Me Demba Traoré, secrétaire à la communication de L’URD: « Oui le Mali avance, mais vers le mur »

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« Les Maliens veulent le changement », « L’opposition n’est pas synonyme de casse », « L’accord est le résultat d’un processus conduit dans l’autisme et le refus de concertations sérieuses avec les acteurs politiques et les forces vives », « Kidal est une ville dans un Etat souverain, gérée par des groupes armés », « Les espoirs des Maliens ont été déçus ». Voilà quelques formules chocs que l’on relève dans la grande interview accordée à L’Aube par Me Demba Traoré, secrétaire à la communication du Bureau exécutif national de l’Union pour la République et la Démocratie.

Avec notre reporter, l’ancien ministre et ancien député dissèque l’actualité nationale avec en toile de fond la situation de Kidal, l’Accord de paix et de réconciliation, le front social, le chef de file de l’Opposition et la vie du parti Urd.

 L’Aube : Comment se porte l’Urd ?

Me Demba Traoré : L’Urd se porte très bien. Il est un parti d’opposition et il continue de jouer sa partition dans le cadre du renforcement de notre démocratie. C’est pour cette raison d’ailleurs que notre parti a décidé, en toute responsabilité, de travailler dans le cadre d’une opposition républicaine et constructive. Nous avons déjà posé des jalons dans ce sens.

Le parti a entamé une série de tournées à l’intérieur qui l’a déjà conduit à Sikasso et Kayes serait programmé. Dans quel cadre rentre cette initiative ?

L’Urd est un parti républicain qui a des statuts et un règlement intérieur. Et nous sommes appelés à tenir notre conférence nationale en fin mars 2016, plus précisément du 26 au 27 mars. Dans les statuts, c’est une obligation pour le bureau exécutif national, notamment pour le président, de participer à la vie du parti au niveau des régions. Pour cela, nous avons adopté un programme d’organisation de conférences régionales. Qui sont des conférences statutaires et qui doivent se dérouler dans toutes les régions. Nous avons commencé, depuis l’année dernière, par les sections de Bamako. On a tenu le même exercice à Ségou, il y a deux semaines. Après Ségou, c’était le tour de Sikasso, le week-end passé. Et maintenant, le tour de Kayes est programmé pour le week-end prochain. Les tours de Mopti, Koulikoro, Tombouctou, Gao…suivront. C’est dire que nous allons sillonner toutes les régions. Cela est de notre devoir, puisque c’est une obligation pour le parti de respecter ses propres textes. Mieux, l’Urd n’est pas à sa première tournée à l’intérieur du pays. Nous l’avons toujours fait. Sous la présidence de Younouss Touré, j’ai participé à des délégations qui ont sillonné tout le pays pour tenir ces mêmes conférences régionales. Donc, c’est la vie du parti qui continue. Et ce n’est pas le fait d’être aujourd’hui dans l’opposition qui changerait quoique ce soit. Nous sommes obligés de continuer à être fidèle à notre idéal et à être beaucoup plus proche des populations. N’avions-nous pas entendu, très souvent lors des conférences de presse, que les cadres de l’Urd partent rarement à l’intérieur ? Et maintenant que nous partons à l’intérieur, certains estiment que cela cache des choses. Finalement, que doit-on faire ?

A quoi répondez-vous à ceux-là qui font justement passer ces tournées pour une campagne déguisée ?

Je leur dis tout simplement que nous sommes dans une République. Et que nous ne sommes pas à l’heure de la campagne, mais plutôt à l’heure du respect des textes. Nous sommes à l’heure du respect de nos propres textes à l’interne du parti.  Donc, si nous partons voir les populations conformément aux textes du parti pour tenir des conférences statutaires, quoi de plus normal. D’ailleurs, nous devons être encouragés à persévérer dans ce sens. On ne doit pas assimiler ce respect de nos textes à une campagne déguisée. Vous pensez qu’on peut, étant à Bamako, tenir la conférence régionale de Gao ? Ça n’a pas de sens. Cependant, je peux comprendre ces esprits-là (ndlr : ceux qui parlent de campagne déguisée), pour la simple raison que les déplacements de Soumaïla Cissé suscitent tellement d’engouement que les gens se posent des questions. L’engouement au sein des populations, aussi bien à Ségou qu’à Sikasso, était tel que nous étions tenus de nous arrêter au niveau des cercles et arrondissements, pour échanger un peu avec nos militants. On n’a pas l’occasion de le faire tout le temps. Au-delà, la ferveur suscitée par ces déplacements de Soumaïla exprime, en réalité, la soif de changement. Les gens veulent le changement. Ils sont pressés. C’est pourquoi partout où nous sommés passés, la mobilisation fut telle qu’on avait effectivement l’impression d’être dans une période de campagne électorale pour la présidentielle. Mais, que ceux qui parlent de campagne se rassurent, pour le moment, nous sommes juste en train de travailler pour être beaucoup plus proche des populations, pour discuter avec nos structures afin d’avoir des résolutions qui pourront conduire à bon port toutes les décisions que nous prenons, non seulement au nom du parti, mais aussi en faveur des populations et pour l’avenir du Mali.

 

Vous parlez d’engouement pour les déplacements de Soumaïla Cissé. Doit-on en déduire que le parti a, pendant ces tournées à Ségou et Sikasso, enregistré de nouvelles adhésions?

Bien sûr que oui. J’étais aussi bien à Ségou qu’à Sikasso. Je vous assure que tous les programmes initiés ont été perturbés, parce que tout simplement nous avons eu des adhésions massives. Des gens, qui étaient du parti au pouvoir, nous ont rejoints par conviction. Ces gens, qui avaient été floués par le parti au pouvoir, ont senti qu’il y a à l’Urd un leadership capable de faire avancer les choses. Concernant, ces adhésions de taille enregistrées à Ségou, Sikasso et même à Bamako, personne ne peut dire que ce sont des gens que nous avons achetés. Primo, nous n’en avons pas les moyens. Et secundo : tout le monde sait qu’en longueur de journée, des cadres sont chassés de leur poste parce qu’ils sont tout simplement de l’Urd. Ce qui est contraire à la constitution de notre pays qui interdit toute discrimination fondée sur l’appartenance politique.  Ça viole également le statut de l’opposition qui interdit aussi toute discrimination liée à l’appartenance politique. Vous voyez ! N’ayant pas les moyens, n’étant pas au pouvoir, nous sommes rejoints par des femmes et hommes de qualité soucieux de l’avenir du Mali. Qu’est-ce que les populations du Mali veulent aujourd’hui ? Tout le monde aspire à la paix, à la quiétude, à l’accès à l’emploi, particulièrement pour les jeunes. C’est par rapport à tout ça, que les 77% des Maliens ont placé leurs espoirs au président élu en 2013. Mais, ces espoirs ont été déçus. Ainsi, des Maliens, ayant compris qu’ils ont commis une erreur, sont en train de se racheter. D’où ces adhésions massives d’hommes et de femmes qui sont prêts à servir l’intérêt du Mali.

