ALGER – Le gouvernement malien et lAlliance démocratique du 23 mai pour le changement ont lancé samedi à Alger un appel pressant à l’arrêt des hostilités au nord du Mali pour privilégier dialogue et concertation, selon des sources proches du dossier citées par l’agence APS.
L’appel a été lancé suite à une rencontre du 2 au 4 février à Alger entre une délégation du gouvernement malien, conduite par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale Soumeylou Boubeye Maïga, et une délégation de lAlliance démocratique du 23 mai pour le changement, dont des membres combattent aux côtés du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) contre l’armée dans le nord malien.
Cet appel se place dans le cadre de la Facilitation de lAccord dAlger du 4 juillet 2006, un accord conclu entre l’Alliance du 23 mai et le gouvernement malien, sous l’égide de l’Algérie et qui n’a toujours pas été entièrement rempli.
Depuis le 17 janvier, le MNLA et d’autres rebelles touareg mènent dans le nord malien une offensive visant, selon un porte-parole du mouvement, à libérer le peuple de l’Azawad de l’occupation du Mali. L’Azawad est une région naturelle considérée comme le berceau des Touareg.
Les rebelles ont attaqué plusieurs villes: Ménaka, Aguelhoc et Tessalit, puis Léré et Niafunké faisant plusieurs morts et blessés et provoquant l’exode de milliers de personnes, notamment vers les pays voisins.
Pendant que les négociations se tenaient à Alger dans la plus grande discrétion, les combats se sont poursuivis vendredi et samedi dans la région de Tombouctou (nord-ouest). L’armée a affirmé samedi soir avoir tué une vingtaine de rebelles touareg et en avoir fait prisonniers une dizaine.
Les militaires ont affirmé n’avoir enregistré de leur côté aucune perte.
Dans ce contexte, les deux parties ont lancé à Alger un appel pressant à un arrêt des hostilités et à privilégier le dialogue et la concertation comme moyens à même de permettre de faire prendre en charge les aspirations des populations du nord du Mali.
Enfin toutes deux ont rappelé que ces événements ne sauraient écarter la véritable menace du terrorisme et du crime transnational organisé qu’il faut combattre sans concessions.
Le récent retour au Sahel d’anciens combattants touareg armés et alliés au régime déchu du colonel libyen Mouammar Kadhafi a suscité nombre d’inquiétudes alors qu’Al-Qaïda du Maghreb islamique (Aqmi) opère dans toute la zone où il a réussi à dissimuler neuf otages Européens.
Le Facilitateur algérien, non identifié, a indiqué que des dispositions sont en voie de mise en place pour répondre aux graves conséquences humanitaires provoquées par les combats par le recours aux institutions nationales des Croissant et Croix rouges.
(©AFP / 05 février 2012 01h37)
Vous vous foutez de nous ou quoi, avez vous déjà vu un problème de rébellion resolu par des négociations? le MALI n’a rien à foutre des negociations de soumeïlou boubeye maïga ni de qui que ce soit, à chaque fois que les rebelles ont le feu au cul ils démandent de négocier, ATT et sa bande peuvent aller au diable et laisser les Maliens gérer leur problème, si nous dévons mourir en defendant le MALI, alors qu’il en soit ainsi.
Pas de négociation avec des assassins! prenons l’exemple sur le Sri lanka qui a fini avec la rébellion des tigres tamouls en 2009….soit on est faible et la négociation en temps de guerre est l’apanage des faibles, soit on en finit une bonne fois pour toute!
