A Tinzaouatine et Timiaouine, aux portes de l’Azawad

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Tinzaouatine, à 2600 kilomètres au sud du Club des pins. La «49e wilaya» frit au soleil en ce vendredi 13, respire l’air vicié du tamadalit (tempête de sable en tamasheq) dont la saison vient juste de commencer.

Tinzaouatine.
De notre envoyé spécial

La bourgade de Tinzaouatine, à l’extrême sud de l’Algérie,10 000 habitants, un concentré de tribus touareg, arabes, d’anciens et nouveaux réfugiés maliens et autres naufragés négro-africains, est sur la «ligne de front» avec le Mali. Une commune ouverte aux quatre vents. Pas de barrages filtrants ni à l’entrée ni à la sortie de cette agglomération du vieux monde, tout de même connectée à internet. Pas de présence imposante ou visible des services de sécurité ou de l’armée. Tout semble confiné autour de cette improbable ligne Maginot dont il est difficile de distinguer les fortifications. En juillet 2010, une section complète de GGF (les gardes-frontières), 11 gendarmes et gardes communaux, a été décimée, ici, par les terroristes d’Al Qaîda au Maghreb islamique (AQMI).

A la menace permanente que font peser les groupuscules fondamentalistes s’ajoute désormais le chaos sécuritaire au Nord-Mali. Le drapeau de la brinquebalante «république de l’Azawad», frappé du signe amazigh, flotte de l’autre côté de l’oued Tinzaouatine, un oued qui incarne sommairement un bout de ces «frontières intangibles héritées de la colonisation» et sépare virtuellement les deux Tinzaouatine, l’algérienne et la malienne, peuplée, depuis la nuit des temps, par la communauté touareg.

A dix kilomètres de là, Chebrech, la Tinzaouatine malienne, passée depuis février sous le contrôle précaire du Mouvement pour la libération de l’Azawad (MNLA). Des véhicules de l’armée malienne, prisés par les insurgés, campent sur la butte faisant face au poste-frontière algérien. Hissé sur le toit des cabines des camions, peint sur les rochers, l’emblème azawad, bien en évidence, annonce la couleur des «territoires libérés». «Rien de malien ne subsiste ici. Nous sommes azawadiens», déclare, une étincelle dans les yeux, Mohamed Ag Sidi, du bureau politique du MNLA à Tinzaouatine.

La déroute de l’armée malienne, qui surveillait tant bien que mal cette frontière passoire et virtuelle, est totale. La Berezina en terre saharienne. Dans la nuit du 8 au 9 février dernier, la forte charge sonnée par les insurgés contraint les militaires maliens à abandonner postes et casernement pour se précipiter en terre algérienne trouver asile.
Les «damnés» de Tinzaouatine
Moissé Keita, immigrant nigérian, refoulé «abusivement» d’Algérie après des années d’études à l’université de Blida, a assisté à la débandade : «C’était un déluge de feu, militaires maliens, immigrants camerounais, Bambaras, Nigérians (…) avons tous fui nos ‘républiques’ (maisons en toub squattées par les immigrants expulsés d’Algérie) pour nous réfugier de l’autre côté de la frontière. Des avions de chasse algériens survolaient l’espace. C’était la guerre.»
Cette guerre «éclair» Yazid, conducteur d’engins à la Sonatro – entreprise publique de BTP qui, depuis plus d’un an, construit à Tinzaouatine un aérodrome pour l’armée de l’air algérienne – dit l’avoir aussi vécue «en direct», à partir de la base de vie de sa société : «Impressionnant, on aurait dit un tremblement de terre.»

