WASHINGTON – Le président des Etats-Unis Barack Obama a affirmé lundi que le monde avait besoin d’une Afrique “forte et autonome”, à une semaine d’un sommet sans précédent rassemblant à Washington près de 50 dirigeants africains.
Evoquant un sommet “véritablement historique”, M. Obama a souligné qu’il illustrerait sa conviction que “la sécurité, la prospérité et la justice” dans le monde “ne sont pas possibles sans une Afrique forte, prospère et autonome”.
“Ce sera le plus grand rassemblement de chefs d’Etat et de gouvernement africain jamais organisé par un président américain”, a souligné M. Obama qui s’exprimait devant 500 étudiants africains participant à un programme d’échange (“Washington Fellowship for Young African Leaders”) visant à contribuer au développement économique et au renforcement des institutions démocratiques sur le continent.
“Si nous sommes conscients des réelles difficultés que rencontrent tant d’Africains chaque jour, nous avons le devoir de saisir le potentiel extraordinaire de l’Afrique d’aujourd’hui, qui est le continent le plus jeune et qui connaît la croissance la plus forte”, a poursuivi M. Obama.
Interrogé par un étudiant sur les priorités qui devraient, selon lui, être celles de l’Afrique, il a insisté sur la gouvernance.
“Quelles que soient les ressources d’un pays, si vous n’avez un pas un ensemble de lois, le respect pour les droits civiques et les droits de l’homme, si vous n’avez pas de liberté d’expression et de rassemblement (…), il est très rare qu’un pays réussisse dans la durée”, a-t-il souligné. “Vous n’éliminerez jamais la corruption à 100% (…) mais l’important est que le respect de la loi soit la norme”.
M. Obama, né aux Etats-Unis d’une mère américaine et d’un père kényan, avait lancé l’idée d’un sommet USA-Afrique en juin 2013 lors se première grande tournée sur le continent durant laquelle il s’était rendu en Afrique du Sud, au Sénégal et en Tanzanie.
Lors d’un discours au Cap, il avait souhaité “ouvrir un nouveau chapitre dans la relation entre les Etats-Unis et l’Afrique”.
Qu’il aille se faire pendre ailleurs…
« Quelles que soient les ressources d’un pays, si vous n’avez un pas un ensemble de lois, le respect pour les droits civiques et les droits de l’homme, si vous n’avez pas de liberté d’expression et de rassemblement (…), il est très rare qu’un pays réussisse dans la durée », a-t-il souligné. « Vous n’éliminerez jamais la corruption à 100% (…) mais l’important est que le respect de la loi soit la norme ».
C’est vrai ! on ne peut plus claire !
Donc, il faut un nouveau type d’africain, de malien, depuis la base, en famille, éduqué dans sa langue, à travers nos vraies valeurs éducatives et culturelles de nos ancêtres qui n’ont pas eu de contact fatal avec l’envahisseur (le colonisateur aliénateur). Car une fois en contact avec celui là, le nouveau malien (africain) ne pouvait être que vous et moi : un médiocre doublé d’incivique.
Ensuite, que ce nouveau type de citoyens soit instruit à l’école avec cette même langue maternelle, pour acquérir les sciences (en très peu de temps à l’aide du Nko) car, l’école actuelle, malienne (et même africaine), à cause de la langue du colonisateur n’est qu’une culture de médiocrité qui ne produit que des nuls, des cadres médiocres, aliénés, cupides, pernicieux et vulgaires, qui on tenu les reines de ce pays depuis plus de 50 ans pour quel résultat ?
Aucun peuple ne s’est développé avec une langue étrangère. Même au États Unis, c’est parce qu’ils ont adopté la langue et la culture anglaise que ces immigrants d’Europe se sont développés dans le nouveau monde, mais hélas, les autochtones, les indiens d’Amérique, qui n’ont pas voulu abandonner leur langues et leur cultures sont restés médiocres en Amérique (tout comme les africains en Afrique). En d’autres termes si nous voulons nous développer avec la langue du colonisateur, il faut impérativement que vous divorcions depuis en famille d’avec nos langues maternelles et nos cultures ancestrales. Cela est – il possible ?