 

Pensez-vous que la grogne sociale, avec la multiplication des grèves à travers tout le pays, est une manifestation de cette déception ?

Vous avez vu dans quel pays où les gouvernants conduisent bien les affaires de l’Etat à la satisfaction du peuple, et en même temps voir cette grogne sociale. Cette grogne sociale est la parfaite illustration de ce problème de mal gouvernance. Parce qu’il y a des syndicats qui attendent depuis. Il y en a qui ont signé des accords avec le gouvernement qui tarde à les mettre en exécution. La grève est un droit, un moyen de pression pour se faire attendre. Il revient au gouvernement de faire en sorte qu’il n’y ait pas d’autres fronts, d’autant plus que nous avons déjà des problèmes sur les plans sécuritaire, économique… Si le gouvernement accepte de s’enliser dans les problèmes sur le plan social, ce serait la catastrophe.

 

Le chef de file de l’opposition a été nommé depuis des mois. Pourquoi, il n’exerce pas ses fonctions ?

Les Maliens doivent comprendre que le statut de l’opposition politique en République du Mali est une loi. C’est une loi qui a été promulguée par le chef de l’Etat, Ibrahim Boubacar Keïta, le 4 mars 2015. Ce statut précise que pour être chef de file de l’opposition, il faut d’abord être dans un parti déclaré de l’opposition au niveau du parlement. Ce n’est pas tout, le chef de file est choisi dans les rangs du parti de l’opposition qui a le plus grand nombre de députés à l’Assemblée nationale. Voilà pourquoi l’Urd, étant membre de l’opposition et ayant le plus grand nombre d’élus, devait désigner en son sein le chef de file de l’opposition. Ainsi, après la promulgation de la loi et sa réception par notre bureau, nous avons désigné, le 25 mars 2015, le camarade Soumaïla Cissé. Et la loi dit que la proposition doit être transmise au ministre en charge des partis politiques qui, sans délai, communique ce nom au président de la République qui, également sans délai, prend un décret pour officialiser la désignation. Mais, ce n’est qu’au mois de juin que le président de la République a pris le décret pour officialiser cette désignation de M. Cissé comme chef de file de l’opposition. La même loi précise que c’est que le gouvernement de la République du Mali, statuant en conseil de ministres, qui décide par décret de composer le cabinet du chef de file de l’opposition ; fixe les avantages du chef de file. C’est ce décret que nous attendons toujours. Vous voyez ! Pour une loi promulguée le 4 mars 2015, un chef de file nommé au mois de juin 2015, nous sommes encore dans l’attente du décret qui fixe l’effectif qui compose son cabinet. Ne parlons pas de moyens, puisque, sans ce décret, il ne peut être question de moyens. Donc, aujourd’hui encore, on ne sait pas ce que le chef de file aura comme moyens financiers, matériels et humains. Tout ça est laissé au bon vouloir du gouvernement.

 

Selon vous, qu’est-ce qui retarde ce décret ?

S’il y avait vraiment la volonté politique, le gouvernement aurait pris ses textes depuis la nomination de Soumaïla Cissé. On nous a conviés, tous les partis politiques, il y a à peu près sept mois, au ministère de l’administration territoriale avec un projet de décret. Mais jusque-là, rien n’est sorti. Prendre un décret, ça demande quoi ? Mais on ne fait que tergiverser. Or, nous voyons tous les jours dans la presse des projets de décrets qui sont changés, modifiés, repris… Sincèrement, soit on est d’accord de conforter notre démocratie, soit on ne l’est pas. Je précise que l’argent ou les moyens qui seront mis à la disposition du chef de file de l’opposition pour qu’il exécute correctement ses missions, ne peuvent le faire taire. Au contraire, ce sont des moyens qui vont l’amener à travailler et à suivre et critiquer l’action du gouvernement. La loi portant statut de l’opposition exige du chef de file de critiquer l’action gouvernementale sur l’ensemble du territoire du Mali, et même au-delà. Alors, vous assignez une telle mission de service public à quelqu’un et vous le ne donnez pas les moyens. Il le fera comment ? Surtout qu’il est tenu de faire un rapport annuel adressé au président de la République et au président de l’Assemblée. Aussi, il faut que les Maliens sachent que cette loi n’est pas un avènement du régime IBK. Seulement, elle a été améliorée. Et ce sont ces innovations qui ont permis, bien entendu, l’institution du chef de file de l’opposition. Ça, c’est une réalité. Mais, quand on franchit un pas aussi sérieux, le reste doit suivre. Sinon ça n’aura aucun sens. Vous ne pouvez pas, avec la main droite, faire croire aux Maliens et aux partenaires du Mali que vous êtes démocrate et que vous voulez mettre l’opposition dans tous ses droits ; et retirer tout ce que vous dite avec la main gauche. Depuis l’adoption du statut, et même  bien avant, la ligne du chef de file n’a pas changé. Il continue de critiquer, de se prononcer sur tous les dossiers de l’Etat. Au début, certains avaient pensé que nous étions des apatrides, mais aujourd’hui ils ont compris que nous aimons ce pays autant que ceux qui se disent de la majorité.

 

Pourtant, certains pensent que Soumaïla Cissé est un opposant mou. Pourquoi il n’occupe pas la scène comme cela se doit ? Ou bien il attend les moyens pour le faire ?

Nous n’attendons pas les moyens. Nous avons commencé à travailler. En témoignent nos critiques et propositions sur les sujets intéressants la vie de la nation. Je ne sais ce que vous appelez « mou ». Est-ce que vous voulez dire qu’être opposant, c’est sortir tous les jours dans la rue pour brûler des pneus. Nous n’inscrivons pas nos actions dans ce sens-là. Nous sommes une opposition constructive. Et nous souhaitons que la démocratie se fasse autour du débat, un débat constructif. C’est pourquoi, nous avons utilisé tous les créneaux offerts par la démocratie pour contester les décisions des pouvoirs publics. Lesquelles décisions ne vont pas à la faveur des populations. Vous vous souvenez certainement de la motion de censure que nous avons déposée à l’époque contre le Premier ministre Moussa Mara. La majorité a rejeté cette motion de censure, mais quelques mois après, le président de la République nous a donnés raison en limogeant ce Premier ministre.

