Les responsables des partis politiques de la majorité ( Bocary Tréta, Younous Hameye Dicko…) et de l’opposition( Soumaila Cissé, Tiébilé Dramé…) et les ministres en charge de la Santé, Marie Madeleine Togo, de la Solidarité, Hamadoun Konaté, et de la Défense, Abdoulaye Idrissa Maïga, ont rendu hier, mardi 24 janvier, visite aux blessés de l’attaque du camp du Mécanisme Opérationnel de Coordination(MOC) à Gao.
La forte délégation a ainsi sillonné les différents hôpitaux (hôpital Gabriel Touré, l’hôpital du Mali, l’hôpital de Kati et le Centre national d’odonto stomatologie) où sont admis les blessés l’attentat. Au Mali, l’indignation est à son comble après l’attaque terroriste perpétrée contre le camp du Moc à Gao le 18 janvier, faisant une soixantaine de morts et une centaine de blessés.
A Bamako, le samedi 21 janvier 2017, à l’appel des partis politiques de la majorité et de l’opposition, des centaines de personnes se sont rassemblés au monument de la paix de Bamako pour exprimer leurs indignations contre le terrorisme et leur engagement pour la paix au Mali.
Belle image qui reste sous-tendue par des slogans sans fondement solide capable d’amorcer le décollage de notre pays qui se trouve actuellement dans un abîme sans limite. L’acte est bon mais insuffisant pour assurer la sortie du pays du gouffre dans lequel il se est par leur faute depuis l’arrivée de la démocratie dans ce pays, la faute de ces politiciens sans vision réelle pour l’évolution rationnelle de notre cher Mali; mais ils payerons tous un jour de ces mauvais actes qu’ils ont posé çà et là, pesanteur qui nous conduira sans équivoque vers une déchéance inexorable et implacable le moment venu.
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