Oumar Mamadou Diarra, section syndicale CSTM de l’Inps : « On doit se donner la main »

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Oumar Mamadou Diarra, directeur adjoint au service de l’audit à l’INPS, non moins secrétaire administratif de la CSTM à l’Institut National de Prévoyance Sociale a bien voulu se prononcer sur les le déroulement des travaux des récentes élections du représentant des travailleurs au sein du conseil d’administration de l’institut.

 

Le Pouce : Qu’avez- vous retenu de cette élection du représentant du personnel au Conseil d’Administration de l’INPS ?

Oumar Mamadou Diarra :« Elle a été l’une des élections les plus transparentes. Nous avons constitué une commission électorale qui a eu à travailler sur ces élections pendant onze mois. Ce travail a été mené à bien. Toutes les sections syndicales y étaient représentées. Nous avons eu l’assistance de la direction régionale du travail. Cette commission était présidée par l’ancien agent comptable Modibo Diarra H. je pense que nous avons bien travaillé ensemble et il y a eu de très bonnes élections ».

Le Pouce : Quelles sont vos attentes ?

Oumar Mamadou Diarra :« Certes, nous ne sommes pas du même bord syndical, mais j’avoue que celle qui accède au poste de représentant a eu à faire du bon travail quand elle était la représentante des travailleurs au sein du Conseil d’Administration. Elle a eu à participer à l’Accord d’Etablissement dont nous bénéficions aujourd’hui. Elle a eu à revaloriser la valeur des points. Je pense qu’elle a  abattu le travail syndical.Elle a été de très bonne utulité pour les travailleurs de l’INPS. Et je n’attends pas moins d’elle. Je pense qu’elle va continuer dans son élan et à se battre pour l’intérêt supérieur des travailleurs de l’Institut National de Prévoyance Sociale ».

Le Pouce : Avez-vous un appel à l’endroit de l’ensemble des travailleurs de l’INPS ?

Oumar Mamadou Diarra :« Nous y avons été contraints d’aller aux élections, par ce que c’est la loi qui l’exige. Il fallait dégager le syndicat majoritaire pour la représentativité au sein du conseil. Maintenant que cette page est tournée, je pense qu’on doit se donner la main. L’INPS a toujours constitué une très grande famille. Il y a de l’entente, de la convivialité. Je pense qu’on doit continuer dans ce sens, surtout que ces élections ne sont que pour une année. Dans une année, il y aura d’autres élections pour les délégués du personnel et dans trois ans, celle qui gagné sera obligée de remettre en jeu son mandat encore. Nous attendons notre tour. Il n’y a pas de problème. Nous allons continuer à travailler dans ce sens ».

Propos recueillis par Tiémoko Traoré

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