Reconquête du territoire national : le Président du Faso reçoit les bénédictions du Saint-Siège

2

Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, s’est entretenu ce lundi matin avec le Secrétaire d’État du Saint-Siège, le Cardinal Pietro PAROLIN.

A l’issue de son audience, le N°2 du Vatican a confié à la presse, avoir transmis les salutations du Pape François au Président du Faso ainsi qu’à l’ensemble du peuple burkinabè.

Le représentant du Souverain pontife dit également avoir échangé avec le Chef de l’État, sur des questions de paix et de lutte contre le terrorisme. Il a apprécié la volonté du gouvernement de reprendre le contrôle de tout le territoire national et d’assurer les conditions de paix et de développement pour les populations. « Mettre ensemble d’un côté l’action militaire et de l’autre, les actions de développement, c’est important pour que les gens puissent jouir de leurs droits fondamentaux à l’alimentation, à l’éducation, à la santé, à tout ce qui rend la vie possible et digne », déclare le Cardinal Pietro PAROLIN.

Au chapitre de la coopération strictement bilatérale, le Cardinal PAROLIN salue les relations exemplaires entre les deux États et exprime la disponibilité du Saint-Siège à accompagner le pays des Hommes intègres. « Les actions du Saint-Siège avec le Burkina Faso, c’est de créer des conditions qui permettent de dialoguer et de collaborer pour un monde meilleur », dit-il.

Le Burkina Faso et le Vatican ont établi formellement des relations diplomatiques le 14 juin 1973. Sur le plan de la coopération, le Saint-Siège intervient dans le développement socioéconomique du Burkina Faso, notamment dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’action sociale.

Le Cardinal PAROLIN est présent à Ouagadougou dans le cadre de la célébration du jubilé des 125 ans d’évangélisation de l’Église catholique au Burkina Faso.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Source: https://www.sidwaya.info/

Commentaires via Facebook :

2 COMMENTAIRES

    • Il n’était guère envisageable d’attendre du représentant du Saint-Père qu’il dise autre chose. Nous sommes, en l’occurrence, dans le brouillard diplomatique habituel. Il reste que le Burkina Faso ne peut rester insensible à cet encouragement à lutter, même si le challenge est difficile.

REPONDRE

Please enter your comment!
Please enter your name here

Leave the field below empty!