Le Burkina Faso et l’OIM (l’Organisation Internationale pour les Migrations) préparent le rapatriement de migrants burkinabè bloqués à la frontière entre l’Algérie et le Niger, suite à la rencontre en date du 16 novembre 2023, à Ouagadougou, entre le Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Régionale et des Burkinabè de l’Extérieur et une délégation conduite par Mme Aïssatou Guissé KASPAR, Cheffe de Mission de l’OIM Burkina Faso.
Les échanges ont porté sur les questions migratoires, particulièrement sur l’événement précité.
A noter que la politique adoptée par l’Algérie consistant à au refoulement de plusieurs centaines d’immigrés africains aux frontières des pays voisins, en contraste total avec la politique suivie par le Maroc dans la gestion de la question migratoire qui s’est matérialisée par la régularisation de visas avec plusieurs pays africains.
A rappeler que dans la perspective de favoriser l’accès des Etats du Sahel à l’Océan Atlantique, Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc a proposé, lors de son récent discours à l’occasion du 48ème anniversaire de la Marche Verte, le lancement d’une initiative à l’échelle internationale, qui doit être associée à une mise à niveau des infrastructures des Etats du Sahel afin de les connecter aux réseaux de transport et de communication implantés dans leur environnement régional.
minute.bf
Ah j’oubliais. Ce n’est pas vers l’océan atlantique qu’il faut aller mais plutôt vers la mer noire, la mer caspienne. Il ya beaucoup de place en Russie. Ce pays “ami”. En pus il y a des avions affrétés par Wagner.
Ah. Et ces migrants ils comptent aller où comme cela ?
Drôle de proposition du roi du maroc “afin de les connecter aux réseaux de transport et de communication implantés dans leur environnement régional”
Avec l’explosion démographique inconsidérée du continent africian, cela va être insoloble ce d’autant que les chinois sont en train de les plumer et que les russes leur font croire à des mirages de partenariat “gagant-gagnant.
Bon mais c’est le choix.des africains
Oui et bien on respecte leur choix mais qu’ils viennent pas mendier à Paris dans le futur. Qu’ils s’assument et soient responsables de leur décisions.
Une situation qui risque de se poser au Mali dans le moment qui vient. L’exode des populations reste un enjeu cruel, où le sentiment jouera fort peu.
Comments are closed.