De passage chez lui à Tunis, où il participait, les 8 et 9 septembre, à un séminaire consacré au Maghreb et au Sahel, Mongi Hamdi, le chef de la mission des Nations unies au Mali, revient sur les récents combats d’Anefis et le fragile accord de paix signé en juin à Bamako.
Le chef de la Minusma ne nie pas l’évidence : il y a bien des liens étroits entre les milices qui sévissent au nord, y compris celles qui sont proches du gouvernement, et les narcotrafiquants… Interview.
Jeune Afrique : Quelle est la situation à Anefis ?
Mongi Hamdi : Les éléments de la Plateforme, essentiellement issus du Gatia, ont quitté la localité aujourd’hui ([mercredi 9 septembre, NDLR]. La Minusma est sur place afin de sécuriser la ville. Ce qu’il s’est passé à Anefis est vraiment regrettable. Nous étions dans une logique de paix. La Minusma et la communauté internationale travaillaient à la mise en œuvre de l’accord de paix avec l’État malien et les différentes parties. La situation sécuritaire au sud de Kidal s’est dégradée brusquement. L’objectif #des belligérants, NDLR] était peut-être de compromettre cet accord de paix.
Une fois de plus, il semble que l’enjeu de ces combats soit le contrôle des routes de la drogue…Lire la suite sur jeuneafrique.com
commencé par lui-même d’abord
🙄 , Je ne dirais pas NON Mr. Hamdi de Koulouba, dans la Classe politique, la Société civile…les groupes armés et non armés, la Minusma, Barkhane, Gatia et cma etc….il y en a partout.
Comment le Peuple Malien prendra cette conscience et faire la part des choses en iimposant le Changement et le Vrai Changement pour la paix et la reconciliation nationale ❓ .
🙄 🙄 🙄 , si porte de sortie il y aura cas même le bout du tunnel est encore très très loin 😥 👿 .
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