La guerre a charrié son contingent de malheurs et de réfugiés. Dans le lit de l’oued, à côté d’une nécropole surannée, une quarantaine de familles de réfugiés issus de tribus touareg (Ifoghas) et descendants des Banou Hillal (Kel Essouk) ont installé un campement rudimentaire. Les plus nanties d’entres elles disposent de tentes en bonne et due forme (dont trois offertes par le Croissant-Rouge), les autres en ont bricolé quelqu’une l’aide des loques et d’oripeaux ramassés alentour, mais vite emportés, dispersés par les tempêtes de sable. Oubliés des dieux et des hommes, leur situation est des plus critiques. Pas d’eau, pas de nourriture ni de médicaments, ces réfugiés originaires du Nord-Kidal ayant fui les bombardements de l’aviation malienne, en mars dernier, frôlent le désastre humanitaire.

Pour le maire de Tinzaouatine, le «problème» des réfugiés ne date pas de ce conflit. L’afflux de populations, touareg notamment, réprimées par le pouvoir malien est récurrent depuis les années 1960. «C’est pas nouveau chez nous et cette fois-ci, les réfugiés ne se sont pas installés chez nous», insiste-t-il. La situation des réfugiés et la proclamation d’un «nouvel Etat» à la frontière de sa commune ne semble pas trop inquiéter Ahmed Chitou, le président de l’APC (FLN). «Le risque de contamination est quasi nul», estime-t-il d’emblée. Et pour cause : «La situation des Touareg du Mali, marginalisés et réprimés par le pouvoir central, est sans commune mesure avec celle des Touareg d’Algérie qui bénéficient de la bienveillance de l’Etat, de plans de développement, etc.» «Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas affectés, ce sont nos frères après tout et ce qui les affecte nous affecte aussi. C’est normal», ajoute-t-il. L’Azawad ? «Je ne le commenterais pas. Les Touareg, chacun y va de sa propre opinion.»

Mohand Aziri

elwatan.com

Commentaires via Facebook :

17 COMMENTAIRES

  1. Mon petit Dicko Badi Abdoul Wahab, calme toi! L’histoire que les sudistes maliens vous ont enseignée est du pure mensonge. Les touaregs et les berbères en general ont depuis toujours été les maitres de l’afrique occidentale toute entière. Mais avec leur defaite (malheureusement) face aux colons français aidés par des tirailleurs noirs que la france a armé jusqu’aux dents, ces sudistes, ont pris le pouvoir en afrique de l’ouest et ont falcifier l’histoire. Ce que tu as étudié à l’ecole à propos de l’histoire de l’afrique de l’ouest est du pur mensonge fabriqué de façon lâche et éhontée par des anciens vassaux du peuple touareg et berbere, guidé par un esprit de rancune et de haine viscerale et atavique. Desolé de te decevoir mon petie Dicko Badi Abdoul Wahab! C’est la triste vérité, et il faut que les jeunes générations ouest africaines comprennent que depuis 50 ans, il sont maitenus dans le mensonge et la traitrise des fils des anciens tirailleurs. Vas à Madagascar, et tu veras, mon petit, le temoignage des malgaches à ce sujet. Tu veras que mes propos sont trop euphemiques à ce sujet… 😆 😥 🙁 👿 😈

    • 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈

    • toi tu connait même pas l’histoire,ce temps a trouvé que ta grand mère n’était même pas née,menteur inné.

  2. vous voyez c’est de cela que nous voulions vous faire comprendre que ceux qui se disent Touareg et qui veulent l’Indépendance de Azawade qu’ils nous disent est ce que le territoire Malien l’es appartient ou pas? On a étudié des empires à l’école mais on a jamais entendue parlé de l’empire Touareg,il faut qu’ils soient conscient de cela que Mali est Un et indivisible.Je vous soutien dans vos démarches et tout ce que vous êtes entrain de faire pour que notre Mali sort de cette crise.

