Attaques terroristes contre l’armée : Qui veut déstabiliser le Mali ?

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Algérie: 12 islamistes armés tués par l’armée près de la frontière malienneAttaques de camp militaires par ci, embuscades et explosion de mines par là, les forces de défense et de sécurité payent depuis plusieurs semaines, le lourd tribut des actes  terroristes devenus récurrents. Du Nord au Sud, d’Est en Ouest, l’armée  du Mali  est mise à rude épreuve face aux éléments terroristes. Il y a deux semaines, onze gardes froidement assassinés dans leur camp à Gourma Rharouss, 5 militaires tués lors de la prise d’otages à Sévaré, trois autres militaires tués suite à une explosion de mine au passage de leur convoi,  entre autres.

Ces attaques qui visent notre armée sont pourtant revendiquées par des groupes terroristes dont les ramifications se développent aussi bien au Sud qu’au Centre du pays. La fréquence de ces attaques ainsi que leurs modus operandis  sont de nature à créer la psychose au sein des populations et installer le doute chez les forces de défense. Les conséquences pouvaient découler de cette situation sont bien connues de tous.

L’heure de la mobilisation a sonné

D’où l’urgence d’une mobilisation générale aujourd’hui autour de la République afin de sauver le pays d’un autre chaos dont certains apatrides pourraient se servir pour réaliser leur projet macabre de partition du pays. Et c’est bien ça l’objectif recherché. Tant les dirigeants tenus en laisse par l’Occident ne sont en mesure de sauver le pays, tant la communauté internationale présente sur notre sol, à travers la Minusma et la Force Barkhane, n’a la volonté de rétablir l’ordre au Mali.

Ce qui n’est pas d’ailleurs dans leur programme. Preuve : le refrain quotidien de la Minusma : «Notre mandat n’est pas de combattre les terroristes, mais de  stabiliser le Mali». «Ce travail revient à la Force Barkhane», entonne-t-elle à longueur de journée. Sauf que celle-là s’est assignée comme mission officieuse, la protection de la région de Kidal, fief du  Mnla, contre les terroristes. Plus de fournitures de renseignements, ni d’aides logistiques, une armée malienne en véritable reconstruction ne devrait compter que sur sa  bravoure et le soutien de ses populations. C’est pourquoi la lancinante question revient : Qui a intérêt à ce que le Mali soit déstabilisé ?

SORO

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144 COMMENTAIRES

  1. C’est de véritables voleurs doublés de menteurs professionnels que ces Français..ils sont bons à etre chassés.

  2. Tant que la FRANCE aura besoin des ressources naturelles d’un pays africain,ce pays ne pourra jamais etre en paix.

  3. La France est un état malhonnète qui sur le dos des états africains.c’est en ce sens qu’un dignitaire français disait que la FRANCE n’a pas d’amis mais plutot des interets.

  4. Essayez de comparer un peu les anciennes françaises et les anciennes colonies anglaises.La différence est de taille car ce sont les ex colonies françaises qui sont toujours en crise.Mais pour quelle raison la France ne prend t-elle pas ses responsabilités de “bon père” pour y remédier?

  5. La françafrique demeure toujours.Et elle permet à la France de programmer les crises dans les différents pays les uns après les autres.

  6. La guerre au Mali est purement politique si la France décide réellement de cédé entre les rebelles et la FAMA, nôtres force ne prendra pas 2jours pour faire déposer l’arme à ces rebelles entre nous on se connais et on se comprend. C’est lorsqu’un étranger s’introduit entre nous que les choses devienne compliqué.

  7. Les blancs nous ont toujours dit que les bonnes affaires ne se font qu’en tant de crise.Alors,vous comprendrez aisément n’a pas interèt que ses anciennes colonies soient stables.Le Mali ne peux donc pas faire exception à cette règle.

  8. Il faut les chasser ces bâtards de français chez nous par tous les moyens.

  9. Si c’est vrai que la France aime le Mali, la France pouvais finir cette guerre à moins de 12h. Ils ont des armes plus sophistiqué, des moyens de guerre plus puissante que les rebelles en position dans le nord, il n’existe aucune explication convaincante disant que les bandits armées peuvent résister à la France pendant 1 heure.

  10. Disons que le Mali a eu la mal chance d’être colonisé par la France. Le Mali ne tombera pas quoi qu’il arrive.

  11. La politique française en Afrique est conçue de telle sorte que les anciennes colonies soient toujours sous son emprise.Ainsi la France pourra toujours disposer des ressources naturelles de ces pays à volonté pour se mettre à l’abri du besoin.

  12. La France n’a rien à faire du devenir du Mali. C’est pourquoi elle se met en retrait maintenant soi-disant que les gens du Sud ont dit que tout est de la faute de la France. Elle fournit des armes aux terroristes. IBK a dit la vérité lors de la cérémonie de signature de l’Accord de paix.

  13. La politique de la France est connue de tous, la France est en train de jouer au sauveur alors qu’ils sont eux même l’origine de cette guerre au Mali. La France ne peut pas dire qu’elle s’intéresse aux maliens, elle a besoin de Tessalit au nord pour y installé sa base. Elle créé une guerre se faisant comme sauveur et s’imposant, après que le Mali refuse de cédé par des négociations.

  14. La Guerre au Mali n’as d’autres source que la France. Un pays d’intérêt, l’intention de la France est connue. Je n’avais jamais été en accord de cette intervention Française. D’ailleurs je ne voie pas pourquoi cette France est venu aussi tôt. On ne veut plus de la France sur nos terres…
    Je suis sûre que si la France plie bagages de nos terres, la guerre au Mali ne serais qu’une mauvaise souvenir..

  15. PERSONNE D’AUTRE N’EST DERRIÈRE LA GUERRE AU MALI SI CE N’EST LA FRANCE. CE PAYS DE L’OTAN EST NOTRE SEUL MALHEUR…
    TU PEUX COMBATTRE TON ENNEMI SI TU LE CONNAIS, MAIS LORSQUE TON ENNEMI SE FAIT PASSER POUR TON AMI, IL POSSÉDERA UN AVANTAGE SUR TOI C’EST LE CAS DE LA FRANCE AU MALI.

  16. Après une analyse il ressort que lorsque l’Afrique se porte bien l’occident est enrhumé.Ramenant cette analyse à la relation FRANCE-ANCIENNES COLONIES,il ressort clairement que la France ne peut jamais accepter la stabilité dans ses anciennes colonies.C’est le cas du Mali.

  17. La France n’est pas un allié mais plutôt une bombe à retardement pour le Mali. Il est temps que nos dirigeants comprennent cela.

  18. La MINUSMA ne peut dire d’autres, ce sont les mêmes qui se promènent dans nos bar, hôtels et restaurants de grandes de hautes marques.
    La MINUSMA est en train de passé des moment en fleure ici au Mali,et la fin de guerre correspondra à la fin de cette belle vie de la MINUSMA.

  19. La France savait qu’en tant que Kadhafi sera en vie, tôt ou tard il allait gagner la confiance des africains pour une Afrique unie contre les politiques de l’Occident. Cela provoquera la fin de la France. 😆 😆 😆 😆 😆
    La France, Allez-vous en de chez nous. Vous êtes la tête des maux dont souffrent les maliens aujourd’hui. C’est la France qui finance le Mnla. On est au courant de tout maintenant.

  20. La France reste et est le premier fautif de la guerre du nord Mali. La Barkhane et la NUMISMA ne jouent pas bien leurs rôles. La France joue à la jeu violé dans la gestion de la crise nord Mali. Le gouvernement maliens est entre le marteau et l’enclume. Seul le soutien de la population peut aider le régime à trouver une suite favorable à cette crise.

  21. Les dirigeants français sont tous des criminels, ils tuent pour s’enrichir les poches. Les dirigeants africains comme Mouammar Kadhafi, Thomas Sankara, Sekou Touré, Modibo Keita…. Ont été tous assassiné par la France. Faible en économie, la France sème la guerre en Afrique et en profite pour exploiter tous les richesses africaines. Boda nou nou nou !!!!

