Autorités intérimaires : La rébellion dicte sa loi à Bamako

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Entre nous : Incertitudes et inquiétudes ?

Pour la énième fois depuis l’’arrivée du président Ibrahim Boubacar Kéïta à la tête du pays, le gouvernement de la République du Mali cède face à la pression des rebelles. Cette fois-ci, il plie par rapport à la mise en œuvre du brûlant dossier sur les autorités intérimaires, un dossier qui avait récemment rompu le dialogue entre les deux parties ; le gouvernement plaidant pour l’extension de la mesure à l’ensemble des régions du pays alors que les groupes armés exigent que, les autorités transitoires s’appliquent aux seules régions du nord. Nous apprenons qu’à la faveur de la neuvième session ordinaire du Comité de suivi de l’Accord (CSA) tenue les 13 et 14 juin derniers, sous la présidence de l’Algérie, il y a eu une «ENTENTE sur les modalités pratiques de mise en place des autorités intérimaires, des chefs de circonscriptions administratives, le redéploiement des services déconcentrés de l’Etat et sur le mécanisme opérationnel de coordination ». Les rebelles ont donc gagné le combat. Vous avez dit Etat souverain ?

« Notre gouvernement a encore cédé face aux rebelles », « IBK capitule encore devant la CMA », « Une véritable gifle de la CMA ! », « C’est l’impuissance d’IBK »…Autant de commentaires et d’exclamations que l’on entend çà et là depuis l’annonce de la nouvelle que le gouvernement et les groupes rebelles ont accordé leurs violons à propos des autorités transitoires, qui seront rapidement installées dans les cinq régions du nord, à savoir Tombouctou, Gao, Kidal, Ménaka et Taoudénit.

 

Le gouvernement recule

Il y a de cela quelques semaines, la Coordination des mouvements de l’Azawad et la Plateforme avaient suspendu leur participation au Comité de suivi de l’Accord et conditionné leur retour à la table du dialogue à la mise en place diligente des autorités intérimaires. Les représentants du gouvernement au CSA ne trouvaient pas cet aspect prioritaire, ni urgent. C’est le clash. Les deux parties se déportent alors chez le Médiateur, l’Algérie, qui tape du poing sur la planche. Le voisin exige la reprise des travaux du CSA avec, à l’ordre du jour, l’examen de deux points essentiels à savoir (tenez-vous bien !), la mise en place des autorités intérimaires et l’opérationnalisation des mécanismes sécuritaires, en particulier les patrouilles mixtes.
Aussitôt ordonné, aussitôt fait ! Le CSA tient sa neuvième session ordinaire au Centre International de Conférence de Bamako, les 13 et 14 juin 2015, sous la présidence de l’Algérie, conformément aux dispositions du chapitre 19,  articles 57 et suivants de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali issu du Processus d’Alger et de son Règlement intérieur. Un communiqué de capitulation du gouvernement sanctionne la fin des travaux.
En effet, les parties adoptent une sorte de protocole d’« ENTENTE sur les modalités pratiques de mise en place des autorités intérimaires, des chefs de circonscriptions administratives, le redéploiement des services déconcentrés de l’Etat et sur le mécanisme opérationnel de coordination ». « Cette ENTENTE constitue une avancée significative dans le processus de paix », selon le Comité. Qui exhorte les parties au respect de leurs engagements et d’en assurer une mise en œuvre diligente dès sa signature.
En outre, « le Comité s’est félicité de l’esprit de collaboration, de dialogue et d’engagement renouvelé à la mise en œuvre diligente et intégrale de l’Accord, manifesté par les Parties lors des différentes discussions ».
Voilà comment le gouvernement malien a encore mordu la poussière sous la pression des rebelles, de l’Algérie et de la France.

Pourtant, c’est le même gouvernement qui a initié et défendu vaillamment l’idée des autorités intérimaires contre l’avis de l’opposition et d’une frange importante de la population.

Le 31 mars 2016, il fait adopter par l’Assemblée nationale la loi n°2016-11/AN-RM portant modification de la loi n°2012-007 du 07 février 2012, modifiée par la loi n°2014-052 du 14 octobre 2014 portant Code des collectivités territoriales. Cette loi consacre la substitution des autorités intérimaires aux délégations spéciales des collectivités territoriales dans les régions du nord du Mali.

Le législateur est parti sur la base des arguments du gouvernement dans le projet de loi. D’abord, les collectivités territoriales présenteraient des limites au regard, notamment, de leur taille réduite, de leurs attributions restrictives et de la durée de leur mandat.

Ensuite, la mise en place des autorités intérimaires s’inscrit dans le cadre du renforcement de la continuité des organes élus des collectivités territoriales. Car, contrairement aux Délégations spéciales, elles sont chargées, sans restriction, des attributions dévolues aux conseils des collectivités territoriales  qu’elles remplacent.

Enfin, cette loi s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger. A ce niveau, il est effectivement dit qu’« afin d’assurer la continuité de l’Etat, les institutions actuelles poursuivront leur mission jusqu’à la mise en place des organes prévus dans le présent Accord. La mise en place, le cas échéant et au plus tard trois mois après la signature de l’Accord, des autorités chargées de l’administration des communes, cercles et régions du Nord durant la période intérimaire …».

Mais, ces arguments n’avaient convaincu ni les élus du nord, ni l’opposition politique encore moins le peuple.

La loi controverse

Le premier rideau de contestation est parti des élus du nord qui n’étaient pas d’accord avec cette loi instituant les autorités intérimaires et l’avaient fait savoir, bien avant son adoption, au président de la République. Ils avaient le soutien des populations du nord à cause des multiples risques de tension que le texte faisait planer. Quels sont ces risques de tension ?

Primo, dès le lancement de l’initiative, les groupes armés avaient directement entamé une campagne d’information des populations  sur les changements prévus dans la gestion des collectivités du nord. Ils expliquent notamment que la gestion des collectivités reviendra bientôt à la CMA et à la Plateforme, alors qu’il y a des localités où ces mouvements n’ont même pas de représentants.