1)Nous disions et nous l’avions toujours dit que l’exécutif malien sous la demande du législatif devait rapidement déclarer l’état d’urgence dans toute la zone Nord y compris la zone du Ouagadou et d’y envoyer l’armée pour ratisser toute la zone en vue d’arrêter tout suspect de faire passer de vie à trépas ceux parmi les déserteurs lâches de l’armée libyenne ou ceux parmi les touaregs maliens venus de Libye ou ceux des maliens vivants au Nord qui auraient des velléités rebelles ou indépendantistes ou ceux parmi les islamistes vivants dans le Ouagadou qui refuseraient de quitter le Mali Nous disions que l’armée pouvait se faire aider par le mouvement patriotique d’auto-défense « le GANDAKOYE » qui a 1bonne connaissance de la zone Nous disons que des mandats d’arrêt internationaux ou appels doivent être également lancé à l’encontre de toutes les personnes qui soutiennent ou soutiendront ces dites velléités aux fins de les mettre hors d’état de nuire
2)Nous disons quelle est cette armée où 1soldat ou 1officier peut déserter rejoindre l’armée ennemie et après revenir reprendre sa place sans aucune sanction Nous disons qu’il est temps que cette inconscience ce laxisme ce favoritisme cesse au nom de la rigueur et de la responsabilité Comment 1armée responsable peut elle garder en son sein ses pires ennemies soit disant au nom de la paix Nous demandons aux vrais soldats de ne plus accepter de ce état de fait Nous disons que l’ennemie doit être toujours mis hors d’état de nuire par tout les moyens Nous disons également que tout déserteur allant rejoindre l’armée ennemie doit être traduit devant la cours martial et condamné à la peine capital ou la peine à perpétuité et il est inhumain et irresponsable d’envoyer des soldats se battre sans moyens conséquents Nous disons que les responsables de cela doivent passer devant la justice à la demande des parents des soldats
3)Nous disons qu’il est temps que l’exécutif et le législatif maliens cessent d’être pris en otages par ces « Touaregs paresseux sans foi ni loi » au nom du développement de leur région Nous disons que le développement des autres régions est le fait du dynamisme du labeur au travail de leurs populations et aussi grâce à l’argent des émigrés issus de ces zones car le Mali est classé parmi les pays les +pauvres de ce monde Nous disons qu’il est temps pour ces « Touaregs paresseux » d’utiliser l’argent destiné à l’achat des armes l’argent issu de leur émigration à créer des projets régénérateurs de revenues dans leur zone et de se mettre au travail Nous disons que les armes n’apportent que faim misère maladie mort hyper retard dans leur région Nous disons que c’est triste déshonorant paresseux triste et ignoble d’attendre toujours l’aide d’autrui des autres
4)Nous disons encore 1fois que l’exécutif et le législatif maliens doivent mettre de côté leurs intérêts politiques personnels familiaux égoïstes et primaires aux fins de résoudre 1fois pour toute ce problème des rebelles touaregs et les Suppôts de Satan d’Aqmi car aucun exécutif et législatif étrangers ne viendront faire ce travail à leur place Nous disons que le temps des dialogues est dépassé il faut opter pour la solution finale Nous disons que s’ils en sont incapables ils doivent démissionner selon la déontologie démocratique Nous disons au cas ils refusaient de démissionner sans résoudre ce problème avant les futures élections présidentielles nous demandons au peuple malien de sanctionner tous les membres de l’exécutif (gouvernement) et du législatif (assemblée nationale) qui seront candidats en ne les votant pas
Ceci peut être une bonne nouvelle car rien ne vaut la paix dans cette vie. Dans la guerre il n’y a que des perdants.
Mais les questions qui restent toujours sont: Est-ce que les hostilités ne risquent pas de reprendre après cette négociation? Comme ça été toujours le cas. N’est-il pas finalement mieux de combattre ces rebelles jusqu’à en finir une bonne fois, afin de passer à d’autres choses? N’est-il pas mieux de transferer pour de bon l’essentiel de l’armée au Nord comme c’était le cas avant?
Sinon rien ne vaut la paix, j’invite surtout les Maliens à rester determinés et fermes, mais surtout de ne pas confondre nos parents touaregs et arabes aux rebelles. Car les enemis ne cherchent que ça: briser cette unité pour se donner un peu de force.
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