Les réactions sont contrastées sur le continent après l’annonce surprise des présidents français et ivoirien, Emmanuel Macron et Alassane Ouattara, d’une réforme de la monnaie instaurée en 1945.
L’annonce de la fin du franc CFA et de son remplacement par l’éco en Afrique de l’Ouest a laissé de nombreux économistes africains perplexes. L’effet de surprise de l’annonce commune d’Emmauel Macron et du président ivoirien Alassane Ouattara, samedi 21 décembre, lors de la visite du président français à Abidjan, a été suivi de réactions contrastées. Certains y voient une « semi-révolution », « une avancée réelle » ou au contraire dénoncent « une réforme cosmétique », la « continuité d’une servitude monétaire », voire « une arnaque politique ».
A Dakar, où siège la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), l’économiste Felwine Sarr estime que la réforme du CFA « n’est pas la rupture ou le grand bouleversement attendu », mais « une étape symboliquement intéressante », affirme-t-il au Monde Afrique : « Que les représentants français quittent les organismes de décision et que le compte d’opération revienne en Afrique nous permettront d’avoir des ressources en liquidités à investir dans la zone et de se défaire en partie de la tutelle de Paris. Nous ne sommes pas des jeunes enfants qui ont besoin de garanties. »
L’économiste juge toutefois que « la relation reste asymétrique, car le système n’a pas fondamentalement changé » et, plus encore, voit dans l’annonce conjointe de Macron et Ouattara, « la subtile récupération d’une dynamique endogène. La France se donne un rôle à jouer dans l’éco, alors qu’en principe elle n’en a aucun. »
Coup d’accélérateur
Le projet de l’éco est en discussion depuis 1987 entre les quinze pays de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Il avait récemment bénéficié d’un léger coup d’accélérateur avec le choix de son nom et d’un taux de change flexible arrimé à un panier de monnaies – ce que semble compromettre le maintien d’une parité fixe avec l’euro, dans un premier temps tout du moins.
L’économiste Demba Moussa Dembelé voit donc dans la réforme annoncée une manœuvre visant à « torpiller le projet de la Cédéao ou de le retarder le plus possible. Ils coupent l’herbe sous le pied des critiques en éliminant les symboles qui fâchent sans toucher au fond du problème. Ce que demandent les peuples africains, c’est la fin du franc CFA et non sa réforme. » Le projet de l’éco ne concerne pas que les pays de la zone franc mais aussi des pays anglophones de la Cédéao tels le Nigeria, le Ghana ou le Liberia. Felwine Sarr estime qu’« il y a un risque que, dans les prochaines semaines, ces pays exigent que l’éco ne soit plus adossé à l’euro et retrouve son principe initial d’un taux de change flexible. »
Nerf économique de la sous-région, le Sénégal a couvé ces dernières années une forte contestation anti-franc CFA. Celle-ci a connu l’un de ses épisodes majeurs le 19 août 2017, lorsque le militant franco-béninois Kémi Séba avait brûlé un billet de 5 000 francs CFA lors d’un rassemblement à Dakar. La BCEAO avait déposé plainte et le « Front anti-CFA » avait appelé à des manifestations. Le polémiste avait été expulsé au prétexte de « menace grave pour l’ordre public ». Mais son geste a nourri le débat. A la présidentielle sénégalaise de février, le candidat de l’opposition Ousmane Sonko avait inscrit la sortie du CFA dans son programme. Après l’annonce conjointe des présidents Macron et Ouattara, Kémi Séba a dénoncé un changement « cosmétique » assurant qu’il continuerait « à faire pression en 2020 ».
Une position qui trouve écho chez Cheikh Tidiane Dieye. L’économiste sénégalais dénonce « une arnaque politique (…) une décision opportuniste, un vol. Ce sera une réforme du CFA et en aucun cas un avantage pour la création de l’éco, puisque ce dernier n’a jamais envisagé son existence par rapport à la France. » A contrario, Moubarack Lo, économiste en chef du premier ministre, voit dans cette réforme « une transition en douceur, qui facilitera la fusion avec les autres pays de la Cédéao ». Il assure que « rien n’empêche d’améliorer quelques éléments dès 2020 : l’ancrage sur un panier de devises, la préparation de l’impression des billets et pièces sur le continent » alors que la monnaie est toujours fabriquée à Chamalières, dans le Puy-de-Dôme. Même enthousiasme chez l’ancien premier ministre Abdoul Mbaye, qui loue une « réforme majeure, de grande intelligence en ce qu’elle allie changements historiques et maintien des fondamentaux pour conserver la confiance en notre monnaie ».