Effectivement, le choix des membres des autorités intérimaires, place systématiquement les régions de Tombouctou, Gao, Kidal, Ménaka et Taoudénit sous le contrôle de la CMA et de la Plateforme. Parce qu’il est dit que les membres des autorités transitoires « seront désignés par le Gouvernement, la Coordination et la Plateforme au sein d’un vivier comprenant les autorités traditionnelles, la société civile, les conseillers sortants et les agents des services déconcentrés du ressort de la collectivité territoriale concernée… ». Du coup, les anciens maires et présidents de conseil sont mis à l’écart. Pis, des structures politiques locales de la CMA et de la Plateforme étaient en train de pousser dans toutes les collectivités du nord, en plus du fait que les groupes armés sont autorisés à se muer en partis politiques en prélude aux futures échéances électorales.

Secundo, les élus des régions du nord ont adressé  trois correspondances au Président de la République pour manifester leur opposition à  l’idée d’instaurer des autorités transitoires après que  les mandats des organes des collectivités eurent été prorogés jusqu’à la tenue des prochaines élections communales et régionales. Ils affirment leur attachement à l’unité nationale et à la cohésion sociale au bénéfice des communautés dont ils disent demeurer les seuls représentants légitimes. Pour les élus du nord, il y a deux poids, deux mesures, et selon eux la mesure doit s’imposer à tous et s’étendre à tout le Mali afin d’éviter de donner raison à toute idée séparatiste du pays.

D’où la question, synonyme du tertio de notre raisonnement: les autorités transitoires sont-elles nécessaires ? Avis partagés ! Mais, les détracteurs redoutent que cette mesure n’accentue davantage le clivage entre les régions du nord et le reste du Mali.

 

La bataille judiciaire

L’opposition politique prend le relai de la contestation après l’adoption effective de la loi. Elle est directement allée à l’essentiel à travers les membres de du Groupe parlementaire Vigilance démocratique et républicaine (Vrd) qui ont déféré à la Cour constitutionnelle, conformément à l’article 88 alinéa 2 de la Constitution, aux fins de contrôle de constitutionnalité de certaines dispositions de la loi n°2016-11/AN-RM du 31 mars 2016  portant modification de la loi n°2012-007 du 07 février 2012, modifiée par la loi n°2014-052 du 14 octobre 2014 portant Code des collectivités territoriales.

Parmi les griefs exposés par les requérants (la constitution de l’autorité intérimaire, la nomination de ses membres, le constat de l’impossibilité de constituer le conseil communal ou sa non fonctionnalité, la violation de l’article 70 de la constitution par l’article 86 nouveau, l’adoption de la loi en violation de l’article 99, alinéa 3 de la constitution etc..), l’accent est particulièrement mis sur la VIOLATION DU PRINCIPE CONSTITUTIONNEL DE LA LIBRE ADMINISTRATION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES posé par l’article 98 de la constitution.

En effet, l’article 98 de la constitution dispose : « Les collectivités s’administrent librement par des conseils élus et dans les conditions fixées par la loi ».

Les requérants avancent qu’il est admis que du principe de la libre administration, il découle la garantie d’une autonomie à la fois constitutionnelle et fonctionnelle au profit des collectivités territoriales et que cette autonomie institutionnelle suppose des conseils élus.

Autre grief invoqué par les députés de l’opposition : prescrire dans la loi le remplacement de conseils élus par des organes dont les membres sont nommés par le pouvoir central consacre une mise en cause du principe de la libre administration par le législateur au profit de la déconcentration.

Le législateur malien l’ayant fait, il a mis en cause le principe de la libre administration, donc il a violé la constitution.

Par conséquent, les requérants demandent à la cour constitutionnelle de déclarer contraires à la constitution, les articles 11 nouveau, 12 nouveau, 86 nouveau, 87 nouveau, 152 nouveau et 153 nouveau (qui violent le principe constitutionnel de la libre administration des collectivités territoriales.

Mais, ils n’ont pas été suivis par la Cour constitutionnelle qui, dans un arrêt rendu le 5 mai 2016, déboute l’opposition malienne de sa requête en annulation de la loi sur le Code des collectivités territoriales créant les autorités transitoires ou intérimaires au nord du Mali introduite par son groupe parlementaire VRD. Au vu de plusieurs motifs invoqués par la Cour, celle-ci déclare tout simplement que la loi incriminée est tout à fait conforme à la constitution.

Plus tard, le gouvernement s’est rendu à l’évidence que la mesure ne pouvait être appliquée et a voulu faire marche arrière. Mais, trop tard. « Le vin est tiré… ».

Sékou Tamboura

Commentaires via Facebook :

125 COMMENTAIRES

  1. Un ETAT par SIMPLE définition , c’est l’ensemble des INSTITUTIONS pour la sauvegarde de son intégrité , de sa souveraineté , son épanouissement , etc . ON lui demande de NEGOCIER son MODE de fonctionnement . Chaque localité , éthnie ,population, au Mali a son propre mode de vie , qui n’ a jamais été un problème pour notre administration étatique. L’ETAT est et restera NOTRE GARANT malgré les difficultés du moment . Il y a eu trop de négociations , trop de compromis et trop de sacrifices pour QUEL RESULTAT si toujours on continue de demander? Merci

  2. Tous les Maliens doivent œuvrer pour la bonne marche de cet accord, la paix c’est pour tout le monde.

  3. On ne pourront rien faire sans l’aval du gouvernement, ce qui veut dire que les Maliens ne peut réjouissent de cette entente de l’application de cet accord de paix.

  4. Sékou Tamboura; on ne doit vraiment pas t’en vouloir quand on sait comment vous les journaleux de ce pays fonctionnez. Vous êtes rémunérez selon les âneries que vous débitez, il est tout à fait normal que vous soyez “des mercenaires de la plume” qui ne traduisiez que les idées de vos financiers.
    Les accords de paix ne sont pas parfait mais sont un moyen efficace d’avoir la paix alors mieux vaut l’accompagner que de vouloir le faire couler.

  5. le gouvernement et les groupes armés est encore un pas de plus pour une issue favorable en faveur de Bamako, car c’est l’état qui est et restera toujours le noyau central des autorités intérimaire.

