Obama dévoile un plan de sécurité alimentaire pour l’Afrique

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Barack Obama

WASHINGTON, 18 mai (Xinhua) — Le président américain Barack Obama a annoncé vendredi que le secteur privé avait promis trois milliards de dollars pour soutenir un plan visant à renforcer la sécurité alimentaire et la production agricole en Afrique, avant l’ouverture du sommet du G8.

Selon le président Obama, les pays du G8 ont des responsabilités morale, économique et sécuritaire pour mener la lutte contre la faim et la malnutrition en Afrique, bien que leurs économies font face à des difficultés.

Ce nouveau plan mondial, intitulé “Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition”, vise à mobiliser plus d’investissements privés pour renforcer la productivité agricole.

M. Obama a indiqué que 45 compagnies, dont les grandes sociétés internationales et les entreprises africaines, avaient promis d’investir 3 milliards de dollars pour aider à soutenir l’agriculture en Afrique.

Le président Obama a invité certains dirigeants africains à assister au sommet du G8 qui doit s’ouvrir vendredi à Camp David pour discuter de la sécurité alimentaire en Afrique.

Selon la Maison Blanche, les promesses du secteur privé, ainsi que les engagements des pays donateurs à soutenir les programmes de sécurité alimentaire des pays africains, pourraient permettre à 50 millions de personnes de sortir de la pauvreté dans les dix prochaines années.

 

Publié le 2012-05-19 08:48:10 | French. News. Cn

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6 COMMENTAIRES

  1. Pour la premiere fois ,l’objectif du developpement agricole est clairement defini: accroitre la productivite du travail agricole.Si les fonds d’investissements sont judicieusement depenses, cela pourrait assurer un plus haut degre de securite alimentaire dans les pays Africains.Sur la base de gisements de phosphates existant dans plusieurs pays Africains ,ces phosphates naturels pourraient etre transformes en engrais phosphateux au Togo,au Mali, En Republique Democratique du Congo;le gas naturel du Nigeria qui est actuellement torche pourrait etre transforme en engrais azotes.Un certain nombre
    d’unites de montage de tracteurs pourraient etre eriges dans les regions ainsi que des equipements agricoles semi mecaniques.Des usines de pesticides ,des petites unites de transformations de produits alimentaires,des methodes plus modernes de sechage de legumes, de poisson ainsi que de fumage.Des pays comme l’Inde et la Chine qui ont developpe des technologies appropriees pour ces produits tropicaux pourraient apporter un appui technique apprecie.

  2. Pipeau!
    Ce criminel menteur qui après la Côte d’Ivoire, la Libye, continue de saccager l’Irak, l’Afghanistan, la Syrie…
    Plus aucun Africain averti ne peut écouter et prendre au sérieux ce nègre du système (impérialisme, bancocratie mondiale, trilatérale, Otan, Groupe de bilderberg et autres réseaux maçonniques, complexes militaro-industriels, narcotrafics et pétromonarchies wahhabites).
    Un système saccageur de vies humaines, d’indépendance des peuples, des droits et des libertés dans le monde.
    La sécurité alimentaire qu’il nous promet contient la mort, la mort de nos sociétés qu’ils n’arrêtent pas de saccager par leurs ingérences néo-impériales.
    Qui peut encore écouter ce pantin, ce nègre des Clinton, après ce qu’il a fait en Côte d’Ivoire, en Libye et ce qu’ils font au Mali, au Congo-RDC, en Somalie…
    L’objectif de ce nègre-criminel consiste, en plus d’accompagner la prédation de nos ressources minières et énergétiques, à nous vendre des aliments OGM chimiquement mortels et dangereux pour la santé.
    Ce Janus au service de l’Occident est un des pires ennemis de l’Afrique. Sa mission: tuer nos agricultures paysannes et autonomes en Afrique, avec la complicité des satrapes locaux, et des chercheurs locaux prêts à se prostituer à MONSANTO pour avoir des subventions de la corruption.
    On ne connaissait pas OBAMA avant la Libye et la Côte d’Ivoire!
    Maintenant, on le connait!
    On sait qu’il continue une tradition: le rôle d’agent au service de l’impérialisme américain qu’était son père; un traitre à la cause de l’indépendance du Kenya.

  3. La transition politique au Mali et la constitution du 25 février 1992: l’intrus et les violations de droit.

    Le peuple souverain du Mali s’est doté d’une loi fondamentale qui stipule dans son préambule qu’il  “….affirme sa volonté de préserver et de renforcer les acquis démocratiques de la révolution du 26 mars 1991…”

    Dans son article 26 cette loi fondamentale dit que “la souveraineté nationale appartient au peuple tout entier qui l’exerce par ses représentants et par voie de référendum. 
    Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice”.

