Mme Koné Khadidiatou Koné, est mariée et mère de 3 enfants (2 filles et 1 garçon : Zeinab, Fatou et Sidi). Elle est journaliste à l’ORTM, un métier qu’elle a toujours voulu exercer depuis sa tendre enfance. Cependant, durant cette période, il n’existait pas d’écoles qui formaient dans ce domaine au Mali. Ses parents ayant eu peur de la laisser partir seule se former dans un pays étranger, elle a fait ses études sur place en obtenant d’abord un DUT en marketing et communication avant de se former sur le tas à l’ORTM. Plus tard, elle réussira à décrocher une licence en communication qui lui a ouvert les grandes portes du métier de journalisme au Mali.
Bamako Hebdo : Vous êtes originaire de quelle région ?
Khadidiatou Koné dite Didja : Mon grand père est originaire de Bougouni et mon père est de Bamako.
Comment êtes-vous venue dans la presse ?
C’est une longue histoire. Après mon bac, je voulais faire des études de journalisme mais en ce moment il n’y avait pas assez d’écoles de journalisme à Bamako. Il fallait donc que je parte au Sénégal mais mon père (paix à son âme) me trouvait jeune pour me débrouiller toute seule dans un pays étranger. Il m’a donc conseillé de faire le marketing à l’IUG.
Après mon DUT en 2002, j’ai travaillé dans ce domaine pendant deux ans et c’est en décembre 2004 que j’ai demandé un stage à l’ORTM grâce à l’appui de Amadou Kodio. Je me suis donc formée sur le tas et en juillet 2005 j’ai été embauchée comme animatrice productrice. J’animais des émissions à la radio comme féminin pluriel avec Mimi, Ndèye et Rachelle.
Ensuite, je présentais le bulletin météo à la télé et j’animais des rubriques mode et beauté. Je présentais également l’émission “ awbedi “ avec Bata Lala et Oumou Bah. En 2011 j’ai fait une licence professionnelle en communication et on m’a affectée à la télé comme journaliste. Depuis quelque temps, je fais des reportages et je présente le Journal télévisé.
De votre début à aujourd’hui, quelle est votre plus grande satisfaction?
J’ai beaucoup appris dans ce métier grâce à mes ainés et mes collègues et mon carnet d’adresse est très riche aujourd’hui. Au Mali, on est très respecté quand on fait ce métier.
Avez-vous eu des déceptions dans l’exercice du métier ? Si oui qu’est-ce qui vous a le plus marqué ?
Pour le moment, Dieu merci. Je n’ai encore eu aucune déception sur ce plan.
Parlez-moi de l’émission Awbedi
Avec la permission d’Amadou Kodio qui est le coordinateur, c’est une émission matinale interactive qui divertit tout en informant de 08h à 10h avec des rubriques comme la météo, le reportage mode et beauté, santé, cuisine, culture, sport, revue de la presse nationale et le flash.
En tant qu’épouse et mère, comment joignez-vous votre profession et votre vie familiale?
Très bonne question. J’avoue que ce n’est pas facile mais je m’en sors par la grâce de Dieu. J’arrive à m’occuper convenablement de mon mari et de mes enfants, c’est juste une question d’organisation.
Des fois, il nous arrive de travailler jusqu’à une heure tardive mais avec tout ça j’arrive à assurer mes tâches ménagères et à prendre soin de mon mari qui est aussi journaliste comme moi (Sidi Mohamed Koné que je salue de passage et le remercie pour sa compréhension), j’amène mes enfants à l’école et les encadre aussi (les devoirs d’école et le reste), je me crée un temps pour bien m’occuper d’eux parce qu’ ils font partie de ma vie.
Qu’est-ce que vous aimez le plus dans la vie ?
La cohésion au travail, le respect d’autrui, ma mère et la vie de famille
Que détestez-vous ?
L’hypocrisie et la jalousie
Qui aimeriez-vous un jour interviewer ?
Nelson Mandela, un leader que j’apprécie beaucoup et j’aimerai lui serrer la main et lui dire que l’Afrique lui doit beaucoup.
