En ce début d’année, le chef burkinabé de la transition s’est engagé à donner “un nouveau départ pour l’institution et le pays entier” lors d’une rencontre avec le personnel de la Présidence.
“La lutte contre le terrorisme avance, mais il faut reconnaître qu’il y a certains volets sur lesquels les choses n’ont pas avancé: c’est la corruption, la lenteur administrative”, a lancé le 8 janvier Ibrahim Traoré.
Pour combattre ces fléaux, il a appelé à activer les conseils de discipline dans les différentes structures de l’administration. Il a également dénoncé la pratique de recruter des cabinets pour des travaux relevant de la compétence de l’administration publique.
Source: https://fr.sputniknews.africa/
Tres bonne direction IB nous sommes avec toi pour lutter contre la corruption une malediction introduite oar les politiciens sans vertu et sans honneur!
Il va lui falloir mettre le paquet, d’autant qu’il s’engage très tard à juguler la corruption. Se serait-il servi d’abord ?