En visite à Paris l’ancien Premier ministre Modibo Sidibé a été reçu sur le plateau de France 24 où il était interrogé par Jean Karim Fall. C’était le mercredi 01 mai 2013 aux environs de 16 heures. M. Sidibé a pu échanger avec son interlocuteur sur un ensemble de préoccupations, notamment sa longue présence au sommet de l’Etat et au cœur du pouvoir, sa responsabilité supposée dans les évènements qui sont survenus au Mali. En somme, tout ce qui est d’actualité aujourd’hui au Mali.
Est-ce que vous estimez, je rappelle que vous avez été Premier ministre de Monsieur Amadou Toumani Touré, que vous avez une part de responsabilité dans la crise du Mali ?
Modibo Sidibé : La crise malienne a un certain nombre de causes qui sont structurelles et conjoncturelles. Structurelles parce que, nous le savons bien, la plupart des défaillances quant à la
faiblesse de certains piliers de l’Etat ne sont pas forcément propres à l’Etat du Mali, mais, à la plupart de nos Etats et à des degrés divers. Deuxièmement, les conjonctures issues de ce qui a été
la crise libyenne et d’autres événements récurrents maliens se sont retrouvés pour nous amener à la crise là, à deux mois de l’élection présidentielle, avec un coup d’Etat, qui a eu ses implications sur la
perte des 2/3 de notre territoire.
Monsieur Sidibé, revenons sur la période durant laquelle vous étiez aux affaires. Les jihadistes se sont installés dans le nord du Mali. Qu’avez-vous fait ?
Il est certain qu’il y a eu des infiltrations et des va-et-vient pendant de longues périodes. Avant qu’il n’y ait incrustation qui s’est manifestée ces derniers temps.
Mais pendant cette époque, est-ce que vous n’avez pas sous-estimez ce danger ?
Ce n’est pas une question de sous-estimer parce qu’il y a eu parfois des affrontements entre les forces armées maliennes et certains groupes de jihadistes. Et deuxièmement, le Mali a appelé à l’époque, si vous vous souvenez, à une coopération sous-régionale avec les pays du Champ pour véritablement faire face à cette situation là. Il était certain que ce n’était pas le Mali qui devrait jouer seule sa partition, mais, cela devrait se faire avec l’ensemble des pays de la sous-région.
Vous estimez que les pays de la sous-région, en particulier l’Algérie, n’ont pas répondu à votre appel à cette époque là ?
Je crois que, pas qu’ils n’ont pas répondu, mais la réponse n’a pas été ce qu’on pouvait attendre en terme de résolution. Parce qu’il y a eu, par exemple, les états-majors conjoints qui ont été mis en place mais l’opérationnalisation et les interventions n’ont pas été dans la direction souhaitée. Le sommet qui devrait entériner tout cela ne s’est pas évidemment tenu.
Comment vous expliquez avec le recul cette tiédeur de vos voisins et du plus puissant d’entre eux l’Algérie ?
Les uns et les autres n’ont pas pris la mesure peut-être du problème. Il est bien, aujourd’hui, depuis quelques mois, en raison de ce qui s’est passé le 10 janvier 2013 (l’intervention de la France), qu’on ait pris conscience de la dimension du problème, aussi des valeurs républicaines, démocratiques et de liberté. C’est l’occasion pour moi de saluer la France, pour la décision qu’elle a eu à prendre d’intervenir et de stopper la descente vers le sud, et aussi de m’incliner devant la mémoire de tous ceux qui sont tombés : soldats français, militaires maliens, tchadiens et de différentes nationales de la MISMA. Nous souhaitons qu’on puisse aujourd’hui encourager très fortement les forces de défense et les unités sur le terrain, pour pouvoir assurer le travail qui a été fait, que je crois, a été bien fait.
Nous allons y revenir… On n’a parlé de la menace jihadiste mais il y avait aussi ce qu’on appelle la menace des narcotrafiquants à cette époque-là où vous étiez aux affaires, vous n’avez rien fait. Le Mali était pratiquement un narco-Etat dans la région.
Je crois que vous allez très loin en traitant le Mali de narco-Etat.