Aussi, nous avons dénoncé des gens, membres du gouvernement, qui ont été cités dans des scandales financiers, le dossier de l’avion, des engrais, armements. Finalement, avec la pression des partenaires financiers, le président de la République a été obligé de se débarrasser de ces gens. Là aussi, on nous a donnés raison. Ce sont là des faits qui prouvent que nous travaillons, mais sans violence. Je comprends ceux qui parlent ainsi, parce qu’ils ont été habitués à voir des oppositions qui cassent, qui brûlent…Pour eux, l’opposition est synonyme de casse, de violence, de barbarie… Nous, nous démontrons, de façon pédagogique et de manière cohérente, que l’opposition n’est pas cela. Quand on parle d’opposition, c’est par rapport à un programme, un gouvernement ou encore des actions.  Que nos compatriotes qui n’ont pas compris notre action, le comprennent ainsi et qu’ils acceptent de souffrir en ne nous voyant pas tous les matins sur le boulevard de l’indépendance en train de jeter des cailloux sur les véhicules des gens et brûler les édifices publics.

L’accord de paix est dans l’impasse. Qu’est-ce qui explique cet état de fait ?

L’Urd n’a jamais cessé de rappeler que la mise en œuvre de l’accord négocié et paraphé dans les conditions que l’on sait, sera source de nombreux conflits et comportera des risques de déstabilisation du pays. L’accord est le résultat d’un processus conduit dans l’autisme et le refus de concertations sérieuses avec les acteurs politiques et les forces vives du pays. Comment voulez-vous qu’un tel accord nous amène la paix comme par magie ? Nous estimons que notre pays devait entamer, dès la signature du document, une dynamique nouvelle, par un dialogue inter-malien fécond visant à forger un consensus national autour de la restauration de la paix et de la stabilité sur l’ensemble du territoire. Il est encore temps d’instituer un tel cadre qui sera le lieu d’une appropriation nationale, d’une «MALIANISATION » du processus de paix et de réconciliation. Ce dialogue national inter-malien doit s’étendre à tous les acteurs MALIENS de l’instabilité. Face à l’inertie du Gouvernement et à son incapacité de comprendre que c’est lui qui doit prendre les choses en main, nous assistons désespérément à des attentats tous les jours avec leur cortège de pertes en vies humaines, aussi bien parmi nos soldats et leurs alliés que parmi les populations civiles. Et pourtant, la signature de l’accord était censée mettre fin à ces carnages. Je crois qu’il urge pour le Gouvernement de prendre la mesure de ce drame et de sortir de son immobilisme blâmable pour engager le nécessaire dialogue entre les différentes composantes de la nation. Aujourd’hui, nous faisons face à une grogne sociale qui ne faiblit pas alors que l’Etat lui-même est de plus en plus affaibli par l’insécurité grandissante, les scandales, la mauvaise gouvernance, l’absence de vision claire. Dans ces conditions, peut-on réellement et honnêtement dire que le Mali avance? Si oui, c’est sûr qu’il avance vers le mur, chose que nous devons sérieusement éviter.

 

Qu’est-ce que vous pensez de la (nouvelle) situation de Kidal, d’où l’Etat est toujours absent?

La nature a horreur du vide. L’Etat du Mali tergiverse. Et il ne donne aucune indication, ne sachant pas ce qu’il veut. Les populations sont abandonnées à elles-mêmes. Ce n’est pas Kidal seulement. Au nord, il y a plusieurs localités où il n’y a plus d’écoles, plus de dispensaires ou de centres de santé, plus de préfets, encore moins les forces armées. La nature ayant horreur du vide, les groupes armés se sont retrouvés à Anéfis à un moment donné. C’était d’abord pour faire la paix entre eux. Maintenant, ils décident de gérer la ville de Kidal entre eux, en l’absence de l’Etat malien. Une ville dans un Etat souverain, gérée par des groupes armés signataire d’un accord de paix auquel l’Etat malien est partie prenante, comment vous expliquez ça ? Nous sommes en train d’assister à des scènes que je n’avais jamais imaginés pour mon pays. C’est déplorable ! Et c’est pourquoi, nous devons redoubler d’efforts et travailler à corriger les insuffisances de l’accord de paix qui n’est pas bon du tout. On doit l’améliorer au sein d’un cadre de concertation qui regroupe toutes les forces vives de la nation.

 

Qu’en est-il du projet de cadre de concertation entre l’opposition et la majorité ?

C’est un projet qui est à l’étude de part et d’autre. Il y a eu des tentatives de mise en place d’un cadre de concertation entre les partis politiques de l’opposition et ceux de la majorité. Mais pour l’instant, il y a aucun cadre formalisé. Je crois que ça va venir. En tout cas, en ce qui concerne l’opposition, les présidents des partis de l’opposition s’activent pour ramener, évidemment pas par la force, les responsables des partis de la majorité à un cadre de concertation. Aujourd’hui, il faut ce dialogue-là. Je peux comprendre qu’on ne soit pas pressé de l’autre côté; mais il est évident que nous devons aller au dialogue pour l’intérêt du Mali. Car, cela évitera à notre pays, qui est presque arrêté, beaucoup d’autres problèmes. Nous sommes obligés de travailler à la mise en place d’un cadre de concertation qui, pour nous, va être un cadre de propositions pour corriger toutes ses insuffisances que nous  voyons çà et là dans tous les secteurs de l’Etat. Les bras de l’opposition sont tendus pour la création de ce cadre, et je demande à la majorité de faire vite pour qu’on aille à cela.

Le président Soumaïla Cissé mûrirait un projet similaire. Qu’en est-il ?

Je dis qu’au niveau des chefs des partis de l’opposition, des initiatives sont en cours. Des groupes de travail ont été mis en place pour faire en sorte qu’on puisse aller très rapidement à un tel cadre de concertation.

