Le conflit russo-ukrainien traverse sa troisième année d’affrontements meurtriers. Les offensives militaires persistent sur divers fronts, laissant dans leur sillage des pertes humaines considérables et des infrastructures détruites. Face à cette situation, l’ancien président américain Donald Trump a récemment proposé un cessez-le-feu immédiat, une initiative aussitôt rejetée par Moscou qui maintient néanmoins sa disposition à engager des pourparlers sous certaines conditions.
Les positions diplomatiques s’affichent avec une netteté particulière. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, écarte catégoriquement l’idée d’un cessez-le-feu, qu’il considère comme une stratégie permettant à l’Ukraine de reconstituer ses forces militaires. La Russie privilégie plutôt des accords juridiquement contraignants garantissant sa sécurité et celle de ses voisins.
L’évolution du rapport de force sur le terrain influence significativement les positions diplomatiques. Les avancées progressives des forces russes, qui occupent près de 20% du territoire ukrainien, coïncident avec une inflexion notable des positions occidentales. L’équipe de Donald Trump laisse entrevoir la possibilité d’une reconnaissance tacite du contrôle russe sur les territoires occupés.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, confronté à cette réalité militaire, montre des signes d’assouplissement en évoquant la possibilité d’une voie diplomatique pour la récupération des territoires. Toutefois, les exigences russes demeurent substantielles : Moscou réclame l’abandon par Kiev de ses aspirations à rejoindre l’OTAN et l’acceptation de restrictions importantes sur ses capacités militaires.
Le Kremlin, par la voix de Sergueï Lavrov, invite l’administration Trump à examiner les causes profondes du conflit. Le Président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine se dit prêt à étudier toute proposition « sérieuse et concrète« , signalant une ouverture au dialogue tout en maintenant une position ferme sur ses conditions préalables.
Source: https://lanouvelletribune.info/
L’OTAN des genocidaires, des racistes, des esclavagistes et des colonialistes a ete battue a plate couture et ne peut pas imposer quoi que ce soit pour negotiation mais ecouter la Russie et comprendre et appliquer ce qu’elle veut!
Kingui n’a pas pris ses remèdes…..
Tres bonne position de la Russie, tres bien réfléchie et pour l’intérêt superieur de ce pays! L’OTAN a ete battu a plate couture et ne peut pas imposer quoi que ce soit pour negotiation mais ecouter la Russie et comprendre et appliquer ce qu’elle veut!