Pensez-vous que la liberté de la presse est une réalité au Mali ?
Tout à fait par rapport à certains pays.
Quel est votre plat préféré ?
Je mange tout sauf le haricot vert.(rire)
Fatoumata Mah Thiam KONE
cependant le haricot c’est pour les Koné et Diarra, qu’il soit vert, rouge, blanc ou noir
Dans la vie, il y a des gens qui t’apprécient pour ce que tu vaut, il y en a d’autres qui ne cherchent que des points à critiquer!! c’est ça qui fait la caractéristique du genre humain.
bonne continuation Didia et surtout bonne chance et que Dieu te préserve des mauvaises langues. Mogo té diya bè yé wa i té goya bè fana yé!
Elle est talentueuse Didia, elle nous l’a prouvée par sa maîtrise des différentes émissions qu’elle a eu a animer. Cette dame pète l’écran!
depuis quand, elle est journaliste? être animatrice et se dire journaliste est différent. mais bon, on va la prendre comme telle et se dire qu’elle est retenue depart son service étatique de repondre à l’avant dernière question. il me semble qu’un “complement direct” lol manque. en tout cas c’est pas explicite dèh…….
au fait elle ne serais journaliste à travers son carnet d’adresse par azar
tu n’as pas compris qu’elle a refait des études entre temps pour être journaliste, essayer de lire et comprendre les articles avant de critiquer!!
TOURE et si elle disait que le pere de son grand-pere etait de Bobo ou de Niafunke alors elle sera de Bobo ou de Niafunke, je me demande quand tu vas commencer a reflechir. Arretons de chercher la petite puce. Sambou tu as VACHEMENT tord comme TOURE.
Dalut Koro KING.Elle est de Bougouni puique son “faso”(=maison paternelle) se trouve à Bougouni!A part les descendants de Seriba NIAGATE (sondateur de Bamako); nous sommes tous des “étrangers”à Bamako, même si nos pères (et grands-pères)ont servi dans l’administration à l’époque du Soudan Français.”Le séjour dans l’eau ne transforme pas le tronc d’arbre en caïman” a dit S.B.Kouyatè. 😉
même Seriba Niagaté est venu de quelque part si on suit bien ton raisonnement.
la ce sont les sequelles sexuelles de baba daga! champion des promo sexe! celle la est bien ds sa metéo! pourquoi prostitué ta profession dagamaissa! voila pourquoi les peulhs n accordent jamais de l importance a un homme de caste!
a l ancd comme a l ortm daga s est fait illustre par les promos sexe! voila pourquoi il sure pas
ok koné profite comme les autres!
voila pourquoi il dure pas ds un poste
“Femme nue, femme noire
Je chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l’Eternel
Avant que le destin jaloux ne te réduise en cendres pour nourrir les racines de la vie”.
Léopold Sédar Senghor, Chants d’ombre
si TON GRAND PERE EST DE BOUGOUNI, DONC TON PERE EST DE BOUGOUNI ( MEME SI IL EST NE A BAMAKO) ET TOI AUSSI TU ES DE BOUGOUNI. MERCI DE RESPECTER NOS TRADITIONS.
Bien dit M.TOURE.Cela me rappelle bien nos frères & enfants nés ici en Europe qui parlent souvent de “frère à papa”ou de “soeur à papa” pour désigner un tonton ou une tante….
N’oubliez pas surtout de mentionner le fameux EXAMEN de Bougouni?
héhéééé ” BOUGOUNI EKZAMEN” PASSERA OU PASSERA PAS ????
je l;apprecie beaucoup.
j’apprécie bcp sa modestie ou simplicité.
ton garde de corps attend toujours( quand tu seras riche comme promis)
tout à fait elle est tres simple et je l’apprecie beaucoup et du courage ce n’est pas facile le journalisme
Bonne jounaliste.belle voix.bon courage MMe kone.
N’oubliez pas surtout de mentionner le fameux EXAMEN de Bougouni?
héhéééé » BOUGOUNI EKZAMEN » PASSERA OU PASSERA PAS ????
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