  6. Il faut se réjouir de ce compromis trouvé entre le gouvernement et les ex-rebelles. C’est un pas important vers la mise en œuvre des accords de paix.
    Cependant, il faut que les gens arrêtent de nous distraire en disant que les ex-rebelles ont dicté leur loi. C’est tout à fait claire que vous êtes contre cet accord et le fait de comparer la levée des blocages à une reculade du gouvernement en est une illustration parfaite.

  7. Lors du vote de ce projet de loi, les opposants ont quittés la salle de l’Assemblée nationale et pire encore saisi la cour constitutionnelle mais ils ont toujours échoué. Les opposants maliens n’aiment pas le mali, donc nous devons faire très attention car ils ne luttent que pour leur propre intérêts et non pour celui du peuple malien. Ces opposants ont un problème personnel avec le président IBK sinon je ne comprends pas leur attitude à s’opposer à tout ce que le régime entreprend.

  8. On restera toujours dernière ce gouvernement et le soutiendra dans ces actions et en toute circonstance dans un Mali de paix, un et indivisible.

  9. Les efforts pour ramener Kidal dans le giron de la république sont perceptibles. Comme la loi sur les autorités intérimaires le stipule; les autorités intérimaires seront installées partout où le besoin se fera sentir. Cela sera un moyen d’abord de retour de l’administration dans les zones qui ne sont pas sous contrôle de l’administration régulière mais cela sera aussi un moyen de renforcer l’autorité de l’état ce qui est tout à fait différent de la partition du pays comme veulent nous faire croire les opposants qui ont boycotté l’adoption de cette loi à l’hémicycle.

  10. L’opposition malienne ne veut pas le retour de la paix car certaines personnes parmi elle en bénéficient pleinement de cette crise. L’opposition veut empêcher le président IBK de faire un bilan remarquable mais elle n’arrivera pas car le président IBK est un patriote, un homme intègre et de parole il ne prendra aucune décision qui ne sera pas en faveur du peuple malien.

  11. Les dispositions de la mise en œuvre des autorités intérimaires sont tout à fait claires pour qui veut les comprendre de la manière la plus objective sans rentrer dans les considérations partisanes.
    Le gouvernement doit mettre en place une plateforme de communication autour des sujets d’intérêts national afin de mettre tout le monde (en particulier le citoyen lambda) au même niveau d’informations sinon les opposants eux ne sont animés que de mauvaise foi.

  12. Les élus du nord qui parlent d’un pas vers la partition du pays je ne suis pas sûre car tous connaissent le contenu de ce projet de loi mais il faut dire que les autorités intérimaires seront constituées des personnes venant du gouvernement, de la CMA et de la Plateforme. Et aussi on parle d’intérimaires car ils permettront d’organiser les élections dans ces régions.

  13. Il faut vraiment que nos journaleux arrêtent de semer le doute dans l’esprit des uns et des autres. Les autorités intérimaires comme la mesure le dit; seront installées là où l’autorité de l’état n’existait plus ou n’existait que de nom; elles seront installées là où l’administration était totalement absente. De ce fait où peut bien être le mal si le responsable de l’autorité intérimaire est le chef de l’exécutif local?
    Les préfets assurent cette même fonction sans mettre à mal l’autorité de l’état à ce que je sache.
    Les autorités intérimaires comme le nom l’indique ne sont que là pour une période bien déterminée et aussi comme le stipule la loi; celles-ci seront composées des membres des groupes armées; des anciens élus locaux et des membres de la société civile.
    Donc vos mensonges grossiers concernant cet accord prétextant qu’il contient des germes de partage du pays ne sont que invective pour mettre à mal le projet de la mise en place des autorités intérimaires.

  14. je pense qu’il serait mieux que pour le processus de paix soit accéléré afin que nous ayons cette paix tant attendue. l’essentiel c’est la représentation de l’administration malienne au nord dont le gouvernement aura les yeux dans la gestion du nord et aussi une lutte contre le terrorisme.

  15. Bamako n’est pas, a qui ont peu dicté une loi. Il cherche seulement a ce qu’il y ait une paix durable dans le Pays et précisément dans son septentrion nord, rien que pour le bonheur des Maliens

  16. Si c’est parce que les politiciens de l’opposition pensent qu’ils vont perdre leurs bases qu’ils vont mettre à mal la mise en œuvre des accords de paix. Si ils sont sûrs qu’ils ont le quitus de leur électorat, il n’y aura plus de combat à mener pour les réunir. Aussi la période intérimaire n’est que juste le temps pour que les conditions soient réunis pour l’organisation des élections communales et régionales.

  17. Il faut vraiment saluer cette maturité des responsables de la cour constitutionnelle de notre pays qui dans cette situation délicate qui a fait appel à des collègues constitutionnalistes d’autres pays comme le Bénin et la Cote d’ivoire afin de bénéficier de leurs expériences et de leurs conseils afin de prendre la bonne décision. Cette décision qui a donc débouté l’opposition a été et va constitue un grand pas dans la mise en œuvre des accords de paix.

  18. L’installation des autorités intérimaires ne doit être vue comme une bombe à retardement car il en est rien de cela. Le gouvernement malien ne prendra aucune décision qui mettra en péril la vie de la nation malienne. Il faut reconnaître qu’avec cette entente le processus sera boosté à nouveau. Donc que les mauvaises langues qui ne veulent pas le retour de la paix la ferme.

  19. Le président de la république ne s’engagerait pas dans un accord qui mettrait en mal l’intégrité de notre pays à quelques niveaux que ce soit. Ces personnes qui rejettent la mise en place des autorités intérimaires ont maintes fois rejetées du revers de la main les accords de paix. Ils veulent donc trouver toutes les voies et moyens pour y faire obstructions mais ils seront surpris par la paix dans notre pays.

  20. « Notre gouvernement a encore cédé face aux rebelles », « IBK capitule encore devant la CMA », « Une véritable gifle de la CMA ! », « C’est l’impuissance d’IBK »…Autant de commentaires et d’exclamations que l’on entend çà et là depuis l’annonce de la nouvelle que le gouvernement et les groupes rebelles ont accordé leurs violons à propos des autorités transitoires 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
    Vous êtes vraiment des spécialistes de la diffamation. Où, quand et par qui ont été prononcées ces paroles?
    Ce n’est que le fruit de votre imagination que vous voulez nous imposer. Vous journalistes de ce pays faites vraiment la honte de ce métier.