Interview réalisée par Issa B. Dembélé

 

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82 COMMENTAIRES

  1. Il faut que nous soyons un peu responsable car rien n’a été décidé sans le gouvernement. C’est une suite des concertations d’anéfis auxquelles le gouvernement n’a pas participé car il ne visait que le rapprochement entre certains groupes armés.
    L’accord de paix est un processus qui est composé de plusieurs étapes et nous ne devons pas les griller. Lorsqu’il s’agira de mettre en œuvre l’accord de paix à proprement dit le gouvernement étant la pièce maîtresse sera en première ligne. Ne portons pas atteinte à la paix par nos insinuations fantaisistes.

  2. C’est ce qui est le problème avec les opposants maliens; ils ne sont pas honnêtes.
    Si la majorité présidentielle a tendu la main à l’opposition; elle n’était pas obligé de l’accepter.
    La majorité ne peut pas entreprendre une démarche et en même temps fuir le débat.
    La majorité est partie sur des principes et l’opposition n’a pas voulu les accepter et veut imposer des règles tant pis pour elle car la majorité n’est pas obligée de les associer à la gestion des affaires de l’état.

  3. La démocratie vraie dans notre pays sans vouloir faire des éloges à qui que ce soit; nous devons le reconnaitre est en train de naitre sous l’ère du président IBK qui est lui même passé par là et ne saurait en aucun cas prendre des mesures qu’il ne voudrait pas mettre en application. On ne peut pas tout avoir d’un seul coup. Il faut donc que le chef de file puisse se contenter de ce qu’il a et d’ailleurs quand on prétends tant aimé son pays on ne doit pas attendre que l’état nous donne les moyens pour travailler.

  4. On ne peut pas vouloir une chose et son contraire en même temps. Si les gouvernants actuels ont jugés bon d’offrir ce statut à l’opposition; c’est pour qu’elle puisse exercer convenablement mais nous sommes sans ignoré que pour toute application de mesures de ce genre il y a des dispositions pratiques à prendre alors patience!

  5. Quand on a l’amour de son pays comme nos opposants le disent; on ne doit pas forcement attendre les moyens de l’état pour pouvoir mener à bien sa mission. Juste pour dire que si Soumi et Tiébilé aime le Maliba comme ils le prétendent; ils doivent pouvoir travailler avec même les moyens de bord. On ne doit pas forcement tout attendre de l’état.

  6. Je crois que le chef de l’état n’est pas du tout coupé des réalités des Maliens; il a une vision pour eux mais je crois que ce sont les moyens qui manquent pour leur mise en œuvre. Les bailleurs de fonds ont promis des choses qu’ils n’ont pas tenues même si on ne peut pas toujours vivre de l’aide extérieur on en a besoin pour sortir de la crise. Aussi quand on sait d’où vient notre pays on ne demanderait pas l’impossible.
    Le problème dans notre pays c’est notre opposition qui manipule la presse et certaines personnes afin de jeter le discrédit sur la gouvernance d’IBK c’est pour cette raison que la majorité a entrepris une démarche vers cette opposition afin que cela puisse prendre fin.

  7. L’opposition malienne ne cherche qu’à semer le désordre en posant des actes répréhensibles mais qui n’affectent en rien l’image de la république qu’elle s’attelle tant à ternir. Une opposition dite républicaine à des ambitions pour le pays ; elle à une ligne de conduite qu’elle suit ; elle a des projets de gouvernance bien établis ; elle critique sur des faits avérés et par les voies recommandés mais hélas la nôtre n’a pas de règlement intérieur à plus forte raison des projets de gouvernance ! Elle ne se base que sur des rumeurs pour toujours montrer du mauvais doigt les actions du gouvernement. Il ne faut pas que le président IBK tienne compte d’eux; seules ses actions prouveront qu’il aime ce pays et qu’il se bat pour lui!

  8. La gestion du pouvoir d’IBK a toujours été transparente ; Il a hérité d’un pays gangréné par des maux qui ne favorisent pas l’essor du pays et ces maux sont à tous les niveaux de la société.
    Ce n’est pas à coup de bâtons magiques qu’IBK changera le pays. Il faut avoir un esprit citoyen et républicain pour comprendre cela au lieu de toujours crier au scandale et mentir au peuple.
    Savons-nous combien de temps ont mis les pays que nous citons en exemple pour se construire?
    Avons-nous les mêmes potentialités économiques? Ouvrons un peu les yeux et laissons IBK travailler.

  9. Le president Ibrahim kéïta est un grand homme qui connait les aspirations des populations de ce pays car ayant servi dans plusieurs domaines et pendant de longues années. Son programme montre qu’il a une belle optique de développement pour pays c’est pourquoi il met celui qu’il faut là où il faut. Mais certaines personnes véreuses qui veulent toujours marquer sa gestion du sceau de l’échec à travers des campagnes de dénigrements et de désinformation à son endroit ce qui n’est pas du tout normal pour un pays qui sort de crise et qui a besoin de la compétence de tous ses fils.

  10. Le président IBK était l’homme dont le pays avait besoin. Son élection est la traduction des populations de sortir de la crise et des maux qui minaient les pays. IBK a dit: “Je serai le président de la réconciliation nationale, une réconciliation nécessaire pour répondre aux exigences légitimes de la population : reconstruction de l’État de droit, redressement de l’armée et de l’école, lutte contre la corruption, développement économique et social (…) Je serai le président de la refondation nationale”, a-t-il ajouté.
    Laissons-le travailler au lieu de créer les problèmes là où il n’y en a pas. Notre pays sort d’une crise multi-sectorielle et il n’est pas du tout facile de faire des miracles dans ces conditions

  11. Aucune réaction d’un membre de l’URD ne me surprend du tout.
    Ils sont tous à l’image de leur mentor qui ne fait que se promener pour mentir aux maliens et essayer de saboter les action du Président IBK.

  12. Je suis d’accord avec vous, bella que le changement de statut de l’opposition ne peut rien changer à sa position d’opposant, au contraire cela doit plutôt lui permettre de poser des actes concrets car, l’opposition est à présent reconnue juridiquement.

  13. Soumaila est un ingrat, insolant, pourquoi des reproches encore ?
    IBK est un intellectuel un vrai leader politique, il connait la valeur du multipartisme ainsi que l’opposition.

  14. L’opposition malienne n’est composée que d’opportunistes.
    Les plus malhonnêtes d’entre eux tous,c’est ce Soumi et les membre de son bureau politique qui ne perdent aucune occasion pour boycotter les actions du président IBK.

  15. Les opposants devraient avoir honte car IBK a fait tout pour qu’ils soient protégés par la loi et qu’ils soient aussi reconnus politiquement sur la chaine nationale.
    Je ne vois aucun reproche dans cela.

