Si un terme a fait couler beaucoup d’encre et de salive depuis le déclenchement de la crise du nord du Mali, c’est bien « Azawad ». Utilisé par la minorité sécessionniste du nord pour désigner leur Etat chimérique, le terme « Azawad » est mal vu par tous les maliens qui aspirent à l’unité et à l’intégrité du territoire national. Avant le démarrage du 5ème Round des pourparlers d’Alger, des maliens et non des moindres avaient souhaité que le terme « Azawad » ne figure sur aucun des documents des accords définitifs qui sortiraient des négociations d’Alger. Hier, en début de matinée, le Studio Tamani, dans un article intitulé « La Coordination des groupes armés renonce au terme Azawad », citait Ousmane Ag Mohamédoune, un des chargés de communication des groupes armés qui aurait déclaré : « Nous estimons que l’expression pour certains ne suffit pas, ne convint pas dans le contexte actuel. Il va falloir évoluer sur cette question et trouver un compromis beaucoup plus cohérent ». A la lecture de cet article plusieurs analystes de la crise malienne, avaient vu là une avancée notable qui présageait la signature d’un accord consensuel de nature à garantir une paix durable. Selon eux, si les groupes armés parvenaient à faire cette concession, il n’y avait aucun doute sur leur disponibilité à mettre beaucoup d’eau dans leur vin. Mais, toutes cette gymnastique intellectuelle e été de courte durée. En fin d’après-midi, le porte-parole du MAA, a démenti de façon catégorique l’information selon laquelle la coordination des mouvements de l’Azawad a renoncé au terme « Azawad » pour désigner le nord du Mali. Mohamed El Maouloud Ramadan, porte-parole et chargé des relations extérieures du Mouvement arabe de l’Azawad, membre de la coordination des mouvements de l’Azawad, au nom de la coordination, a démenti l’information selon laquelle la coordination des mouvements de l’Azawad a renoncé au terme « Azawad » pour désigner le nord du Mali. « Au nom de la coordination des mouvements de l’Azawad je démens catégoriquement l’information », a-t-il posté sur Facebook. Selon lui, les groupes armés sont venus à Alger pour défendre le terme « Azawad ». « Nous sommes venus défendre le mot Azawad et sa cause et pas de recule même d’un iota », a-t-il conclu, comme pour dire que nous sommes, encore, à la case de départ.
Assane Koné
Traitre
Avec ces gens là c’est tiou et tia donc il faut toujours attendre,il faut terminer avant d’en parler.
Ils sont venus pour la partition et pas de recul ce qui amène à distinguer ceux qui négocie la paix et l’unité et ceux qui négocie la paix et la partition.
Certe le terme azawad Nous en voulons pas en plus pas de statu particulier, ni de president de region de region, d’ailleurs a acune region, aucune localite etc…
D’autres compromis aussi pourront se faire comme un e decentralisation plus poussee mais il faudra les responsables des tueries barbares repondent a leurs actes devant la justice. On pourra se pardonner avecl e temps mais il y a des faits et actions qui ne pas rester impunis.
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