La République du Niger, impliqué dans la crise malienne, n’est pas prête à pousser l’amitié jusqu’à risquer sa sécurité intérieur. Ses officiels l’ont fait savoir en réagissant négativement aux propositions du schéma de sortie de crise. Celles-ci préconisent la mise en place de patrouilles communes composées d’éléments armées de différents pays en vue d’appliquer l’accord dans ses dispositions intermédiaires. Le Niger, qui a une grande expérience en rébellion, ne semble pas disposé à coopérer via le partage de son expérience et ses stratégies avec des groupements armés prêts à faire volte-face. A tout moment.
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