  22. La France n’as pas envie d’aider le Mali, dire que la France veut aider le Mali est faux et archi faux. La France est en train de suivre ses intérêts au Mali, la France profite de cette guerre au Mali pour soutirer les richesses du pays. la France a besoin d’un point stratégique au Mali, une partie dans laquelle le méridien et l’équateur se rencontre. Ce point consiste un point très stratégique dans le monde entier. Ce point a été cherché par tous la grande puissance du monde, mais la politique de la France est de jeter un feu de guerre au Mali et revenir étant le sauveur du ce pays pour s’installé. le MNLA n’as d’autre ravitailleur que la France. Ils sont restés pendant très longtemps ensemble dans cette partie du Mali à Kidal. Interdisant la force malienne de mettre le pied dans cette zone. La guerre au Mali est plus claire que l’eau de roche. La France est un appui des rebelles…

  23. 80% des réserves de change de ces pays africains sont déposées dans les « comptes d’opérations » contrôlés par le Trésor français . Les deux banques CFA sont africaines de nom, mais n’ont pas de politiques monétaires propres. Les pays eux-mêmes ne savent pas, ne sont pas informés, à hauteur de combien la réserve de change détenues par le Trésor français leur appartient en tant que groupe ou individuellement.

    Les gains de l’investissement de ces fonds du Trésor français sont censés être ajouté à la réserve de change, mais il n’y a pas de comptabilité transmise aux banques ou aux pays, ni les détails de ces modifications. « Seul un groupe restreint de hauts fonctionnaires du Trésor français connaissent les montants figurant dans les « comptes d’opérations » où ces fonds sont investis ; si il y a un bénéfice sur ces investissements ; ils ont interdiction de divulguer ces informations aux banques CFA ou aux banques centrales des états africains. ” écrit le Dr Gary K. Busch

  24. La France ne veut pas voir IBK régné au pouvoir, elle a tout fait pour nuire son régime mais sans succès. Tout d’abord l’affaire de Tomi, du cousin de Tomi, les policiers français tous sur les traces de l’achat de l’avion présidentiel malien, les attaques de la Minusma qui n’ont jamais été témoigné par qui que ce soit, sans oublié l’appui indéfectible de la France apporté aux rebelles du nord Mali. Elle veut maintenant déstabilisé le Mali par des attaques perpétrées chaque jour par des bandes de nègres piloter par les sous octroyé par l’ennemi de la France.

  25. Il est clair que c’est la France qui se cache derrière le déstabilisation du Mali comme toutes les anciennes colonies françaises.

  26. Ce que la France désire en Afrique, elle se donne les moyens pour l’obtenir. Nous savons qu’elle n’a rien comme sources de revenus maintenant si ce n’est pas les ressources de l’Afrique qui lui servent de rentrer d’argent. Pourtant on continue de dire que l’Afrique est pauvre. Si l’Afrique est vraiment pauvre pourquoi se donner autant de mal pour elle ? Cela mérite mûres réflexions.

  27. Tu as raison quel que soit tous cela l’accord de paix et de la réconciliation ne doit pas être annulé car c’est le but des différentes attaques. Ils veulent coûte que coûte faire échouer cet accord. La population et l’Etat malien ne doit pas céder aux menaces. La Barkhane et la MUNISMA ne jouent pas pleinement leurs rôle au Nord Mali.

  28. Ce qu’on doit comprendre est qu’avec les français rien n’est sûr. Tout peut basculer à tout moment. La France profite de sa force pour faire mal aux pays africains. Elle n’a pas pitié quand il s’agit de ses intérêts et gare à celui ou celle qui se mettrait en travers de son chemin. Elle n’hésiterait nullement à lui marcher dessus.

  29. Comme on le si bien ne mélangeons pas « le chien au chat ». Certes l’insécurité est de plus en plus grandissante malgré les différentes mesures prise par le régime en place, des bandits armés sont différents des terroristes. Les terroristes sont soutenir par les puissances étrangères en particulier la France.

  30. Les dirigeants français sont tous des criminels, ils tuent pour s’enrichir les poches. Les dirigeants africains comme Mouammar Kadhafi, Thomas Sankara, Sekou Touré, Modibo Keita…. Ont été tous assassiné par la France. Faible en économie, la France sème la guerre en Afrique et en profite pour exploiter tous les richesses africaines. Boda nou nou nou !!!!

  31. Tu as raison, 😳 😳 😳 😳 😳 😳
    Mais appelons le chien par son nom, c’est la France qui est le fautif de la crise du nord Mali et cela depuis le début. Il manipule la crise à leurs guises, car c’est ainsi qu’ils arrivent à se remplir la poche. Ils ont monopolisé d’une manière plus technique la politique des colonies française et chaque pays est victime de ses propres colonisateurs. Les colonies françaises sont les moins développés que celui des anglais. La France profite des crises provoquées à la souche par elle-même.
    :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  32. L’organisation du traité d’atlantique nord est faite pour éliminer les Africains, le cas de LIBYE est un exemple de cela, le moment que l’OTAN est venue bombarder le palais présidentiel LIBYEN.
    Les différents coups d’Etat faites en France sont l’œuvre de la France.

  33. A BAS LA FRANCEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
    A BAS FRANÇOIS HALLANDEEEEEEEEEEEE
    A BAS TOUS LES FRANÇAIS
    ENSEMBLE L’AFRIQUE VAINQUERA !!!!!!

  34. La crise de la COTE D’IVOIRE, du SERRALEONE, du LIBERIA, sont l’œuvre de la France.
    ABAS LA France
    ABAS FRANCOIS HOLLAND
    ABAS L’AMBASSADE DE France
    ABAS MUNISMA

  35. OLIVER QUEEN
    L’heure est grave et même pire avouons-le, l’insécurité devient de plus en plus grandissante comme nous le remarquons tous. Ce n’est l’incompétence de l’Etat main les ennemis en face sont tous de taille. Les ennemis avec l’aide de la France sont passés à la vitesse supérieure. Ils veulent décrédibilisé le régime en place, déstabiliser le pays, faire persister le pays dans une existentielle et multidimensionnelle, en mot détruit et diviser le pays.

  36. Depuis l’indépendance jusqu’à nos jour la France continu de mettre feu en Afrique, c’est pourquoi ALPHA BLONDY dit que les chiens ont mis le feu dans mon pays.
    On demande a la MUNISMA de quitter le Mali, car, il n’a aucun importance, le Mali est un Etat souverain et libre, nous avons la capacité de gérer nos propres affaires.

  37. France est plus pire que les rebelles, on sait aussi que la séparation du SOUDAN est l’œuvre de la France. L’ennemis numéro un du Mali est la France.
    On veut plus la France, on est vraiment assez, car vous utilisés l’Afrique comme vos propre instruments.

  38. Tous les Etats colonisés par la France, sont en retard par rapport aux Etats colonisés par les autres colonisateurs.
    Le système Français est la plus pire système que le monde a c connus.
    La mort de KADAFY est l’œuvre de la France.
    Le printemps ARABE est l’œuvre de la France.
    Tous ceux-ci montrent que c’est la France qui est à l’origine de toutes les désorganisations dont le Mali avait actuellement.

  39. La France est contre l’avancer de l’Afrique, mais plus précisément l’Afrique Francophone.
    Le cas de LIBYE est un exemple de cela, KADAFY voulait faire de l’Afrique une cité émergeant, mais pour l’égoïsme, la France a tout pour que MOHAMAR KADAFY soit tombé.
    La France n’a pas d’amis, mais il ne vise que leur intérêt personnel.

  40. On sait que c’est la France qui est à l’ origine de la déstabilisation du Mali, la France est l’un des ennemis du Mali, il cherche seulement sn intérêt personnel.
    La France est en complicité avec MNLA car la population sait la France est un danger pour le Mali.

  41. Je suis d’accord avec le JEUNE PATRIOTE qui dit que:La France fait de tout son possible pour que nous dépendions d’eux. Elle n’est pas là pour défendre le Mali mais plutôt l’enfoncer d’avantage. Sinon pourquoi venir tuer des terroristes au Mali ici, alors le que le porte-parole du MNLA circule comme il veut en France ? Donc cela veut dire que la France tue qui l’arrange et garde en vie qui l’arrange alors ?

    Le refrain quotidien de la Minusma : «Notre mandat n’est pas de combattre les terroristes, mais de stabiliser le Mali». «Ce travail revient à la Force Barkhane», entonne-t-elle à longueur de journée. Sauf que celle-là s’est assignée comme mission officieuse, la protection de la région de Kidal, fief du MNLA, contre les terroristes.