    • Mon petit Dicko Badi Abdoul Wahab, calme toi! L’histoire que les sudistes maliens vous ont enseignée est du pure mensonge. Les touaregs et les berbères en general ont depuis toujours été les maitres de l’afrique occidentale toute entière. Mais avec leur defaite (malheureusement) face aux colons français aidés par des tirailleurs noirs que la france a armé jusqu’aux dents, ces sudistes, ont pris le pouvoir en afrique de l’ouest et ont falcifier l’histoire. Ce que tu as étudié à l’ecole à propos de l’histoire de l’afrique de l’ouest est du pur mensonge fabriqué de façon lâche et éhontée par des anciens vassaux du peuple touareg et berbere, guidé par un esprit de rancune et de haine viscerale et atavique. Desolé de te decevoir mon petie Dicko Badi Abdoul Wahab! C’est la triste vérité, et il faut que les jeunes générations ouest africaines comprennent que depuis 50 ans, il sont maitenus dans le mensonge et la traitrise des fils des anciens tirailleurs. Vas à Madagascar, et tu veras, mon petit, le temoignage des malgaches à ce sujet. Tu veras que mes propos sont trop euphemiques à ce sujet… 😆 😥 🙁

      • Mohand Aziri,
        en lisant au tout début votre article, la partie où vous mettiez “autres naufragés négro-africains”, je me suis dit mais qui a bien pu écrire cet article, en définissant les races. Je me suis dis c’est encore un touareg et lorsque j’ai lu votre nom à la fin j’ai tout compris. Le fait déjà de définir la couleur entre noirs, blancs ou rouges est déjà un faux pas. dites des maliens simplement, pour négro-africains, vous dites blanc-africains?
        De là tout part, car déjà en définissant les races, vous arriverez à une sorte de séparation.
        Nous compatissons avec les familles réfugiés qui ont un manque criard de tout mais, SVP, arrêtez de nous bassiner avec cette litanie rébarbative comme quoi les touaregs sont marginalisés.
        Si marginalisation est synonyme de manque d’éducation, manque d’infrastructure socio-sanitaire, insécurité alimentaire, alors oui, nous sommes tous marginalisés: le Nord et le Sud du Mali.
        Mais ne venez pas nous bassiner avec vos histoires de marginalisation des touaregs. aucun touareg n’est plus ou moins marginalisé que d’autre sur le territoire malien. Au contraire, en ce 21ème, beaucoup de touaregs n’ont pas honte de posséder encore des esclaves au Mali bien que ce soit interdit par la constitution.
        Si quelqu’un est marginalisé et doit se plaindre, c’est bien leurs esclaves, car ceci constitue une honte pour l’humanité. pourquoi ne dénoncez vous pas cet état de fait?
        en tout cas, arrêtez de nous fatiguer avec cette histoire de touaregs marginalisés.
        Basta et basta

        • Mohand Anziri, vous êtes évidemment algérien. Mais c’est pareil, vous défendez la cause des séparatistes touaregs du Mali. on sent votre parti pris en lisant votre article de long en large et de droite à gauche.