  21. Une entente entre Bamako et la rébellion pour un retour de la paix définitif au Nord du Mali tel est l’objectif du gouvernement et non une pression sur lui.

  22. le gouvernement de Modibo Keïta ne cédera jamais à la pression des groupes armés car nous voulons la paix et eux de quoi à manger. le gouvernement a fait sa part des chose et il restait aux groupes armés d’en faire et c’est ce qui s’est passé finalement. si les groupes armés ne parvenaient pas à s’entendre en eux afin de trouver un accord avec le gouvernement tôt ou tard le gouvernement allait récupérer le territoire malien.

  23. cette entente est une grande avance dans l’application de l’accord pour la paix et réconciliation nationale, donc n’essayer même pas de raconter des faux histoires.

  24. pour le retour de la paix nous devons accepter de faire des sacrifices et le gouvernement le fait pour son peuple. les groupes armés avec leur mauvaise foi, sont parvenus à s’entendre entre eux afin de permettre la mise en place des accords de paix donc nous devons soutenir cela et non trouver quelque chose à dire.

  25. Il faut vraiment que nos journalistes arrêtent de nous exposer leurs sentiments et de nous mentir!
    Il y a eu compromis entre la CMA et le gouvernement mais où est l’élément qui nous montre que la CMA dicte sa loi si l’article n’évoque pas ce que les accords disent et que le gouvernement dit?
    Les accords de paix seront mis en œuvre conformément aux textes des accords de paix.

  26. Je pense qu’aucune loi n’est dicté par la rébellion mais un terrain d’entente entre eux. Je pense qu’il ne faut pas voir le mal partout mais le ce que cette entente donnera au peuple malien. notre gouvernement malien ne oeuvre que pour le bonheur du peuple et pour le développement de la nation et nous devons l’aider dans ses actions.

  27. il faut être de mauvaise foi pour dire que la rébellion dicte sa loi à Bamako. ça ce sont les paroles des ennemies du pays car le fait qu’il est un terrain d’entente entre le gouvernement et les groupes armés sur la mise en place des autorités intérimaires certaines personnes trouvent quelque chose à dire. mais nous devons savoir qu’il est temps d’aller à la paix.

  28. Nous souhaitons un bon début de ce processus de la mise en place de cette autorités intérimaire.

  29. Une question à vous tous… Si cette entente est si bonne pour le Mali, pourquoi le gouvernement à longtemps trainé les pieds au point que les autres parties se retirent des discussions et mettent avec le soutien de l'Algerie et communauté internationale une PRESSION MONSTRUEUSE SUR L'ETAT MALIEN?… à la limite c'était même des ménaces de reprises des combats. Arrêter de dire du n'importe quoi… OUI on a signé parce qu'on a pas le choix à l'état actuel des choses… MAIS DE GRACE… NE LOUER PAS LES MERITES DE CETTE ENTENTE… parce qu'il y en a pas… Ouvrez bien les yeux chers frères, toutes ces ententes et ces petites signatures du soldat à terre(Mali) vont nous revenir nous peter à la gueuele dans maximum 10 ans… J'espère que nous seront bien préparés quand ça arrivera… ça sera le CHOC ULTIME… QUE TOUS LES FILS DU PAYS SE PREPARENT… Avec ces gens là… la gueurre ne finit jamais… c'est ce que l'Algérie a compris… demander à ceux qui ont longtemps sejourné en Algerie, comment l'Agerie gèrent ses touaregs au Sud? Tout le monde gagne dans cette affaire sauf le Mali… la France avance dans son projet de scission definitive, l'Algerie et les autres pays ou vivent des touregs gagnent un peu de repit face aux différentes révolutions touaregs dans leur pays respectif. IBK et son gouvernement ne sont pas Dieu, ils font ce qu'ils peuvent face à cette conspiration internationale, MAIS QUE LE PEUPLE ARRETE DE SE MENTIR A LUI MEME EN APPLAUDISSANT TOUT ET RIEN comme preuve d'amour de la patrie.

  30. Nous voulons la paix dans ce pays monsieur Tamboura arrêtez de nous casser les tympans avec votre merdique d’articles. Cet accord sera appliqué par le gouvernement malien. La population souffre et il est temps que l’état s’investisse afin de mettre fin à celle ci.
    Je ne pense que vous puissiez vous saisir d’une armée pour aller combattre les groupes armés. Pauvre con

    • Non mohamed vous etes pour un Mali qui recule,mais on a compris et on a l infos prener ton argent et ecrire ce qu on ta dicteé,C est le Mali d ibk le malheur et le deshonneur des Maliens.

  31. Le Mali reste fort et le Gouvernement est à féliciter pour son engagement à œuvrer pour la paix.

  32. Il faut que la société civile accepte d’accompagner l’état malien. Si l’accord de paix a été adoptée c’est pour le bien être de notre pays. C’est vrai qu’il y a des non dits dans cet accord mais nous demandons l’accompagnement de tous acteurs politiques pour que le Mali renoue avec la paix.

  33. Un retour a la négociation avec ses groupes armes pour le processus de la paix et de la réconciliation nationale,c’est vraiment une bonne nouvelle pour tous ceux qui aimeraient que les choses avancent.

  34. Le gouvernement ne va jamais accepter de partitionner le territoire mali au profil des groupes armés. L’adoption de cette loi est un préalable pour aboutir à la paix. Que l’opposition arrête de s’inciter la société civile à la révolte. Le pays n’a pas besoin d’une opposition sur l’application de l’accord dont elle a pris part à sa négociation

  35. Un accord a été trouver avec ses groupes armés après une longue discussion pour cette mise en place de l’autorité intérimaire qui n est que l’un des points dans le dit accord signé Alger en 2015.

  36. Nous félicitons le gouvernement malien pour avoir trouver un accord sur la mise en place de cette autorité intérimaire car c est une grande avancée dans le processus de paix et de réconciliation nationale.