  42. Il faut voir SOUDIBI. Des gens qui ne travaillent pas, qui n’ont pas d’argent. Où est ce qu’ils peuvent se procurer d’un seul coup des armes qui coutent très chères. Il y a le cas du MNLA qui peut nous servir d’exemple. Ce groupe a été créé en France et il bénéficiait de son soutien quand il s’est attaqué à l’armée malienne au Nord. De plus je ne sais plus à quoi pensent les maliens quand je les entends applaudir pour la France soi-disant qu’elle nous a sauvé. La France n’a sauvé que ses intérêts. Elle savait ce qu’elle perdrait en laissant les djihadistes rentrer au Sud. Elle ne fait rien pour rien.

  43. Sankara et la France : secrets de famille.
    Les archives confidentielles de l’ambassade de France à Ouagadougou révèlent la véritable nature des relations franco-burkinabè.
    Incompréhension mutuelle, défiance, chantages diplomatiques ainsi pourrait-on résumer les relations entre le Burkina de Thomas Sankara et la France de 1983 à 1987. Elles ne pouvaient d’ailleurs commencer plus mal, le fougueux capitaine rendant l’ancienne puissance coloniale directement responsable de son arrestation, le 17 mai 1983, alors qu’il était Premier ministre de Jean-Baptiste Ouédraogo. Principal visé : Guy Penne, le conseiller de François Mitterrand aux affaires africaines qui partage depuis peu son bureau avec Jean-Christophe Mitterrand au sein de la cellule africaine de l’Élysée. Il faut dire que, pour Paris, Thomas Sankara est un très mauvais scénario. Après le coup d’État du 4 août 1983, la France devient la principale cible de la rhétorique révolutionnaire. Conspuée dans des discours ou l’anti-impérialisme perle à chaque phrase, celle-ci fait l’objet des plus vives critiques. Dans le discours d’orientation politique prononcé par le bouillonnant capitaine le 2 octobre 1983, elle est même accusée de s’être rendue coupable, vingt-trois années durant, « d’exploitation et de domination impérialistes ».
    Savamment orchestrée le jour, la rupture sémantique fait néanmoins place à un discours plus policé la nuit venue. Pour le chef du CNR, un seul impératif : critiquer Paris pour satisfaire les extrémistes de son camp, mais éviter le point de non-retour avec la France. En poste à partir de novembre 1983 à la suite du renvoi de son prédécesseur réclamé par le pouvoir burkinabè, le nouvel ambassadeur, Jacques Le Blanc, est en première ligne pour juger de cette attitude schizophrénique, sans pour autant cautionner à tout prix la politique française. Télex après télex, mais aussi dans son rapport de fin de mission – des documents auxquels Jeune Afrique a eu accès -, il ne cesse d’alerter son ministère de tutelle sur « les effets pernicieux » que le désintérêt des officiels français vis-à-vis de la révolution occasionne et « les dégâts » que les réserves à l’égard du régime ne manquent pas de provoquer. « Il convient de garder à l’esprit que la révolution voltaïque est plus l’aboutissement d’un processus amorcé en novembre 1980 qu’un nouvel avatar dans une succession de coups d’État sans lien entre eux », prévient-il dans une dépêche datée du 19 mars 1984.
    Une relation complexe donc. Il est vrai que Paris n’a rien fait pour jouer l’accalmie, son attitude risquant à chaque instant de mettre le feu aux poudres. La preuve en est très vite apportée lors du sommet France-Afrique de Vittel, en octobre 1983. Alors que Sankara a décidé de s’y rendre pour « apprécier et évaluer » ce type de rencontre malgré l’opposition des orthodoxes du régime, il est accueilli à sa descente d’avion par Guy Penne. Une grave bévue protocolaire que le chef du CNR exploite à fond en refusant d’assister le soir même au dîner donné en l’honneur des chefs d’État africains.
    Au gré des impératifs révolutionnaires, les accalmies alternent avec les moments de tension. Homme de la nuit, Sankara reçoit ses hôtes à une heure souvent tardive. L’ambassadeur de France est fréquemment « convoqué » à l’improviste à 22 heures, voire plus tard. « Venez à mon bureau, je vous y attends », lui commande Sankara. À chaque fois, le ton est posé mais ferme. Les reproches fusent. Le premier d’entre eux est que les autorités françaises ont tendance à « minimiser l’étendue et la cohérence de la révolution » (entretien lors de la remise des lettres de créance). Il l’ignore, mais à Paris le CNR est qualifié « d’équipe de militaires imprévisibles et marxisants aux décisions desservies par l’amateurisme et l’inconséquence, et peu soutenus par une population encore attentiste ». Assurément, pour les diplomates du Quai d’Orsay, cette révolution est temporaire, voire éphémère.

    Sur le terrain, Le Blanc ne manque pourtant pas d’alerter sa hiérarchie sur les « risques de laisser progressivement glisser ce gouvernement vers des pays comme la Libye ». Et de prévenir sur la contagion possible du « phénomène Sankara » aux pays environnants. Dans un télex du 19 mars 1984, il explique : « [Il] a derrière lui, avec la jeunesse, toute la frange de la population qui descend volontiers dans la rue. Nul ne se hasarderait à contester le bien-fondé de cette révolution, de son inspiration, l’intégrité de ses dirigeants et le dévouement à la cause publique des membres du Comité. » En d’autres termes, « la mise en difficulté du régime signifiera sa radicalisation, soit sa résistance avec repli ou appui sur la base arrière ghanéenne avec une aide libyenne. C’est pourquoi tout ce qui pourrait gêner le régime actuel serait lourd de conséquences non seulement pour la Haute-Volta mais également pour l’ensemble de la sous-région. »
    Pour mieux se faire comprendre, le chef du CNR n’hésite plus à user, au besoin, de la menace. À cet égard, l’affaire « Sigué » est révélatrice de la capacité de chantage diplomatique exercée par un pays démuni. Chargé de mission à la présidence burkinabè, Vincent Sigué est l’un de ces missi dominici occultes qui ne se déplacent jamais sans leur revolver. Il est arrêté lors d’une fouille à l’aéroport de Roissy. Le 10 janvier 1984, il est 21 heures lorsque Sankara demande à voir immédiatement l’ambassadeur. L’atmosphère est lourde. Le masque grave, le président du CNR, qui reconnaît les erreurs de Sigué, trouve « inacceptable » qu’une autorité étrangère puisse le juger. « Il appartient à nos camarades d’accomplir cette tâche. Nous exigeons son retour » (télex du 11 janvier 1984).
    En cas de refus, les menaces seront plus précises. « La vie des Français de Ouagadougou ne sera, certes, pas mise en cause – jamais je ne me permettrai cela -, mais [ils] seront soumis à des limitations de l’ordre de celles dont M. Sigué fait actuellement l’objet », explique-t-il froidement. De quoi est-il question ? Ni plus ni moins d’assigner à résidence tous les Français expatriés. Si l’affaire sert de véritable test quant aux dispositions de Paris à l’égard de Ouagadougou, elle permet surtout aux autorités burkinabè d’exercer un « chantage inacceptable » pour faire valoir leur demande. Un chantage que la France entendra. Sigué sera relaxé quelques jours plus tard.

    Plus que sa compréhension, le CNR attend de la France sa neutralité bienveillante, notamment en ce qui concerne les opposants burkinabè exilés sur son sol. Nombreuses sont les occasions de forcer Paris à coopérer sur ce dossier sensible. « Ne serait-ce que pour effacer l’affront fait par Guy Penne », souligne Sankara (entretien téléphonique du 27 janvier 1985). C’est ainsi qu’à cette date, le conseiller du président français reçoit régulièrement les listes mises à jour des noms et des adresses connus des opposants voltaïques établis dans l’Hexagone ainsi que les précisions sur ce qui leur est respectivement reproché. Sans le dire ouvertement, c’est leur surveillance et, le cas échéant, leur « neutralisation » qui est demandée.
    « Nous ne vous demandons ni d’extrader ni d’expulser les intéressés, mais de vérifier la matérialité des griefs formulés à leur encontre par Ouagadougou et de leur faire comprendre qu’ils ne peuvent rester sur le territoire français s’ils ne mettent pas un terme à leur activité politique », explique Sankara.