Le plus simple n’est – il pas d’apprendre dans nos langues maternelles tout ce que les autres apprennent dans la leur ?
Oui cette question est dépassée par les intellectuelles du Nko. Beaucoup de sciences et savoir universels sont aujourd’hui transcrit en Nko et beaucoup d’autres sont en cours de transcription (avec un dictionnaire de plus de 33 000 mots et expressions), sans aucune assistance financière gouvernementale ou extérieur. C’est l’engagement, et le patriotisme des intellectuelles nko qui a permis tout ça en très peu de temps.
A travers des cours privés et familiaux, les enfants l’adoptent avec aisance et joie depuis les années 90 , date de sa pleine vulgarisation au Mali. le nko existe depuis 1949, nos nouvelles élites d’alors le savaient surement , mais hérissés de préjugés inconsciemment encré dans leur tête par la propagande coloniale, même au pas de leur porte, ils enjamberaient le Nko pour rentre chez eux sans le considérer, parce que c’est une “pseudo” écriture inventé par un africain qui n’a pas été dans les grandes écoles et université d’Europe, donc qui n’a aucun diplôme équivalent ou supérieur aux leurs…bref un inférieur à eux, qui sont des “intellectuels”, des “cadres”, des nouvelles élites, des futures leadeurs de jeunes états indépendants.
« Vous n’éliminerez jamais la corruption à 100% (…) mais l’important est que le respect de la loi soit la norme ».
Le respect de la loi s’apprend où au début ?
En famille sans aucun doute. Sauf que nos enfants sont délaissés, perdus entre l’école aliénatrice et le foyer vide de parents en quête d’agent facile. Ce petit monde n’a de contact que le soir devant la télé pour se gaver de réalités importées, ensuite au lit. Et le lendemain le même train quitte la gare.
Certes, « le monde a besoin d’une Afrique « forte et autonome » sauf que la force et l’autonomie de toute chose dépend de ses fondations. Mais « l’Afrique est mal parti » sur ses nouvelles fondations coloniales !
Obama a vraiment raison. La France veut faire de ses anciennes colonies un chasse gardée, une vache laitière et ne veut voir d’autres partenaires les approcher. C’est qui la France fait et défait les régimes. Les cas suivants sont largement édifiant:
– Modibo Keïta et Moussa Traoré au Mali,
– Sangoulé Lamizana et Thomas Sankara en Haute Volta et au Burkina,
– Sekou Touré et Dadis Camara en Guinée,
-etc. 8) 8) 8)
Foutage de gueule, une Afrique forte et autonome signifie la fin des haricots pour certain grand de ce monde, signifie la redistribution des cartes, la fixation du coût des matières premières, le choix de ces partenaires, le retour d’une grande partie de la diaspora au bercail etc… que du mauvais pour certains pays
Wallaye Foutage de gueule. Il (Obama) pense qu’on va gober ca? Une Afrique autonome, alors qu’ils font tout pour garder la pression sur nos chefs d’Etat et piller aini nos richesses.
Balivernes !!!
en effet, Oba-bien se se fout de notre gueule!!!
Une afrique forte signifie un occident decadent et surtout une france detruite!!!
L’ancien chancelier allemand Helmut Khol: “l’occident s’est fait avoir l’industrialisation de l’Asie, qui nous pose problemes. Nous ne commettrons pas la meme erreur avec l’Afrique”
C’est aux africains de se prendre en mains: politiquement-economiquement-militairement-culturellement-lingustiquement-religieusement etc.
Oblabla
Dr. Gerald Horne Teach in on Africa “From Mali to Congo” :
http://www.youtube.com/watch?v=vWOnC9GtAZw
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