Quelles sont les attentes de la BIM, de cette journée ?
La BIM, la Banque Internationale pour le Mali a toujours œuvré aux cotés de l’association professionnelle des banques et établissements financiers pour animer ses journées avec comme objectif de chercher à d’avantage fidéliser les clients, par la communication, l’information, la sensibilisation.
Quels sont aujourd’hui les atouts de la BIM ?
La BIM est une filiale du Group Atijariwafabank, ce groupe aujourd’hui panafricain connu pour être cette première banque de l’Afrique subsaharienne, en excluant tout ce qui est banque Sud Africaine. La BIM est aujourd’hui le premier réseau bancaire. Nous avons compris la proximité, et nous sommes plus près de nos clients pour mieux les servir. Nous avons 83 points de vente, nous sommes le premier. Lors de l’intervention du ministre de l’économie et des finances, il disait qu’il faut plus bancariser les fonctionnaires, la fonction publique et des collectivités. Nous, nous l’avons compris déjà nous avons même anticipé. C’est un atout que nous avons déjà par rapport à ces fonctionnaires qui seront bancarisés et qui pourront avoir accès à leurs fonds facilement à partir de nos guichets.
Qu’est-ce que la BIM propose en ce qui concerne le thème retenu de cette 5ème édition notamment les PME?
La BIM est l’une des rares banques à avoir une direction dédiée uniquement au PME avec des chargés d’affaires, conseiller clientèles dédiée uniquement à ce segment PME. Elle met son réseau à la disposition encore de ce segment, elle a compris bien avant que le développement de l’économie passe plus par le financement de ces PME. On parle, c’est l’ère aujourd’hui de tout ce qui est monétique, de tout ce qui est mobilbanking nous avons pris le devant. Cette banque a été primée comme la banque la plus dynamique en opération monétique. Nous avons une gamme de produit qui est mise à la disposition de la clientèle et à travers cela nous créons cette différence par rapport aux autres de la place.
La BIM a-t-elle des perspectives pour d’autres secteurs de l’économie malienne ?
C’est d’aller plus sur le secteur agricole, compte tenu du poids de ce secteur agricole dans l’économie malienne. Il est aujourd’hui impensable que les banques ne puissent pas avoir un niveau de financement de ce secteur. Nous sommes partis pour adresser des produits adaptés à ce secteur agricole à travers des partenaires techniques qui sont déjà installés sur le terrain en mettant l’accent sur un certain nombre de filière notamment la filière sésame, mangue, karité, au delà de ce qui est connu par tout le monde qui est la filière coton.
Interview réalisée par Ousmane Baba Dramé