Présidentielle 2013 second tour: Soumaïla Cissé : Je lancerai un véritable plan Marshall pour accélérer la croissance et rééquilibrer le développement du territoire

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Soumaïla Cissé, candidat à l'élection présidentielle au Mali, tient une conférence de presse, le 2 août 2013 à Bamako  © AFP
Soumaïla Cissé, candidat à l’élection présidentielle au Mali, tient une conférence de presse, le 2 août 2013 à Bamako
© AFP

Q : Monsieur Soumaïla Cissé, vous êtes parvenu au deuxième tour de l’élection présidentielle. Quelles conclusions avez vous tiré du vote des Maliens ?

 

Je rends grâce à Dieu. Je tiens tout d’abord à remercier l’ensemble des électrices et électeurs maliens, de toutes sensibilités, pour leur forte participation au scrutin et pour leur exemplaire comportement civique. Je remercie tout particulièrement l’ensemble des électrices et des électeurs qui lui ont apporté leur soutien par un vote sans équivoque pour un Mali nouveau. Au-delà de certaines déclarations intempestives dès la clôture des votes et des indélicatesses visant à semer le trouble dans l’esprit du peuple, au-delà de la suspicion qui a pu naître sur la sincérité des résultats partiels, je suis heureux qu’au final, la voix et le choix d’une partie de la population soient légitimement reconnus et respectés, entraînant un deuxième tour ouvert et souhaité transparent. A l’issue du premier tour, ils ont choisi deux parmi les 28 prétendants. L’horizon est dégagé. Les Maliens ont maintenant un choix clair à accomplir entre l’immobilisme et le dynamisme, entre le passé et l’avenir, entre les incantations et la vision. Je n’ai aucun doute que les jeunes, les femmes et les hommes de mon pays vont choisir notre vision dynamique du Mali nouveau.

 

Q : Cette élection intervient dans un contexte particulier pour le pays qui revient de très loin après le coup d’Etat et l’occupation des régions du nord en 2012. Que comptez-vous faire pour que ce qui est arrivé ne se reproduise plus ?

 

Soumaïla Cissé : Vous savez, pour régler un problème, il faut en maîtriser les tenants et aboutissants. La crise politico sécuritaire que nous avons vécue est avant tout un problème de gouvernance. La démocratie est un modèle de régime politique qui, pour être effective, doit nécessairement s’appuyer sur des piliers institutionnels solides devant assurer sa pérennité. La justice, les forces de défense et de sécurité constituent des piliers essentiels pour la sécurité, la stabilisation des institutions démocratiques. Or, au cours des vingt dernières années, les ajustements internes ont engendré des coupes drastiques dans les investissements publics et privilégiés des secteurs comme l’éducation et la santé, au détriment d’institutions majeures comme la défense, la sécurité et la justice, piliers essentiels du dispositif de stabilisation politique. De fait l’investissement public dans la modernisation des forces de défense et de sécurité a été considéré comme une variable d’ajustement. Considérant qu’il n’y a rien de plus important que la sécurité des Maliens et la défense de l’intégrité territoriale, je travaille à mettre en place un programme quinquennal pour mettre nos forces de sécurité et de défense dans les conditions d’opération et d’équipement répondant parfaitement aux standards internationaux. Entre autres mesures à mettre en œuvre immédiatement, je peux citer:

 

– L’augmentation sensible du budget de la défense et de la sécurité par une loi de programmation militaire (5 ans);

 

– le recrutement d’agents dans les services de renseignement, les forces de police et de gendarmerie, la protection civile ;

 

– le service civique national rendu obligatoire ;

 

– la construction de nouvelles bases militaires;

 

– la valorisation du traitement (salaires et habitat) du personnel des forces de défense et de sécurité ;

 

– La revalorisation des retraites et des indemnités des anciens militaires ;

 

– le renouvellement des équipements et l’acquisition de matériel plus adapté aux exigences actuelles de sécurité;

 

– la formation continue et l’octroi de bourses pour les grandes écoles militaires.

 

Q : Quel est votre projet pour la réconciliation nationale ?

 

