En termes de résultat, chacune des parties a eu l’occasion d’interagir avec l’autre, de mettre ses demandes et ses propositions sur la table et aussi de donner à la médiation en cette période d’interruption le temps de travailler sur la base des propositions mises sur la table et faire un travail de rapprochement pour créer un maximum de convergence.
Ce travail de la médiation sera soumis aux différentes parties au bout des quatre semaines à la mi-octobre à la reprise des discussions. Donc, pour Abdoulaye Diop, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et de l’Intégration africaine, qui s’est exprimé hier dans “L’Indépendant”, “il faut donc que l’on comprenne que nous ne sommes qu’au début. L’important, c’est de savoir que nous sommes engagés. Le dialogue n’est pas rompu et nous sentons de la part de tout le monde, malgré les petits incidents qu’on voit ici ou là, un engagement pour parvenir à la paix”.
En tout cas, cet agenda est d’ores et déjà remis en cause.
Y. C.