Trois questions à Mahamadou Wadidie Dg de l’ADR : « Il faut créer des conditions pour que Bamako soit une ville désengorgée ».

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Apres l’ouverture de  travaux du 4e Conseil d’administration ordinaire de l’Agence de Développement Régional ADR du district de Bamako nous avons poses trois questions à  Mahamadou Wadidié,  directeur général de l’Agence de développement régional (ADR)

Où en sommes-nous avec le projet de l’ADR de Bamako ?

Certains projets nécessitent des  financements importants à la faveur de la loi sur le partenariat public-privé, nous avons essayé de voir dans quelle mesure nous pouvons avoir l’accompagnement des partenaires privés dans la réalisation de ce projet. Aujourd’hui, nous avons des études qui permettent de pouvoir créer des conditions pour que Bamako soit une ville désengorgée. Le problème de Bamako de créer des services auprès des populations est de faire en sorte que les populations puisse avoir certains services de base par-exemple comme l’hôpital du Mali, si ce service n’existait pas, tous les gens allaient venir vers la rive gauche.

Mr le directeur en 2018 vous avez dépensé combien et quel est le budget pour 2019?

Pour le moment nous avons que le budget de fonctionnement que l’État nous accord qui tourne au tour de 200 millions .En plus de ce que les collectivités décident d’apporter des contributions, les deux ça fait 300 millions et quelques.

Quel est votre dernier message Mr le directeur? 

Notre dernier message nous demandons, à la population de comprendre que c’est l’ensemble que devrons créer de développement, les ADR se reposent l’État, les collectivités, la société civile ,et le secteur privé, cela veut appartient à toutes les structures de Bamako nous sommes là pour accompagner et  nous voulons que les populations comprennent certains projets nécessitent d’être réalisé pour pouvoir changer l’image de Bamako et nous demandons à l’État de nous accompagner et créer des conditions pour que les services des collectivités et l’État puissent parlé le même langage parce que nous voulons le même développement.

 

Napo Bocar Abdou stagiaire

 

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