    Malgré cela, les mêmes opposants sont à l’origine de deux incidents diplomatiques majeurs. Le 3 février 1984, lorsque Le Blanc est froidement reçu par le ministre des Affaires étrangères, Arba Diallo, et le 8 mars, lorsque le même diplomate est promptement éconduit par Sankara avant que deux officiers français ne soient expulsés. Motif ? « Les sympathies de la France pour certains opposants qui jouent de réseaux d’amitié dont ils disposent dans les milieux de la majorité politique française » et qui « prépareraient une tentative de déstabilisation », explique Sankara à Le Blanc (dépêche du 19 mars 1984). Des propos qui visent clairement Joseph Ki-Zerbo, proche du Parti socialiste. « Nos relations sont empoisonnées par le reproche qui nous est fait de ne pas apporter de restriction aux agissements des opposants présents sur notre sol », explique le diplomate à son département (télex du 19 mars 1984). L’amertume est d’autant plus grande pour Sankara qu’il pensait obtenir des socialistes, au pouvoir depuis mai 1981, une certaine convergence de vues : « Tant que ces malentendus persisteront, les relations entre nos deux pays ne pourront s’améliorer », affirme pour sa part le ministre des Affaires étrangères, Arba Diallo, présent à l’entretien. De fait, la mise au jour d’un complot en juin 1984 ne fait qu’assombrir ce contexte. Alors que plusieurs conjurés sont exécutés, cette tentative donne lieu à des rencontres explosives entre Le Blanc et les plus hautes autorités burkinabè. Des entretiens dont « il n’apprécie guère la tonalité ». Il parle même « d’une mise en cause particulièrement déplaisante », notamment lorsque Jean-Baptiste Lingani lui affirme que « des soupçons pèsent sur la France » (télex du 13 juin 1984).
    « Les relations entre nos deux pays vont-elles être encore longtemps soumises à ce qui me semble relever de l’obsession ? » lance-t-il au ministre. Problème : la tentative déjouée coïncide avec une visite officielle de Blaise Compaoré à Paris, qui reçoit un accueil polaire. Numéro deux du régime, il est à peine reçu au niveau ministériel. Quant au Parti socialiste, il refuse toute entrevue.
    À Ouaga, Sankara s’interroge sur la sincérité de Paris vis-à-vis de son régime. « Lorsque je vois l’empressement de la France à aider la Guinée ou le Mali, je m’interroge sur sa volonté de nous aider », s’interroge-t-il lors d’un entretien avec l’ambassadeur le 14 septembre 1984. Sankara se lance dans un réquisitoire estimant, au final, que les relations entre les deux pays restent « mauvaises » : « La France répond par des actes hostiles aux ouvertures que nous faisons dans sa direction. Le Parti socialiste, qui n’a jamais démenti son soutien à Ki-Zerbo, a infligé un camouflet à Blaise []. Vous vous contentez d’une situation de clandestinité avec nous. L’ostracisme dont nous faisons l’objet de la part des autorités françaises qui sillonnent l’Afrique suscite ici de très sérieuses questions. »

    Sans emportement, Sankara renchérit : « Comment nos rapports peuvent-ils s’améliorer ? Avons-nous une chance d’établir une compréhension mutuelle si la France se dérobe indéfiniment au dialogue ? Qu’avez-vous contre notre révolution ? Le discours tiers-mondiste de François Mitterrand [à Cancún au Mexique en 1982, NDLR] ne sert-il qu’à l’usage interne français et implique-t-il vraiment que, pour ce qui est de l’Afrique, on ne puisse bénéficier de la considération de la France que si l’on reste dans son giron ? »
    Médusé, son interlocuteur rétorque : « Monsieur le Président, le double langage et certaines dérives en matière de libertés individuelles et de droits de l’homme ne constituent pas forcément de grands éléments de séduction pour nous. Nous avons, par exemple, lieu de nous inquiéter sur la place que prennent certains pays étroitement liés à l’Union soviétique. »
    « C’est le droit du Burkina de s’adresser à ces pays. Mais c’est aussi celui de la France de s’inquiéter de ce qui pourrait résulter de ces rapprochements. [] Le double langage existe également du côté français. Les médias en particulier ont une attitude plus que déplaisante. Le correspondant de l’AFP est toujours à l’affût de ce qui ne va pas ici. Seule RFI affiche un louable souci d’objectivité. En matière de droits de l’homme, nous n’avons de leçons à recevoir de personne. Les exécutions du 11 juin sont une réponse à une tentative de déstabilisation qui aurait coûté beaucoup plus de vies humaines que celles des fusillés. En ce qui concerne les relations avec le bloc soviétique, nul n’a le droit de penser qu’elles ne sont pas conformes à un souci d’alignement. Si la France avait le souci d’être aussi présente que ces pays, il est bien évident que les orientations qui vous préoccupent ne connaîtraient pas le développement actuel. » Et Sankara d’ajouter : « Je suis profondément déçu par la France. »
    À la fin de l’entretien, l’ambassadeur lance, comme pour le tester :
    « Dois-je en tirer la conclusion que vous jugez la situation irrémédiable ?
    – Bien sûr que non ! Je suis déçu, mais je ne veux pas désespérer. » En raccompagnant son hôte, il ajoute : « Je viens d’adresser un cadeau accompagné d’un petit mot à Jean-Christophe Mitterrand pour sa petite fille, dont je viens d’apprendre le baptême par Le Canard enchaîné. »
    Radoucies, les relations franco-burkinabè ? Toujours est-il que Sankara continue d’exhorter Paris à reprendre le dialogue. « L’occasion est là. Il faut la saisir. Je n’aurai pas toujours les mains aussi libres qu’aujourd’hui. J’attends en échange une aide accrue en matière de coopération » (télex du 7 octobre 1984).

    L’avenir n’arrangera rien à cette incompréhension, même si, « d’une entreprise incertaine, la réalité de la révolution est devenue incontournable en Afrique de l’Ouest », continue de soutenir l’ambassade. Volontairement ou non, la France se révèle incapable de satisfaire les revendications élémentaires des autorités burkinabè. Le 26 novembre, les directeurs des banques locales sont convoqués et se voient signifier que les transferts d’opérateurs économiques français sont suspendus jusqu’à nouvel ordre. « Aucune explication n’a été donnée sur les raisons de cette initiative liée, à n’en pas douter, à l’avertissement déjà intervenu dans le contexte des préoccupations que suscitent ici nos dispositions à l’égard du projet de construction de barrage sur la Kompienga », écrit Le Blanc (télex du 27 novembre 1984). En décembre, Ouaga prend parti pour l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie, position affichée dans une lettre adressée à Edgar Pisani, nommé délégué du gouvernement français dans le territoire d’outre-mer, et ami de Sankara.
    L’apartheid est un autre sujet d’intenses frictions. Le Burkina voit d’un très mauvais il la visite en France d’abord du Premier ministre sud-africain Pieter Botha (juin 1984), puis celle du ministre des Affaires étrangères, Pik Botha (février 1985). Aussitôt, il adresse une lettre à François Mitterrand pour dénoncer « une complaisance coupable » (télex du 15 février 1985). Parallèlement, une protestation est envoyée au président de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), le Tanzanien Julius Nyerere. « C’est l’une de ces foucades dont le régime burkinabè est coutumier. La publicité donnée à ces initiatives [les lettres ont été lues sur les ondes nationales] est tout aussi inadmissible », estime l’ambassadeur (télex du 16 février 1985). Sur l’insistance de l’Union soviétique, certains partis d’obédience communiste, qui comptent des ministres au gouvernement, exigent du chef de l’État qu’il rompe les relations diplomatiques avec la France.
    Reçu le 27 février, deux semaines après sa demande d’audience, l’ambassadeur affronte un Sankara hors de lui. « Je ne comprends pas que vous receviez un homme aux mains dégoulinantes du sang des Noirs d’Afrique du Sud alors que vous avez refusé de recevoir Blaise Compaoré sous prétexte que ses mains dégoulinaient d’un sang dont je ne vois pourquoi je devrais avoir honte. » À l’issue de l’entretien, le chef de la révolution espère toutefois que les relations du Burkina avec la France ne pâtiront pas de cet incident : « Notre initiative répond avant tout au souci de parler à l’Afrique. » Le Blanc l’avertit : « Prenez garde contre les répercussions que de telles sorties sont susceptibles d’avoir sur les dispositions de la France » (télex du 28 février 1985).

