Le président Donald Trump a assuré samedi que le “shutdown” qui paralyse partiellement depuis trois semaines les administrations fédérales des Etats-Unis, et qui est devenu le plus long de l’histoire du pays, pourrait être “réglé en 15 minutes”.
Revenez à Washington!
Samedi matin, Donald Trump a multiplié les tweets appelant l’opposition démocrate à “revenir à Washington” pour mettre un terme à ce qu’il a appelé “l’horrible crise humanitaire à la frontière sud”. “Les démocrates pourraient régler le shutdown en 15 minutes! Appelez votre sénateur ou représentant démocrate. Dites-leur de faire leur boulot! Crise humanitaire”, a-t-il tweeté.
Il a aussi mentionné des critiques dans le Washington Post sur son absence de plan pour relancer le gouvernement. “En fait, il n’y a presque personne à la Maison Blanche, sauf moi, et j’ai un plan pour le shutdown”, a-t-il écrit.
Le milliardaire républicain avait assuré vendredi ne pas vouloir déclarer “si vite” une procédure d’urgence nationale qui lui permettrait d’utiliser des fonds déjà approuvés par le Congrès pour financer la construction du mur à la frontière. “Ce que nous ne cherchons pas à faire pour l’instant est l’urgence nationale”, a-t-il ajouté après des jours de spéculation sur le recours à une telle procédure qui confère des pouvoirs exceptionnels au président.
Tempête politico-judiciaire
Utiliser une telle prérogative plongerait à coup sûr le pays dans une tempête politico-judiciaire. “Je veux leur donner l’occasion de voir s’ils peuvent se comporter avec responsabilité”, a-t-il aussi avancé, en parlant des démocrates, dans une interview samedi soir sur la chaîne Fox News.
Selon plusieurs médias américains, la Maison Blanche envisagerait de rediriger des fonds d’aide d’urgence pour différents territoires ravagés par des catastrophes naturelles, comme Porto Rico, pour financer la construction d’une barrière à la frontière.
Au Congrès, aucun compromis ne pointe à l’horizon. Le Sénat a suspendu sa séance vendredi en début d’après-midi et ne se réunira pas de nouveau avant lundi. Les conséquences sont, elles, bien réelles.
Pas de salaire pour les fonctionnaires
Pour la première fois vendredi, les 800.000 fonctionnaires fédéraux affectés par le “shutdown” n’ont pas touché leur salaire. Depuis le 22 décembre, la moitié d’entre eux, jugés “non essentiels”, ont été placés en congé sans solde, tandis que l’autre moitié a été réquisitionnée.
La Chambre des représentants a approuvé à une écrasante majorité vendredi une loi, déjà votée par le Sénat, garantissant aux employés fédéraux qu’ils soient payés rétroactivement une fois le “shutdown” terminé. Il revient désormais au président de la promulguer.
Ce type de mesure est courant aux Etats-Unis lorsque le pays traverse de telles impasses budgétaires. Mais elle ne concerne pas les millions de contractuels également affectés. Plusieurs ministères essentiels, comme ceux de la Sécurité intérieure, de la Justice ou des Transports, sont touchés par le “shutdown”.
Jeudi, les principaux syndicats du transport aérien –pilotes de ligne, personnel naviguant, contrôleurs aériens– ont dénoncé une situation qui se détériore, évoquant des risques accrus pour la sécurité du pays. Un terminal de l’aéroport international de Miami sera fermé par intermittence, de samedi à lundi, à cause du manque de personnel.
Des factures à payer
Une manifestation à Washington a par ailleurs rassemblé selon les syndicats plus de 2.000 employés du gouvernement, qui ont exprimé leur inquiétude sur la dégradation de leurs conditions de vie. “On a des factures à payer. Nous devons payer notre prêt hypothécaire”, a expliqué à l’AFP Anthony, un employé civil des gardes côtes, dont l’épouse travaille pour une association à but non lucratif. “Heureusement, nous avons un peu d’économies pour vivre, mais ça ne va pas durer très longtemps”, a-t-il ajouté, estimant que les fonctionnaires étaient “pris en otages” par le président républicain.
De nombreuses initiatives privées ou publiques, comme des repas gratuits ou des foires à l’emploi pour les fonctionnaires au chômage technique, sont organisées dans tout le pays. Une paralysie prolongée du gouvernement fédéral aurait “un effet notable” sur la première économie du monde, a mis en garde dans la semaine le patron de la Banque centrale américaine, Jerome Powell.