Soumaïla Cissé : Je considère que la gestion de l’après crise doit interpeller tous les Maliens soucieux de l’avenir et de la stabilité de la nation. Il s’agira de reconstruire les liens sociaux brisés, et prendre en charge la gestion adéquate des difficultés qu’affronteront dans les mois à venir aussi bien les populations résidentes que les déplacés et les réfugiés. Par-delà le règlement du conflit, la réconciliation doit viser son dépassement par la reconstruction d’une société capable d’affronter une histoire commune même si elle a été parfois douloureuse. La réconciliation doit, en effet, s’accompagner d’un pardon sincère non pas par l’effacement du passé, mais par son dépassement pour envisager un avenir commun qui reconnait les droits et devoirs de chaque communauté à travers des solutions équilibrées et respectueuses des identités. La réconciliation nationale passera aussi par l’apurement de plusieurs conflits récurrents partout dans le pays, particulièrement en ce qui concerne les questions foncières, et sur lesquels j’ai beaucoup travaillé. En 1991, déjà, j’avais lancé à travers l’Agence de cession immobilière (ACI), la plus grande opération d’urbanisation de Bamako, qui a donné naissance à ACI 2000, Baco-Djicoroni ACI et Kalaban Coura ACI. En un an, nous avions délivré plus de 5500 titres fonciers, soit l’équivalent du nombre total de titres fonciers effectifs sur l’ensemble du territoire et délivrés entre 1960 et 1990. C’est avec cette même maîtrise des questions foncières et notre parfaite connaissance des réalités socio ethniques que nous comptons faire de la terre, non pas une source de conflits entre Maliennes et Maliens, mais une véritable source de richesse pour les citoyens et de développement pour la communauté. Notre nation, multiethnique, riche de toutes ses composantes, a su, à toutes les étapes de son histoire, trouver les consensus, les compromis et les accords qui ont permis à nos familles éparpillées sur notre territoire immense d’y vivre en toute sécurité. C’est donc, en toute sérénité que, nous devons continuer de travailler de façon inclusive avec toutes les composantes de notre nation, pour lutter, ensemble, contre le terrorisme et assurer la sécurité de nos frontières et la stabilité du pays, seule gage de construction d’une nation prospère, unie et fière.

 

Q : Beaucoup s’accordent à dire que la mauvaise gouvernance est à l’origine de la profonde crise dont sort péniblement le pays. Quelles mesures comptez-vous prendre pour rétablir les vertus de la bonne gestion et le rétablissement de l’autorité de l’Etat ?

 

Soumaïla Cissé : Je vous ai dit dans mon propos précédant que l’amélioration de la gouvernance publique était la clé. Une bonne gouvernance repose sur une gestion équitable, optimale et stratégique des ressources de l’Etat. Ce qui exige de la part des nouveaux gouvernants compétence, exemplarité et reddition des comptes. Mais cette gouvernance ne doit pas seulement s’exprimer au sommet de l’Etat, elle doit s’exécuter partout où nous devons fournir des services aux citoyens. C’est pourquoi, au regard de ce que nous avons vécu, je crois que le temps est venu pour le Mali, comme pour l’Afrique, après cinquante ans d’indépendance et des crises répétitives, de repenser sa gouvernance politique et ses formes d’exercice du pouvoir. Pour ma part, il est temps de passer à un approfondissement de la décentralisation plus adaptée à nos réalités existentielles dans une approche intégrant à la fois les aspects d’aménagement du territoire, de développement régional communautaire, de leadership local, de diversité culturelle et d’unité nationale dans un pays aussi immense et aussi multiethnique. Dans le strict respect de la constitution, j’engagerai des réformes vigoureuses dans le cadre du renouveau de la décentralisation pour permettre à toutes nos communautés de s’épanouir harmonieusement dans le cadre de la République. Cette crise nous offre, en effet, l’opportunité de donner un nouvel élan à la décentralisation notamment à travers cinq pistes:

 

– un transfert effectif des compétences et des ressources dans tous les domaines prévus par le code des collectivités territoriales ;

 

– un effort significatif de transfert de ressources budgétaires en faveur des collectivités, pour soutenir le développement régional, et local ;

 

– une réorganisation de la carte des collectivités territoriales ;

 

– l’allégement de la tutelle des collectivités pour leur donner plus d’autonomie, et le renforcement de la déconcentration administrative (délégation de pouvoir et de ressources, déconcentration de l’ordonnancement des budgets des structures subrégionales…) ;

 

– une politique d’aménagement du territoire (infrastructures agro pastorales, routes…) qui tienne compte des spécificités de chaque région, notamment celles du Nord (immensité du territoire, faible densité par endroit, etc..).

 

Dans cette perspective, les élus et la société civile des régions du nord seront des acteurs majeurs dans le dialogue inclusif de reconstruction nationale. C’est aux habitants de ces zones qu’il reviendra, d’abord, d’analyser objectivement leurs préoccupations et les solutions préconisées, afin d’y apporter des réponses à la hauteur des enjeux, compatibles avec les exigences d’un Etat où continue de prévaloir la riche diversité ethnique, culturelle et religieuse. Tout ceci, dans la poursuite et l’intensification des actions de développement pour une intégration socio-économique accrue des Régions du Nord au reste du Mali.

 

Q : Avec la double crise institutionnelle et sécuritaire, l’économie nationale s’est retrouvée au bord de l’asphyxie. Quel projet portez-vous pour la redresser?

