Moussa Mara : « Au Mali, la démographie a plombé le système éducatif »
3 Fév 2018 - 14:31
3 Fév 2018 - 14:31
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La quadrature du cercle
Pour le candidat à la présidentielle, c'est en intégrant la jeunesse et en parlant franchement de démographie que l'on freinera la migration.
À 41 ans, Moussa Mara peut se targuer d'une expérience politique que peu d'Africains ont eue à son âge : candidat à la présidentielle de 2013, il n'avait obtenu que 1,5 % des voix mais il est devenu, en 2014, Premier ministre à 39 ans, l'un des plus jeunes de l'histoire du pays. En 2016, il a écrit un ouvrage* qui s'attaque au principal défi auquel le pays fait face, mais qui devrait aussi constituer son principal atout en politique : la prise en compte de sa jeunesse qui, confrontée à un chômage massif et écartée du pouvoir par la tradition gérontocratique, est désoeuvrée et choisit parfois la migration.
Moussa Mara est également l'un des rares hommes politiques africains à évoquer publiquement le poids de la démographie qui, selon lui, freine le développement du pays et doit être freinée. A la tête du parti Yelema (« le changement », en bambara), qu'il a fondé en 2010, il est candidat à la prochaine présidentielle, censée se tenir cet été,
Le Point Afrique : Vous avez écrit sur la jeunesse. Dans la région de Kayes, elle a disparu des campagnes ! Les Kayésiens accusent l'État de les obliger à migrer pour fait son boulot à sa place, qu'en pensez-vous ?
Moussa Mara : Intrinsèquement, nos Etats sont démunis. Même s'ils étaient les mieux gouvernés au monde, il y aurait de la migration économique, qui a toujours fait partie de l'ADN du Sahel. Ce sont des zones rudes, où les gens sont mobiles. Les nomades, les éleveurs, migrent au gré des saisons. Et les conditions empirent sous l'effet du changement climatique et de la démographie, qui accroît la pression sur les maigres ressources. De manière globale, la pauvreté cyclique et endémique s'amplifie. Il faut aussi reconnaître que depuis les indépendances, nos États n'ont pas brillé sur le sentier du leadership et de la gouvernance. Les élites qui se sont succédé aux affaires se sont caractérisées par un accaparement des ressources publiques. Ca peut limiter les opportunités pour la population, saper sa confiance envers les élites et justifier des migrations.
Tout de même, la route est dans un état désastreux, vous êtes d'accord que l'État avait son rôle à jouer sur des choses basiques comme les infrastructures ?
L'enjeu est moins la route nationale que le désenclavement intérieur. Vers Yélimané, vous avez des villages auxquels il manque 10-15 kilomètres pour être raccordés à la route nationale ou régionale. C'est sur ça que nos États doivent accélérer leur effort, afin que les produits de nos populations cessent de pourrir. Mais cela doit aller de pair avec la décentralisation. Un des maux des ex-colonies francophones, c'est leur centralisation. C'est à la limite du rigolo tant c'est scandaleux. Regardez le Mali : 92 % des ressources publiques sont dépensées à partir de Bamako. Toute l'élite du pays est ici. À Yélimané, dès que quelqu'un s'élève un peu, il vient, même des maires ! L'élite n'est pas au contact des enjeux du terrain qui ne les intéressent pas. Et les élus locaux ne se battent pas autant que s'ils vivaient dans les conditions difficiles des populations. La centralisation excessive explique en partie le désintérêt et le délaissement de l'intérieur.
Comment associer mieux la diaspora au développement du pays ?