« On change le nom du bébé sans couper le cordon »
Au Burkina Faso, également, l’annonce de la fin du franc CFA a été diversement accueillie. « Enfin ! C’est une première étape », « Un jour historique ! », se sont félicités des internautes sur les réseaux sociaux. Mais dans le pays de l’ancien président révolutionnaire et anticolonialiste Thomas Sankara, dont on a célébré le 70e anniversaire de la naissance le 21 décembre, certains s’irritent déjà d’une « arnaque » et d’un effet de « poudre aux yeux ». « Le roi est mort, vive le roi ! » ou encore « On change le nom du bébé sans couper le cordon ombilical », se sont empressés de critiquer des Burkinabés sur la Toile, qui dénoncent notamment le maintien de la parité fixe avec l’euro. « La France reste le maître d’œuvre de cette monnaie. Elle donne d’une main et retient de l’autre. Dans ces conditions, l’éco reste un sous-CFA ou un néo-CFA », observe, amer, l’économiste burkinabé Taladidia Thiombiano sur le site d’information lefaso.net.
Les pays de la Communauté des Etats d’Afrique centrale (Cémac), l’une des sous-régions de la zone franc, ont aussi suivi les annonces de près, même s’ils ne sont aujourd’hui pas concernés par la réforme. Notamment le Cameroun, où la question du CFA suscite régulièrement des débats passionnés. Au-delà des divergences politiques, la nécessité d’en finir avec cette monnaie est l’un des rares sujets sur lesquels s’entendent détracteurs et supporteurs du régime de Yaoundé. « L’Afrique de l’Ouest nous montre l’exemple de la voie à suivre. On peut en sortir mais il faut créer les conditions qui permettent à chacun des Etats qui accepterait de se mettre ensemble pour une nouvelle monnaie de voir qu’est-ce qu’on y gagne et qu’est-ce qu’on y perd », a réagi dimanche le journaliste et éditorialiste camerounais Edmond Kamguia sur la chaîne de télévision privée Equinoxe.
En sortir, donc, mais comment ? « En réalité, nous voulons apporter des solutions idéologiques et politiques à un problème technique, affirme au Monde Afrique l’économiste camerounais Dieudonné Essomba. On peut résoudre le problème idéologique et politique et c’est ce qu’on est en train de faire : on chasse la France et on a raison de le faire. Mais cela ne résout pas la question d’un système monétaire adapté à nos économies. Dans un pays qui ne fabrique rien, vous ne pouvez pas avoir une monnaie autonome. »
LE PRÉSIDENT OUATTARA A VENDU SON ÂME AU DIABLE QUI EST LA FRANCE.
PAR LUI IL FAIT PRESSION SUR NOS CHEFS D’ETAT POUR CETTE MONNAIE QUI GARANTIE LA PUISSANCE DE LA FRANCE ET C’EST A CAUSE DE CELA QUE LA FRANCE SOUTIEN LA DÉSTABILISATION DE L’AFRIQUE FRANCOPHONE.
LES AFRICAINS ONT COMPRIS ET LUTTERONS ENCORE POUR NOTRE VRAI INDÉPENDANCE ET L’AVENIR DE L’AFRIQUE ET DE NOS ENFANTS.Car il faut une indépendance économique avant une indépendance politique.
CERTAINS CHEFS D’ÉTAT NE SONT PLUS CAPABLE, LES JEUNES DOIVENT SONGER AUX NOUVEAUX VRAI DIRIGEANTS PRÊT AUX SACRIFICES.A APPRENDRE A LA NOUVELLE GÉNÉRATION A DIRE NON ET NON A LA FRANCE.
Soro a trahi le peuple ivoirien et son ami Ble Goudé, pour faire la rebellion de ouatarRAT…
ouatarRAT est l’homme qui a introduit la violence politique en côte d’ivoire : déjà en 90, alors 1er ministre , ouatarRAT avait mis Gbagbo en prison …
Entre criminels, il y a aucune loyauté… aujourd’hui le rat d’abidjan le trahi à son tour …
RIRES….ENCORE RIRES….MDR….!
LES RATS LARBINS DE L’ OCCIDENT SERONT TOUS RENVERSÉS SOUS PEU…!
VOILÁ POUQUOI LE PETIT NÉGRIER McROND FONCE Á TETE PERDUE AVEC SON “ECO” , NOUVEL EMBALLAGE DE L’ ARNAQUE MONÉTAIRE FRANC CFA.
VOILÁ AUSSI POURQUOI EN COTE D’ IVOIRE “WHAT-A-RAT” HARCELE TOUTE OPPOSITION: NATHALIE YAMB, GUILLAUME SORO,….
Les pays d’Afrique de l’Ouest ne devront plus, sous peu, compter sur les Américains dans le cadre de leur lutte contre le péril jihadiste. Les États-Unis vont, en effet, procédé au retrait de leurs troupes dans la région, a appris KOACI.
