De sources bien informées, le paraphe de la Cma se fera ce mercredi à Alger et la signature finale du document est prévue probablement avant la fin du mois dans une ville du Nord du Mali. Et cela, malgré les nombreuses tentatives d’empêcher l’engagement de la Coordination en faveur du texte adopté le 1er mars à Alger. L’implosion qu’on vous annonçait dans notre parution de la semaine dernière sera effective ce jour, car une délégation de la Coordination se rendra bel et bien à Alger pour le paraphe du document.
Selon nos sources, depuis le jour du paraphe du document par les autres parties, une tendance de la Cma voulait signer le texte, mais elle avait été empêchée par d’autres membres de la coordination farouchement opposés à l’accord. Et depuis cette date, ceux-ci continuent de faire barrage à toute résolution, à travers des campagnes de désinformation et d’intox. Qui parapheront l’accord ? Que vaudra cet accord ? Qu’adviendront de ces opposants à la paix ? Quel traitement leur sera réservé ? Voilà entre autres questions qui se posent aujourd’hui.
Selon toutes vraisemblances, le Hcua, la Cmfpr 2, et probablement le Maa dissident seraient prêts à s’engager en faveur du projet d’accord. Le Mnla qui a démenti tout projet de paraphe ces derniers jours, semble isolé. Mais, vu le grand soutien dont bénéficie le mouvement auprès des puissances européennes, l’on se demande que vaudra cet accord et comment sa mise en application sera fait. Pourtant, bien avant l’enclenchement des pourparlers inter-maliens de paix, il a été dit que tous ceux qui constitueront des obstacles au processus, seront considérés comme les ennemis de la paix et de la réconciliation au Mali. Et qu’ils seront traités comme tels. Les nombreux communiqués de la Minusma et du Conseil de sécurité de l’Onu faisaient les mêmes mises en garde. Après la signature de cet accord, nous verrons si ces déclarations seront traduites en actes. En tout cas, pour permettre une mise en œuvre efficace, ces ennemis de la paix qui n’ont aucun intérêt au retour de la paix, devront être éradiqués au même titre que les groupes narco-jihadistes.
SORO
yacouba je soutien votre idée ses gens ne veulent pas travailler, mais plutôt ils veulent avoir de l’argent facile.
Ce peuple qui ne peut pas se prendre en charge et sont surtout préparés au brigandage, au braquage, aux vols et aux mensonges avec ces maux au sein d’un peuple, il ne saurait avoir d’indépendance et d’autonomie. Même, si le Mali accepte de donner l’autonomie et l’indépendance à cette partie du peuple touareg qui réclame mordicus cette liberté totale, cette partie du pays serait le lieu de la vente de drogue et des échanges nébuleux. Ces bandits n’aiment pas la gouvernance organisée, mais ils préfèrent une liberté sans fin et aucun état organisé n’accepterait cette liberté sans limite. Même si ces touareg sont transférés dans des états à très haute gouvernance, ils se rebelleront contre leurs gouvernants parce qu’ils ne veulent pas travailler mais de mener des actions ignobles et éhontées à leur seul profit. Je reste certain que la communauté internationale se rendrait compte de cette attente malsaine de ces bandits très prochainement.
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