’année dernière.
Certes le nord du Mali, par où passe l’infiltration des mercenaires islamistes pour entrer en Algérie, est pour sa part pratiquement contrôlé par la France, au nom de l’Union Européenne.
DU COTÉ MALIEN, LE POUVOIR MALIEN FAIT SILENCE RADIO. POURQOI??
LA COMPLICITÉ CRIMINELLE..EST L’ UNIQUE REPONSE POSSIBLE.
LES FAITS SONT LÁ..!
LA HIÉRARCHIE MILITAIRE DOIT SE PRONONCER SUR CES FAITS.
BOUBEY DOIT SE PRONONCER SUR CES FAITS.
IBK DOIT SE PRONONCER SUR CES FAITS.
L’ ASSEMBLÉE NATIONALE DU MALI DOIT SE PRONONCER SUR CES FAITS.
LE PRESSE MALIENNE DOIT ENFIN FAIRE PREUVE DE COURAGE ET DE PATRIOTISME, SINON LE PAYS DISPARAITRA, ET NOUS TOUS AUSSI.
LES 7 ANNÉES PASSÉES ONT LARGEMENT PROUVÉ QUE LA VIE DES MALIENS NE COMPTE PAS AUX YEUX DU POVOIR MALIENS ET AVEC LES FAUX AMIS DU MALI..
Comme on pouvait s’y attendre, le gouvernement Macron semble avoir calculé son coup, il a prolongé le confinement jusqu’au 15 avril, juste le temps pour laisser ses religi€ux faire leurs provisions et s’empiffrer juste avant le amadan qui commence le 23 avril (ce qui semble coincider à sa fixation jusqu’au 15 avril, c’est pour ménager son éléctorat musulmans!),
d’ici cette date fatidique, vous allez voir que les associations feminislamistes et SURTOUT les anti-spécismes comme les L214, L-275, sortir de leurs trous et faire leurs morales pour dire de ne pas manger de viandes, voir de ne pas manger du tout (imposition d’un Ramadan inconsciemment dans l’inconscience)
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