Les États-Unis envisagent la réduction, voire le retrait total de leurs troupes présentes en Afrique de l’Ouest. L’annonce a été faite par le secrétaire d’État à la Défense, Mark Esper cité par le New York Times.
Selon le journal, les discussions relatives à un retrait à grande échelle de l’Afrique de l’Ouest portent sur l’abandon d’une base de drone récemment construite au Niger au coût de 110 millions de dollars, mais aussi sur la fin de l’aide aux forces françaises qui combattent les groupes armés terroristes au Mali, au Niger et au Burkina Faso.
L’article révèle que le commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM) a été saisi pour la proposition d’un plan d’ici janvier. Cette réduction voire retrait des troupes américaines déployées en Afrique de l’Ouest n’est que le début d’un processus qui devrait amener les États-Unis à réorganiser le déploiement des 200 000 soldats à l’étranger.
« L’initiative reflète ce qui est devenu la priorité essentielle de M. Esper : s’éloigner de 18 ans de déploiement antiterroriste dans des endroits troublés par le militantisme et l’insurrection où des milliers de soldats américains passent en boucle pour tenter de maintenir une stabilité minimale mais sans grande perspective de solutions définitives », écrivent les journalistes du New York Times à propos de la motivation de cette décision du Pentagone.
Quatre bérets verts américains ont été tués l’année dernière au Niger par des jihadistes du groupe État islamique dans le Grand Sahara.
Mais il faut aussi préciser que l’administration Trump trouve plus pertinent de concentrer ses efforts à contrer la Russie et la Chine.
https://reseauinternational.net/senegal-lutte-contre-le-terrorisme-les-etats-unis-vont-retirer-leurs-troupes-en-afrique-de-louest/
VOILÁ ENFIN POURQUOI McROND FAIT APPEL AUX MOUCHES-Á-MERDE EUROPÉENNES POURQU’ELLES VIENNENT L’ AIDER Á CONQUERIR LE SAHEL…..
si le ridicule ne tu pas😁😁😁 le maitre par la voie d un esclave de maison fait une annonce d allègement de la question du franc des colonies d Afrique de l ouest, 🤣🤣🤣il faut en rire😁😁 car ça dépasse toutes les imaginations ce message 🤡 l affranchit de la maison , premier gouverneur de la colonnie, non seulement le maitre veut garder le contrôle de la monnaie sous d autrement forme et le pire, le chantage et la pression sera encore cruel, mais les africains ne sont pas dupe, arrêtons les chefs d états africains car le peuple se fera respecter sans passer par vous et votre diplomatie. réveillez-vous peuple digne de l Afrique pour non seulement refuser cette mascarade a notre nom, et aussi d imposer notre propre projet de monnaie
💀💀💀le Génocide du franc CFA est en cours. beaucoup de têtes vont tombés😎😎😛😜🤑 j’espère que ça sera les régimes, sanguinaire dabord, dynastiques, et corrompus
Bonjour,
Nous maliens, nous avons une expérience monenetaire avec la France. Non seulement elle nous a forcé avec l’aide de nos voisins à revenir mais aussi sévèrement punis. Et vous aller croire que cette France n’existe plus ?
un président appeler tiedjan a été assassiné par des traitres a cause du franc malien😩😩😩, l’histoire n oublie pas😳🤐😷
RANG€-VOL€UR V€LARATCAILL€
Bonjour. Coco
Merci pour tes vœux de bon Noël… Bonne fête à toi aussi, joie et tout…
Rien à faire de l’année oxydentale !!!
Espèce de nègre con que tu es !!!
J’attends encore la vidéo de Russia Today qui fait del a propagande anti-français… espèce nègre menteur…
Ta bouche sent le bo da blenin !
ET WHITE SHIT QUI N A VISIBLEMENT PAS ENCORE ETE VOIR UN MEDECIN !
….MERCI RINZ !
BON ….JOYEUX NOEL A TOUS —-ET A MES COPAINS EN PARTICULIER , NFP , RINZ , YUGO , MOUSSA AG …ECT !
NOUS …ON A RETROUVE LA BONNE HUMEUR …SURTOUT APRES AVOIR RELU UNE GROSSE UNE IMMENSE “”BLAGUE”” DE BASSALIFOU SYLLA DANS LE JOURNAL L ESSOR DU 12 JUIN 2017 ….
ALORS LA ….! ! ! ! ! CAR EST VENU LE JOUR OU LE « « MENTEUR VOLEUR » » DE BHM SA DEVENUE BMS SA ….S EST LUI-MEME DENONCE !