Son organisation est très bonne, le cercle de Yélimané est l'un des plus construits au Mali, mais elle n'a pas un comportement de production, d'accumulation des richesses, de lutte contre la pauvreté. Elle montre qu'elle a réussi en soutenant la consommation. Il y a aussi toutes ces mosquées, ce sont des zones très fortement islamisées. La tradition dit que quand on construit la maison de Dieu, Dieu vous construit une maison dans le paradis. La diaspora est le chaînon manquant. La plupart ne sont pas allés à l'école, ils n'ont pas de capacité d'anticipation, de volonté d'investir sur le long-terme, pour eux tout ça c'est compliqué. S'ils avaient dépassé ce palier, on aurait de meilleurs résultats en termes d'énergie, de maîtrise de l'eau et donc de création de richesses et de fixation des jeunes. Ils doivent apprendre à investir sur le développement, l'investissement. Si une dame, au lieu de lui envoyer de l'argent pour la popotte, on lui envoie un pécule pour qu'elle lance un commerce en disant qu'il ne faut plus compter sur les migrants parce que c'est dur en Europe, elle va réfléchir. La diaspora sait que ça se durcira davantage, elle a intérêt à investir dans la fixation de ses parents. Pour maîtriser la migration, il faut la mettre au cœur du processus, elle est beaucoup plus impactante que les États. Si la France et l'Europe n'ont pas l'intelligence de le faire, ça ne marchera pas.
Et que peut faire l'État ?
La migration, c'est le flux et le stock, qu'il faut intégrer. Pour le flux, il faut responsabiliser les Etats sur la lutte contre les départs. 80 % sont organisés par les mafieux, que les États connaissent, dans nos administrations. Il y a deux semaines, nous avons perdu une cinquantaine de Maliens en Méditerranée, ces gens sont victimes de passeurs qui ont leurs racines dans notre administration, nos forces de sécurité et ça, nous le savons. Les jeunes qui quittent Bamako pour aller à Agadez ou en Algérie, ils passent par nos villes, les barrages de la police, de la gendarmerie, de la douane et à Gao, les forces de sécurité rackettent les candidats à l'immigration parce qu'on les identifie facilement. Qu'on n'ait pas une action forte vis-à-vis des États pour les obliger à lutter contre les passeurs, j'ai du mal à le comprendre.
Il y a bien une hypothèse : les transferts d'argent contribuent aux PIB des pays. Et on n'a jamais intérêt à avoir des jeunes inactifs dans son pays…
Effectivement les États considèrent les migrants comme une soupape de sécurité. Les jeunes, plus ils partent, moins ça fait de pression sur nous. Mais il faut que nous ayons le courage d'avoir des politiques démographiques dignes de ce nom, de dire la vérité à nos jeunes et d'être exemplaires nous-mêmes. Je pense qu'on va obliger les États à être plus sérieux et rigoureux dans la gouvernance, plus transparents, plus démocratiques. Et à avoir une collaboration plus franche avec les jeunes.
On a en effet vu, après la chute de Blaise Compaoré, la répression des jeunes à Libreville ou à Kinshasa… Les présidents africains ont-ils peur de leur jeunesse ?
Est-ce qu'il y en a un seul qui n'a pas peur ? Avec ce qui se passe depuis 5-6 ans sur le continent, du nord au sud, les questions touchant aux jeunes sont devenues majeures. Dans nos pays, on a du mal à se départir de certains préjugés. Le fond gérontocratique fait que jeunesse signifie inexpérience, apprentissage, on est condescendant. Cela porte préjudice à l'épanouissement des jeunes. La plupart des leaders, par ailleurs, ont un comportement de contrôle, de corruption des leaders de réseaux. C'est de la répression douce. Les dirigeants ont tout sauf le réflexe de dire : « Asseyons-nous, parlons avec ces jeunes, ouvrons les vannes de la liberté et de la contestation, disons-leur la vérité, ouvrons-leur les portes du magasin et disons-leur ce qu'il faut faire ensemble. » Le dirigeant qui le fera, s'il est honnête et qu'il a un système qui fonctionne, transformera les jeunes en force de production. Aujourd'hui ce sont plutôt des réactionnaires, ils mènent une contestation souvent stupide, parce qu'ils n'ont pas les informations, ils s'emportent sur des choses qui n'en valent pas la peine. Tout ce qui est sentiment anti-français, véhiculé par les jeunes de certaines associations, c'est qu'ils n'ont pas les données.
La mauvaise foi des dirigeants a été frappante après le reportage en Libye de CNN, on a fait mine de découvrir la maltraitance…
C'est de l'hypocrisie ! Il y a un adage malien qui dit : « Au lieu de faire des reproches à l'endroit où tu es tombé, il faut t'en prendre à l'endroit où tu as trébuché. » Les jeunes, pour qu'on les vende en Libye, il a fallu qu'ils s'y rendent. Ce qu'il faut regarder, c'est pourquoi ils y sont allés, qui a facilité leur départ et notamment, la fameuse question des mafias. La semaine dernière, avec le décès d'une cinquantaine de nos compatriotes, ils ont arrêté deux personnes, à Bamako, dans l'administration, qui fabriquent des pièces d'identité pour ces gens, qui facilitent leur transport, le passage aux différents barrages.