  16. Bien au contraire l’opposition devrait aider le président
    de la république à faire son travail.

  17. Décidément que ce Soumi son entourage sont des malhonnêtes de la pire espèce.
    Mais tout compte fait leurs sorties hasardeuses pour tenter de salir le président IBK ne nous surprennent pas du tout car sur la scène politique il n’ont plus rien à dire.
    Mais qu’ils nous laissent respirer avec leurs sottises car nous avons placé notre confiance en IBK et il en sera ainsi pour toujours…

  18. Nous savons réellement que les journalistes Malien disent des choses intitulées, mieux vaut élaborer dans vos articles les points les plus essentiels du pays.

  19. Si l’opposition cherche vraiment à faire le Mali un Etat démocratique pourquoi ils sont toujours contraires à IBK, mais voyons monsieur le journaliste. Est-ce que c’est une véritable opposition ?

  20. Les maliens doivent savoir que Soumi tous ses acolytes sont en perte de vitesse et d’orientation.
    Ils ont besoin de se faire de la publicité en se saisissant des occasions autour de toutes les actions du président IBK.
    Nous les connaissons tous pour ça et ils ne peuvent pas nous distraire…

  21. Si l’opposition cherche le renforcement de la démocratie pourquoi critique-t-on le gouvernement qui est responsable d’une démocratie crédible et solide.

  22. Je me demande toujours pourquoi s’opposes-tu aux options d’avancement initiées par nos propres autorités ?
    La réponse est simple, claire et nette, nos opposants ne veulent même pas l’avancée du pays, ils cherchent à rendre obscure quelque chose qui est claire.

  23. Mais la nomination du Soumaila à la tête de l’opposition est une stratégie moins d’importance car le chef et ses paires n’ont aucun moyen efficace qui peut faire sortir le pays dans cette crise.

  24. Monsieur le journaliste je crois que l’opposition a toujours été un fléau ou même une barrière pour la réussite de l’Etat malien. Les décisions des opposants sont toujours contraires au développement du pays surtout chez nous au Mali.

  25. Les partisans de Soumi manquent d’informations ou du moins refusent d’apprécier le travail du président. Il y a d’énormes choses qui ont été faites dans ce pays en matière d’économie, politique, d’infrastructures routières. Le pays est en chantier effectivement comme il l’avait promis.
    Le président IBK tient toujours à ses engagements et respectera la loi portant sur la loi le chef de file de l’opposition.

  26. Nous avons toujours eu confiance en IBK et nous continuerons d’avoir confiance en lui car les actes qu’il pose, prouvent une fois qu’il est une personne digne de confiance.
    Il ne cesse de se battre pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes.
    Nous pensons qu’il est vraiment l’homme qu’il faut à la tête du Mali.

  27. Les actions de développement menées par IBK sont nombreuses et sont à encourager car sans paix tout projet de développement est un échec. IBK a mis un point sur la lutte contre la corruption, la création d’emploi pour les jeunes qui est à 81 463 pour 2015 sur les 200.000 promis

  28. Le président mène une lutte rigoureuse contre la corruption. Pour cela, il a mis en place des structures efficaces contre le fléau. L’opposition a oublié sa part dans cette lutte car chacun de nous à une part active à jouer dans cette lutte.

  29. L’URD ne peut pas passer tout son temps à accuser le régime de l’insécurité. Le président fait son possible pour trouver le remède. Ce n’est pas en un coup de bâton magique que tout peut se régler surtout que cette situation ne date pas d’aujourd’hui.
    Le président IBK est un bâtisseur qui donne tout pour que la paix revienne au Nord.

  30. Le PM préside le comité de suivi des accords de paix afin de trouver le plus rapidement possible, une solution idoine pour le bien de tous les partis signataires.
    Cela porte déjà ses fruits avec l’entrée du GATIA à Kidal et il faut saluer l’esprit de paix des forces en place qui ont permis cette installation.

  31. J’invite Me Demba à aller libérer Kidal si cela lui tient à coeur au point de parler d’échec du régime IBK. Nous sommes dans une logique de paix et les choses ne se passeront pas tels que vous voulez.

  32. Je sais pas si Me Demba a une bonne mémoire. Soumaila s’est fait une fortune lorsqu’il était à la tête du ministère des finances, de la CMDT sans sous oublié le détournement de l’UEMOA si vous parlez de scandales financiers.

  33. Des cadres qui se battent pour le bien des maliens.
    Casius Clay, je ne sais pas que Soumaila peut apporter au Mali. Que nous donne concrètement les propositions pour la sortie de crise.
    Juste là , il ne parle que des engrais frelatés, de l’avion, des choses qui sont déjà passés et les maliens veulent entendre une autre musique.
    Le président a limogé des auteurs des différents scandales alors que vous arrêtez de nous pourrir l’atmosphère.
    Que ton mentor donne les éclaircis sur sa gestion à la tête de l’UEMOA en laissant un trou de 5 milliards avec le fond de AFD pour des forages au Sénégal,

  34. Que veut dire nous présente sur la scène politique. En créant le désordre et inciter les gens à la révolte. Le président a donné la chance à l’opposition de se concerter mais ils n’ont jamais su apporter des idées parfaites mais des critiques stériles.

  35. Ceux qui disent que l'opposition ne propose pas sont vraiment dans un autre pays certainement qui n'est pas le Mali.
    1- L'opposition a proposé de fermer les frontières avec la Guinée dans le cadre de la lutte contre Ebola,

    2-L'opposition a demandé au gouvernement de réunir toutes les forces vives de la nation pour une large concertation avant la signature de l'accord d'ALGER. Cette concertation devrait être organisé en parfaite collaboration avec les représentants des différents corps, mais le gouvernement a souhaité saboté l'initiative l'opposition en l'organisant unilatéralement, ce qui a conduit à la non participation de l'opposition,

    3-L'opposition demande jusqu'à présent la tenue d'une large concertation nationale avec toutes les forces vives de la nation pour faire face à la menace terroriste et aux autres défis qui fragilisent notre pays,
    etc etc ….

    Et aussi j'imagine que certains ne comprennent absolument rien du sens d'un critique constructif.
    Critiquer pour construire et c'est exactement ce que l'opposition est entrain de faire. Lorsqu'elle demande incessamment au gouvernement de poursuivre les ministres dont les noms ont été cité dans des histoires de corruption, de malversation financière. Lorsqu'elle exige l'équipement de nos forces armées et de sécurité afin qu'elles puissent mieux faire au défis d'insécurité et à cette nouvelle forme de terrorisme.

