Certains n’excluent pas que cela soit fait de manière délibérée pour permettre à la CMA de réoccuper la ville. Ainsi, suite aux constats faits hier par une mission de l’Equipe Mixte d’Observation et de Vérification (EMOV) les narco-séparatistes sont à plus de 80 km de la ville.
Pour se positionner à 20 km comme le prévoit l’arrangement sécuritaire, ils doivent dépasser les éléments des forces séparatistes qui sont à 60 km de la ville de Ménaka. Notons qu’au cours de cette mission, il a été également constaté les multiples violations et exactions commises par la CMA contre de paisibles civils.
Il convient de préciser qu’il y a environ une vingtaine de portes d’entrée dans la ville de Ménaka.
Toutes sont contrôlées minutieusement par des éléments de la plateforme des mouvements patriotiques. Seule une est aux mains des militaires maliens, lesquels estiment qu’il leur est impossible en l’état actuel de contrôler la ville sans les mouvements de la plateforme. Pourquoi donc insister pour que ces derniers se retirent de la ville, alors que leur présence est réclamée par les habitants et bien sûr souhaitée par les militaires maliens présents sur les lieux?
Massiré DIOP
Je vois pourquoi la CMA veut que le GATIA quitte définitivement à Ménaka, parce que leur armes passent par le chemin de la cercle de Ménaka, donc quant la route est barré ils ont sous embargo donc il ne peut plus transporter des armes vers Kidal
le GATIA ne quittera pas ménaka au profil de qui que se soit au nom de quelle paiX,
LES EFFORTS CEST DANS LES DEUX SENS QUIL QUITTE KIDAL LA CMA AUSSI
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