 

Soumaïla Cissé : Pour moi, il ne nous suffira pas seulement de bâtir une armée solide et bien négocier la paix intérieure pour avoir un pays stable et apaisé. Il faudra surtout bâtir une gouvernance d’exemplarité. Dans cette perspective, l’indemnisation des victimes de la crise au Nord, comme au Sud, ainsi que le recul de la pauvreté, sont des conditions nécessaires à la restauration de la sécurité, de la paix, et du vivre ensemble dans un cadre harmonieux. Pour y arriver, j’engagerai rapidement les actions de redressement nécessaires dans la voie d’un développement durable. A cet égard, un plan d’urgence de relance économique, sur la période 2013–2014, sera tiré de mon programme pour un Mali nouveau. Ce plan permettra notamment d’assurer :

 

– l’indemnisation des victimes du conflit du Nord, et des évènements du 22 mars 2012;

 

– le financement de la remise en état des bâtiments publics et autres infrastructures détruits au Nord, mais aussi dans d’autres localités du pays ;

 

– le retour et la réinsertion des populations réfugiées ;

 

– l’apurement rapide de la dette intérieure afin de renflouer la liquidité des entrepreneurs et commerçants du pays ;

 

– le soutien aux opérateurs économiques ; – la remise en état des infrastructures ayant souffert de manque d’entretien pendant la crise ;

 

– la fourniture de l’électricité dans l’ensemble du pays ;

 

– le financement d’autres travaux d’intérêt général à haute intensité de main d’œuvre afin d’offrir des perspectives immédiates de travail aux chômeurs et distribuer des revenus ;

 

– la mobilisation rapide par une équipe compétente des 2000 milliards de francs CFA promis par la Communauté internationale pour la reconstruction du Mali.

 

L’engagement de la communauté internationale à contribuer pour 2000 milliards de francs CFA dans la reconstruction du pays, n’est qu’un volet du véritable plan Marshall que je compte mettre en place pour accélérer la croissance et rééquilibrer le développement du territoire. Un véritable centre névralgique d’activités dans le Nord du pays constituerait un pilier de la stabilité car, c’est le développement économique qui permettra d’éradiquer le terrorisme. C’est tout l’enjeu des prochaines élections : élire des personnes compétentes et crédibles, capables de dialoguer efficacement avec les partenaires au développement pour transformer ce formidable élan de solidarité en une opportunité unique permettant de mettre définitivement le Mali sur les rails du développement durable, de la croissance économique et de l’émergence. C’est tout l’enjeu auquel je compte m’atteler au cours des prochains mois.

 

Q : Quelle ambition avez-vous pour l’école qui se trouve depuis des années dans un état de déliquescence critique ?

 

Soumaïla Cissé : Malgré les problèmes connus de l’école malienne, les progrès quantitatifs enregistrés ces dernières années sont importants. Dans le même temps, la qualité de l’enseignement s’est profondément dégradée. Depuis 15 ans, la société malienne regarde, impuissante, son école s’effondrer. Notre programme le Mali Nouveau propose des mesures concrètes à tous les niveaux de l’éducation. Mais la question de l’éducation est si centrale dans nos stratégies de développement qu’il me parait fondamental d’associer l’ensemble des parties prenantes aux processus de décisions de la relance de l’école. C’est pourquoi, j’ai proposé un cadre de concertation entre tous les acteurs pour poser, ensemble, les bases de sa refondation.

 

Q : Quelles reformes proposez-vous pour l’armée afin qu’elle redevienne forte et soit véritablement républicaine ?

 

Soumaïla Cissé : J’y ai répondu à votre deuxième question. La paix, la stabilité et la sécurité sont des conditions clés du développement économique et social. Ceci dépend en bonne partie des conditions de vie et de travail de nos soldats. Aussi, il est nécessaire d’entreprendre des réformes courageuses et coûteuses de modernisation des forces de défense et de sécurité pour les adapter aux besoins actuels.

 

Q : Avec quelles forces politiques comptez gouverner?

 

Soumaïla Cissé : Avec toutes les forces maliennes qui croient en notre vision pour un Mali Nouveau. Par delà les contingences partisanes, ma conviction est que le développement socioéconomique du Mali repose sur la valorisation des compétences, de la rigueur, du travail et du mérite.

 

Q : Au cas où les Maliens vous accordent leur confiance, quelles sont les mesures phares que vous prévoyez de prendre durant les 100 premiers jours de votre mandat ?

 

Soumaïla Cissé : Je prendrai rapidement des mesures prioritaires fortes pour que nos forces de défenses et de sécurité sentent, dans leur condition de vie et de travail, qu’il y a un changement dans le bon sens. Je rembourse la dette intérieure pour renflouer la liquidité des commerçants, transporteurs et entrepreneurs et relancer, ainsi, la machine économique. Je mets immédiatement en place une équipe de techniciens compétents chargés de transformer les promesses de la communauté internationale en financements réels. Je m’attèlerai, tout de suite, à concrétiser mes engagements de créer 500.000 emplois pour les jeune et de financer 500.000 projets pour les femmes.