    Mais la rupture est toujours soigneusement évitée. Bien que Sankara persiste dans le registre inquisiteur (lors d’un nouvel entretien avec l’ambassadeur le 13 juin 1985, il accuse la France d’armer le régime malien de Moussa Traoré), il réaffirme lors d’une autre entrevue, le 24 septembre 1985, que le Burkina est lié à la France par « tant d’attaches ». Le Blanc prétexte de la conférence internationale sur l’arbre et la forêt organisée à Paris en février 1986 pour lui suggérer de se rendre en France. Sankara accepte avec, cependant, une priorité : rencontrer François Mitterrand. « C’est d’une importance déterminante sur les relations entre nos deux pays []. Je ne demande rien de compliqué ni de formaliste, mais simplement un tête-à-tête sans cérémonie » (entretien téléphonique du 5 décembre 1985). Quelques mois plus tard, le chef de la révolution assiste bien à cette conférence, mais il ne pourra rencontrer son homologue.
    La défiance redevient une norme de comportement tout au long de l’année 1986, en particulier à partir du mois d’août, alors que se tendent les rapports avec la Côte d’Ivoire et le Togo. La thèse du complot extérieur bat son plein. À Paris, l’heure est à la cohabitation. Si le Burkina n’est pas « d’un intérêt majeur pour la France », selon Jean Audibert, conseiller de François Mitterrand chargé des affaires africaines, ce pays fait malgré tout l’objet d’une « surveillance ».
    En août 1986, Le Blanc, qui n’a plus de contact avec Sankara depuis plusieurs semaines, fait l’objet d’une demande de rappel immédiat, sans explication. Une requête qui n’aboutira pas, mais qui illustre la nervosité du CNR alors que la révolution se heurte à un nombre croissant d’écueils. La crispation atteint son paroxysme en novembre 1986, lors de la visite officielle de François Mitterrand à Ouagadougou, le 17 novembre, au lendemain du sommet France-Afrique de Lomé. « Cette venue devrait permettre de faire craquer le vernis révolutionnaire. Sankara ne ménagera pas ses attentions », estime le diplomate (télex du 7 novembre 1986). Des attentions certes, mais aussi un échange aigre-doux improvisé lors du dîner officiel. Tantôt chaleureux, tantôt virulent, Sankara interpelle son hôte sur le registre de la lutte antiapartheid. La réponse de Mitterrand ne se fait pas attendre : « C’est un homme dérangeant, le capitaine Sankara. [] Il ne vous laisse pas la conscience tranquille []. J’admire ses qualités qui sont grandes, mais il tranche trop. Il va plus loin qu’il ne le faut. Je l’encourage mais pas trop. Ce n’est pas parce qu’il y a une jeune équipe dérangeante, quelquefois un peu insolente, au verbe libre, que nous devons faire moins et nous retirer sur la pointe des pieds []. Vous avez 35 ans, j’en ai le double, il vous faudra mûrir. » Malgré cette réponse, Mitterrand est furieux. En France, c’est une levée de boucliers de la part des parlementaires qui fustigent « l’impertinence » du président du CNR. En décembre, l’approbation par le Burkina d’une résolution proposée par les pays du Pacifique tendant à accorder une large autonomie à la Nouvelle-Calédonie est vécue comme résolument hostile. Sankara est de plus en plus vilipendé.
    Faut-il y voir comme le début du déclin du chef du CNR ? En août 1987, une pause est décrétée dans la révolution. Jacques Le Blanc a terminé sa mission depuis le mois de juin. « La position du capitaine Compaoré est ambiguë », souligne-t-il dans son rapport de fin de mission : « On sait que c’est grâce à lui que le coup d’État d’août 1983 a réussi. Militaire dans l’âme, il affiche une répugnance pour les jeux politiques et se tient ostensiblement à l’écart de ces derniers, comme de la capitale, confortant ainsi la popularité [on dit Blaise mais Sankara] dont il jouit tant au sein de l’armée que dans l’opinion en se taillant progressivement un profil de recours ou d’arbitre au cas où » Prémonitoire ? Le 15 octobre 1987, Thomas Sankara est assassiné.
    http://www.jeuneafrique.com/79310/archives-thematique/sankara-et-la-france-secrets-de-famille/

  44. Je suis d’accord avec ANKA WILI qui dit que :Qu’est-ce qu’un Français peut bien nous dire de vrai dans les combines de la France au Mali ? Rien, qu’il aille se faire foutre, en partant qu’il n’oublie pas d’amener Barkhane avec lui.

  45. Je ne connais aucun africain précisément malien qui se dit satisfait de la géopolitique et/ou la géostratégie de la France en Afrique. Elle n’a aucune ressource minière. Elle se nourrit des sangs des innocents africains des guerres qu’elle engendre elle-même. Laissez-moi vous dévoilez les secrets de la France, tous ses secrets sur l’Afrique.
    La France joue un double rôle dans toutes ses anciennes colonies. Elle provoque l’incendie et se fait passer pour la secouriste. La France détient le continent africain jusqu’au cou. La scène est la suivante : La France est comme la pogne qui presse l’Afrique et se nourrit des sangs des africains ; c’est-à-dire que la France est une presse-sangs africains. Je rêve d’avoir aujourd’hui à la tête de tous les pays francophones d’Afrique des ex-dirigeants et actuels comme : Modibo Keïta du Mali, Sékou Touré de la Guinée, Kwame Nkrumah du Ghana, Zohra Drift et son époux de l’Algérie, Mouammar Kadhafi de la Libye, Paul Kagamé du Rwanda, Rober Mugabé de la Zimbabwe, Yahya Ndjamé de la Gambie, Mohandas Ghandi de l’Inde, Mohamed Morsi de l’Egypte, El Béchir et Salva kir des deux Soudans, Thomas Sankara du Burkina Faso, j’en passe. La France est le leitmotiv du printemps arabe, de la révolution libyenne, de la rébellion ivoirienne, de la rébellion malienne, de la révolution Egyptienne du Boko Haram du Nigéria, de la crise centrafricaine, etc.
    La France (Force de Rapatriement des Africain Non Connus par l’Europe) ou encore (Faible Race et Ami opportuniste non Négligeable Cherchant à Eliminer «FRANCE» l’Afrique). D’ailleurs tous les maux du Mali sont les faits de la France.
    Sarkozy n’a pas caché les aveux de la France en Côte d’Ivoire : «On a sorti Gbagbo, on a installé Alassane». La France est la Communauté lâche de l’Occident. J’ai appris dans l’histoire que l’Allemagne a infligé une sanglante défaite à la France, la faible puissance de cette époque. La France n’est puissante que contre l’Afrique, le continent sauveur de cette faible communauté. Sans l’Afrique il n’existe pas de France. Si seulement je pouvais, j’allais ressusciter le führer allemand de la 1ère guerre mondiale, Adolf Hitler pour qu’il fasse disparaitre la France pour Toujours. J’allais lâcher les bombes atomiques qu’ont utilisées les USA contre les villes japonaises, Hiroshima et Nagasaki. J’allais créer un camp de concentration des français comme l’a fait Hitler avec les juifs.
    😀 😀 😀 😀

  46. OLIVER QUEEN 😥 😥 😥 😥 😥 😥
    65 commentaires
    13 août 2015 à 15:56
    Tu as parfaitement raison, les vrais terroristes sont les français. Ils sont en complicités avec les terroristes, toutes les attaques perpétrées par les terroristes sont télécommandés par la France. Tant que la France sera au-devant de la scène dans la politico-sécuritaire cela ne prendre jamais fin. La France joue à un jeu de dupe avec l’Afrique et le Mali en particulier.
    😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥

  47. oui mec tu as raison , c’est la France qui a parachuté les djihadistes au Mali pour qu’ils gagnent du temps comment peut on etre aussi con.

