A la rencontre au CICB, il y avait les représentants de la mouvance présidentielle et de l’opposition, tout comme ceux de la société civile. On peut dire que la montagne a accouché d’une souris car, l’objectif visé par le Ministre des affaires Etrangère et de la Coopération Internationale n’a pas été atteint. En effet, l’adhésion de tous les participants n’a pas été acquise. L’opposition et la société civile ne sont pas convaincues que ledit document est bon comme base de négociation pour le retour d’une paix définitive et durable. Au contraire, pour certains, cet accord paraphé n’augure pas de bonnes perspectives de paix et de sécurité pour le Mali.
C’est pourquoi, ils sollicitent que le gouvernement fasse encore des efforts pour apporter de la lumière sur les zones d’ombres. Il semble que ce ne sera pas le cas, puisque le gouvernement se réjouit déjà du résultat obtenu et se dit déterminé à ne plus aller sur la table de négociations. En faisant cette affirmation, le ministre donne l’impression de s’adresser à ceux qui ont refusé de parapher le document mais, en réalité, par la même occasion, le gouvernement fait fi des préoccupations de la société civile et de l’opposition.
C’est une très lourde responsabilité que le gouvernement est en train de prendre. A qui profitera cet entêtement ? Que cache-t-on au peuple ? C’est la question qu’on se pose aujourd’hui.
En tout cas, lorsqu’on se réfère sur les déclarations du ministre des Affaires Etrangères ? Abdoulaye Diop, on doute de la sincérité du gouvernement par rapport au peuple, malgré les réactions multiples dans plusieurs localités du pays tendant à positiver ledit document.
Il est temps que les uns et les autres soient suffisamment responsables en mesurant les conséquences des décisions qu’ils prendront pour l’avenir du Mali. Au regard de ce qui précède, nous osons croire que la nouvelle stratégie de communication gouvernementale du ministre de l’Economie Numérique et de la Communication, Choguel Kokalla Maïga, n’est pas encore opérationnelle. Ainsi, il faudra œuvrer à ce qu’il n’y ait pas d’ambiguïté dans la communication gouvernementale, notamment en ce qui concerne les questions aussi sensibles que le retour de la paix et de la sécurité dans les régions nord du pays.
Sinaly
ATTENTION /NE PAS CONFONDRE TOUAREGS ET MNLA………………..
LE MNLA NE REPRESENTENT PAS LES TOUAREGS.
LE MNLA ETS UN GROUPUSCULE CRIMINEL MAFIEUX EXACTEMENT COMME BOKO ARAM………ALORS ATTENTION ATTENTION ATTENTION PAS D AMALGAME…….
LE MNLA NE REPRESENTE PAS LES TOUAREGS AU %MALI…C’EST PLUTOT UNE PETITE BANDE VOYOUS HABITUE A LA FACILITE…………….
ET CE TYPE DE GROUPE MAFIEUX A TOUJOURS EXISTE DEPUIS L’INDEPENDANCE DU MALI ET QUI CHANGE DE NOM SELON LA PERIODE HISTORIQUE………….CES BANDITS ESSAIENT DE S’AFFICHER SUR UNE COLORATION DE RENDICATION POUR TROMPER L’OPINION INTERNATIONALE QUI NE CONNAIT PAS LES REALITES DU MALI……….HEUREUSEMENT QUE CETTE FOIS CI LA COMMUNANUTE INTERNATIONNALE S’EST RENDU COMPTE DES MENSONGES DE CES GROUPES DE BANDITS ACTIFS DEPUIS L’INDEPENDANCE SOUS DE FAUX NOMS D’IDENTITE INACCEPTAPLE CAR LE NORD DU MALI REBONDE DE BEAUCOUP DETHNIES ET DE COMMUNAUTES AUQUELLES L’ON NE DOIT COMMETRE L’ERREUR DE SE PENCHER POUR UNE SEULE ETHNIE OU COMMUNAUTE AU DETRIMENT DES AUTRES…………………..
CES SOIT DISANTS REVENDICATIONS NE SONT D AILLEURS QUE DE LA POUDRE AUX YEUX POUR CES MAFIEUX DANS LEUR TRAFFIC DE DROGUE , D’ARMES ET MEME D’ETRES HUMAINS………………..
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