    Une fois de plus, merci à l'URD, à Soumaila et à Me Demba. Des cadres qui se battent sans las pour satisfaire le peuple malien. Nous espérons réellement une alternance en 2018 avec l'URD au trône car le peuple a assez souffert sous ce régime incompétent, incapable, inactive, incohérent d'IBK.

  36. Ceux qui disent que l'opposition ne propose pas sont vraiment dans un autre pays certainement qui n'est pas le Mali.
    1- L'opposition a proposé de fermer les frontières avec la Guinée dans le cadre de la lutte contre Ebola,

    2-L'opposition a demandé au gouvernement de réunir toutes les forces vives de la nation pour une large concertation avant la signature de l'accord d'ALGER. Cette concertation devrait être organisé en parfaite collaboration avec les représentants des différents corps, mais le gouvernement a souhaité saboté l'initiative l'opposition en l'organisant unilatéralement, ce qui a conduit à la non participation de l'opposition,

    3-L'opposition demande jusqu'à présent la tenue d'une large concertation nationale avec toutes les forces vives de la nation pour faire face à la menace terroriste et aux autres défis qui fragilisent notre pays,
    etc etc ….

    Et aussi j'imagine que certains ne comprennent absolument rien du sens d'un critique constructif.
    Critiquer pour construire et c'est exactement ce que l'opposition est entrain de faire. Lorsqu'elle demande incessamment au gouvernement de poursuivre les ministres dont les noms ont été cité dans des histoires de corruption, de malversation financière. Lorsqu'elle exige l'équipement de nos forces armées et de sécurité afin qu'elles puissent mieux faire au défis d'insécurité et à cette nouvelle forme de terrorisme.

    Une fois de plus, merci à l'URD, à Soumaila et à Me Demba. Des cadres qui se battent sans las pour satisfaire le peuple malien. Nous espérons réellement une alternance en 2018 avec l'URD au trône car le peuple a assez souffert sous ce régime incompétent, incapable, inactive, incohérent d'IBK.

  37. Ceux qui disent que l’opposition ne propose pas sont vraiment dans un autre pays certainement qui n’est pas le Mali.
    1- L’opposition a proposé de fermer les frontières avec la Guinée dans le cadre de la lutte contre Ebola,

    2-L’opposition a demandé au gouvernement de réunir toutes les forces vives de la nation pour une large concertation avant la signature de l’accord d’ALGER. Cette concertation devrait être organisé en parfaite collaboration avec les représentants des différents corps, mais le gouvernement a souhaité saboté l’initiative l’opposition en l’organisant unilatéralement, ce qui a conduit à la non participation de l’opposition,

    3-L’opposition demande jusqu’à présent la tenue d’une large concertation nationale avec toutes les forces vives de la nation pour faire face à la menace terroriste et aux autres défis qui fragilisent notre pays,
    etc etc ….

    Et aussi j’imagine que certains ne comprennent absolument rien du sens d’un critique constructif.
    Critiquer pour construire et c’est exactement ce que l’opposition est entrain de faire. Lorsqu’elle demande incessamment au gouvernement de poursuivre les ministres dont les noms ont été cité dans des histoires de corruption, de malversation financière. Lorsqu’elle exige l’équipement de nos forces armées et de sécurité afin qu’elles puissent mieux faire au défis d’insécurité et à cette nouvelle forme de terrorisme.

    Une fois de plus, merci à l’URD, à Soumaila et à Me Demba. Des cadres qui se battent sans las pour satisfaire le peuple malien. Nous espérons réellement une alternance en 2018 avec l’URD au trône car le peuple a assez souffert sous ce régime incompétent, incapable, inactive, incohérent d’IBK.

  38. La gouvernance d’IBK quoi que les détracteurs disent et fasse est une bonne gouvernance. Je dirai plutôt que le régime d’IBK est la cascade des succès, un succès fait rebondir d’autre, les succès se précèdent et la vie continue et MALI en sort gagnant. Le régime d’IBK est plein de succès. Soumaïla Cissé et Me DEMBA ne peuvent que raconter des critiques déraisonnables rien que pour se voilé la face.

  39. Soumaïla Cissé en tant que deuxième homme politique et chef de fil de l’opposant, il doit sensibiliser tous ses compatriotes. Pour soutenir l’accord de paix et de réconciliation car c’est un car crédible et avantageux pour le MALI.

  40. Par rapport à l’accord issu du processus d’Alger. Même si tout le monde n’est pas appeler à l’ALGER. Le plus important est de soutenir l’accord pour que le MALI retrouve la paix et la réconciliation.

  41. Je me rappelle très bien que toute la sensibilité politique avait été appelée par le PM sur la table ronde pour donner leurs avis sur l’accord de paix et de réconciliation. Alors que Mr Demba arrête de nous berner avec des sottises.

  42. Concernant les maux qui existent dans le pays, Me Demba doit savoir que le gouvernement met tout en œuvres pour résoudre le problème. D’autant plus que l’opposition prend par maintenant à la gérance du pays. Je ne peux pas comprendre que Me Demba, nous raconte tout c’est balivernes alors qu’il y participe Puuufffffffffff

  43. Je lance un vibrant appel à tous les acteurs politiques notamment ceux de l’opposition, si les critiques pouvait régler la situation politique au MALI, nous n’en serions pas là. Nous devrions passer à d’autres étapes celui de soutenir le régime ou de même de proposer des idées neuves.

  44. Démocratiquement, IBK a mis l’opposition malienne dans toutes les conditions possibles et maintenant l’opposition prend part à la gérance du pays. Mais les Maliens se plaignent toujours de l’opposition car ils estiment que l’opposition n’est pas à la hauteur car elle ne joue pas pleinement son rôle.

  45. Je pense que nous avons dépassé ce stade de la critique à plus forte raison des critiques insensés et même désavantageux. Le pays a besoin de nouvelles actions, de nouveaux horizons sur le plan politique dans le cadre de la bonne gestion du pays. Les critiques ne sont plus d’actualité.

  46. Démocratiquement, IBK a mis l’opposition malienne dans toutes les conditions possibles et maintenant l’opposition prend part à la gérance du pays. Mais les Maliens se plaignent toujours de l’opposition car ils estiment que l’opposition n’est pas à la hauteur car elle ne joue pas pleinement son rôle.