 

 

 

**************

 

soumi URDSa carrière professionnelle, son expérience gouvernementale et son parcours à l’international se combinent pour tracer une trajectoire peu commune, celle d’un homme qui a su s’adapter avec intelligence et pragmatisme aux différents challenges qui lui ont été proposés. Soumaïla Cissé est né le 20 Décembre 1949 à Tombouctou. Juste après un diplôme universitaire d’études scientifiques acquis à l’Université de Dakar en 1972, il s’inscrit à l’Université de Montpellier où il obtient quatre ans plus tard une maîtrise en méthodes informatiques appliquées à la gestion (MIAGE). En 1977, il sort major de sa promotion de l’Institut des sciences informatiques de Montpellier où il obtient ses parchemins d’ingénieur en informatique et en gestion. Il poursuit sa carrière universitaire couronnée au troisième cycle par un certificat d’aptitude d’administration des entreprises obtenu en 1981 à l’Institut d’administration des entreprises de Paris. A 32 ans le jeune Cissé est engagé succesivement chez IBM-France, au Groupe Pechiney France et au Groupe Thomson France, avant d’être recruté comme analyste et chef de projet informatique chez Air Inter France en 1984. De retour au pays, il intègre la Compagnie malienne pour le développement de textile (CMDT) où il devient Directeur des programmes et du contrôle de gestion, puis Directeur général par intérim en 1991. Il guidera un peu plus tard (de mars à août 1992) les premiers pas de l’Agence de cessions immobilières. Alors que l’ébullition démocratique gagne tout le Mali à la fin des années 1980, Soumaïla Cissé milite à l’Alliance pour la démocratie au Mali (ADEMA) dont il est membre fondateur. Après les premières élections démocratiques, Soumaïla Cissé entame un long parcours dans l’appareil d’Etat. Il est tout d’abord nommé Secrétaire général de la présidence de la République et deviendra à cette occasion un très proche collaborateur de Alpha Oumar Konaré en 1992. Cependant il ne remplira que brièvement cette fonction avant d’entrer dans le gouvernement comme ministre de Finances. Il occupera cette fonction stratègique de 1993 à 2000, fonction à laquelle s’ajoute la responsabilité du Commerce entre 1994 et 1997. Soumaïla Cissé boucle son cycle gouvernemental en occupant le super ministère de l’Equipement, de l’aménagement du territoire, de l’environnement et de l’urbanisme qu’il dirige de 2000 à 2002. 2002 marque un tournant dans le parcours de Soumaïla Cissé, puisque le technicien laisse place à l’homme politique. Soumaïla Cissé se présente aux primaires de l’ADEMA PASJ et sera choisi par le parti alors au pouvoir comme candidat des Rouges et blancs pour la présidentielle de 2002. Dans une compétition qui réunit 24 candidats, il arrive second au premier tour avec 21,3% des suffrages contre 28,71% pour Amadou Toumani Touré et cèdera à ce dernier au second tour avec 498.503 voix contre 926.243. En 2003, le Président de la république le nomme Commissaire pour le Mali à l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) et il sera élu président de la Commission de cette organisation en janvier 2004. Il occupera pendant huit ans sans discontinuer cette haute responsabiliter. Son statut l’obligea à prendre un certain recul avec l’URD (Union pour la République et la Démocratie) formation qu’il créa en juin 2003 et qui au niveau des élus représente la deuxième force politique du pays. Lors de la présidentiellle de 2007 SoumaïÏa Cissé choisit de pas se présenter et de soutenir la réélection du chef d’Etat d’alors qui passera dès le premier tour. Soumaïla Cissé a été également Gouverneur de la Banque africaine pour le développement (BAD) pour le Mali, Gouverneur de la Banque mondiale pour le Mali, Gouverneur du Fonds monétaire international (FMI) pour le Mali et Gouverneur de la Banque islamique pour le développement (BID) pour le Mali. Grand officier de l’Ordre National du Benin et de la Guinée Bissau, Grand officier de l’Ordre National du Mali puis Commandeur de l’Ordre National du Mali, Soumaïla Cissé est aussi commandeur de l’Ordre National du Bénin et officier du Mérite de l’Ordre National du Lion (Sénégal).

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28 COMMENTAIRES

  1. Bonjour, Sauvez une vie maintenant!
    Faites don de vos organes et de tissus pour sauver une vie maintenant. Beaucoup de patients sont sur liste d’attente dans le monde entier à recevoir une greffe. On vous donne le privilège de sauver une vie maintenant une compensation financière. Si vous êtes prêt alors contactez-nous pour plus d’informations sur les Termes et Conditions. [email protected]
    Cordialement

  2. sale menteur rembourse d,bord l,argent des cotonculteurs que tu as vole …sale traitre tu n,as pas honte de venir ta fortune vole aux grand publique…….le mali n,a toujours pas d,avenir ……ibk et soumi sont tous deux des comptables de la situation actuelle du mali ……les maliens n,ont toujours rien comprit……..quele choix feriez vous entre un porc et cochon…..

  3. vraiment mr cisse si tu n’a rien à dire il ne faut pas nous faire perdre le temps il faut qu’ on avance ibk est la solution définitive. en tout cas pour les élections de 2013

    • Qu’est-ce qui vous fait croire que IBK est la solution quand ce dernier fuit le debat contradictoire? Soumi au moins defend quelque chose et cherche par tous les moyens a faire connaitre ses projets pour le futur du Mali, mais est-ce que c’est le cas dans le camp adverse?

