Lors d’une cérémonie officielle ce lundi 13 janvier 2025, le capitaine Ibrahim Traoré, président de transition du Burkina Faso, a dénoncé les propos récents du président français Emmanuel Macron, qu’il accuse d’avoir « insulté tous les Africains ». Ces déclarations font suite à un discours du président français une semaine auparavant, où il évoquait « l’ingratitude » de certaines nations africaines envers la France.
« Je crois qu’on a oublié de nous dire merci. Ce n’est pas grave, ça viendra avec le temps. L’ingratitude, je suis bien placé pour le savoir, c’est une maladie non transmissible à l’homme », avait affirmé Emmanuel Macron, en référence aux opérations militaires françaises dans le Sahel. En réponse, le capitaine Traoré a condamné ces paroles, qu’il juge méprisantes et déshumanisantes. « Voilà comment ce monsieur voit l’Afrique, voit les Africains. Nous ne sommes pas des humains à ses yeux« , a-t-il déclaré. Depuis la prise de pouvoir du capitaine Traoré en septembre 2022, les relations entre le Burkina Faso et la France se sont considérablement détériorées. En 2023, le Burkina Faso a exigé le retrait des troupes françaises de son territoire, mettant ainsi fin à des accords de coopération militaire en vigueur depuis plusieurs années. Il a été rejoint par le Mali et le Niger.
Ces décisions marquent une rupture nette dans les relations entre Paris et ces pays, où les interventions militaires françaises étaient justifiées par la lutte contre les groupes jihadistes. Cependant, pour Traoré, ces accords reflètent une forme d’ingérence et d’impérialisme, contraires à la souveraineté des pays africains. Il a exhorté les dirigeants à aller plus loin dans leur démarche. « Si vous voulez une rupture avec ces forces impérialistes, c’est simple, on dénonce les accords. Si on ne dénonce pas les accords, juste dire qu’ils quittent les bases, on n’a rien fait« , a-t-il insisté, appelant à une autonomie totale vis-à-vis de l’ancien colonisateur. Le mécontentement envers la présence militaire française ne se limite pas au Burkina Faso.
D’autres pays africains, comme le Tchad et le Sénégal, ont également pris des mesures pour réduire l’influence militaire étrangère sur leur sol. En novembre 2024, le Tchad a dénoncé son accord de coopération militaire avec la France et exigé le retrait des troupes françaises d’ici fin janvier 2025. Le Sénégal a, de son côté, demandé la fermeture progressive des bases militaires françaises et la fin de toutes formes de présence étrangère, tout en établissant un calendrier précis pour ces retraits.
Source: https://lanouvelletribune.info/
Oh! I guess when NATO france punk President macron imply Negroids are not humans that make us not human. We all know that is bullshit of bisexual NATO France punk President macron being each year he gets less of what he do not deserve from Africans. However, we are open to doing equitable business with NATO France despite fact it’s bisexual president macron is having breakdown as result of his ability to manipulate Africans being greatly reduced. Macron will be alright once he retire. Job of president puts too much pressure on him.
People of Books.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Il faut continuer à se concentrer sur Macron, les français, la France.
Les français travaillent, Le Club des putschistes de l’AES communique sur du vent.
Macron à dit ça, les français pensent comme ci et la France agit comme ça.
C’est très bien. Il faut continuer. Quand on ne fait rien, il faut s’occuper de quelque chose puisque la nature n’aime pas le vide. le Club des putschistes se bat nuit et jour contre un ennemi imaginaire. Pendant ce temps, ils ne font rien pour améliorer la situation catastrophique des trois pays.
Depuis quand les Francais travaillent? Qui a parle de Macron? Personne, c’est Macron qui a insulte toute l’Afrique, alors il merite une jolie réponse d’un homme intelligent et travailleur comme IB! Vive la Confederation des Etats du Sahel! Merci Assimi-IB-Tiani pour tout ce que faites pour nous et toute l’Afrique est tres fiere de vous!
RFI.FR
La France comptait 68,6 millions d’habitants au 1er janvier 2025, soit une hausse de 0,25% sur un an, mais a enregistré une nouvelle baisse des naissances et une progression des décès l’an dernier, a indiqué mardi l’Insee. En 2024, 663 000 bébés ont vu le jour dans le pays, soit 2,2% de moins que l’année précédente, ce qui correspond au plus faible nombre de naissances sur un an depuis 1946. L’indice conjoncturel de fécondité (ICF) s’est établi à 1,59 enfant par femme en métropole, soit son plus bas niveau depuis plus d’un siècle (1919).