  47. De nos jours l’opposition à faillir à son devoir. L’opposition malienne a perde toute sa crédibilité car elle ne fait que attaquer le régime en place mais ne propose rien de concret. L’opposition ne doit pas rester qu’aux critiques mais proposer aussi des solutions pour une sortie de crise et bonne gouvernance du pays. ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡

  48. Réponse à Fily Diong , Daniel et à Lepervié,

    L’accord d’Alger n’a pas été signé après consultation des acteurs politiques de l’opposition mais ceux de la majorités et autres. Les partis d’opposition avaient des doléances relatives à la bonne organisation de la conceratation. Mais le gouvernement a purement et simplement rejetté les doléances de l’opposition et celle-i s’est vu dans l’obligation de se retirer afin d’éviter d’ètre complice ou acteur de ce que nous vivons actuellement. Souvenz-vous bien. Me Demba reste et demeurera toujours un homme respectable compte de tenu de son esprit de grande responsabilité et de sagesse. Un homme ouvert à tous, Merci

    • *.*****
      A qui tu vas mentir sur la signature de l’accord ici ? Pas aux maliens qui ont reçu le contenu de l’accord dans différent langues nationaux, des numéros vert ont été mis à disposition pour tout malien voulant apporter leurs contribution….
      Arrêtez de mentir xaaaaaa !!!

  49. Moi je ne comprend absolument rien de ses politiques maliens qui au lieux de s’unir entre eux se donnent à des critiques envers les actes du gouvernement, nous ne sommes pas ouvert à ses critiques.
    Nous savons tous que Le gouvernement n’a jamais manqué à ses engagements, nous sommes conscient que des ennemis de ce pays qui se disent en accord avec le Mali rendent toujours difficile la mise en œuvre de la paix au Mali.
    Mais nous devons nous dire que cette paix ne viendra que de nous-même, que c’est de nos comportement, de nos façons de voir les choses et de nos façons de nous aimer entre nous.
    Nous avons tous dit la paix et rien que la paix nous satisfait.
    Vive la paix…

  50. Réponse à Fily Diong , Daniel et à Lepervié,

    L'accord d'Alger n'a pas été signé après consultation des acteurs politiques de l'opposition mais ceux de la majorités et autres. Les partis d'opposition avaient des doléances relatives à la bonne organisation de la conceratation. Mais le gouvernement a purement et simplement rejetté les doléances de l'opposition et celle-i s'est vu dans l'obligation de se retirer afin d'éviter d'ètre complice ou acteur de ce que nous vivons actuellement. Souvenz-vous bien. Me Demba reste et demeurera toujours un homme respectable compte de tenu de son esprit de grande responsabilité et de sagesse. Un homme ouvert à tous, Merci

    • ^^^====*****..
      A qui tu vas mentir sur la signature de l’accord ici ? Pas aux maliens qui ont reçu le contenu de l’accord dans différent langues nationaux, des numéros vert ont été mis à disposition pour tout malien voulant apporter leurs contribution….
      Arrêtez de mentir xaaaaaa !!!
      👿 👿 👿 👿 👿
      😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  51. Si au moins tous les acteurs politiques pouvaient aussi être véridique comme vous. Dire la vérité sans langue de bois, sans complexe, juste pour informer et éclaircir les maliens, beaucoup le disent, mais très peu ont l'audace de le faire réellement. Merci à vous cher Me Demba pour ce brillant diagnostic de la situation. Le Mali souffre encore plus dans sa chair depuis qu'IBK est venu. Un président sans vision aucune, sans programme, une gouvernance par tâtonnement, que des mensonges et des chiffres fictifs de création d'emploi ou de croissance. Ce régime à tous les astuces pour essayer de faire diversion mais les maliens ne sont plus dupe. Le peuple regrette amèrement le " Yabé " (but contre son camp) et a juré de ne plus voté ce vieux vaurien corrompu.
    Merci à l'urd pour les conférences de section qui permettent aussi de comprendre et constater les souffrances des populations afin d'y remédier une fois au pouvoir.

    En route fo Koulouba

    2018 SOUMAILA OU RIEN. DEMBA AN BI KO.

  52. Malheureusement non Fily Diong, l'accord d'Alger n'a pas été signé après consultation des acteurs politiques de l'opposition mais ceux de la majorités et autres. Les partis d'opposition avaient des doléances relatives à la bonne organisation de la conceratation. Mais le gouvernement a purement et simplement rejetté les doléances de l'opposition et celle-i s'est vu dans l'obligation de se retirer afin d'éviter d'ètre complice ou acteur de ce que nous vivons actuellement. Souvenz-vous bien. Me Demba reste et demeurera toujours un homme respectable compte de tenu de son esprit de grande responsabilité et de sagesse. Un homme ouvert à tous, Merci

  53. IBK est celui dont le MALI avait besoin pour se relancer économiquement, sur la scène internationale, pour entamer un procédure de développement durable, pour permettre au MALI de préserver son intégrité territoriale et de faire régner la paix et la sécurité dans notre pays !!! Et il est en train d’accomplir ces différentes tâches à merveille !!!

  54. Nous avons cru en lui, plus de 77% des maliens l’ont choisi pour leur sortir de la merde dans laquelle ils étaient plongé depuis plus de 20ans, il l’a fait !!! Nous le voulions pour mettre le pays sur la bonne voie de développement, il est en train de mettre en place une solide base de développement pour notre pays, de quoi avons besoin encore !!! 😆 😆 😆 😆 😆

  55. L’opposition malienne est une bande d’incapable !!! Elle est animée par des personnes qui n’ont aucune envie que ce pays se sorte de cette merde, qui ne voient que leurs intérêts personnels, pas ceux du MALI !!!

  56. L’opposition malienne n’a nullement lieu d’exister dans ce pays de par les actes qu’elle pose nuit et jour pour porter préjudice à l’image du président de la république !!! Alors qu’elle sait très bien qu’en voulant déstabiliser le président, c’est le MALI qu’elle va déstabiliser !!!

  57. L’opposition malienne ne souhaite qu’une seule chose, que le pays sombre dans la terreur, que la population se révolte contre le régime en place et que chaque membre de la dite opposition puisse satisfaire ses désirs purement et simplement politique !!!

  58. Nous sommes à un moment où nous devons faire valoir les intérêts de la nation avant tout autre chose, pour cela nous devons être à même de nous entendre sur un seul point au niveau de toutes les couches, sociales et politiques !!!

  59. Il est temps que nous prenons conscience de la gravité de la situation, il est temps que nous nous donnons la main, que nous allons dans le même sens que ça soit les journalistes, l’opposition et le régime en place !!!

