Une affirmation venant du soi-disant « ministre des territoires occupés et de la diaspora sahraouie » qu’est Bachir Mustapha Sayed a fait bondir les autorités algériennes et leurs affidés polisariens de leurs sièges très confortables mais aussi éjectables.
En effet, Bachir Mustapha Sayed vient de reconnaître que la fantomatique RASD ne détenait aucun attribut de souveraineté que ce soit dans les camps sahraouis de la honte à Tindouf ou dans le Sahara marocain. Il a même reconnu que seuls les responsables algériens avaient pouvoir d’autoriser le passage des caravanes humanitaires aux camps des séquestrés sahraouis embastillés à Tindouf.
Cette déclaration faite au site séparatiste « ECSahraoui » dénote un flagrant aveu d’impuissance et de frustration suite au blocage par les responsables algériens depuis près de deux mois au port algérien de Ghazaouet de seize camions chargés d’aides humanitaires espagnoles destinées aux saharaouis marocains séquestrés dans les camps de Tindouf.
En conséquence, il apparaît que seul le Ministère algérien des Affaires Etrangère soit habilité à délivrer les autorisations nécessaires à l’entrée des aides humanitaires sur le territoire algérien et veille scrupuleusement à ce que le pseudo Croissant Rouge Sahraoui (MLRS) soit l’unique institution responsable de sa rétention et ce, afin d’y faire des ponctions au bénéfice des responsables algériens et de leurs larbins polisariens au détriment des séquestrés sahraouis marocains des camps de la mort de Tindouf.
De plus, il est notoire que depuis 1975, les dirigeants algériens ne cessent de puiser dans les caisses de l’Etat et dans les poches des contribuables sans aucun contrôle institutionnel et ce, qu’alors que des millions d’Algériens sont sans soins médicaux, que des millions d’écoliers sont privés de chauffage et de nourriture, que des millions d’autres sont au chômage et que d’autres n’ont pas de logement. Une perte pour le pouvoir algérien depuis l’indépendance en 1962 se chiffrant à des milliards de dollars.
Ces milliards de dollars sont utilisés, une partie, à diviser le Maroc afin de créer la pseudo RASD, dont la population est fortement d’origine Berbère conformément à la politique de Boumediene, qui haïssait les Berbères, voulait arabiser tout le Maghreb et déstabiliser le Maroc quant à l’autre partie, elle servait à enrichir ces pontes algériens et polisariens qui plaçaient l’argent dans des banques et achetaient des biens à l’étranger.
Cependant, aucun Algérien Hirakiste n’a daigné souffler mot sur ce scandale chronique qu’est le polisario. Pourquoi ces Algériens qui sortent par milliers chaque semaine dans les rues ne dénoncent pas le financement du polisario avec son propre argent ?
Le polisario est un problème interne à l’Algérie car créé par le régime algérien qui le nourri, le loge et l’arme ; des milliards évaporés pour du vent à savoir obtenir par tous les moyens un accès à l’Atlantique pour être en contact avec les régimes militaires et les dictateurs de l’Amérique latine.
S’agissant du chef polisarien, Brahim Ghali, et de son clan mafieux, il est certain qu’ils ne daigneront pas bouger de Tindouf en raison des milliards qu’ils glanent et surtout qu’ils participent directement à l’effondrement de l’Algérie.
Que les Algériens sachent une fois pour toute que le Sahara est au Maroc et que le Maroc est dans son Sahara. L’Algérien devra continuer à dépenser pour maintenir son poisson pourris qu’est le polisario et c’est la raison pour laquelle le Maroc s’en lave Royalement les mains si aucun Algérien Hirakiste ne daigne souffler mot sur ce scandale chronique qui frappe de plein fouet l’Algérie.
Farid Mnebhi.