Je ne suis pas d’accord avec vous là-dessus.
Il y a eu des problèmes. Il y a un Boeing 707 qui s’est posé bourré de cocaïne à Gao…
S’il vous plaît, le Boeing 707 ne s’est pas posé à Gao, mais dans la région de Gao. Vous savez bien, les images qu’on a vues de l’immensité de la zone montraient qu’il y a des choses qui pouvaient surprendre par rapport aux défaillances en termes de système. Vous parlez de Boeing, cela a fait l’objet d’une procédure judiciaire ; il y avait même eu des gens qui avaient été inculpés dans ce cadre là. Je suppose que la procédure continue et même aujourd’hui, il y a eu des mandats
d’inculpation contre certaines personnes. Donc, la justice a fait son travail. De l’autre côté, il y a eu une nouvelle politique de lutte en matière de sécurité qui a été adoptée, et qui a conduit à la mise en place d’un office central. Qui était en train d’être structuré et pouvait permettre en fait de fédérer l’ensemble des unités maliennes : gendarmerie, police, douanes, garde, pour leur donner un peu plus de poigne et d’efficacité dans la lutte contre la drogue. En rapport avec la sous-région, particulièrement avec la Cédéao, qui avait mis des mécanismes en place pour une meilleure coopération en termes d’information et de renseignement dans la lutte contre la drogue.
Avec le recul comment expliquez-vous que l’armée malienne se soit effondrée aussi rapidement lors de l’offensive des jihadistes ?
Je crois qu’il y a plusieurs motifs qu’on pourrait certainement évoquer. Il y a eu des insuffisances ; peut-être qu’il n’y a pas eu suffisamment à temps une analyse pour revoir la politique nationale de défense et de sécurité et redéployer en fonction de ça l’outil qu’il fallait. Maintenant, il y a eu évidemment des coups de boutoirs, il y a des insuffisances, qui ont fait que l’armée n’a pas
répondu totalement aux opérations. Il y a eu des opérations qui ont été menées, ils ont résisté. Ils ont été des fois sur la défensive.
Mais, de façon générale, la chaîne de commandement n’étant plus là, il était difficile à l’armée de faire correctement son travail.
Monsieur Sidibé vous êtes candidat à la prochaine élection présidentielle. Quelles sont vos relations avec l’armée ?
Je ne connais de l’armée que l’armée républicaine, l’armée de la nation. J’ai été moi-même militaire. Vous le savez, puisqu’à un moment donné, la police avait un statut militaire. Je pense que quand vous parlez de l’armée, vous parlez de la junte aussi, moi, je ne confonds pas les deux.
Donc pour vous il y a deux armées au Mali aujourd’hui ?
Il n’y a pas deux armées au Mali. Je ne ferai pas l’erreur de confondre la junte à l’armée du Mali, l’armée républicaine qui doit restée comme telle. Il y a eu ce qui s’est passé, moi-même j’ai été
privé de ma liberté à plusieurs reprises, tout ça c’est du passé. Moi, ma préoccupation aujourd’hui c’est comment regarder vers l’avenir. J’étais candidat avant les événements du 22 mars 2012, nous étions dans l’orientation vers le renouveau de la démocratie, parce que nous étions arrivés à l’analyse qu’il y avait quand même un délitement entre la base, disons les citoyens et la classe politique, parce que le taux de participation aux élections était faible. Il y avait un paysage politique fragmenté qui ne donnait aucune lisibilité aux différents citoyens. Fondamentalement, on avait gagné la République, on avait gagné la démocratie, mais nous n’avions pas gagné les citoyens.
Vous avez parlé de vos rapports compliqués avec le capitaine Sanogo qui est l’auteur du coup d’Etat de 2012. Est-ce que vous estimez que c’est un obstacle pour la démocratie ?
Je voudrais d’abord réajuster. Je n’ai pas de rapports compliqués avec le capitaine Sanogo.
Vous avez été arrêté à plusieurs reprises.