  37. Le bon fonctionnement de tout ce processus de paix et de réconciliation nationale dépend la mise en place de cette autorité intérimaire qui est une étape nécessaire, important pour la suite de l’application de cet accord de paix.

  38. Le président est un homme de paix et de conviction. Il sait ce qui est de meilleur pour notre pays. Alors que la société civile sache que ces personnes sont de mauvaise foi. Ce sont des politicards véreux qui ne pensent qu’à leur intérêt car ils voient leur fauteuil menacé. C’est le Mali d’abord.

  39. Les autorités intérimaires sont des prescriptions de l’accord d’Alger et le président doit le faire si nous voulons la paix dans le nord. Ces opposants nous disent ce que nous devons faire pour aller à la paix car on ne peut pas dire qu’un remède n’est pas bon et ne rien proposer.

  40. Sékou Tamboura c’est plutôt toi et tes politicards opportunistes qui voyez une partition du pays à cause de vos intérêts électoraux. La cour constitutionnelle a validé la loi alors ce n’est des idiots de merdes comme vous qui mettrez la mise en place des autorités intérimaires.

  41. Nous souhaitons un bon début de ce processus de la mise place de cette autorité intérimaire car nous espérons que cela pourra nous conduire vers une paix et une réconciliation nationale.

  42. C’est parce que les Soumaila les voleurs vous ont payé pour mentir sur la mise en place de cette loi. Vous parlez de quelle concertation nationale encore. La société civile et ces opposants véreux ont tous participé à la signature de l’accord de paix. Je ne pense pas qu’ils aient compris le temps de lire cette loi. Tous des bornés.

  43. Nous sommes heureux que les groupes armés aient pris cette décision assez capitale pour le reste du processus de paix. Les autorités intérimaires étaient une étapes que le chef de l’état avait beaucoup misé pour son adoption mais sa mise en place avait soulevé des polémiques. Et aujourd’hui, tout semble bien terminé car un terrain d’entente est trouvé pour le bien-être de la population.

  44. je ne vois aucune violation du prince constitutionnel de la loi malien car la cour constitutionnelle a donné un avis favorable a cette question de la mise en de l’autorité intérimaire.

  45. Les groupes armés ne peuvent jamais imposer leur loi au président. La paix est un don de soi et le président choisira ce qui est mieux pour ses compatriotes. Je pense que le thème autorités intérimaires dépasse votre intelligence monsieur Tamboura. Ces autorités seront remplacées avec l’élection des nouveaux élus locaux.

  46. Notre gouvernement doit être félicité a cause de cette entente trouvé avec ses groupes armés dans l’application sur la question d’autorité intérimaire comme cela avait été convenu par le gouvernement.

  47. Notre gouvernement doit être félicité a cause de cette entente trouvé avec ses groupes armés dans l’application sur la question d’autorité intérimaire comme cela avait été convenu par le gouvernement.

  48. Que le détracteurs arrêtent d’interpréter les choses à leur manière, le souci du Gouvernement c’est le bien être sur toute l’étendue du territoire, même si le terrain est miné on y arrivera. Courage aux gouvernants de ce pays.

  49. Tamboura pouvez vous souligner en quoi le gouvernement à cédé? cette Entente est rigoureusement conforme à la loi instituant les autorités intérimaires.

  50. C’est une étape de l’accord de paix qui est sensé être respecté par tous donc on ne peut pas dire que la rébellion dicte sa loi, c’est plutôt le gouvernement qui réitère encore une fois son engagement à rétablir la paix au Mali en respectant toutes les étapes de l’accord de paix.

  51. Sékou Tamboura est un minable journaleux qui ne passe que son temps à mentir. L’Algérie ne peut jamais taper sur la table pour obliger l’état malien à mettre en place une chose qui l’arrange pas. Il fallait payer un billet pour s’y rendre au lieu d’intoxiquer les gens. L’accord trouvé est un consensus entre les 2 protagonistes. C’est plutôt les groupes armés qui ont vu la menace venue suite à la décision de la Cedeao quant au déploiement de l’administration et de l’armée sur toute l’entendue du territoire.
    Il faut lire le communiqué final de la session de la Cedeao. Abrutis de journaleux.

  52. Le bien du peuple malien prime sur l’égoïsme de certaines personnes qui pensent que c’est une faiblesse de la part du Gouvernement de trouver un accord. Ces détracteurs peuvent bien dire ce qu’ils veulent mais c’est “Le Mali d’abord”.

    • Non ami berthé c est la famille d abord,mais c est sur ça va prendre fin dans peu de temps,on dirais ne pas etre dans le meme pays.

  53. Les ennemis de ce pays qui disent être indignés par cette situation ne sont pas ignorants au point de ne pas savoir qu’il est nécessaire de faire des compromis lorsqu’on veut aboutir à une paix durable.

  54. Cette entente est une grande avancé dans l’application de l’accord pour la paix et réconciliation nationale mais monsieur le journaliste n essayez point de nous raconter vos histoires qui tienne pas debout.

  55. Nous félicitons le gouvernement malien pour avoir trouver un accord sur la mise en place de cette autorité intérimaire car c est une grande avancée dans le processus de paix et de réconciliation nationale.

  56. La paix est un comportement, nous devons jouer ce comportement pour l’intérêt de la nation sans chercher quelque chose d’autre comme récompense.Alors les rebelles doivent se comporté bien pour qu’on aille vers la paix.

  57. La paix, c’est pour tout le monde, c’est une question d’intérêt national. Si cet Accord échoue, la gestion de la situation sécuritaire sera difficile pour le Mali. Notre souhait demeure la réussite de l’Accord, un acquis de 14 mois de négociations. Tous les maliens doivent œuvrer pour la bonne marche de cet accord.

  58. Un calendrier a été ainsi dégagé pour sa mise en œuvre. Cela débutera le 15 juillet et prendra fin le 25 Août 2016. Pour assurer le fonctionnement de ces autorités intérimaires, les parties ont convenu de mobiliser des dotations spéciales, sous forme de subventions, dons et legs.

  59. La CMA n a rien imposé au gouvernement malien seulement la mise en place de l’autorité intérimaire est une étape de l’accord pour la paix et la réconciliation.