      • Ignare, inculte, analphabète….
        Je n’ai jamais vu une déformation pareille de la vérité. Mais sache qu’il est difficile de travestir une vérité vieille de 50 à 100 ans seulement.
        Va lire les livres d’histoires, instruits-toi d’abord et ensuite tu pourras oser venir t’arrêter pour daigner discuter avec nous. C’est toi qui falsifies totalement l’histoire, et puis falsifier s’écrit avec un s et non un c (falcifier). Le c est loin du s sur le clavier d’un ordi. En fait, tu ne connais réellement pas l’orthographe du mot falsifier !!!
        Les termes tirailleurs noirs, anciens vassaux du peuple touareg et berbère, guidé par un esprit de rancune et de haine viscérale et atavique ne font que refléter ton état d’âme.
        Ceci démontre ta vraie haine et ton racisme envers les noirs. Tu sais l’ère de l’esclavage est finie. Au Mali, on sait qui sont vos esclaves. A part vos esclaves, vous avez dominé qui? Dis-le nous sincèrement ?
        Te penses-tu supérieur à un fier Bambara, fier Bobo, fier Dogon, fier Peulh, fier Sonrhaï ou fier Bozo? JAMAIS cher raciste !!!
        N’as-tu pas deux yeux, une bouche, un nez, deux bras, deux jambes comme tout le monde. Ne vas-tu pas aux toilettes faire pipi et caca comme tout le monde ?
        En quoi es-tu supérieur à quelqu’un ? Parce que ta peau est simplement plus claire ? Que tes traits sont plus fins ?
        Est-ce que tu peux t’arrêter physiquement devant un beau bois d’ébène (je doute que tu saches ce que ça signifie !!) bien musclé, bien fort, dont les occidentales raffolent en occident. Tu aurais tellement honte de te mettre devant lui, que si tu en voyais un en face de toi, tu changerais de trottoir pour qu’il n’y ait pas comparaison.
        Tout le monde au Mali est aussi fier que vous les touaregs et c’est cela qui vous gêne. Vous aimeriez faire au Mali comme ce qui se passe en Mauritanie où une minorité claire domine une majorité noire. Mais ceci vous le savez très bien ne pourra jamais exister au Mali. Aucune ethnie dans notre beau pays n’est prête à se laisser dominer par une autre sur notre territoire. Seule une “ethnie” peut dominer tout le monde: ” L’Etat malien”.
        Donc, ne vous leurrez point, ceci n’est pas prêt d’arriver sur notre territoire et vous le savez mieux que quiconque. Ce n’est que du pipeau que vous avez fait en proclamant votre indépendance.
        Vous avez gagné la bataille mais pas la guerre et ceci avec le concours de cette chère France que vous critiquez si bien. Sans elle, vous n’auriez rien pu faire!!!.
        Sachez que nous allons venir à bout de tous ces traîtres dont vous faites partie. Vous n’êtes que de la RACAILLE, expression favorite de votre cher ami et frère Sarkozy.
        Vous n’êtes que des aigris et de pauvres ratés!!!
        Vive les touaregs comme Nock Ag Attia, car il y en a beaucoup. Des patriotes, des personnes honnêtes qui ne sont pas des traîtres et qui sont reconnaissants à leur patrie qui leur a tout donné. Vive les touaregs Maliens !!!

        Vive le Mali!!!!
        Vive notre drapeau: Vert, Jaune, Rouge
        Vive notre devise: Un Peuple (toutes les ethnies y font partie: Bambara, Soninké, Sonrhaï, Peulh, Touareg, Arabe, Bozo, Dogon, Bobo…), Un But, Une Foi!!!
        Vive le Mali, Uni et Indivisible!!!

        A BAS l’Azawad!!!

  3. CRISE AU NORD – ASSEMBLEE NATIONALE : Nock Ag Attia, LE VIEUX LION TOUAREG DIT NON A L’INDEPENDANCE DE « l’Azawad »
    Lors de l’adoption du projet de résolution sur l’urgence de l’assistance humanitaire par l’Assemblée nationale du Mali, le doyen des députés touareg Nock Ag Attia et co-doyen des députés maliens, né vers 1939 à Tiencour (Diré), a tenu, encore une fois, à mettre le point sur les « i ». C’était le vendredi 13 avril 2012 en séance plénière. Pour le Vieux lion, cette indépendance chantée par l’AZAWAD n’est que fantoche. Et en tant que doyen des députés Touaregs, le mot a tout son sens. Poursuivant aujourd’hui son troisième mandant de député à l’Assemblée nationale, Nock Ag Attia a été également conseiller municipal, conseiller de cercle, conseiller de l’Assemblée régionale et membre du Haut Conseil des collectivités.
    Nock Ag Attia : Merci M. le Président.
    Mesdames et Messieurs les députés,
    …Ce matin, j’ai écouté encore quelqu’un qui a parlé de l’indépendance, quelqu’un qui a attaqué le discours du président de la république par intérim hier. C’est dans ce sens que je veux vous faire comprendre que les vrais Touaregs maliens ne sont pas du MNLA, ni de AQMI, ni de Ançar-Dine. (Applaudissements)
    Non pour l’indépendance ! Le Mali est indivisible !
    Vous le Sud, qui ne connaît pas le Nord, le président de l’Assemblée par intérim aujourd’hui (Younoussi TOURE) connaît le Nord et il est du Nord. Il y a des Touaregs sédentaires propriétaires terriens qui n’ont jamais bougé… Ceux-ci n’accepteront pas l’indépendance fantoche.
    Le Mali est indivisible.
    Camarades députés, Mesdames, Messieurs, il faut nous aider pour que le Mali sorte de ces problèmes qui existent aujourd’hui.
    Que les Peulhs, les Songhoï, les Touaregs, les Arabes se donnent la main pour que cette affaire cesse.
    Mesdames et Messieurs les députés de l’Assemblée nationale du Mali, prenez vos responsabilités… Sinon, ça ne va pas du tout.
    Merci M. le Président. (Applaudissements).

