Le président George Weah est légèrement devancé par son principal rival, Joseph Boakai, dans le décompte des voix, près d’une semaine après les élections présidentielles et parlementaires du pays.
Les résultats de 73% des bureaux de vote comptabilisés jusqu’à présent indiquent que Boakai est en tête avec 43,54 % des voix, devant le président Weah, qui a obtenu 43,08 % des voix.
Bien que l’on considère généralement qu’il s’agit d’une course à deux chevaux, six candidats sont en lice pour la présidence libérienne, dont le chef de file, M. Weah, de la coalition au pouvoir pour le changement démocratique, et l’ancien vice-président, M. Boakai, du parti de l’unité.
Si aucun candidat n’atteint pas le seuil de 50% des voix, un second tour sera organisé entre les deux candidats en tête.
Selon la Commission électorale nationale, les votes ont été comptabilisés dans 4 295 des 5 890 bureaux de vote du pays.
La NEC devrait annoncer les résultats complets au moins 15 jours après les élections.
Quelque 2,4 millions de personnes étaient inscrites sur les listes électorales pour les élections présidentielles et législatives de mardi, qui ont été perturbées dans certaines parties du pays, notamment dans le sud-est, où les inondations ont posé des problèmes d’accès au matériel de vote.
Le président Weah est confronté à un défi de taille de la part de son rival de longue date, le Dr Boakai, âgé de 78 ans, qu’il a battu lors de son accession à la présidence en 2017.
Le Liberia, un pays au passé marqué par la guerre civile, a organisé quatre élections depuis la fin du conflit en 2003, qui a coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes.
Le scrutin de cette année s’est déroulé sur fond de difficultés économiques pour les Libériens, une situation qui a incité M. Boakai à concevoir sa campagne comme une tentative de « sauvetage » de la plus ancienne république d’Afrique des griffes de cette crise.
Il a accusé le gouvernement du président Weah d’incompétence dans la gestion de la crise économique et de corruption rampante au cours des six dernières années.
M. Weah, 57 ans, a souligné que son premier mandat avait été marqué par une stabilité continue et un développement des infrastructures.
Source : Apanews
Nous voyons qu’au moins cette démocratie qui selon certains leaders politiques d’Afrique est importée d’Europe et ne semblant pas marcher dans nos pays africains est une fausse assertion, car elle marche très bien au Liberia, en Sierra Leone, au Kenya, bref dans certains pays anglophones d’Afrique. C’est dans nos pays francophone que ça ne semble pas marcher, surtout à cause des comportements machiavéliques des dirigeants de ces pays francophone qui combinent tricheries, mensonges, cachoteries en oubliant même la vérité des urnes. Regardez ce qui se passe actuellement au Sénégal avec Macky SALL qui conduira a des morts inutiles avec la complicité des grands intellectuels de ce pays à savoir les juges et les avocats quelle honte pour le Sénégal et l’Afrique? Pourtant, il s’agit de même principe de cette démocratie, seulement dans les pays où ça marche, personne ne change les règles du jeu pendant le jeu, tout le monde se conforme à la feuille de route retenue de commun accord sans tricher, sans voler, sans mentir comme le fait Macky SALL actuellement face à Ousmane SONKO. Et malheureusement les leaders sénégalais semblent être spécialisés de ce genre de tricherie qui élimine les bons candidats, ce fut le cas de Abdoulaye Wade contre Senghor, le cas de Karim Wade, Kalifa SALL, Barthélémy DIAZ et maintenant Ousmane SONKO contre Macky SALL. Il faut que cela cesse dans ce pays qui se dit le plus grand pays de la démocratie d’Afrique Occidentale. Même les choses les plus bonnes sont massacrées en Afrique et deviennent problématiques, nous sommes quel continent? Les comportements les plus injustes se voient en Afrique, quelle honte pour ce contient? Il faut que les africains se respectent. Les plus grands leaders de nos pays ne sentent pas l’injustice et pourtant ils sont tous fabriqués dans cette grande injustice imposée par ceux qui nous ont colonisé dans les siècles passés, même nantis de ces insuffisances, ils en imposent à leurs propres frères depuis toujours sans aucun regret. L’intellectuel africain est le diable personnifié, le Satan sans aucune équivoque.
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