Beaucoup soulignent l'inadéquation de la formation par rapport aux besoins, notamment le manque de formations techniques, qu'en pensez-vous ?
La formation professionnelle participe de ce que l'on constate en France aussi, les métiers manuels n'ont jamais été considérés comme nobles, la colonisation nous a enseigné ça. L'université forme essentiellement des cadres de conception alors qu'on a besoin de techniciens. Nous devons intégrer les filières techniques courtes à notre système éducatif. Ensuite, comme il n'y a pas de collectivité locale capable d'élaborer, en fonction des spécificités des régions, des politiques d'éducation, les rares formations techniques sont à Bamako. Sur toute la lisière sahélienne, on pourrait avoir des formations en rapport avec le solaire, ici à Bamako, avec certaines cultures ou l'élevage… On a ouvert une université il y a deux ans, à Ségou, sur les métiers d'agriculture, d'élevage, on avait juste une école. Mais on pourrait responsabiliser les collectivités et les doter de capacités de développer des initiatives. Tout ne peut plus partir de l'État.
Vous portez aussi un discours difficile, sur la démographie...
L'enfant est aussi une sécurité. Ce sont des choses ancrées, il y a des facteurs religieux, il y a des leaders religieux très écoutés. Il faut mettre en place un dispositif global, précédé d'un dialogue, avec des choses précises. Au Mali, la démographie a plombé le système éducatif. Elle oblige l'État à consacrer 40 % des ressources publiques à l'éducation, pour des résultats qui ne sont pas à la hauteur. 40 % du budget de l'État, deux fois plus que pour la défense et la sécurité ! Il faut qu'on ait des discussions très précises, localisées. L'éducation et l'autonomisation des femmes doivent être une priorité, acceptée par tous. Ensuite, au sein du couple, on doit libérer la parole. Que les ONG qui ont de l'expérience soient intégrées dans nos dispositifs. Si on rendait ça cohérent et qu'on mettait des contraceptifs à disposition des couples, on arriverait à des résultats. Mais il faut d'abord accepter de dire que c'est un problème. Ce n'est pas encore le cas, j'ai eu des débats au conseil des ministres, certains disaient que non, notre territoire est vaste, il faut le peupler, la démographie est même encore insuffisante. Des ministres !
Est-ce parce qu'ils savent que cet argument est bien reçu par les populations ?
C'est parce qu'ils sont cons ! Ils sont cons et incompétents, ils ne voient pas plus loin que le bout de leur nez ! Et c'était un ministre de la santé, qui disait ça ! On a des élites où les gens préfèrent dire des choses à l'emporte-pièce sans se fonder sur des chiffres. On dit que plus on est nombreux, plus on est puissants, on cite l'exemple de la Chine et du Nigeria. Mais la Chine est ce qu'elle est précisément parce qu'elle a réduit sa démographie. Je pense que ce débat, tôt ou tard, s'imposera. Le plus tôt sera le mieux. Il faut qu'il y ait des leaders qui disent ces vérités. Moi j'en parle partout, et au fin fond du pays. Hier, j'étais à 300 km d'ici, à la frontière de la Guinée, dans une zone rurale, où les gens mettent 1 h pour faire 10 km, ils sont très enclavés. Quand les leaders crédibles disent des choses précises, ça passe. Et à condition d'associer les femmes au débat. Je fais toujours en sorte que dans le public, il y ait beaucoup de femmes.
Quelle a été leur réaction ?