J’ai été arrêté à plusieurs reprises et pour moi, ça motive véritablement. J’ai fait l’objet d’une quatrième tentative ce qui m’a amené à prendre des mesures de sécurité pour moi-même et dans mon domicile. J’ai vécu un peu comme un déplacé parce que ma famille était éclatée pendant de longs mois. Donc, je reviens, ma préoccupation n’est pas ça, le plus important aujourd’hui, parce que tous les événements qui sont survenus ont amené des déchirures au sein de la nation malienne, il nous faut regarder comment rebâtir cette nation malienne.
C’est pour ça que nous étions candidat ; c’est pour ça que nous confirmons notre candidature, et que nous avons créé un parti politique pour être la deuxième génération de partis politiques de notre
démocratie. Je ne confonds pas le système démocratique avec les faiblesses de gouvernance, les insuffisances. Il y a eu des acquis, il faut les consolider ; il y a eu des défaillances, il faut les dénoncer.
Vous êtes candidat. Est-ce que vous pensez que les élections sont faisables ; le calendrier est-il tenable ?
Le gouvernement a proposé cette date, une date butoir (31 juillet 2013). Il nous appartient à tous, en tant qu’acteurs partis politiques, société civile, communauté internationale, administration gouvernementale, de travailler dans cette direction. Il ne s’agit pas de soulever des obstacles : il va se passer ceci, il va se passer cela. Restons autour d’une table, examinons toutes les difficultés et contraintes, essayons de les enlever pour aller vers ça. Dans la situation actuelle, tout le monde sait qu’il faut une autorité légitime forte, capable de faire face aux enjeux d’aujourd’hui et de demain pour notre pays.
Et parmi ces enjeux, il y a Kidal. Faut-il négocier avec le MNLA ? Faut-il que l’armée malienne s’installe à Kidal très rapidement ?
Oui Monsieur Fall. La question est aussi simple que l’intégrité territoriale est préservée. Kidal fait partie du Mali, la souveraineté du Mali doit s’y exercer ! Tous les groupes armés doivent désarmer. Tous ceux qui respectent ces différentes conditions, on peut envisager de discuter. C’est ce que la commission nationale de dialogue et de réconciliation va faire. Nous sommes réconfortés sur toute la ligne, du début jusqu’à maintenant, la communauté internationale et tous nos partenaires et particulièrement la France, n’ont jamais cessé d’affirmer l’intégrité du territoire et la souveraineté entière et pleine du Mali sur l’ensemble de son territoire. Les négociations doivent le permettre parce qu’on doit voter à Kidal, c’est important, comme dans les autres régions du Mali.
Transcrits par Kassim TRAORE
Pourquoi en vouloir a Modibo Sidibe? Il etait dans un systeme avec tous les pouvoirs exiges par la democratie. AOK , Dioncounda, Iba N’Diaye et autres sont la toujlurs a la commande du bateau Mali. Le ridicule ne tue plus dans ce pays. Eviter de denigrer les gens, lq democratie avec ses faiblesses a decime notre pays. Si vous voulez apporter la correction alors adoptons l’idee de GMT. Aujourd’hui la majorite des maliens donne raison a ce General qui n’est pas ATT. Celui la meme qui a vendu le pays a tous les defauts: menteur,
Ce pédé de Modibo n’a pas honte. C’est indigne aujourd’hui pour ce pédé de ne pas faire son méa culpa, pour avoir été au coeur du pouvoir pendant ces 20 dernières années. M Sidibé s’il le voulait pouvait apporter les changements qu’il veut incarner aujourd’hui, il a été premier ministre et qu’est ce qu’il a fait pour lutter contre la corruption, et renforcer les piliers faibles de l’état qu’il dénonce aujourd’hui? Que Modibo nous éclaire d’abord sur l’initiative riz qui malgré les fonds investi et bonne saison de pluie a été un échec!!! Cet homme a eu tout du Mali de mars 1991 à aujourd’hui, il devait d’abord reconnaître sa responsabilité de tout ce s’est passé et ensuite faire des propositions aux maliens. Mais il pense avec sa beauté et sa langue mielleuse tromper les maliens!! Que Modibo sache qu’il y a des vertus chez qui l’imposait de ne pas se dissocier de se responsabilités et de ses amis.