  60. Le gouvernement malien et les groupes ont trouvé une entente sur les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires, du redéploiement des services déconcentrés de l’Etat ainsi que l’installation des chefs de circonscriptions administratives et du mécanisme opérationnel de coordination dans les régions de Tombouctou, Gao, Kidal, Taoudénit et Ménaka.

  61. La 9e session du Comité de Suivi de l’Accord, après deux reports, s’est finalement tenu les 13 et 14 juin 2016. A la clôture de la dite session, l’un des principaux points de discorde a été enfin levé. Il s’agit de la mise en place des autorités intérimaires. Les rebelles ne peuvent rien imposés aux gouvernements.

  62. La mise en place de cette autorité intérimaire ne veut dire que ces groupes armes nous dictes leur loi.Cette autorité intérimaire est une phare incontournable dans l’application de ce processus de paix signé entre le gouvernement et les groupe armes.

  63. Les autorités intérimaires seront mise en place dans un mois, au plus tard. Nous sommes contents que les groupes armés soient d’accord avec le gouvernement sur les modalités de mise en place de ces autorités.

  64. Le gouvernement malien et les groupes signataires se sont mis d’accord pour mettre sur place des autorités transitoire qui doivent conduire le processus de paix et de réconciliation nationale et organiser les élections locales.

  65. Je ne doute pas une seule seconde de la bonne volonté de notre gouvernement dans la mise en œuvre de l’accord de paix d’Alger. Sans les autorités transitoires, le retour de la paix qui doit passer par l’accord d’Alger, est difficile voire même impossible.

  66. Je sais que c’est au nom de la paix que ces autorités transitoires vont être mise en place dans les localités du nord. Et c’est dans le cadre du processus de la paix. C’est pourquoi d’ailleurs je me réjouis de cet accord entre les parties signataires de l’accord sur les modalités de mise en place. Nous voulons le retour de la paix. Toutes les mesures seront prisent pour que ces autorités ne fassent pas de bêtises. L’intégrité territoriale de ce pays est sacrée.

  67. C’est dans le cadre de l’application de l’accord de paix que ces autorités vont être mise en place dans les localités de Tombouctou, Gao et Kidal. Je suis très content d’apprendre qu’il y a eu une entente entre les groupes armés et le gouvernement pour ces autorités entrent en fonction.

  68. C’est dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord de paix que le gouvernement malien a décidé de mettre en place des autorités transitoires pour conduire le processus de paix comme prévue. Après des refus et autres hostilités des groupes armés à ce projet, ils ont fini par s’entendre avec le gouvernement sur les modalités de mise en place de ces autorités. C’est une bonne nouvelle, à ma conviction.

  69. Et si les membres du comité se sont réjouit de l’adoption de la mesure qu’ils qualifient d’ « avancée significative dans le processus de paix », l’opposition malienne, des élus des régions nord du pays, la société civile malienne et bon nombre d’observateurs, estiment que cela constitue « un pas de plus » vers la partition du Mali. En quoi la rébellion dicte sa loi au gouvvernement.

  70. Cette entente entre le gouvernement et les groupes armés est respectueuse de certains principes. Les autorités transitoires qui seront créées ne peuvent pas prendre certaines décisions sans au préalable consulter leur hiérarchie qui est l’État central. Donc c’est toujours dans le cadre d’un Etat unitaire que nous allons rester.

  71. La coordination des mouvements armés de l’Azawad est en droit de choisir, avec le gouvernement malien et la plate-forme, les autorités transitoires qui doivent conduire le processus de paix et organiser les élections locales. C’est ce qui explique cette entente, après des refus de part et d’autres.

  72. Les autorités transitoires auront pour fonctions de conduire le processus de paix pour une bonne application de l’accord de paix. Si les parties prenantes à la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation se sont mis d’accord sur la mise en place des autorités transitoire c’est une avancée considérable dans le processus de paix.

  73. Toute chose montre que l’adoption de la loi sur les autorités intérimaires sera la solution pour le retour des services de l’Etat dans le septentrion malien en est privé depuis plus de 2 ans. Cet accord que l’on avait tant besoin mettra fin aux calvaires des populations locales et les services de l’Etat.

  74. Finalement le gouvernement malien et les groupes armés, se sont mis d’accord sur les modalités pratiques de mise en place des autorités intérimaires.

  75. La paix est primordiale et a un prix. Une négociation suscite des concessions de la part de toutes les parties signataires alors ne considérons pas ça comme une faiblesse de notre Gouvernement mais plutôt comme un point fort pour la restitution de la paix dans notre pays.

  76. je demande a l’opposition de nous dire pourquoi il ne veulent pas de cette paix?le mali appartient a tous le monde,faites des propositions pour une sorti de crise.

  77. aujourd’hui les vrais djihadiste c’est ceux qui essaye de mettre cette accord en cause,je me demande si ils ont une idées sur nos déplacer qui veulent rentrer chez eux vous.ils est temps que nous soyons grands pour sauver notre maliba

  78. L’opposition malienne non seulement il sont incapable il essaye toujours de remettre en cause les décisions pris par le président de la république et son gouvernement,au lieu de crier toujours pour dire du n’importe quoi,une opposition doit être constructive.Mais non notre opposition ne cherche qu’a remplir leurs poche seulement c’est vraiment une honte.

  79. Les blocages ainsi levés, il faut donc espérer que les parties auront le sens du compromis pour la suite d’un processus qui accuse du retard. Ce, pour le bonheur des populations du Nord, des milliers de réfugiés, des Maliens tout court.
    Ce sont les ennemis de notre pays qui trouvent des choses à dire à ce sujet.

  80. Je dis aux détracteurs que le gouvernement et les groupes armés ont eu un train d’entente sur la mise en application des autorités intérimaires, c’est le fruit de la 9e réunion du comité de suivie de l’accord, la rébellion n’a pas de loi à dicter au gouvernement malien.

  81. dans un document officiel dénommé ‘’Entente’’, le Gouvernement et les mouvements armés, en l’occurrence la Plateforme et la CMA, ont consigné les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires, du redéploiement des services déconcentrés de l’Etat.Nous sommes très contents de cette de cet accord qui constitue un coup d’accélérateur pour le processus de paix.

