« L’apolitisme est à la fois une erreur et une faute : c’est aller contres nos intérêts et contre nos devoirs. »
Faire la politique est un droit. Ne pas en faire aussi est un droit. On peut bien servir un pays sans l’engagement politique. Mais le plus curieux dans cette aventure politique, c’est de savoir comment on peut changer un système dont on est le pur produit. Wait and see…
—
Pensées rebelles.
Monsieur Coulibaly
Votre interview est bien, mais pour changer le Mali c’est pas facile, mais pas impossible, le chemin sera long et très dur ,il faut des vrais patriotes pour le faire, je crois que la première des choses à faire c’est de changer l’homme Malien, et faire venir des gens qui ne sont pas égoïstes, oui le premier caractère du Malien c’est l’égoïsme.
Faite attention aux vautours qui ont mis ce pays à terre, ils sont à l’affût ,ils feront tout pour vous mettre dans leur camp et cela va faire un obstacle à votre grand projet.
Merci Seydou Mamadou COULIBALY, vous avez bien parlé mais ce qui est certain, personne ne peut changer le Mali avec un coup de baguette magique, surtout avec des comportements indignes, injustes, népotiques, claniques, mensongers, lâches et tricheurs. Vouloir changer tous ces maux tout d’un seul coup n’est pas possible et réaliste. Ce qui fait mal et très mal, c’est qu’il s’agit d’une petite portion congrue qui est doté de ces fléaux et qui influence tout le monde. Du courage pour un autre Mali comme l’a fait John Jerry Rawlings au Ghana en 1980, mais pour le cas de ce pays, le grand John Jerry avait beaucoup nettoyé et vous avec cette période de la démocratie où allez-vous mettre ces saletés? Nous sommes convaincus que c’est là que vous aurez de véritables problèmes, le pays est plein d’ordures qu’il faut absolument se débarrasser, mais après le nettoyage où allons-nous mettre ces ordures? Équation difficile sans aucune solution.
« L’apolitisme est à la fois une erreur et une faute : c’est aller contres nos intérêts et contre nos devoirs. »
Faire la politique est un droit. Ne pas en faire aussi est un droit. On peut bien servir un pays sans l’engagement politique. Mais le plus curieux dans cette aventure politique, c’est de savoir comment on peut changer un système dont on est le pur produit. Wait and see…
—
Pensées rebelles.
Monsieur Coulibaly
Votre interview est bien, mais pour changer le Mali c’est pas facile, mais pas impossible, le chemin sera long et très dur ,il faut des vrais patriotes pour le faire, je crois que la première des choses à faire c’est de changer l’homme Malien, et faire venir des gens qui ne sont pas égoïstes, oui le premier caractère du Malien c’est l’égoïsme.
Faite attention aux vautours qui ont mis ce pays à terre, ils sont à l’affût ,ils feront tout pour vous mettre dans leur camp et cela va faire un obstacle à votre grand projet.
Merci Seydou Mamadou COULIBALY, vous avez bien parlé mais ce qui est certain, personne ne peut changer le Mali avec un coup de baguette magique, surtout avec des comportements indignes, injustes, népotiques, claniques, mensongers, lâches et tricheurs. Vouloir changer tous ces maux tout d’un seul coup n’est pas possible et réaliste. Ce qui fait mal et très mal, c’est qu’il s’agit d’une petite portion congrue qui est doté de ces fléaux et qui influence tout le monde. Du courage pour un autre Mali comme l’a fait John Jerry Rawlings au Ghana en 1980, mais pour le cas de ce pays, le grand John Jerry avait beaucoup nettoyé et vous avec cette période de la démocratie où allez-vous mettre ces saletés? Nous sommes convaincus que c’est là que vous aurez de véritables problèmes, le pays est plein d’ordures qu’il faut absolument se débarrasser, mais après le nettoyage où allons-nous mettre ces ordures? Équation difficile sans aucune solution.
Comments are closed.