C’est indigne aujourd’hui pour ce pédé de Modibo Sidibé de ne pas faire son méa culpa, pour avoir été au coeur du pouvoir pendant ces 20 dernières années. M Sidibé s’il le voulait pouvait apporter les changements qu’il veut incarner aujourd’hui, il a été premier ministre et qu’est ce qu’il a fait pour lutter contre la corruption, et renforcer les piliers faibles de l’état qu’il dénonce aujourd’hui? Que Modibo nous éclaire d’abord sur l’initiative riz qui malgré les fonds investi et bonne saison de pluie a été un échec!!! Cet homme a eu tout du Mali de mars 1991 à aujourd’hui, il devait d’abord reconnaître sa responsabilité de tout ce s’est passé et ensuite faire des propositions aux maliens. Mais il pense avec sa beauté et sa langue mielleuse tromper les maliens!! Que Modibo sache qu’il y a des vertus chez qui l’imposait de ne pas se dissocier de se responsabilités et de ses amis.Pour prétendre être Président aujourd’hui il justifie de quel parcours politique?
Il ya des malien qui aime Modibo laisse les gens en paix
C’est indigne aujourd’hui pour Modibo Sidibé de ne pas faire son méa culpa, pour avoir été au coeur du pouvoir pendant ces 20 dernières années. M Sidibé s’il le voulait pouvait apporter les changements qu’il veut incarner aujourd’hui, il a été premier ministre et qu’est ce qu’il a fait pour lutter contre la corruption, et renforcer les piliers faibles de l’état qu’il dénonce aujourd’hui? Que Modibo nous éclaire d’abord sur l’initiative riz qui malgré les fonds investi et bonne saison de pluie a été un échec!!!
Cet homme a eu tout du Mali de mars 1991 à aujourd’hui, il devait d’abord reconnaître sa responsabilité de tout ce s’est passé et ensuite faire des propositions aux maliens. Mais il pense avec sa beauté et sa langue mielleuse tromper les maliens!!
Que Modibo sache qu’il y a des vertus chez qui l’imposait de ne pas se dissocier de se responsabilités et de ses amis.Pour prétendre être Président aujourd’hui il justifie de quel parcours politique? Il est militant de quel parti politique? Sa hauteur et son orgueil ne lui permettaient d’être militant d’un parti politique, qu’à t il fait pour son corps d’appartenance qu’est la police?
Merci M Sidibé, le Mali a besoin d’un Homme digne, honnête et patriote ayant un parcours politique bien étoffé et sociable pour remettre les maliens au travail!!!
L’initiative RIZ : Il était prévu au début des études de faisabilité 42 milliards 500 cent millions , mais seul:
– 32 milliards 500 millions ont été dépensés. Dans ces 32 milliards 500 millions il faut enlever:
– 22 milliards 500 millions rien que pour les engrais subventionnés de 25000fcfa sac à 12500 FCFA sac, les semences de riz, le prix de l’eau pour l’irrigation des parcelles, les motoculteurs les, décortiqueuses
– Près de 5 milliards contribution de certains donateurs qui sont généralement matériel mais pas en argent liquide
-Près de 5 à 7 milliards budget national fond propre de l’Etat
Mr DIAKITE voilà ce que j’ai eu après mes investigations, vous voyez bien que le premier ministre n’avait pas ces sous dans un tiroir pour en soutirer à sa guise.
– Il était prévu une production de 1 600 000 tonnes de padis, l’initiative a fait 1 300 000 tonnes
Ce qui est une réussite de plus de 80%.
-Mr DIAKITE ces informations sont à la disposition de tous au lieu de critiquer pour critiquer en frôlant même à un manque de civilité par des injures.
LES MALIENS vont choisir suivant la valeur de tous, nous voulons une élection civilisée que le meilleur candidat gagne, et que DIEU L’initiative RIZ : Il était prévu au début des études de faisabilité 42 milliards 500 cent millions, mais seul:
– 32 milliards 500 millions ont été dépensés. Dans ces 32 milliards 500 millions il faut enlever:
– 22 milliards 500 millions rien que pour les engrais subventionné de 25000fcfa sac à 12500 FCFA sac, les semences de riz, le prix de l’eau pour l’irrigation des parcelles.