D'abord, incrédulité, ensuite rires et après, un peu de réflexion. Je pense qu'après, les gens en parlent entre eux. Dans nos villages, les femmes sont amorties à 30 ans ! Vous voyez une jeune femme malienne qui a 6-7 gosses, elle ressemble à quelqu'un qui en a 50 ! Et ça, c'est partout ! Elles n'ont pas le temps de s'occuper d'elles-mêmes, elles se limitent à reproduire, reproduire… Et si la vie est désespérée, ce qui reste à faire, c'est d'espérer pour l'au-delà ! La religion fonctionne comme ça aussi. Un adage malien dit : « Dieu n'est pas petit dans le cœur des pauvres. »
@Moussa Joseph a etale son ignorance totale sur le plan developpement et comme a Kidal il nous a fait voir son amateurisme et son manque de connaissance des tenants et aboutissants du developpement social et economique d’un pays. C’est vraiment triste mais il est comptable et il veut faire plaisir a son grand maitre Macron. Comme me le disait mon Prof de Sante Publique “il y a des terres sans personnes et il ya des presonnes sans terre” et la France c’est des personnes sans terre alors que le Mali est une terre sans personnes. mais tout ca est trop complique pour Moussa Joseph de comprendre car il veut tellement singer Macron.
Pkagame, tu me deçois avec cet amateurisme scientifique ou cette ignorance dans l'arrogance. Tu te vantes d'une spécialité tout en étalant toute ta médiocrité dans ce domaine. Juste un seul exemple: le Mali et le Benin. Tu ne sais que bucher bêtement des chiffres et des methodologies sans fournir le moindre effort scientifique, ni l'esprit critique, ni analyse rigoureuse. Tu es l'échantillon parfait pour modélisation scientifique du nègre parfait !
Imiter comme un singe, répéter comme un perroquet et péter comme un âne chargé de paquets.
Tu n'as fais aucune allusion à l'essentiel, qui est le taux de croissance naturelle de la population. Le Mali ne peut pas s'en sortir avec des scientifique autoproclamé comme ce faut PKagamé !
Je te demande de chabger ton pseudo dès aujourd'hui, car c'est injurieux de donner un si grand nom à un âne errant et pétant dans le monde virtuel.
MARA a parfaitement raison. Le Mali est en danger démographique! Pour ceux qui ne comprennent pas, on pense que c'est absurde de dire ça d'un pays avec une superficie de 1 240000 km2 et 18 millions d'habitants! Mais en réalité en analysant les réalités de notre pays, si l'on est objectif on accepte qu'on a un probleme démographique. En tant que scientifique qui maitrise les biostatistiques, je peux dire qu'on doit absolument contrôler notre taux natalité qui devient de plus en plus ridicule! Je rappelle que le Mali est l'un des deux premiers au monde en terme de taux élevé de natalité (avec 7-8 par femme). Pourquoi?
- Parce que nous sommes les plus intelligents au monde? NON
- Parce que nous en avons le plus besoin au monde? NON
-Parce que nous sommes les plus religieux au monde? NON
-parce que nous avons la plus grande superficie au monde? NON
-Parce que nous sommes les plus fertiles au monde? NON
- Parce que nous sommes les plus prospères au monde? NON
Techniquement, 7- 8 enfants par femme n'est pas un probleme pour la 18 million dans une superficie avec d’énormes ressources naturelles comme le MALI...ça pouvait être bien a ce rythme jusqu’à 2040....SI! S'il n'existait pas d'autres problèmes socio-économique-politique: Nous n'avons ni la compétence ni la moralité socio-politique requises pour se permettre le luxe d'un tel taux de natalité élevé! Au contraire, dans un pays socialement aussi injuste, extrêmement corrompu et mal géré, dont l’état est l'un des états les plus irresponsables et absents au monde, où le taux de mortalité infantile est le plus élevé au monde (103 enfants meurent a chaque 1000 naissance comparé au 53 morts au Bénin, 13 en Arabie Saoudite etc..), où le taux de mortalité MATERNELLE est un des plus élevé au monde (600 femmes meurent a chaque 100000 accouchements), où 10% des enfants sont victimes de malnutrition, où plus des milliers d'enfants sont abandonnés ou exploites dans les SERVICES DE LA MENDICITÉ ET LE CHILD LABOR....., maintenir un taux de fertilité de 7-8 par femme est immoral et est un signe de dégradation sociale la plus absolue! Les femmes savent-ELLES pourquoi elles ont 7-8 enfants au Mali? NON
Le Mali n'est pas plus religieux que l’Arabie saoudite avec une superficie 2 140 000km2 (2 enfant/femme), que l’Indonésie (2.5 enfant/femme), que le Maroc (2. enfant/femme), que l’Algérie (2.2 enfant/femme)
le Mali n'est PAS plus intelligent que le Ghana (4 enfant/femme), que le Bénin (4.6 enfant/femme)
COMMENT SE FAIT-IL QUE LE MALI SE TROUVE AVEC DE TELS TAUX ÉLEVÉS de natalité, de moralité infantile, de mortalité maternelle etc..?