  82. laissez nous respirer vous agissez comme si les autorités intérimaires qui seront nommer ne sont pas des maliens.le pays a eu trop de problème comme ça.

  83. Cela constitue d’autant plus une avancée majeure dans le processus de sortie de crise que le fossé s’était creusé, depuis quelque temps, entre le Gouvernement et les mouvements armés, partagés sur la voie à suivre pour l’ouverture de la période intérimaire, prévue à l’annexe I de l’Accord.Je pense qu’il faut saluer tous les acteurs pour cette avancée notable.
    😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  84. Certains souhaite a tout pris pour que l’accord puisse échoue c’est pour cela que beaucoup essayé de détruire l’image de notre cher president ou de remettre en cause sa bonne foi,on s’en fou d’eux car IBK est notre espoir et il sera a la hauteur des résultats escompté.

  85. on peut dire qu’on aime pas le sucre mais le sucre n’ai pas doux ça c’est autre chose,il faut être aveugle pour ne pas voir l’avancer de cette paix,nous voulons la paix maintenant et après nous aurons tous le temps de régler ses petits qui nous divise

  86. Cette entente entre l’Etat et les ex-rebelles est salutaire dans la crise du septentrion malien. Les détracteurs tentent de faire croire à la population des propos vulgaire sur la gouvernance du président IBK afin de souiller son régime, sinon plus ou moins le plus va bien et avance bien.

  87. Il faut avoir un esprit d’analyse et de synthèse pour réussir à accomplir ce que le Gouvernement actuel a accompli. Loin d’être une capitulation ou une impuissance, cette entente signifie un nouveau départ pour les négociations qui depuis un bon moment s’affichaient comme une corde sensible. Un très bon travail de la part du Gouvernement malien.

  88. .Nous en sommes très heureux.Nous fiers du président IBK et son gouvernement pour tout ce qu’ils font pour le retour d’une paix définitive dans notre pays.Je pense que tous ceux qui trouvent des choses à dire concernant cet accord sont les ennemis de notre pays.

  89. Nous attendons le moment propices pour la mise en place des autoritaires intérimaires, et après ça tout ira bien, le DDR et les autres processus se succéderont.

  90. Le gouvernement malien et les groupes ont trouvé une entente sur les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires. Merci au gouvernement, il était temps que les groupes armés voient ce qu’on voyait depuis longtemps.

  91. IBK est un homme fort,un homme de caractère,un homme ferme rien ni personne ne pourra dicté ni imposé quoique ce soit a lui.Nous somme fier de vous mon president.

  92. Ça c’est un pas vers la paix mieux vaut tard que jamais, la cma doit savoir une chose même si on fait 1000 ans en guerre un jour on retourne à la case de départ qu’est la paix. Tout ça c’est l’effort du gouvernement, il ménage aucun effort pour la bonne marche vers la paix entre les fils du Mali.

  93. Le Mali vient de loin,la signature et la mise en place des autorités intérimaires est une importante décision de développement,IBk soucié des maliens et patriote comme lui,ferra tout pour que le Mali retrouve sa dignité,son intégrité,Vive le Mali, Vive la paix.

  94. Enfin la 9eme du comité de suivie de l’accord a abouti à quel que chose il s’agit de la mise en œuvre des autorités intérimaires, ces autorités qui faciliteront le rédeploiement des services déconcentrés de l’Etat ainsi que l’installation des chefs de circonscriptions administratives et du mécanisme opérationnel de coordination dans les régions de Tombouctou, Gao, Kidal, Taoudénit et Ménaka.

  95. Bonne nouvelle enfin nous remercions le gouvernement malien pour tout ce qu’il fait pour la paix règne dans le septentrion malien, afin la population retourne chez eux pour continuer une vie normale plus que jamais, en plus je demande à la cma de coopérer d’avance avec le gouvernement.

  96. Les groupes armés l’avaient posée comme condition pour poursuivre leur participation aux travaux du comité de suivi de l’accord.Un accord a été trouvé pour avancer.C’est le plus important.L’opposition malienne peut dire ce qu’elle veut le pays avance sur le chemin de la paix.

  97. je m’en rend compte maintenant que le vrai problème de la crise c’est bien les maliens,apres tous les efforts que le gouvernement a mis en place pour obtenu cette paix voila voila que certain personne essaye de mettre ça en cause rien que pour les intérêts personnelle.

  98. En trouvant un consensus sur La mise en place des autorités intérimaires et d’autres points saillants de l’Accord de paix, les parties signataires posent ainsi un pas important dans la mise en œuvre du document issu du processus d’Alger.Les maliens,les vrais en sont satisfaits.Les autres pseudos maliens peuvent dire ce qu’ils veulent mais le pays avance.

  99. Quoi de plus normale que le gouvernement negocie avec les groupes rebelle,ce sont aussi les enfants du Mali,pour une paix durable tous le monde doit se donner la main et parlé le même langage.

  100. L’Etat malien actuellement est en pleine processus de mise en œuvre d’un accord de paix et de réconciliation donc il est tout à fait normal que le gouvernement et les ex-rebelles négocient plus ou moins entre eux certain point de divergence. Je suis sur que dans une négociation, c’est ça la logique, le fait de se tirer.

  101. Coup d’accélérateur au processus de paix. Le gouvernement malien, la Coordination des Mouvements de l’Azawad (CMA) et la Plateforme ont trouvé un accord sur la mise en place des autorités intérimaires.Nous en sommes très heureux.Nous fiers du président IBK et son gouvernement pour tout ce qu’ils font pour le retour d’une paix définitive dans notre pays.Je pense que tous ceux qui trouvent des choses à dire concernant cet accord sont les ennemis de notre pays.

  102. Cette crise tire vers sa fin, les imposteurs ne veulent pas ça, la cma et le gouvernement ont dis oui à la mise en place des autorités intérimaires sur les localités concernés, je dis au malien de soutenir le gouvernement pour qu’au moins on aille à la paix tant attendue pour que les déplacées puissent retourner chez eux.

  103. en quoi la rébellion sa loi,le président ibk applique tous simplement l’accord d’alger.