…..EN EFFET , SUR LE JOURNAL L ESSOR DU 12 JUIN 2017 , ME BASSALIFOU SYLLA , AVOCAT DE BHM SA , (BMS SA AUJOURD HUI ) A FAIT PASSER L ANNONCE SUIVANTE , AU LENDEMAIN DE SA « DEUXIEME VICTOIRE » ( SON COMPLICE , L EX PRESIDENT DE LA CCJA FAISANT L OBJET AUJOURD HUI D UNE PLAINTE DE LA CCJA ELLE-MEME ) ….
ET IL A FAIT ECRIRE CECI ( EN PARTICULIER ) :
———-« « « « CONTRE CET ARRET LE RECOURS EN CASSATION PRESENTE PAR LA SICG A ETE DECLARE IRRECEVABLE PAR LA CCJA LE 22 DECEMBRE 2014 , FAUTE POUR ELLE DE POUVOIR JUSTIFIER LA QUALITE D AVOCAT DE SES TROIS CONSEILS ,POURTANT FRANÇAIS , IVOIRIENS ET MALIENS !
CETTE DECISION QUI INTERVIENT APRES L ACQUISITION PAR L EX BHM DU MARCHE LES HALLES DE BAMAKO PURGE DEFINITIVEMENT TOUTE CONTESTATION RELATIVE AUX DROITS ACQUIS PAR SUITE DE L ADJUDICATION JUDICIAIRE .
POUR MEMOIRE , C EST DANS CETTE AFFAIRE QUE LE CELEBRE AVOCAT FEU JACQUES VERGES AVAIT ETE APPELE A LA RESCOUSSE PAR LA SICG , ET QUE L EX BHM SA DEVENUE BMS SA A TOUJOURS ETE DEFENDUE PAR LE CABINET D AVOCATS BRYSLA » » » » »————————
OUI …OUI …OUI …
EH BIEN CETTE DECISION QUI INTERVIENT APRES L ACQUISITION ….A ETE SUIVIE D UNE AUTRE DECISION ….DE LA MEME CCJA ….QUI A ENFIN LAISSE LA PAROLE AUX AVOCATS DE LA SICG …..(ET PORTE UNE PLAINTE CONTRE SON PRESIDENT , MARCEL SEREKOISSE SAMBA) ….LORS DE L ARRET 191 -2018 CCJA RENDU LE 25 OCTOBRE 2018 ….
(LE DOSSIER AVAIT ETE POUR MEMOIRE POSE LE 19 -10-2010 —)
ET SICG L A EVIDEMENT GAGNE LE 14 MARS 2019 DANS LE 4 EME ARRET DE LA CCJA …LE 068-2019 — CAR BHM SA DEVENUE BMS SA , VU LA PRESENCE DES AVOCATS DE SICG , N A RIEN TROUVE A DIRE FACE AUX 800 PAGES DE PREUVES POSEES PAR SES ADVERSAIRES ….EN 2010 !
…..ET C EST AINSI QU ICI , MAITRE BASSALIFOU SYLLA SE DECLARE LUI-MEME ( IL A SIGNE LE COMMUNIQUE DE L ESSOR ) CREATEUR DE L IMMENSE ARNAQUE QU A CONSTITUE LE VOL DE LA PROPRIETE DE SICG …LES HALLES DE BAMAKO !
…..QUE BMS SA CHERCHAIT D AILLEURS A VENDRE …4 JOURS APRES SA CONDAMNATION A ABIDJAN ..COMME LUI APPARTENANT ( ! )…..EN TEMOIGNE D AILLEURS MALIWEB :
https://www.maliweb.net/communique/avis-dappel-doffres-ouvert-n01-2019-2809396.html
Accueil Communiqué Avis d’appel d’offres ouvert N°01/2019 Par maliweb 18 Mar 2019
– EH OUI ….EH POURQUOI PAS ? ? ? ? ? …
LES « COCO’S » RIGOLENT …MAINTENANT !….QUI RAPPELENT D AILLEURS QU ILS ONT FAIT PORTER LE CERTIFICAT DE PROPRIETE DES HALLES …LE 22 AOUT 2007 AU MEME AVOCAT BASSALIFOU SYLLA….ET LE LENDEMAIN A BHM SA PAR HUISSIER …ME SYLVAIN MAKAN KEITA ….
NATURELLEMENT NOUS DISPOSONS DES DOUBLES DES ACTES ………
ICI …CE SONT LES “”AVENTURES “” DES “” COCO’S “” DE BAMAKO QUI SONT RACONTEES …LES PETITS MADOFF DE CERTAINS …LEUR SOUHAITENT DE BONNES DE TRES BONNES FETES !
BIENTOT ….IL RISQUE D Y AVOIR DES CHANGEMENTS DE PERSONNES DANS UNE BANQUE ….
PASSEZ TOUS DE BONNES FETES DE NOEL ….! ! ! ! !
BIENTOT VOUS RETROUVEREZ TOUT CELA DANS VOS JOURNAUX ! ! ! !
Comments are closed.