Depuis que l’armée malienne, appuyée par les forces françaises, a entrepris la reconquête des régions dans le nord de notre pays, les défenseurs des droits de l’homme sortent de nulle part pour accuser les militaires maliens d’exécutions sommaires. Cette chanson, nous la connaissons bien. Elle sert généralement à fragiliser partout les ressorts de la cohésion sociale.
Après avoir accusé notre armée d’amateur, sous équipée, mal formée, nos détracteurs ne manquent jamais d’imagination pour tirer à boulets rouges sur nous. La nouvelle trouvaille : les militaires du Mali ne connaissent ou ne maîtrisent aucune notion liée à la protection des droits de l’homme. C’est pourquoi ils se livrent à des violations des droits de l’homme dans des zones qu’ils contrôlent.
Malheureusement, les témoignages, des soi- disant partisans des droits de l’homme, sont pour la plupart recueillis auprès des gens qui ont préféré battre le pavé des capitales occidentales en mettant leur intelligence au service du mal au lieu de participer au développement de leur pays.
Le hic est qu’aucune des organisations des droits de l’homme qui s’agite sur les médias ne saurait dire qu’elle a envoyé une équipe enquêtée sur les cas d’exécutions sommaires dont se serait coupable notre armée. Elles gagneront en crédibilité en enquêtant sur le terrain.
On n’est surpris des réactions des défenseurs des droits de l’homme au moment où la France, engagée dans le combat au côté de l’armée malienne pour traquer des bandits armés qu’on diabolise nos forces de défense et de sécurité.
Où étaient- elles quand leurs protégés revendiquaient fièrement le massacre de Aguel Hoc ? Elles doivent prouver leur bonne foi en condamnant ce massacre et de faire en sorte que leurs responsables répondent de leurs actes devant les tribunaux internationaux. Au lieu de divertir le peuple malien qui n’a qu’un seul souci : la libération du Nord .
Dans une de nos parutions de décembre 2012, on avait attiré l’attention de l’opinion que Human Rigths Watch, à travers son rapport publié le 16 décembre, préparait les esprits à un génocide au Mali.
Aujourd’hui, les faits sont patents. C’est un complot qui se prépare encore contre notre peuple. Ces faits de violations des droits de l’homme, d’exactions, d’exécutions serviront des points de négociations «pour leurs amis touaregs», selon l’expression du ministre français de la Défense, pour la partition de notre pays.
Yoro SOW
Chers internautes, ce Yoro n’est pas le seul, loin de là, à porter ce chauvaunisme trop lour pour leur tête – parce que si on voit son pays bruler de la sorte sans bouger du pétit doigt pour la défendre, on dst mal fondé à faire la lécon de droit à ceux qui sont venus nous libérer. c’est à peine si j’arrice à contenir ma colère tant le mali est aussi continental physiquement que la reflexion de certains faux intellectuels est minable. HRW a fait ce travail de dénonciation de l’armée américaine en afghanistan, en irak, erst-ce parce qu’ils sont contre leur propre armée ? L’armée malienne elle-même s’est abstenue de démentir catégoriquement ces “allégations”, prenant la précaution d’avertir ses troupes et d’assurer les ONG que des cas, si’ils sont averés, ne resteraient pas impunies. Quelle est l’engouement de ces journalistes miniatures à s’exprimer de la sorte ? Dommage pour le Mali.
Article nul et menteur, ultrapatriotisme mal placé…
Les ONG en question enquêtent sur le terrain bien plus que ce journaliste inutile qui déblatère sans aucun élément de preuve.
L’autocritique et l’envie de progresser manquent trop au Mali…
@MoussaS:
“L’autocritique et l’envie de progresser manquent trop à l’Afrique”
Jusqu’à un point très inquiétant.
Ce Yoro Sow mérite d’être arrêté pour incitation à la haine. 👿
@ LA RÉDACTION DE MALIWEB:
Pourquoi autorisez-vous la publication de tels torchons sur votre site? Vraiment, ça entache votre crédibilité.
Les maliens ont réglé son compte à M. Yoro Sow sur un autre article-torchon qu’il avait eu le culot d’écrire.
J’espère que cette fois-ci nous le renverrons là où il mérite d’être (en tout cas pas sur Maliweb).
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