-5 milliards contribution de certains donateurs qui sont généralement matériel mais pas en argent liquide
– 5 à 7 milliards budget national
Mr DIAKITE voilà ce que j’ai eu après mes investigations, vous voyez bien que le premier ministre n’avait pas ces sous dans un tiroir pour en soutirer à sa guise.
– Il était prévu une production de 1 600 000 tonnes de padis, l’initiative a fait 1 300 000 tonnes ce qui est une réussite à près de 82%.
-Mr DIAKITE ces informations sont à la disposition de tous au lieu de critiquer pour critiquer en frôlant même a un manque de civilité par des injures .Du doyen IBK au plus jeune MARA ils sont tous Maliens mettons le Mali au-dessus de tout
Boucher, vous parler de quelles investigations ? Vous n’avez fait que transcrire les dires de ce pedé de Modibo, la vidéo est sur le site de Maliweb et sur youtube. Mais puisque vous prennez ces dires comme de l’argent comptant, vous êtes pareils : tous des menteurs.
Modibo SIDIBE croit fermement que les maliens sont des amnésiques et des imbéciles. 😳 😳 😳 😳 😳
“A beau mentir qui vient de loin” De là où vous est vous ne savez rien de notre Maliba . Vous avez les infos de 3ième génération , lavées , delavées ayant perdues toutes ses couleurs et sa saveur.
Il n’a même pas honte ce cameleon. Il pense que notre chère patrie le Mali lui a ete legue par son père comme heritage. Le Mali a toutes les raisons pour lui poursuivre et faire justice a cause de sa gestion dans les gouvernements “democratiques” qui ont conduit notre pays au suicide et faire de la corruption un art de manisfester sa puissance materielle au Mali. Modibo, tu m’a pas honte? Où va ta dignite? Non les maliens ne veulent plus jamais voir ta tête dans leur affaire a plus forte raison leur presidernt. Un peu de dignite bon Dieu.
COMME SEUL REPROCHE A SOUMANA SAKO CES ADVERSAIRES DISENT DE LUI :
SOUMANA SAKO EST L’HOMME DU PASSÉ: NOUS LEUR DISONS OK
MAIS QUEL PASSÉ?
CELUI DE LA FIERETÉ D’ETRE MALIEN // DE L’INTEGRITE // DE LA BONNE GESTON // DE LA RESPONSABILITÉ
A L’OPPOSÉ DE CE PASSÉ IL Y’A LES HOMMES DU PASSIF
MAIS QUEL PASSIF?
CELUI DE LA CHUTE D’ UN PAYS // DE LA HONTE SUR TOUTE UNE NATION // DE LA MAUVAISE GOUVERNANCE ET DES TRAFICS D’INFLUENCE
ALORS OUI SOUMANA SAKO SYMBOLISE CE PASSÉ GLORIEUX ET LES MALIENS EN SONT NOSTALGIQUES ET RÊVENT D’UN FUTUR MEILLEUR POUR LEURS ENFANTS
VIVE SOUMANA SAKO
A BAS TOUS LES DEMONCRATES ESCROCS DU FDR ET ASSOCIES
Modibo Sidibé doit se regarder à travers ses différents passages aux gouvernements. Qu’a t il fait pour le Mali? S’enrichir seulement et voir le peuple mourir de faim et de soif. S’il repond qu’il n’en est rien dans la gérence du Mali de 1992 à nos jours, il montre sa carrence et son iresponsabilité. Où sont ses enfants? Est il malien? Non, il n’a rien dans ce pays. Faux type, amène l’argent volé pour la campagne, maudit garçon.
il se croit blanc plus que blanche neige or que c,est une pouriture de premiere classe un voleur qui a accompagne alpha et att dans leur sales coups contre le maliba……sale traitre tu serais deçu le soire du 31 jullet car les baramokos vont vomir sur toi…….