    • N’importe quoi, cher monsieur! Tout ce qui est de l’ancien ordre est fini! Conformez-vous à la nouvelle situation, ou alors vous serez des gens d’un autre age aux idées infiniment retrogrades en plus d’être colonisatrices et responsables de la descente aux enfers du territoire vacant du Mali, voisin de la Republique de l’Azawad. C’est juste un sage conseil de votre voisin azawadien.

  4. CRISE AU NORD – ASSEMBLEE NATIONALE : Nock Ag Attia, LE VIEUX LION TOUAREG DIT NON A L’INDEPENDANCE DE « l’Azawad »
    Lors de l’adoption du projet de résolution sur l’urgence de l’assistance humanitaire par l’Assemblée nationale du Mali, le doyen des députés touareg Nock Ag Attia et co-doyen des députés maliens, né vers 1939 à Tiencour (Diré), a tenu, encore une fois, à mettre le point sur les « i ». C’était le vendredi 13 avril 2012 en séance plénière. Pour le Vieux lion, cette indépendance chantée par l’AZAWAD n’est que fantoche. Et en tant que doyen des députés Touaregs, le mot a tout son sens. Poursuivant aujourd’hui son troisième mandant de député à l’Assemblée nationale, Nock Ag Attia a été également conseiller municipal, conseiller de cercle, conseiller de l’Assemblée régionale et membre du Haut Conseil des collectivités.
    Nock Ag Attia : Merci M. le Président.
    Mesdames et Messieurs les députés,
    …Ce matin, j’ai écouté encore quelqu’un qui a parlé de l’indépendance, quelqu’un qui a attaqué le discours du président de la république par intérim hier. C’est dans ce sens que je veux vous faire comprendre que les vrais Touaregs maliens ne sont pas du MNLA, ni de AQMI, ni de Ançar-Dine. (Applaudissements)
    Non pour l’indépendance ! Le Mali est indivisible !
    Vous le Sud, qui ne connaît pas le Nord, le président de l’Assemblée par intérim aujourd’hui (Younoussi TOURE) connaît le Nord et il est du Nord. Il y a des Touaregs sédentaires propriétaires terriens qui n’ont jamais bougé… Ceux-ci n’accepteront pas l’indépendance fantoche.
    Le Mali est indivisible.
    Camarades députés, Mesdames, Messieurs, il faut nous aider pour que le Mali sorte de ces problèmes qui existent aujourd’hui.
    Que les Peulhs, les Songhoï, les Touaregs, les Arabes se donnent la main pour que cette affaire cesse.
    Mesdames et Messieurs les députés de l’Assemblée nationale du Mali, prenez vos responsabilités… Sinon, ça ne va pas du tout.
    Merci M. le Président. (Applaudissements).
    NB: comme quoi le nom AZAWAD n’est qu’une imposture.