  104. L’accord prévoit un calendrier de mise en œuvre et du retour de l’administration dans les cinq régions du nord du Mali. Ainsi, dès le 30 septembre, on assistera au retour effectif de certains services de l’État à Kidal, actuellement hors de son contrôle. Il s’agit notamment des services techniques de l’éducation, la santé, l’énergie et l’eau et la justice.C’est cette avancée qui gène l’opposition malienne et qui paye ces journalistes pour dire du n’importe quoi.

  105. Je dis aux détracteurs que le gouvernement et les groupes armés ont eu un train d’entente sur la mise en application des autorités intérimaires, c’est le fruit de la 9e réunion du comité de suivie de l’accord, la rébellion n’a pas de loi à dicter au gouvernement malien.

  106. Prévue par l’accord de paix, la mise en place des autorités constituait un blocage dans le processus de paix. Les groupes armés l’avaient posée comme condition pour poursuivre leur participation aux travaux du comité de suivi de l’accord.Un accord a été trouvé pour avancer.C’est le plus important.L’opposition malienne peut dire ce qu’elle veut le pays avance sur le chemin de la paix.

  107. L’accord entre le gouvernent malien et la CMA indique que les préfets, sous-préfets et gouverneurs seront secondés de représentants de la CMA et de la Plateforme. Les trois parties se sont aussi engagées à assurer la sécurité et le redéploiement des services sociaux de base.C’est le retour de l’administration à Kidal.Les ennemis de notre pays peuvent dire ce qu’ils veulent.Cela ne nous empêche pas d’avancer sur la route de la paix.

  108. C’est au contrait un grand pas dont vient de faire le président IBK dans la mise en œuvre de l’accord de paix et réconciliation. Cette entente entre l’Etat et les ex-rebelles est salutaire dans la crise du septentrion malien. Les détracteurs tentent de faire croire à la population des propos vulgaire sur la gouvernance du président IBK afin de souiller son régime, sinon plus ou moins le plus va bien et avance bien.

  109. L’autorité intérimaire est composée des représentants du gouvernement et de la plateforme et ses membres seront désignés de façon consensuelle. Une fois en place, elle choisira un président et deux vice-présidents en son sein. Le président sera provisoirement le chef de l’exécutif local.Qu’est ce que les idiots ne comprennent pas en cela et dise du n’importe quoi.

  110. Un accord qui privilégie l’unité nationale entre les différentes populations et protège l’intégrité territoriale, la mise place de cet accord de paix et de réconciliation et en particulier la mise en place des autorités ne peut constituer d’un certain cause de la division territoriale. Soyons réaliste et objectif.

  111. Le Chef de l’Etat malien est plutôt à féliciter pour sa bonne gouvernance d’avoir trouvé très vite une solution avantageuse et crédible pour la suite de la mise en place des autorités intérimaires. Ce blocage dont faisait face l’Etat malien avait toute suite bloqué le processus de paix dans sa généralité.

  112. Je pense que l’Etat malien a très bien fait de trouver un terrain d’entente avec les ex-rebelles. Pour sa bonne gouvernance en particulier dans la mise n’œuvre de l’accord issu du processus d’Alger et visant la mise en place des autorités intérimaires, le chef de l’Etat IBK et son gouvernement pas comme les détracteurs voient très loin que le bout de leur nez.

  113. Le président IBK n’a pas céder à quoi que de mal ou de mauvais pour le pays, il n’a jamais fait preuve d’impuissance. C’est dans les intérêts primordiaux du pays que le président IBK a trouvé un point d’entente avec les ex-rebelles de la CMA. Le plus important reste le respect des intérêts primordiaux de notre pays.

  114. L’application de l’accord sans discernement annonce la faillite du régime IBK : Les avantages octroyés aux groupes armés seront l’étincelle qui fera exploser la montagne de frustration du peuple malien. Le gouvernement est décidé à ramener la paix et la réconciliation au Mali.

  115. Le plus important reste la bonne entente qui sera vraiment propice dans la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation. L’Etat malien et les ex-rebelles ont pu trouver une entente pas favorable pour la CMA mais plutôt pour le Mali.

  116. Les ennemis de la paix se réveillent de leur sommeil.Ils ont entendu qu'il y a eu un terrain d'entente entre le gouvernement malien et la CMA.Faut il leur rappeler que nous sommes en train de négocier une paix dont l'absence empoisonne notre vie de tous les jours?Le président IBK et le gouvernement malien savent ce qu'ils font.L’essentiel est que les points de désaccords ont été levés et le processus de paix va avancer.
    Les ennemis de notre pays ne veulent pas de cela.Mais le président IBK et le peuple malien vont en finir avec cette guerre de façon définitive.

  117. Moi je verrai plutôt comme un exploit dans la quête perpétuel vers la paix et la réconciliation. Afin l’Etat malien a pu trouver une solution pour faire avancer la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation. Ce pas une impuissance d’IBK, mais plutôt la perceptive et la mise en œuvre d’une bonne gouvernance.

  118. Ce n’est pas une faiblesse de la part de l’Etat comme tente de le faire croire certains détracteurs. Le gouvernement se soucie et veille à la bonne mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation. L’Etat malien est conscient que la paix n’a pas de prix et que le Mali a vraiment besoin de paix et de réconciliation.

  119. Je pense que le gouvernement malien n’a pas capitulé suite à l’exigence des ex-rebelles de la CMA. L’Etat malien actuellement est en pleine processus de mise en œuvre d’un accord de paix et de réconciliation donc il tout normal que le gouvernement et les ex-rebelles négocient plus ou moins entre eux certain point de divergence.

  120. On ne va jamais finir de reculer, de céder, de replie soit disant stratégiquement, de fuite en arrière ou en avant…de LA POLITIQUE DE L AUTRUCHE = se voiler la face = de faire semblant …jusqu’à ce qu’on tombe un jour derrière sur le dos comme dans un trou sans fin plus profond que des falaises de LAMAKARA. PERSONNE NE PEUT DIRE JE NE SAVAIS PAS ET UN JOUR PAR REFERENDUM FACTICE ILS VONT COUPER ET RECONNAITRE LE NORD / POURQUOI GAO MOPTI TOMBOUCTOU SONT CONCERNÉS ????

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