- Parce que nous avons depuis 50 ans l’état le plus irresponsable au monde, le plus incompétent au monde, le plus absent au monde, le plus détaché de sa population au monde, le plus mal géré au monde
- Parce nous avons la population la plus abandonnée a l’ignorance au monde
CONCLUSION
La grande population est un avantage pour un pays comme le Mali seulement si on travaillait productivement! Mais hélas dans le cas du Mali le taux élevé de natalité est un effet ...l'effet de l'ignorance et de l’état irresponsable qui n'est nulle part pour éduquer et guider ses populations. Par conséquent, plus on a des enfants au Mali plus on a des probleme a leur donner de soins, de l’éducation, de la nourriture etc... actuellement tout est presque payé par les organisations de UN et les ONG etc..
Pour ceux qui disent que Dieu dit remplir la terre.... ça n'existe nulle part dans le Coran! Par contre, ce sont quatre femme qui sont permises a un seul homme et non sans- limite, chose qui pouvait facilement plaire aux hommes et leur permettre d'avoir plus de fertilité (100 -200 enfants par homme)...C'est a dire Dieu pouvait facilement dire: "prenez autant des femmes que vous pouvez et multipliez vous!" .....
Dites il fallait attendre plus d’un quart de siècle, presque 60 ans “d’independance” pour nous parler de problem demographie??? etc… A quoi sert alors de faire programmes et des plans pour assurer demain, le futur ou bien il faut toujours que nous attendions pour nous cogner la tete au mur pour qu'on se reveille, prepare, planifie afin d'assusser et d'assumer le futur du pays, du peuple???
Incroyable!!!!!!!!
Cas meme le jeune Mara n’est pire comme les tontons, peres, tanties etc qui nous gouvernent depuis presque 60 ans par des clans escrocs, corrumpus, abuseurs, voleurs, nepotistes, etc…
AOK et clans, ATT et clans et maintenant IBK et clans le pays n'est alle que de tres mal en pire et pire-pire encore. Et le prochain super-hyper vampire sera quoi avec son/ses clans aussi?
qu'est ce qu'ils, eux, vont Nous faire, dire et pretendre pour Un Maliba meilleur???
A chaque fois que je pense a l'histoitre du Mali avec nos dirigeants ca ete que de mal a tres mal MK a GMT, tres mal a pire AOK a ATT et pire en pire ATT a IBK. Maintenant ca sera quoi de IBK a un certain X.......?????????????????????????
Je ne supporte aucun parti de politichiens ni d’ailleurs ni politichien mais je donne mes petites appreciations a x, y ou z.
Esperons le Changement tant voulu contaminera le pays entier en nettoyant et surtout en se debarassant de nos scenes tous et toutes ces politichiens (pouvoir et opposition confondus biensur) qui nous baisent depuis presque 60 ans, 50 ans, 40 ans, 30 ans etc…Sans cela le Maliba ne verrapas le Bout du Tunnel et la lueur d’espoir.
A suivre….
LE ROI BITON DABALI BANA!!!!!! C'est bien le jeune frere POLYGAME qui parle de demographie comme responsable de nos problemes!!! Je me censure par respect pour les aine's qui lisent maliweb!!!
Projet de relecture de la Charte des Partis Politiques : Votre point de vue ?
Vote total : 152
Il faut suspendre les partis politiques
26.3 %
Il faut dissoudre les partis politiques
50.7 %
Sans opinion
23 %
Si vous optez pour la dissolution des partis politiques, que préconisez-vous ?
Vote total : 166
Limiter le nombre de nouveaux partis politiques à 2
32.5 %
Limiter le nombre de nouveaux partis politiques à 3
22.3 %
Elaborer une nouvelle charte des partis politiques
45.2 %
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