Interview (presque) imaginaire : IBK : « Le BIPREM veut se faire une notoriété sur mon dos ; mais il ne sait pas a qui il a affaire »

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Qu’est-ce qui se passe avec ce régime ? Pas un mois, sans qu’il ne fasse parler de lui. Les affaires succèdent aux affaires. Les scandales,  aux scandales. Après le scandale sur l’achat du Boeing présidentiel, des équipements militaires, de l’engrais frelaté et des indemnités de 4 milliards CFA que le président de la République entendait accorder, gratuitement, aux anciens Premiers ministres avec effet rétroactif….,  le pouvoir IBK refait parler de lui. Et pas en bien.

Association composée de journalistes, animateurs de radio et autres patriotes soucieux de la gestion faite du budget national, le BIPREM avait porté plainte, devant la Haute Cour de justice, contre IBK. Afin qu’il s’explique sur les scandales et les affaires qui ont émaillé ses deux ans et demi, passés aux commandes de notre pays. Mais surprise sur……prise !

Au lieu de prendre ce geste au sérieux, le président de la République s’en moque. Comme de sa première paire de lunette. Interview.

Mr le président, la plainte du BIPREM est à prendre au sérieux, car il traduit le malaise  de nos concitoyens, face à la mal gouvernance actuelle

 

Dis-moi, Le Mollah, tu es membre de cette association de scribouillards et de radoteurs ? Alors pourquoi en faire le thème de cette interview ? Ecoutez-moi bien : cette association savait très bien que sa plainte n’ira nulle part. Parce que je m’appelle IBK, le « Kankélintigui ».

Si je dis « Kou », celui qui dira « Banankou » ira le déguster à Aguel-Hoc.

Et personne ne prendra cette plainte au sérieux. Le but n’est pas pour le BIPREM de voir sa plainte aboutir ; mais de se faire une notoriété sur mon dos. Mais, il s’est trompé de client. Car je ne suis pas ATT, je suis Maninka Bourama.

La preuve : cette plainte a fait pschitt ! Si on en juge par les protestations issues des partis politiques.

 

Toutes ces protestations émanent, Mr le président, de partis politiques membres de la majorité présidentielle, ce qui n’est pas étonnant

 

A en juger par le nombre de partis politiques, qui se sont levés contre cette plainte, c’est plus qu’étonnant !

 

Cela aurait pu l’être, Mr le président, si l’opposition avait condamné cette plainte. Ce qui n’est pas le cas, du moins pas encore

 

J’attends une protestation vigoureuse de la part de l’opposition

 

Mr le président, paraît que le chef de file de l’opposition, Soumaïla Cissé, serait sur le point de rejeter le décret, parce que vous lui enlevez le droit de choisir les membres de son cabinet

 

C’est une simple mesure de précaution. Car, si je lui accorde tout ce que je dois lui accorder, le chef de file de l’opposition pourrait m’empêcher d’avoir mon second mandat.

Donc, tout en lâchant du lest, je dois garder un peu de lest. Surtout, en ce qui concerne Soumaïla Cissé.

Je dois le surveiller de près, sinon mes « cairotes » seront cuites pour mon second mandat.

 

Propos recueillis

par Le Mollah Omar 

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Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo

ministre de la Culture, de I’artisanat et du tourisme

 

La tristesse égoïste de ne plus voir Ali Farka Touré aller glaner de nombreuses autres récompenses au nom de la musique malienne côtoie en nous le bonheur de le savoir dans le grand vestibule de ces hommes et femmes qui ont fait connaître le Mali dans le monde.

 

François Delattre, ambassadeur de France aux NU

 

Vous mentionnez la mise en œuvre de l’accord de paix, elle est indissociable du processus de réconciliation qui est pour nous essentiel. Cela implique au-delà du dialogue, un renforcement contre l’impunité.

 

Lacine Diawara, président du BIPREM

 

Nous userons d’autres moyens légaux en cas de rejet par la Haute cour de justice.

 

Oumar Mariko président du parti SADI

Le parti Sadi n’a pas été invité ni par la majorité présidentielle, ni par l’opposition, ni par les mouvements armés. Et pourtant, c’est nous qui avons fait preuve d’un engagement physique en allant au nord   pour poser la problématique du débat. On nous confondait à l’époque avec des djihadistes. Ceux même qui nous confondaient avec des djihadistes  sont ceux qui disent aujourd’hui qu’il faut dialoguer avec  les djihadistes. Nous avons été victimes  pour avoir vite compris et montré  le chemin.

B.D.

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4 COMMENTAIRES

  1. Mon president, nous avons confiance à vous, nous savons également que rien ne pourra changer le chemin du bonheur que vous avez tant souhaité à notre pays. Vas y le Mali vous merci pour ces éfforts.

  2. Quand même maintenant nous avons une petite idée sur ces birprem…
    nous soutenons le président IBK pour le bien de la nation….

  3. Quand même une chose est sûre, Tout homme qui sais respecter les femmes est un homme de valeur, tel est le cas de notre président IBK,
    Le BIPREM ne pouront rien contre vous Mr. le président IBK…

  4. Un homme comme le président IBK qui se bat jours et nuits pour la cause du Mali ne doit pas être traité ainsi. C'est bien que la HCJ prend la plainte de ce BIPREM comme tract, Dieu ne dort pas. Sinon le BIPREM est une bande qui veut anéantir le développement de ce pays.
    Nous devons faire attention à des personnes pareilles…
    Vive le Mali qui résiste.

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