  4. Le duel IBK SOUMI, Y’a-t-il d’autre alternative ?
    E n faisant une analyse objective entre les deux candidats finalistes, qui incarne réellement le changement, ou qui fera le bonheur des maliens ?
    A mon humble avis, ni l’un ni l’autre. Je dirai que les maliens ont cédé à la facilité. Comme ils en ont l’habitude, ils croient automatiquement à ce qu’on leur dit, ou donne sans une analyse objective. La meilleure manière d’y procédé, est l’histoire.
    Pour rappel, IBK et Suomi sont tous deux des produits du système qui a échoué depuis l’avènement de la démocratie. Pendant les 20 années passées, IBK a été Premier ministre pendant six ans sous Alpha, et Président de l’Assemblée Nationale durant le premier mandat d’ATT (2002-2007). L’histoire retiendra que c’est sous sa présidence que le salaire des députés a augmenté de 70%, c’est encore sous sa présidence que l’Assemblée Nationale a consommé plus d’eau minérale en une année (plus d’un milliards). Les députés de RPM ont voté toutes les lois qui ont eu a passé à l’AN, y compris le fameux code de famille en 2009. Pendant que les bandits armés MNLA et ses complices massacraient les militaires maliens à Aguel Hoc, le RPM avait son représentant au gouvernement, il dit avoir pleuré, si réellement il aimait le Mali au tant, il aurait demandé à son ministre de se retirer du gouvernement, au moins pour protester. Jusqu’au coup d’état de mars 2012, IBK n’à jamais assumer ses prises de position. Il s’est conté dénoncer les dérives et continuer à bénéficier les largesses de tous les gouvernements qui se sont succédés. Pour enfin venir nous dire que je vous avais prévenu, le rôle d’un parti politique, n’est pas de dénoncer mais d’agir. C’est aux journalistes de dénoncer à l’opinion publique et les politiques de poser des actes concrets. Tel n’a pas été le cas chez IBK. C’est pourquoi je dis souvent à mes amis, Hamidou DIARRA dit DRAGON méritait plus le poste de Président de la république du mali pour avoir décrié la gestion d’ATT.
    Quand au candidat Soumi, sa plus haute fonction dans les gouvernements d’Alpha, est le poste de ministre. On lui reproche avoir conduit la CMDT à la faille. Durant les deux mandats d’ATT, il n’a pas personnellement occupé un poste dans le gouvernement. Il était le Président de l’UEMOA. Puisqu’il avait ses représentants dans les différents gouvernements d’ATT, tout comme IBK. Alors ils sont tous comptable de la gestion calamiteuse d’ATT ou ils ne le sont pas.
    Les maliens avaient bel et le choix, car ils s’étaient 27 candidats, il y avait parmi eux des gens qui incarnaient le changement, pourquoi avons-nous pas choisi l’un. Une foi de plus, l’argent a prit dessus. Donc nous ne sommes pas prêt à changer, à renoncer à nos vielles habitues qui sont : la facilité, la corruption, la paresse intellectuelle.
    Que plus jamais personne ne vienne pleurnicher au lendemain du 2eme tour pour dire qu’on s’est trompé de choix. Je souhaite qu’une chose un sursaut des maliens, une prise de conscience des maliens, une vigilance des maliens, car rien n’est perdu encore. Ceux qui pensent qu’il n’ya qu’une seule issue à faire, choisir entre les deux supposés candidats finalistes. Je dirai non, il y’a une autre option à faire tout en accomplissant son devoir civique, le vote blanc, ce qui est différent de bulletin nul. C’est une façon de dire que tous les deux candidats sont les mêmes, d’après mes amis fulani « ina goto baba goto ».
    Mohamed Mama TRAORE
    Doctorant en civilisations Américaines
    Membre du Réseau Africain pour la Promotion de l’Ethique (RAPE)

  5. AVANT DE RELANCER TON FOUTU PLAN DE VOLER PLUS LA,IL FAUT COMMENCER A BATTRE IBK D’ABORD,BANDE DE CLEPTOMANE,LARRON EN FOIRE.

    • Vous parlez on dirait quelqu’un qui n’a jamais foutu pieds a l’ecole. Vous n’avez rien pour l’accuser de voleur si ce n’est votre aigreur, votre mechancete gratuite et l’amour de la diffamation. Ce pays est tres mal parti.
      Quelle honte!!!

  6. Vraiment il est temps de METTRE Soumaila en prison…..il nous fatigue…il croit et a raison que les Maliens sont des stupides…..

    Parcequ’il y’a encore des Maliens assez inconscient pour encore voter pour lui…Zon den..voleur et fils de voleur.. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    • @Ble dans tous ces etats,t’inquietes le FBI a ete alerte pour le cas Soumi,une fois IBK on pouvoir,on lancera la procedure officielle,car Soumi le looser et sa bande de cleptomane,doivent etre dans la meme loge que ADAMA SANGARE(EX MAIRE DE BAMAKO).