une vermine de plus qui doit s explique sur les milliards detournes lors de sa gouvernance et qui pense qu il peut nous berner now que le capi l a laisse en paix .c est pour toutes ces raisons que j appreciais les arrestations des hoes politiques vereux qui ont ce pays a terre dont ce inconscient. honte a toi 👿 👿 👿
pour qui veux tu voter ? il n’y en n’a pas un seul pour racheter l’autre !! tous bons pour Taoudeni 👿 👿
on ne veut jamais elure un militaire ou para-militaire a la presidence.LE POUVOIR POLITIK AU CIVIL,l armee dans la caserne pour defendre l integriter territoriale et les para-militaires celle interne.VIVE UN MALI K BOUGE avec zoumana sako.MEME UN MILITAIRE K PREND SA DISPONIBILITEE. POLITIK AU POLITK,LA DEFENSE AU MILITAIRE E PARAMILITERRE.
ont sans fout de toi pauvre cons, ki va voté pour toi,
…….”Il y a eu des acquis, il faut les consolider ; il y a eu des défaillances, il faut les dénoncer” Il faut denoncer en même temps, il faut trouver des solutions à ces défaillances. Ce Monsieur est qu’à même le plus parmis les maliens , à trop bénéfier du système de ALPHA à ATT. Il est ça fait presque 20 ans qu’il est au sommet de l’état et sait exactement ce qui s’est passé durant ces années. Il doit dégager purement et simplement car, sa responsabilité dans la descente au enfer de notre pays est très grande. Il nous parle aujourd’hui de démocratie alors qu’il a été avec ALPHA et ATT, les acteurs principaux des tricheries lors des élections, de l’achat des consciences,de la culture de la médiocrité,de la politisation de notre armée, de la corruption grandissante au MALI……..S’il aime son pays, il doit s’effacer de la scène. Vive le MALI!
POUR VOUS RESUMER A TOUS L’ARTICLE
MODIBO SIDIBE, LE COLLABORATEUR PRINCIPAL D’ATT DIT:
JE NE SUIS RESPONNSABLE DE RIEN
LA FAUTE AUX PAYS VOISINS SI LE MALI ETAIT LE MAILLON FAIBLE
TOUT LE MONDE EST RESPONSABLE AU MÊME NIVEAU
JE N’AI RIEN VU VENIR MAIS JE SUIS LE CANDIDAT IDEAL
IRRESPONSABLE D’AVANCE DE TS LES MEFAITS VOTEZ POUR MOI
FACE A L’IRRESPONSABILITE VOTONS POUR DES RESPONSABLES
SOUMANA SAKO L’HOMME QU’IL FAUT
INTEGRE
EXPERIMENTÉ
PATRIOTE
HOMME DE VISION
VOTONS ZOU
VOTONS POUR LE VRAI CHANGEMENT
mais cet imbécile se fou de la santé des maliens ou quoi.mais qu’il continu a se baladé dans les rues de paris ,si jamais le mal lui prend que je lui croises ,je vous le dis il va regreté ce jour là pourquoi sa mere lui a mis au monde .
des vermines ,pourriture ,dechet ,honte de l’humanité tu brule ton pays et tu n’as pas honte de venir prendre ton plaisir dans un pays issue au bout de l’effort .
CMD ON EST AVEC VOUS
Notre système éducatif est en déconfiture totale.Si on exigeait à ce que l’ensemble des candidats pour Koulouba aient au moins un de leurs fils inscrit dans le système scolaire malien, Modibo SIDIBE qui a envoyé depuis belles lurettes tous ses enfants (mêmes les plus petits)
étudier au CANADA à coût de plusieurs dizaines de millions/an,serait exclu de la compétition!Qu’est ce que peuvent donc apporter à notre école, des personnalités comme lui Modibo?Le rêve est certes bien permis pour nous de retrouver nos 42,5 milliards de l’initiative riz, mais ce même rêve est permis pour Modibo de succeder à ATT à Koulouba.
😈 👿 😈
karamoco i dansoko ..tout ces anciens voleurs ne doivent pas etre autorise a etre candidat car ils ne meritent rien ces margouillats…modibo sidibe…soumi le voleur d,argent des coton culteurs…ibk le vieux de sebenicoro..mountaga le malhonete…et les cafards de l,adema….un homme nouveau pour le mali…
Salut mon pere tout ira bien car les maliens ne vont plus accepter des inconcients au pouvoire.
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