  5. Je pense que cet article reflète la position du gouvernement algérien!
    Le Mali a résisté à toute forme d’inimitié depuis des temps immémoriaux, l’inimitié de ses voisins (surtout la Mauritanie et l’Algérie) ne fera que renforcer l’attachement des maliens à leur chère patrie. Le nord Mali n’est pas seulement composé de Touareg mais aussi des peuples noirs (n’en déplaise aux deux voisins ci-hauts cités). L’occupation par la France de l’Algérie a été un moment particulier dans la vie de l’Algérie et le Mali de Modibo Keita était à ses côtés pour combattre l’invasion étrangère. Ce sont pas les touaregs se sont battus pour libérer l’Algérie mais ce sont les maliens.
    Nous surmonterons cette période difficile et le Mali vivra toujours avec toutes les composantes.
    Ce ne sont pas seulement les Touaregs qui vivent les difficultés! qui est le malien ordinaire (de Kayes à kidal) qui ne vit le calvaire et l’adversité. on doit se donner la main pour bâtir et non pas nous séparer et nous affronter les uns contre les autres. le seul combat légitime est celui de la lutte contre misère et la défense de l’intégrité territoriale.

  6. http://www.ipetitions.com/petition/non-a-la-negociation-avec-le-mnla

    SVP signez votre nom et prenom.

    Faites savoir aux autorites maliennes que vous en avez marre des negociations unitiles et sans fins avec la rebellion. Signez cette petition pour vous faire entendre: Pas de negociation avec le MNLA qui ne controle rien sur le terrain.
    IL Y A CERTAINES GUERRES QUI DOIVENT ETRE FAITES. SI CELLE CI A LAQUELLE NOUS SOMMES CONFRONTES EN EST UNE, ALORS NOUS LA FERONT….

    • Il faut se préparer et les attqués.
      Un point un trait.

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      IL Y A CERTAINES GUERRES QUI DOIVENT ETRE FAITES. SI CELLE CI A LAQUELLE NOUS SOMMES CONFRONTES EN EST UNE, ALORS NOUS LA FERONT….
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  7. QUELLE CENSURE SUR MALIWEB où il faut créer tous les jours un PSEUDO pour intervenir / on savait depuis longtemps qu’ils ne publient que ce qui les arrange HEUREUSEMENT qu’il n’y à que 0,05% pour cent de MALIENS qui ont Maliweb…
    AMION -etc… SADI = Secte d’Aigris Dévoués d’Intrépides d’Impatients…. On ne veut pas d’héritage dynastique, du syndicalisme à la création de parti, de fils en père etc…Prenez le pouvoir à la place du CNDRE directement c’est mieux au lieu de crier, de créer des club, des amicales partout. J’espère qu’on va rectifier le TIR pendant ce temps et INTERDIRE tous les partis NON PRÉSENTS de “AGUELHOC TESSALIT à DIBOLY KAYES” CES MICRO PARTIS DE QUARTIER qui pullulent et qui polluent les DÉBATS. On doit bannir les transhumances nomades de tout élu par un suffrage pendant un MANDAT…pendant que SANOGO va nous perdre notre temps après les 40 jours , les BUSINESS MAN trafiquants Touareg se solidifient, minent le terrain et s’implantent durablement…ON EST PARTI POUR UNE SOMALIE BIS si d’ici quelques mois on ne commence pas la reconquête du NORD (justificatifs du coup d’État) ALI NOUHOUN DIALLO A TOUT DIT ET ÉCRIT que tout le monde s’en INSPIRE et on gagnera du temps.

    • Coulibaly, tu as tout fait raison. Pour moi, en si peu de temps, je suis passé de: fakoly à sory puis sorya après quoi, sribd et maintenant, soribd3. Ils quand même comprendre que nous ne sommes pas en bambounesie, et qu’en moins de fermer leur site, nous pourrions toujours nous exprimer, en recréant d’autre pseudonyme.
      Donc, ça ne sert rien de nous couper.
      Je troue normal qu’on se dise certaine vérité, parfois, même si c’est un peu difficile à entendre.

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