  7. je comprends toujous pas un homme qui a fait c’est etude universitaire en informatique devient ministre de la finance et PDG de l’uoama qui pretend etre un economiste ne croyez pas que les gens vont gobber ca …
    bien que sil me dit qu’il a fait quelque formation en finance ca ne resume en rien sa capacite à gerer le monde de la finance …..la finance c’est pas du jeux mais en la vie…………….

  8. C’est maintenant que SOUMI à un plan MARSHALLLLLL pour le MALI. ESCLAVE que tu sois, tu verras le 11 INCHALLA !

  9. Biographie

    Homme politique malien né à Koutiala (Mali).Il a occupé les fonctions de 1er ministre et de président de l’Assemblée nationale.

    Né en 1945 à Koutiala, Ibrahim Boubacar Keïta a fait ses études secondaires au lycée Janson-de-Sailly à Paris et au lycée Askia Mohamed de Bamako. Il a étudié à la faculté des lettres de l’université de Dakar puis à l’Université de Paris I- Panthéon Sorbonne et à l’Institut d`histoire des relations internationales contemporaines (IHRIC). Il est titulaire d’une maîtrise d’histoire et d’un diplôme d`études approfondies en politique et relations internationales.
    Après ses études, il est chargé de recherche au CNRS et enseigne les systèmes politiques du Tiers-Monde à l’Université de Paris Tolbiac. De retour au Mali, il devient conseiller technique principal du Fonds européen de développement (FED), chargé de la mise en œuvre du premier programme de microréalisations par la Communauté économique européenne au Mali. Il est ensuite directeur-représentant de Terre des Hommes France (TDHF), ONG française et internationale pour le Mali, le Burkina Faso et le Niger.
    Militant de l’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (ADEMA-PASJ), il est le directeur adjoint de la campagne d’Alpha Oumar Konaré pour l’élection présidentielle en avril et mai 1992. Après son élection, le nouveau président le nomme en juin 1992 conseiller diplomatique, porte-parole du président de la République du Mali. En novembre 1992, il est nommé ambassadeur du Mali auprès de la Côte d`Ivoire, du Gabon, du Burkina Faso et du Niger.
    En novembre 1993 il devient ministre des Affaires étrangères, des Maliens de l’extérieur et de l’Intégration africaine. Quelques mois plus tard, le 4 février 1994, le président Alpha Oumar Konaré le nomme Premier ministre. Il occupe cette fonction jusqu’en février 2000. Il préside l’ADEMA-PASJ.
    En 1999, il devient vice-président de l’Internationale socialiste.
    À l’approche de l’élection présidentielle de 2002, alors qu’il souhaite poser sa candidature pour succéder à Alpha Oumar Konaré, des dissensions au sein du parti présidentiel l’entraînent à donner sa démission de Premier ministre le 14 février 2000, puis de la présidence du parti en octobre 2000. Il quitte alors l’ADEMA-PASJ avec ses partisans pour fonder le Rassemblement pour le Mali (RPM), formation qu’il préside depuis juin 2001.
    En 2002, il est candidat à l’élection présidentielle. À l’issue du premier tour, il arrive en troisième position derrière Soumaïla Cissé et Amadou Toumani Touré. Il contestera ces résultats.
    Après les élections législatives, il est élu président de l’Assemblée nationale. Ibrahim Boubacar Keïta est président du comité exécutif de l’Union parlementaire africaine.

    Candidat en 2007

    Ibrahim Boubacar Keïta est investi par le Rassemblement pour le Mali le 28 janvier 2007 au cours de son 2e congrès ordinaire à Bamako.
    Il axe sa campagne sur une opposition aux pratiques de gouvernance du président sortant Amadou Toumani Touré et à sa politique. Il récuse le consensus comme mode de gouvernement. Au cours de la campagne, il accuse les partisans d’Amadou Toumani Touré d’utiliser les moyens de l’État et dénonce les tentatives de fraude.
    Il obtient 19,15 % des voix, se plaçant ainsi en deuxième position derrière le président sortant Amadou Toumani Touré, réélu dès le premier tour. Il a réalisé son meilleurs score dans le district de Bamako avec 38,48 % des voix.
    Ibrahim Boubacar Keïta conteste ces résultats, accusant les partisans du président sortant de fraudes. Il rejoint ainsi les autres candidats de l’opposition regroupés au sein du Front pour la démocratie et la république (FDR), Tiébilé Dramé, Mamadou Bakary Sangaré et Soumeylou Boubèye Maïga. La Cour constitutionnelle rejette le 12 mai les requêtes déposées par ces candidats. Ibrahim Boubacar Keïta, au nom du FDR qu’il préside, tout en maintenant ses accusations de fraudes, prend acte de la décision de la Cour constitutionnelle et reconnaît en Amadou Toumani Touré le président du Mali

    Candidat en 2012

    Le 26 juillet 2011, Ibrahim Boubacar Keïta est désigné candidat du Rassemblement pour le Mali à l’élection présidentielle malienne de 2012. Le 29 octobre 2011, neuf partis politiques ont rejoint le Rassemblement pour le Mali pour appeler à une candidature de l`ancien Premier ministre. Il s`agit du Mouvement pour l`indépendance, la renaissance et l`intégration africaine (Miria), de l`Union des Maliens pour le progrès (UMP), du Front africain pour la mobilisation et l’action (Fama), du Rassemblement des démocrates républicains (RDR), du Rassemblement pour la justice au Mali (RJD), du Parti de la différence au Mali (PDM), du Parti socialiste et démocratique du Mali (PSDM), du Parti Sigikafo Oyédamouyé (PSO), et de la Concertation démocratique.