Le probleme peut etre regle’ en quelques secondes car ce n’est pas le Congres qui a ferme’ le gouvernement, c’est le president Trump lui meme qui a ferme’ son propre gouvernement faisant ainsi 80 000 travailleurs du gouvernement federal des otages de son plan pour construire un mur entre notre pays et le Mexique. PERSONNE NE L’EMPECHE D’OUVRIR SON GOUVERNEMENT. IL PEUT DECIDER A’ N’IMPORTE QUEL MOMENT DE DIRE AUX TRAVAILLEURS DU SECTEUR FEDERAL DE REVENIR TRAVAILLER. LA DECISION LUI APPARTIENT. IL N’A PAS BESOIN DE 15 MINUTES, IL A BESOIN DE QUELQUES SECONDES POUR FAIRE SA DECLARATION! DANS L’HISTOIRE DES USA, AUCUN PRESIDENT AMERICAIN N’A FERME’ SON PROPRE GOUVERNEMENT! TRUMP EST LE PREMIER A’ AGIR AINSI!!!!! Il y a certes un probleme au niveau de la frontiere Mexico-Americaine et cela ne date pas de la presidence de Trump. LA LOGIQUE VEUT QUE LE GOUVERNEMENT CONTINUE DE FONCTIONNER NORMALEMENT PENDANT QUE LES NEGOCIATIONS CONTINUENT ENTRE TRUMP ET LE CONGRES.
Les 80 000 travailleurs du gouvernement federal ont des familles a’ nourrir, ils ont des maisons a’ payer, des voitures a’ payer, des cartes de credits a’ payer et bien d’autres choses a’ faire avec leurs salaires. Les personnes comme moi et moi meme nous vivons de paycheck a’ paycheck. Rater un seul paycheck peut signifier la catastrophe pour nous. CE QUI EST ENTRAIN DE SE PASSER EN CE MOMENT N’EST NI BON NI MORAL NI JUSTE! TRUMP DOIT METTRE FIN A’ CETTE SITUATION QU’IL A CREE’E POUR PERMETTRE AUX TRAVAILLEURS DU GOUVERNEMENT FEDERAL DE RETOURNER A’ LEURS BOULOTS AFIN DE CONTINUER A’ SERVIR LE PEUPLE AMERICAIN, RECEVOIR LEURS SALAIRES POUR SUBVENIR A’ LEURS BESOINS!
NB.
J’etais etudiant a’ l’Universite’ d’Arizona. pendant 7 ans j’ai vecu a’ Tucson , Arizona. Mes amis etudiants et moi avons traverse’ la frontiere a’ plusieurs reprises pour aller au Mexique durant les weekends. J’ai vu de mes propres yeux ce qui se passe de part et d’autre de la frontiere. LA SOLUTION AU PROBLEME VA AU-DELA DE LA CONSTRUCTION D’UN MUR! Il faut stabiliser economiquement le Mexique et les pays de l’Amerique Centrale et Australe pour les rendre vivables pour leurs populations. ON NE PARLE PAS DE CONSTRUIRE UN MUR ENTRE LES USA ET LE CANADA PARCE QUE LE CANADA EST TRES STABLE ET TRES DEVELOPPE’ ECONOMIQUEMENT ET POLITIQUEMENT. LES CANADIENS ONT TOUT CHEZ EUX!!!
Trump is our president and we will always respect the Office of the President of the USA. He should never forget why there are three branches in our government. THEY ARE COEQUAL AND THEY CHECK ON ONE ANOTHER! COMPROMISE IS A MUST IN THIS SITUATION. ONE SIDE SHOULD NEVER SAY IF YOU DO NOT GIVE ME THE MONEY THAT I WANT, I WILL SHUT DOWN THE GOVERNMENT! THOSE WHO STUDIED U.S. HISTORY AND POLITICS WOULD TELL YOU THAT COMPROMISES HAVE BEEN IMPORTANT IN AMERICAN POLITICS TO KEEP THINGS MOVING!
GOD BLESS AMERICA!
Deja qu’il ne doit pas être fier par son crime/Attaque
Comme le petit Macron qui veut que sa cathédrale soit reconstruire en à peine 3-4 ans, ils parlent dans le vid€ …
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