  48. Lorsque Sékou Touré de Guinée décida en 1958 de sortir de l’empire colonial français, et opta alors pour l’indépendance du pays, l’élite coloniale française à Paris était s’est indignée, et dans un acte de fureur historique, demanda à son administration alors en place en Guinée de détruire, dans tout le pays, ce qui représentait, à leur yeux, les avantages de la colonisation française.
    Trois mille Français quittèrent le pays, en prenant tous leurs biens et détruisant tout ce qui ne pouvait être déplacé: les écoles, les crèches, les bâtiments de l’administration publique furent détruits, les voitures, les livres, les médicaments, les instruments de l’institut de recherche, les tracteurs ont été écrasés et sabotés; les chevaux, les vaches dans les fermes ont été tués, et les nourritures entreposées furent brûlées ou empoisonnée.
    Le but de cet acte scandaleux était bien évidemment, d’envoyer un message clair à tous les autres colonies sur les conséquences du rejet de la France.
    Le fait est que peu à peu, la peur s’empara des Élites Africaines, et après ces événements aucun autre pays ne trouva jamais le courage de suivre l’exemple de Sékou Touré, dont le slogan était “Nous préférons la liberté dans la pauvreté à l’opulence dans l’esclavage”.
    Pour les pays nouvellement indépendant il fallut trouver des compromis avec la France. Sylvanus Olympio, le premier président de la République du Togo, un petit pays d’ Afrique de l’Ouest, trouva une solution susceptible de calmer les Français :
    Ne voulant pas continuer à subir une domination française, il refusa de signer le pacte colonisation proposé par De Gaule, mais accepta en contrepartie de payer une dette annuelle à la France pour les soi-disant avantages obtenus lors de la colonisation française.
    Ce furent les seules conditions de la France pour ne pas détruire le pays avant de partir. Toutefois, le montant estimé par la France était si grand que le remboursement de la soi-disant « dette coloniale » était proche de 40 % du budget du pays en 1963.
    Dès lors, la situation financière du Togo tout juste indépendant fut très instable, et afin de se sortir de cette situation, Olympio décida de sortir du système monétaire mis en place par la France coloniale le FCFA ( franc des colonies françaises d’Afrique ), et créa la monnaie du pays.
    Le 13 Janvier 1963, trois jours après , qu’il ai commencé à imprimer les nouveaux billets, une escouade de soldats (soutenus par la France) s’empara et tua le premier président élu de l’Afrique indépendante : Olympio fut exécuté par un ex Légionnaire français, le sergent de l’armée Etienne Gnassingbé qui, au passage, reçu à ce moment une prime de 612 dollars de l’ambassade française locale pour le succès de sa mission.
    Le rêve de Olympio était de construire un pays indépendant et autonome. Mais l’idée ne correspondait pas aux volontés françaises.
    Le 30 Juin 1962, Modiba Keita, le premier président de la République du Mali , décida également de se retirer du système monétaire FCFA ( imposé à 12 pays africains nouvellement indépendants ).
    En effet, pour le président malien, qui se penchait plus vers une économie socialiste, il était clair que la colonisation qui perdurait avec ce pacte avec la France, devenait un piège, un fardeau pour le développement du pays.
    Le 19 Novembre 1968, comme, Olympio, Keita sera victime d’un coup d’état menée par un autre ex légionnaire français des Affaires étrangères, le lieutenant Moussa Traoré.
    De fait, durant cette période turbulente où l’Afrique combattait à se libérer du joug de la colonisation européenne, la France usera à nombreuse reprises de mercenaire anciennement affiliés à la légion étrangère pour réaliser des opérations coup de poings contre les présidents nouvellement élus :
    Au 1er Janvier 1966, Jean- Bedel Bokassa, ex légionnaire français, portait un coup d’état contre David Dacko, le premier président de la République centrafricaine.
    Le 3 Janvier 1966, Maurice Yaméogo, le premier président de la République de Haute-Volta, aujourd’hui appelé Burkina Faso, a été victime d’un coup porté par Aboubacar Sangoulé Lamizana, un ex légionnaire français qui a combattu avec les troupes françaises en Indonésie et en Algérie contre ces pays l’indépendance
    Le 26 Octobre 1972 Mathieu Kérékou qui était un garde de sécurité au président Hubert Maga, le premier président de la République du Bénin, a porté un coup d’état contre le président, après avoir fréquenté les écoles militaires françaises de 1968 à 1970.
    En fait , au cours des 50 dernières années, un total de 67 coups état qui se sont passés dans 26 pays en Afrique, 16 de ces pays sont des ex- colonies françaises, ce qui signifie que 61 % des coups d’états en Afrique ont été initiés dans d’anciennes colonies françaises.
    ALORS LES COLONIES FRANÇAIS SOUFRES A CAUSE DE LA FRANCE.

    .

  49. Que fait la France en Afrique ?
    La Françafrique, ou la face cachée de la politique française en Afrique
    Guerres civiles, dictatures, pauvreté, analphabétisme, malnutrition… La situation catastrophique de l’Afrique francophone soulève de nombreuses questions. Pourquoi tant de misère dans des pays si riches en matières premières ? A qui profite l’argent du pétrole, de l’uranium, du bois, des minerais ? Comment expliquer la présence permanente de l’Armée française dans ses anciennes colonies ? Pour quelles raisons le gouvernement français reçoit-il, avec tous les honneurs de la République, des dirigeants africains parvenus au pouvoir par des coups d’Etat ou des élections truquées ?
    Les pays africains doivent se donner le temps de médire sur ces questions ci-dessus.

  50. La France n’a pas d’amis, mais des intérêts. Cela est tout fait vrai, ce pays s’est toujours avéré être l’ami du Mali alors que ça n’a jamais été le cas. La France ne vise que les richesses du nord, le pétrole, l’Uranium, l’Or, le Zinc….elle veut mettre la main sur tous ces biens. Bien avant son élection à la tête de la magistrature suprême, la France n’a pas cachée ses intentions envers lui. Pour motif, IBK a toujours été ferme envers la communauté internationale précisément la France.

  51. C’est pour cela qu’on peut accusé la MINUSMA de certaines attaques qui se font au Mali, cela fait partir des politiques de guerre pour que cette MINUSMA reste toujours au Mali.

  52. Tous ces attaques sont perpétré dans le seul but d’intimidé l’Etat et sa population, c’est pour déstabiliser le pays et ensuite tirer profit de la situation. Le gouvernement met tous en n’œuvre pour mettre fin à ces actes ignobles, tous maliens doivent se donner la main pour combattre les ennemis.

  53. Si réellement le but de la France était d’aider le Mali à combattre le terrorisme, présentement où on parle il n’y allait avoir aucune présence de terroriste chez nous. La réalité est dure à entendre mais il faut l’admettre que la France est de mèche avec les terroristes. N’oublions pas qu’elle a des intérêts sur lesquels elle veille. On n’a pas besoin de les citer parce que nous savons tous de quoi je fais référence. Que Dieu protège le Mali de ses ennemis ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗
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  54. La MINUSMA ne peut dire d’autres, ce sont les mêmes qui se promènent dans nos bar, hôtels et restaurants de grandes de hautes marques.
    La MINUSMA est en train de passé des moment en fleure ici au Mali,et la fin de guerre correspondra à la fin de cette belle vie de la MINUSMA.

  55. La France était-elle impliquée dans le meurtre de Thomas Sankara ?
    Les restes de l’ex-président révolutionnaire du Burkina, tué en 1987 lors du coup d’Etat qui a porté Blaise Compaoré au pouvoir, ont été exhumés mardi
    Les faits – Le 15 octobre 1987 à 16h45, le capitaine Sankara, alors chef de l’Etat, était tué par ses frères d’armes devant la villa du Conseil de l’entente, siège du Conseil national de la révolution (CNR), alors qu’il y présidait une réunion. Son corps a été exhumé mardi par la justice militaire burkinabè qui a ouvert une enquête, en mars dernier, à la demande des autorités de transition qui ont cédé à la pression populaire.

    Ce jour-là, Thomas Sankara portait un survêtement rouge avec des rayures noires. Telles sont les découvertes faites par l’équipe chargée de procéder à l’exhumation, mardi matin, du corps de l’ancien président révolutionnaire. « Après 27 ans, les opérations sont aussi minutieuses qu’une fouille archéologique, explique Me Bénéwendé Sankara, avocat de la famille de l’ex-chef de l’Etat. Son corps avait été posé à même le sol dans la tombe. Il n’y a plus que des morceaux de tissus et des ossements ». Depuis lundi, la justice militaire exhume aussi les corps de douze de ses proches, tués le même jour, qui sont enterrés au cimentière de Daghnoen dans la banlieue de Ouagadougou, en présence des familles. Outre la vérification des identités des défunts, les experts recherchent des projectiles ou des balles pour éclaircir le mystère de leur mort.