    Candidat en 2013

    Le président du RPM et candidat à la magistrature suprême, El Hadj Ibrahim Boubacar Kéïta a commencé sa campagne par une rencontre avec les différentes confessions religieu­ses. C’était au Palais de la culture le dimanche 8 avril. Par ce geste, il s’agit pour lui d’avoir les bénédictions des hommes de Dieu pour éclairer les ges­tes qu’il va poser pendant les 21 jours de campagne. A la suite de cette élection, ll arrive en première position devant Soumaila Cissé avec 39,24% du suffrage exprimé. Mais il va devoir passer par un deuxième tour pour pouvoir réussir à occuper ce fauteuil présidentiel tant attendu. Ce deuxième tour l`opposera le 11 aout prochain à son poursuivant Soumaila Cissé.

  10. Et il doit se parcour professionel brillant au Mali à Feu Boubacar Saada SY son parrain et le oarrain de l’ADEMA qui l’a créee de sa poche.

    • ben tu peux souligner, cela montre que c’est quelqu’un studieux et avec réel sens de l’écoute, il apprent très vite je peux te dire c’est gars a été créer pour le mali, c’est un messi les maliens ont intérêt de ne pas rater cette chance une dernière fois si non ce pays est foutu a jamais, VIVE LE MALI VIVE LES MALIENS ET VIVE SOUMI CHAMPION!!!!!! j’ai le mali et j’aime la politique que vous prévoyez pour ce pays,

      • Ne confondez pas un gourou et un messie. Ton prestidigitateur, malgré son niveau intelectuel (Docteur parait-il), Soumaila n’a pas certainement vu la déculottée qui pointe à l’horizon malgré la masse d’argent qu’il a volée au détriment des citoyens. Nous voulons un Mali digne, noble et fort mais pas un Mali d’indécision et mercantiliste comme au temps de AMADOU le TRAÎTRE TROMPEUR (ATT)

  11. Alpha un instituteur a détruit l’école;
    ATT, un général officier de l’armée a détruit l’armée;
    Soumi un économiste ne mettra pas en faillite notre économie?????
    Alors à défaut de voir un des gens du changement arrivée, faisons confiance à l’autre qui apparemment n’a même pas de diplômes.
    Mais qui a un fouet pour nous dirige!

      • et que fait IBK ??? il quoi ce gars j’ai fouillé partout je sais pas ce qu’il fait comme travail, et quels sont ces jobs précédents ?????

        • TU NES PAS MALIEN?
          Homme politique malien né à Koutiala (Mali).Il a occupé les fonctions de 1er ministre et de président de l’Assemblée nationale.

          Né en 1945 à Koutiala, Ibrahim Boubacar Keïta a fait ses études secondaires au lycée Janson-de-Sailly à Paris et au lycée Askia Mohamed de Bamako. Il a étudié à la faculté des lettres de l’université de Dakar puis à l’Université de Paris I- Panthéon Sorbonne et à l’Institut d`histoire des relations internationales contemporaines (IHRIC). Il est titulaire d’une maîtrise d’histoire et d’un diplôme d`études approfondies en politique et relations internationales.
          Après ses études, il est chargé de recherche au CNRS et enseigne les systèmes politiques du Tiers-Monde à l’Université de Paris Tolbiac. De retour au Mali, il devient conseiller technique principal du Fonds européen de développement (FED), chargé de la mise en œuvre du premier programme de microréalisations par la Communauté économique européenne au Mali. Il est ensuite directeur-représentant de Terre des Hommes France (TDHF), ONG française et internationale pour le Mali, le Burkina Faso et le Niger.
          Militant de l’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (ADEMA-PASJ), il est le directeur adjoint de la campagne d’Alpha Oumar Konaré pour l’élection présidentielle en avril et mai 1992. Après son élection, le nouveau président le nomme en juin 1992 conseiller diplomatique, porte-parole du président de la République du Mali. En novembre 1992, il est nommé ambassadeur du Mali auprès de la Côte d`Ivoire, du Gabon, du Burkina Faso et du Niger.
          En novembre 1993 il devient ministre des Affaires étrangères, des Maliens de l’extérieur et de l’Intégration africaine. Quelques mois plus tard, le 4 février 1994, le président Alpha Oumar Konaré le nomme Premier ministre. Il occupe cette fonction jusqu’en février 2000. Il préside l’ADEMA-PASJ.
          En 1999, il devient vice-président de l’Internationale socialiste.
          À l’approche de l’élection présidentielle de 2002, alors qu’il souhaite poser sa candidature pour succéder à Alpha Oumar Konaré, des dissensions au sein du parti présidentiel l’entraînent à donner sa démission de Premier ministre le 14 février 2000, puis de la présidence du parti en octobre 2000. Il quitte alors l’ADEMA-PASJ avec ses partisans pour fonder le Rassemblement pour le Mali (RPM), formation qu’il préside depuis juin 2001.
          En 2002, il est candidat à l’élection présidentielle. À l’issue du premier tour, il arrive en troisième position derrière Soumaïla Cissé et Amadou Toumani Touré. Il contestera ces résultats.
          Après les élections législatives, il est élu président de l’Assemblée nationale. Ibrahim Boubacar Keïta est président du comité exécutif de l’Union parlementaire africaine.