  60. N’importe quoi, l’opposition malienne ne rate pas une occasion pour s’en prendre au président de la république et son gouvernement !!! Alors qu’elle même, si je peux me permettre, est ^^*****dans ce pays !!!

  61. Les tournées de l’Urd et des autres partis politiques sont toutes déguisées. C’est tout simplement les élections présidentielles prochaines qu’ils préparent tous. Sinon je me demande à quoi ces tournées peuvent ressembler ? Donc que ces opposants arrêtent de nous prendre pour des simples ignorants.

  62. Que l’Urd le veuille ou pas, ce pays connaîtra la paix avec l’accord de paix issu du processus d’Alger après plusieurs mois de concertations inter maliens. Me Demba n’était pas peut-être au mali au moment des négociations mais il y a eu une concertation avec les acteurs politiques et de la société civile.

  63. Je convie les maliens à la patiente, si ces deux ministres sont resté dans le gouvernement ne le prenons pas mal. Comme on le dit avec le temps nous saurons exactement ce que le chef de l’Etat fera de leurs cas. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  64. 😈 😈 😈 😈 Si l’opposition malienne ne veut pas qu’on la compare à une casse, elle a intérêt à travailler pour le bien du peuple en laissant de côtés les intérêts personnels de ses membres. Me Demba Traoré crois que son parti fait bien son travail alors qu’il se trompe. L’Urd qui détient le chef de file de l’opposition ne doit pas agir comme le Parena qui a peu de député au sein de l’Assemblée Nationale et peu d’intellectuels. 😀 😀 😀 😀

  65. En tout cas si nous voyons constatons ces dernières années passées par IBK au pouvoir ont porté fruit d’une part. Sur le plan économique il y’a eu une croissance. De toutes les façons, le Fond Monétaire Internationale ne présenterait pas des félicitations fictives.

  66. Le Mali avance lentement mais sûrement. Les opposants d*****sont seuls à penser le contraire. Tel est le cas de ce membre de l’Urd, Me Demba Traoré qui croit que le Mali avance mais directement vers le mur. Si tel était le cas, son parti pouvait être tenu responsable à cause de la place qu’il occupe dans le pays.

  67. « Oui le Mali avance, mais vers le mur », cette phrase très inquiétante, je me demande bien ce que ce monsieur veut bien vouloir dire. Tout ce que je sais ce que tous les maliens doivent se donner la main pour sauver notre chère patrie.

  68. Chers compatriotes comprenons juste que chaque chose à son temps, on ne peut pas forcer le destin. Pour des précisions, je dirais juste que nos dirigeants ont fournis des efforts, mais le moment que nous attendons tous n’est pas encore venu.

  69. “Si oui, c’est sûr qu’il avance vers le mur, chose que nous devons sérieusement éviter.” Hé Allah, Demba aussi parle comme ça ! Et pourtant, Demba est l’un des artisans de ce mur. Ancien ministre et ancien député de ce Mali qu’il souhaite le malheur d’aller droit au mur. Dieu punira tout ce qui souhaite du malheur à ce pays pour des raisons politiques.

  70. c’est vous les ennemis du Mali, vous qui sont là entrain de soutenir le plus médiocre président de l’humanité vous allez tous payer avec lui au jour J qui est bientôt et tout le monde est connu. 😉 😈 🙄

  71. Le Mali avance dans tous les domaines. Donc que cet opposant du parti de *****, l’Urd, nous laisse tranquille avec ses histoires. Nous savons tous que l’accord d’Alger comme tout autre accord n’est pas parfait mais il peut nous apporter la paix. On ne peut pas accepter que certaines personnes se mettent à rejeter cet accord.

  72. Les maliens veulent le changement et c’est d’ailleurs pourquoi ils ont voté pour celui qui peut apporter ce changement. Le président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta, de son avènement au pouvoir à aujourd’hui, a changé ce pays sur tous les plans. 😈 😈 😈 😈 Certains faits illustrent cela. Il s’agit de la création du poste de chef de file de l’opposition qui consolide la démocratie ; la loi de programmation et d’orientation militaire ; la relance économique ; la loi sur le quota, j’en passe.

  73. 💡 💡 💡 Si seulement Me Demba Traoré savait que ce sont tous les acteurs politiques maliens qui ont approuvés l’accord signé par le gouvernement en Alger avec les groupes armés sur la crise, il n’allait pas nous caser la tête avec ses propos. 🙄 🙄 😳 😳

  74. 😉 😉 😉 😉 Le Mali n’a aucune chance de s’e sortir de cette crise sans la mise en œuvre de l’accord d’Alger issu des pourparlers d’Alger. 😈 😈 😈 😈 L’Urd, étant un parti politique et non moins parti détenant le poste de chef de file de l’opposition politique, pouvait proposer une autre solution qui n’est pas de négocier. 😀 😀 😀 😀

  75. L’opposition n’est pas synonyme de casse si seulement si elle joue bien son rôle. Mais dès qu’elle se transforme en une bande d’incapables et d’apatrides, elle devient plus qu’une casse. Et notre opposition est une casse. Notamment avec des partis politiques comme l’Urd, le Parena, Fare Anka Wuli, etc.

  76. L’accord d’Alger a été approuvé par tous les acteurs politiques, maliens. Avant sa signature, Me Demba Traoré pouvait inviter à procéder autrement mais vu qu’il a été déjà signé et que nous sommes en phase d’application du document, je crois que nous devons tous se battre pour cet accord.

  77. Me Demba Traoré, je me suis dit, un jour, que vous êtes la seule personne au sein de l’Urd qui m’inspire respect et estime. Mais, après avoir lu cet article, je ne sais plus comment vous qualifier. Tout le monde sait que l’accord d’Alger a été signé par le Mali, après consultation de tous les acteurs politiques.

  78. Me Demba Traoré, je me suis dit, un jour, que vous êtes la seule personne au sein de l’Urd qui m’inspire respect et estime. Mais, après avoir lu cet article, je ne sais plus comment vous qualifier. Tout le monde sait que l’accord d’Alger a été signé par le Mali, après consultation de tous les acteurs politiques.

  79. Le Mali avance vers le mur qui s’écroulera, sous sa puissance, et avec lui tous les ennemies du Mali dont Demba fait partie intégrante. Le Mali avancera sûrement malgré le bâton que vous tentez tous les jours de mettre dans ses roues.

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