    Promesse des autorités de transition, la réouverture de l’affaire Sankara a été confiée à la justice militaire qui a ouvert en mars une enquête. Le juge d’instruction a fait appel à deux experts burkinabés près la Cour d’appel de Ouagadougou, le professeur Robert Soudré et le Dr Norbert Ramdé, ainsi qu’au Français Alain Miras, médecin légiste expert près la Cour d’appel de Bordeaux, pour les exhumations.

    Le régime de Blaise Compaoré, renversé fin octobre 2014 par une insurrection populaire, avait refusé la poursuite des enquêtes sur les circonstances du meurtre. Cela fait pourtant des années que Mariam Sankara, la veuve du défunt, et ses enfants mènent ce combat. Ses fils, Philippe et Auguste, ont récemment fourni des échantillons d’ADN qui seront comparés à celui des restes de leur père. Et Mariam Sankara a été longuement entendue, le 18 mai, par le juge militaire en charge de l’affaire. Son retour au pays a été triomphal et sert de catalyseur aux partis sankaristes. Son avocat, Bénéwendé Sankara (aucun lien de parenté), a été désigné le 17 mai comme candidat à la présidentielle d’octobre prochain, lors d’une convention réunissant neuf partis politiques et des associations qui se revendiquent de l’ancien capitaine de la révolution.

    Arrivé au pouvoir à la faveur d’un coup d’Etat orchestré avec son frère d’armes Blaise Compaoré, en août 1983, Thomas Sankara développe un discours nationaliste et populaire bien loin des us et coutumes de chefs d’Etat du pré-carré français comme l’ivoirien Felix Houphouët-Boigny. Sankara s’en prend directement à l’ancienne puissance coloniale, dénonçant l’ex-métropole comme le principal frein au développement de l’Afrique.
    Au fil des années, ses rapports se détériorent avec Blaise Compaoré, qui s’est amouraché de Chantal Terrason de Fougères, une riche héritière franco-ivoirienne devenue son épouse. Compaoré est le grand bénéficiaire de la mort de Thomas Sankara puisqu’il hérite du pouvoir. La famille du défunt et ses proches collaborateurs semblent persuadés que Compaoré a commandité son assassinat – ce que ce dernier a toujours nié – avec la bénédiction de la France et de la Côte d’Ivoire. A l’époque Felix Houphouët-Boigny et François Mitterand sont au pouvoir mais la France est en pleine cohabitation, Jacques Chirac étant le Premier ministre de Mitterrand, lequel s’est rendu au Burkina Faso en 1986. Son homologue burkinabé l’agace avec ses discours anti-impérialistes mais de là à le faire assassiner… Selon un témoin socialiste de l’époque, Mitterrand aurait même envoyé deux émissaires au président burkinabé pour le prévenir qu’il courait de grands risques.
    « Il faut plutôt y voir la main des réseaux Foccart et ceux du président Houphouët-Boigny », précise l’un des émissaires. Une hypothèse jamais confirmée par les historiens, Français comme Ivoiriens, qui ont débriefé les anciens compagnons de Foccart et du président de Côte d’Ivoire. Pour l’avocat de Thomas Sankara, la France doit en tout cas laisser la justice burkinabé accéder à ses archives pour permettre à la vérité de se manifester. L’avocat demande également l’audition de Blaise Compaoré, qui vit en exil en Côte d’Ivoire, et de Gilbert Diendéré, son ancien chef d’état-major particulier, qui a aussi dirigé la garde présidentielle et les renseignement généraux. Encore en vie, ce dernier a été aperçu par des témoins sur les lieux du crime après la tuerie du 15 octobre 1987.
    http://www.lopinion.fr/26-mai-2015/france-etait-elle-impliquee-dans-meurtre-thomas-sankara-24590

  56. Mes sincères condoléances aux victimes de guerre, que la terre leur soit légère et aussi prompt rétablissement à tous les malades. Tous les maliens leurs sont reconnaissants et nous saluons leurs actes, car elle dérive du courage et du bon sens du patriotisme. Seul le bon Dieu s’aura vous rendre ce qui vous est de droit.

  57. Si la MINUSMA se permet de dire que leurs mission n’est pas de combattre les terroristes au Mali, alors ils n’ont aucune raison de rester une minute de plus au Mali. Le Mali est en guerre avec des terroristes, cette guerre n’as pas besoin d’aucune assistance où autre escroquerie de la part d’une autre force. On ne peut pas se dire être du côté du voleur et en même temps défendre la victime.

  58. KAR KAR tu tapes fort dèh va doucement avec la racaille sinon. Un conseil d’ami commence a partager ton héritage s’il y’en a, une fois que tu disparais de la circulation ne cherche pas loin. C’EST LA FRANCE LE VRAI REBELLE.

  59. Toutes ces attaques terroristes contre l’armée malienne est la faute de la France. Elle donne l’impression d’être là, sur notre territoire, pour nous sauver alors que c’est elle qui tue nos pères, frères et amis. Il est temps qu’elle quitte notre pays car nous en avons plus que marre de devoir supporter qu’elle expose nos soldats à la mort. Comme le dise les bambaras, France ye Mali yele yirila ka kila kadjoutikèni an ye.

  60. Je commence à croire que la France soit à la base de nos malheurs. Les attaques terroristes et les mouvements Touaregs et rebelles nous laissent des traces qui les inculpent.

  61. La charte secrète en faveur de l’exploitation des pays pauvres
    Selon un document confidentiel et découvert au «Musée royal de l’Afrique centrale», à Tervuren, une commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande, dans la province du Brabant flamand, les Occidentaux avaient déjà programmé l’exploitation des pays pauvres et le massacre de leurs habitants depuis la « traite négrière » à Washington. Le document historique qui suit est la preuve que les dirigeants occidentaux ne seront jamais poursuivis pour tous les crimes qu’ils commettent dans le monde.

    LA CHARTE DE L’IMPÉRIALISME
    La présente «charte» a été élaborée à Washington pendant la«traite négrière», ensuite discrètement négociée à la «conférence de Berlin en 1885» pendant que les puissances Occidentales se partageaient l’Afrique ; renégocié secrètement à Yalta au moment du partage du monde en deux blocs après la deuxième guerre mondiale et pendant la création de la « Société des Nations», l’ancêtre de l’« ONU ». Source : « Musée de Tervuren [*] » et envoyé par : Jean-Jacques Ngangweshe.