    • Vraiment mon frere TU es tres tres intelligent pour analyse Les choses et crois moi personne n’analysera plus mieux que sa.encore TU as bien e Belle raison, on a besoin d’un homme qui nous redresse.thank u

  12. Même si Soumaila devenait le Questeur du jour du jugement dernier, c’est pas son argent qui nous fera entrer nous les maliens au paradis. Les fonctions qu’il a occupées dans les institutions bancaires nationales, sous régionales etc….nous laissent pantois. Quand il déclare, pour le compte de l’armée je vais faire ce ci, je vais faire cela, il oublie qu’il n’y a pas longtemps que lui ministre des finances d’alors n’a jamais soutenu l’augmentation du budget de l’Armée. Sa stratégie était focalisée sur la libération du commerce par le désengagement de l’Etat dans la gestion des entreprises et la promotions des petits commerçants voleurs qui sont de la classe des djokoramès, des jeunes promoteurs qui lui sont propres au détriments des commerçants du sud par l’octroi de marchés de tout genre.
    Monsieur Soumaila, mettez votre plan Marshall en poche en attendant une autre élection présidentielle. Pour cette fois, on ne veut pas de vos mirages. Nous on dit IBK. IBK. IBK

    • tu sais mon ami ta misère sociale ou si non ta misère intellectuelle n’est pas du a soumi, hein tu aurais du travailler adure a l’école ou si non ton père aurait du bien travailler pour toi c’est simple la vie hein tu as toujours ce que tu mérites dans la vie.

      • Quelle constipation intellectuelle de votre part de vouloir penser que ceux qui soutiennent Soumaila ont leur âme en or et que les autres ont la leur en bronze. Tu as beaucoup à apprendre pour te hisser au rang des enfants biens éduqués. Jusqu’à ce que Billali souffle dans son clairon, ton Soumaila ne sera pas président. La prochaine consultation verra un Soumana Sacko ou un Poulo au sommet de l’Etat mais pas Soumi le ALI BABA de la république

    • Vous divaguez tellement qu’en fin de compte vous vous retrouvez la a diffamer sans meme le savoir.
      Est-ce le role du ministre des finances d’augmenter le budget de l’armee? Est-ce que l’armee s’est plainte pour dire qu’elle avait besoin d’une augmentation? IBK etait le PM d’alors, si responsable il doit y avoir dans cette histoire de l’armee, ne serait-il pas plus juste de charger ce dernier plutot que son ministre des finances?
      L’ignorance va finir d’achever ce pays.
      Quelle honte!!!

  13. ATT A TRAHI LE MALI EN VENDANT LE NORD,EN LAISSANT LES NARCOTRAFIQUANTS EXERCER A LEUR GUISE,EN ENCOURAGEANT LA CORRUPTION A GRANDE ÉCHELLE,EN INSTITUANT L’INJUSTICE COMME MOYEN DE GOUVERNEMENT,EN DÉSORGANISANT L’ARMÉE,EN APPAUVRISSANT LES POPULATIONS MALIENNES DANS LEUR GRANDE MAJORITÉ. CEUX QUI ONT AIDE ATT DANS CETTE TACHE,ONT DÉCIDÉ DE SOUTENIR SOUMAILA CISSE;QUE DEVIENDRA LE MALI UNE FOIS SOUMI A KOULOUBA ? MALIENS MALIENNES,LE PAYS EST A UN TOURNANT DE SON HISTOIRE. J’AI PEUR CAR LE DANGER GUETTE LE MALI UNE FOIS DE PLUS AVEC LE SOUTIEN DES AMIS D’ATT A SOUMI.IL SERA LEUR OTAGE A N’EN POINT DOUTER . EN ENTRANT DANS L’ISOLOIR SOUVENEZ-VOUS DE CELA.SOUMAILA CISSE SERA L’OTAGE DE CES VAUTOURS TOUT COMME L’A ÉTÉ ATT. NE LE VOTER PAS SI VOUS AIMEZ LE MALI.

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