    Par ailleurs l’article 25 cite les institutions de la république du Mali qui sont au nombre de 8: 

    -le président de la république, 

    -le gouvernement, 

    -l’assemblée nationale, 

    -la cour suprême,

    -la cour constitutionnelle,

    -la haute cour de justice, 

    -le haut conseil des collectivités territoriales et

    -le conseil économique et social.

    Dans son article 62, “les députés bénéficient de l’immunité parlementaire”. 

    Pour l’article 121, “les fondements de tout pouvoir en république du Mali réside dans la constitution…..
     …..Tout coup d’état ou putsch est un crime imprescriptible contre le peuple malien”. 

    Mes chers amis, si réellement nous sommes régis par la constitution du 25 février 1992, tous les membres du CNRDRE doivent passer devant la justice malienne pour “crime imprescriptible contre le peuple malien” si jamais le président Dioncounda ne promulgue pas la loi  (article 40 de la constitution) qui les amnistie pour le coup d’état du 22 mars 2012.

     Leur première violation de la constitution malienne.

    Et en matière pénale, la complicité de crime est passible de poursuites judiciaires tout comme l’auteur principal du crime.

    En arrêtant arbitrairement des honorables députés, représentants du peuple souverain à l’assemblée nationale du Mali, qui sont pourtant protégés par l’immunité parlementaire (article 62 de la constitution), le CNRDRE et ses membres ont encore violé notre loi fondamentale.

    Ils ont continué à piétiner notre constitution (en violation des articles 9 et 10) en arrêtant arbitrairement des citoyens maliens, sans ouverture d’une information judiciaire à leur encontre, et au mépris des droits de la défense.

    Ils ont pris du plaisir, à bafouer la liberté de la presse, par des intimidations et des arrestations arbitraires de journalistes et d’hommes de presse, dont la seule raison réside dans la restriction de ladite liberté de la presse, au mépris de l’article 7 de notre constitution.

    N’étant pas une institution de la république (article 25 de la constitution), le CNRDRE ni aucun de ses membres, ne peut, du point de vue du droit malien, exercer aucun pouvoir en république du Mali, car selon l’article 121 de notre constitution, “les fondements du pouvoir résident dans la constitution”.

    Et l’article 30 fait état d’élection au “suffrage universel direct” pour devenir président de la république du Mali.

    Du moment où le CNRDRE n’est mentionné nulle part dans cette constitution, il n’a aucun droit pour exercer aucun pouvoir en république du Mali, puis qu’il n’est élu nulle part en république du Mali.

    Par ailleurs, le CNRDRE ni aucun de ses membres, n’étant ni représentant élu du peuple souverain du Mali, ni une instance nommée par un quelconque pouvoir constitutionnel (exécutif, législatif et judiciaire), ils ne peuvent, du point de vue du droit malien, organiser aucune convention (soit-elle nationale, régionale ou katoise) ou tout autre attroupement (à caractère politique, civil ou militaire) qui sera de nature à décider de l’avenir politique de la république souveraine du Mali.

    Le CNRDRE ou un de ses membres ne saurait s’attribuer l’exercice de la souveraineté du peuple malien comme le précise l’article 26 de notre constitution.

    A moins que l’intrus ne veuille récidiver, perpétuellement, dans la violation de notre loi fondamentale, je ne vois pas mes chers amis, comment et pourquoi le président Dioncounda (dont la désignation est clairement définie dans l’article 36 de la constitution, qui précise un délai de 40 jours pour les élections, mais ne délimite pas l’intérim en cas de non élection dans ce délai) doit troquer sa présidence de la république du Mali, pendant notre transition politique, contre une convention anticonstitutionnelle d’une entité illégale qu’est le CNRDRE et qui croule sous le poids d'”un crime imprescriptible contre le peuple malien”.

    Mes chers amis, l’avantage du droit, c’est qu’il est clair, limpide et net, en fait, pour ceux qui se soucient du droit.

    Et pourtant cela devrait être le cas pour tous les citoyens car nul n’est sensé ignorer la loi.

    • Vous vouliez des elections malgre la situation dramatique du nord,vous etes bien servi mr Kassin…subtement la constitution prend toute sa profondeur…Brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!!!! 👿

  4. Pauvre Afrique ! nous n’arivons meme pas a nous nourrir malgre des terres a perte de vue, fertiles et accessibles que nous commencons a vendre aux etrangers. Que nous sommes pitoyables !

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