    I. DISPOSITION GÉNÉRALE
    Article 1° :
    De la Devise : – Devise de l’impérialisme : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.
    Article 2° :
    Aucun pays du tiers-monde ne constitue un Etat souverain et indépendant.
    Article 3° :
    Tout pouvoir dans les pays du tiers-monde émane de nous, qui l’exerçons par la pression sur les dirigeants qui ne sont que nos marionnettes. Aucun organe du tiers-monde ne peut s’en attribuer l’exercice.
    Article 4° :
    Tous les pays du tiers-monde sont divisibles et leurs frontières déplaçable selon notre volonté. Le respect de l’intégrité territoriale n’existe pas pour le tiers-monde.
    Article 5° :
    Tous les dictateurs doivent mettre leurs fortunes dans nos banques pour la sécurité de nos intérêts. Cette fortune servira des dons et crédits accordés par nous comme assistance et aide au développement aux pays du tiers-monde.
    II. DU RÉGIME POLITIQUE
    Article 6° :
    Tout pouvoir et gouvernement établi par nous est légal, légitime et démocratique. Mais tout autre pouvoir ou gouvernement qui n’émane pas de nous est illégal, illégitime et dictatorial, quelle que soit sa forme et sa légitimité.
    Article 7° :
    Tout pouvoir qui oppose la moindre résistance à nos injonctions perd par le fait même sa légalité, sa légitimité et sa crédibilité. Il doit disparaître.
    III. DES TRAITES ET DES ACCORDS
    Article 8° :
    On ne négocie pas les accords et les contrats avec les pays du tiers-monde, on leur impose ce qu’on veut et ils subissent notre volonté.
    Article 9° :
    Tout accord conclu avec un autre pays ou une négociation sans notre aval est nulle et de nul effet.
    IV. DES DROITS FONDAMENTAUX
    Article 10° :
    Là où il ya nos intérêt, les pays du tiers-monde n’ont pas de droit, dans les pays du sud, nos intérêts passent avant la loi et le droit international.
    Article 11° :
    La liberté d’expression, la liberté d’associations et les droit de l’homme n’ont de sens que dans le pays où les dirigeants s’opposent à notre volonté.
    Article 12° :
    Les peuples du tiers-monde n’ont pas d’opinion ni de droit, ils subissent notre loi et notre droit.
    Article 13° :
    Les pays du tiers-monde n’ont ni culture ni civilisation sans se référer à la civilisation Occidentale.
    Article 14° :
    On ne parle pas de génocide, de massacre ni des « crimes de guerre » ou des « crimes contre l’humanité » dans les pays où nos intérêt sont garantis. Même si le nombre des victimes est très important.
    V. DES FINANCES PUBLIQUES
    Article 15° :
    Dans les pays du tiers-monde, nul n’a le droit de mettre dans leurs banques un plafond d’argent fixé par nous. Lorsque la fortune dépasse le plafond, on la dépose dans l’une de nos banques pour que les bénéfices retournent sous forme des prêts ou d’aide économique au développement en espèce ou en nature.
    Article 16° :
    N’auront droit à l’aide précitée, les pays dont les dirigeants font preuve d’une soumission totale à nous, nos marionnettes et nos valets.
    Article 17° :
    Notre aide doit-être accompagnée des recommandations fortes de nature à empêcher et briser toute action de développement des pays du tiers-monde.
    VI. DES TRAITES MILITAIRES
    Article 18° :
    Nos armées doivent être toujours plus fortes et plus puissantes que les armées des pays du tiers-monde. La limitation et l’interdiction d’arme des destructions massive ne nous concerne pas, mais les autres.
    Article 19° :
    Nos armées doivent s’entraider et s’unir dans la guerre contre l’armée d’un pays faible pour afficher notre suprématie et se faire craindre par les pays du tiers-monde.
    Article 20° :
    Toute intervention militaire a pour objectif de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
    Article 21° :
    Toute opération d’évacuation des ressortissants des pays Occidentaux cache notre mission réelle, celle de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
    VII. ACCORDS INTERNATIONAUX
    Article 22° :
    L’ONU est notre instrument, nous devons l’utiliser contre nos ennemis et les pays du tiers-monde pour protéger nos intérêts.
    Article 23° :
    Notre objectif est de déstabiliser et détruire les régimes qui nous sont hostiles et installer nos marionnettes sous la protection de nos militaires sous la couverture des mandats des forces de l’« ONU ».
    Article 24° :
    Les résolutions de l’« ONU » sont des textes qui nous donnent le droit et les moyens de frapper, de tuer et de détruire les pays dont les dirigeants et les peuples qui refusent de se soumettre à nos injonctions sous la couverture des résolutions du Conseil de Sécurité de l’« ONU».
    Article 25° :
    Notre devoir est de maintenir l’Afrique et d’autres pays du monde dans le sous-développement, la miser, la division, les guerres, le chaos pour bien les dominer, les exploiter et les piller a travers les Missions de Nations-Unies.
    Article 26° :
    Notre règle d’or est la liquidation physique des leaders et dirigeants nationalistes du tiers-monde.
    Article 27° :
    Les lois, les résolutions, les cours et tribunaux des « Nations-Unies » sont nos instruments de pression contre les dirigeants et les leaders des pays qui défendent les intérêts de leurs peuples.
    Article 28° :
    Les dirigeants des puissances Occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêter ni incarcérer par les cours et tribunaux de l’« ONU », même s’ils commettent des « crimes de guerre », de « génocide» ou des « crimes contre l’humanité ».
    NOTE :
    [*] À Tervuren se trouve le « Musée royal de l’Afrique centrale », Tervuren (anciennement Tervueren et également en français) est une commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande dans la province du Brabant flamand. C’est la seule commune périphérique de la Région de Bruxelles-Capitale à être située dans l’arrondissement de Louvain (les autres sont situées dans l’arrondissement de Hal-Vilvorde). Elle compte environ 20 600 habitants.
    http://infoscotedivoire.net/fr/articles/politiques.php?id_article=338

  62. Plusieurs villes du Nord-Mali sont tombées sous le contrôle des rebelles touaregs ces derniers mois. (AFP)
    Bien que Laurent Fabius affirme qu’il n’y aura pas de troupes au sol, un renfort humain pourrait-il également être envoyé ?
    On peut tout à fait envisager l’intervention d’hommes issus des forces spéciales. En revanche, il semble difficilement imaginable d’envoyer des forces terrestres, chargées de stabiliser la situation dans les villes. Ce serait une mauvaise idée car un déploiement de soldats français motiverait encore plus les djihadistes à faire la guerre. Il s’agirait alors d’aller affronter le militaire occidental, qui symbolise l’ennemi juré. De plus, le territoire est très vaste, environ 800.000 km². La difficulté principale n’est donc pas de reprendre les villes aux islamistes, mais de pouvoir d’assurer durablement leur sécurité et leur contrôle, et d’aller ensuite tenter de neutraliser les islamistes dans les vastes espaces désertiques du Nord-Mali.
    Ce n’est pas impossible, mais cela demande un investissement en hommes extrêmement important. C’est d’ailleurs là toute la difficulté pour l’armée malienne : comment parvenir à assurer le contrôle de ces zones, face à des ennemis certes aguerris et bien armés, mais surtout extrêmement mobiles. La mobilité et la connaissance intime du milieu humain du Nord-Mali sont les deux clés d’une solution militaire. C’est donc d’abord à l’armée malienne que revient ce travail, et elle doit être notamment soutenue dans ses capacités à se mouvoir rapidement.
    Quelles seraient les conséquences d’un tel soutien pour les six otages français retenus au Sahel ? Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a menacé de les tuer si la France intervient dans le conflit malien…
    En appuyant, mardi, depuis la tribune de l’ONU, l’idée d’un soutien logistique à l’armée malienne, François Hollande a déjà répondu à Aqmi. Mais il n’est pas certain que cet appui pèse sur le sort des otages. Aqmi continuera de toute façon à exercer cette menace car c’est une vraie arme de communication contre l’Etat français. Cela peut aussi devenir une monnaie d’échange pour l’organisation si le rapport militaire tournait demain en défaveur des islamistes au Nord-Mali. Les ravisseurs n’ont pas intérêt à les exécuter puisque le rançonnement constitue la principale ressource d’Aqmi. Mais il faut également se rappeler qu’Abou Zeid, l’un des leaders d’Aqmi, n’a pas hésité à faire exécuter déjà deux otages occidentaux.
    Propos recueillis par Adrienne Sigel
    Par BFMTV – Le 26/09/2012 à 20:15

  63. France =Minusma, elles sont les mêmes, toujours détenteurs des discours et paroles creux. Alors qu’elles sont en train de faire tous leurs possibles pour exterminer l’armée malienne. Nous savons pourquoi l’opération Barkhane est là sur le sol malien.

  64. La France est le pire cauchemar du Mali, elle n’a jamais aimé le Mali. Elle semblant de nous prouver le contraire ici sur le sol malien, tandis qu’elle le véritable mentor des bandits armées aux nord. C’est la France seule la France qui suscite les attaques partout au Mali pour déstabilisé le régime d’IBK et s’emparé des tas de richesses qui animent les régions du nord Mali.

  65. Bien vrai que la France est venu nous sauver mais elle est venu sauver plus précisément les 4600 ressortissants français qui y se trouvaient ici en ce temps.

  66. Toutes les crises auxquelles nous faisons face sont engendrées par la France, elle a détruit la Tunisie, mit le feu en Égypte, anéanti la Libye et maintenant c’est autour de notre pays de faire face à son besoin répressif de sang africains !!! Et elle n’arrêtera pas avant de détruire complètement l’Afrique tout entière !!!

  67. La France est le pire ennemi du Mali, elle n’a jamais aimé le bonheur de ce pays. Elle est toujours cachée derrière les rebelles pour mener ces actes. La fermeté et la bravoure du président IBK reste une forte menace pour la France. Car elle ne pourra jamais s’installé comme elle a toujours souhaité sur notre territoire.

  68. #A bas la France !!!
    #A bas François Hollande !!!
    #A bas les Ministres Français !!!
    #A bas la Minusma !!!
    #A bas tous les ennemis du Mali !!!

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