Pourquoi un Guide pour les parajuristes ?
C’est un manuel pour que les parajuristes puissent s’approprier du rôle qu’ils doivent jouer auprès des communautés. Et aussi pour leur permettre de travailler pour que les communautés à la base puissent avoir le maximum d’informations et qu’ils puissent rendre le maximum de service.
En quoi va consister le travail de ces parajuristes ?
Leur travail va consister surtout à sensibiliser les populations sur leurs droits et à les informer. Mais, aussi à pouvoir les orienter, les référer sur les associations formatrices de parajuristes. Parce que ce sont des personnes qui vont être des surveillantes de la mise en œuvre des droits humains dans les communautés à la base.
Qu’attendez-vous d’eux ?
Nous attendons qu’ils nous fassent le point sur la mise en œuvre des droits humains dans leurs communautés.
Comment se porte aujourd’hui votre ONG Wildaf/Mali ?
Wildaf/Mali se porte bien. Nous essayons de faire avancer les choses malgré la situation de crise qui prévaut actuellement dans notre pays.
