Maroc au conseil de paix et de sécurité de l’UA : Reconnaissance de l’action solidaire de S.M le Roi en Afrique

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Le Maroc a été élu, vendredi à Addis-Abeba, au Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine, lors de la 32ème session ordinaire du Conseil exécutif du bloc panafricain, qui se tient dans la capitale éthiopienne en prélude au Sommet des Chefs d’État et de gouvernement tenu le week-end dernier à Addis Abeba. Candidat unique de la région Afrique du Nord, le Maroc a recueilli 39 voix, plus que les deux tiers (36 voix) nécessaires pour être élu. Il siégera au CPS pour un mandat de deux ans (2018-2020) renouvelable.

Le Maroc a été élu pour un mandat de deux ans au CPS après avoir recueilli 39 voix. Les deux tiers nécessaires pour cette élection sont de 36 voix. Il s’agit, selon le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale du Maroc, M. Nasser Bourita, de la reconnaissance du rôle très constructif et de l’action solidaire menée sous la conduite éclairée de S.M. le Roi en Afrique aussi bien dans le domaine du maintien de la paix qu’en termes d’action humanitaire. Aussi, cette élection au CPS est un autre témoignage du soutien et de la confiance que portent les États membres de l’UA pour Sa Majesté le Roi, a indiqué M. Bourita dans une déclaration à la presse à l’issue de l’élection du Royaume.        M. Bourita a fait savoir que certains pays avaient tenté d’empêcher l’élection du Maroc au sein de cet organe stratégique de l’organisation panafricaine. Des tentatives qui ont échoué, car la crédibilité du Royaume et la reconnaissance de l’action de Sa Majesté le Roi ont joué en faveur du Royaume. ”Aujourd’hui, le Maroc va entamer un mandat de deux ans dans cet organe important de l’UA”, s’est félicité le ministre. Tout en soulignant que l’élection du Maroc au CPS a été l’un des objectifs importants de la diplomatie marocaine après le retour du Maroc à l’UA en janvier 2017. Avant d’affirmer que le Maroc viendra prendre part aux travaux du Conseil fort d’une expérience unique dans le continent.

”Le Maroc est parmi les rares pays qui ont participé à plusieurs opérations de maintien de la paix”, a rappelé le ministre. Aussi, il a souligné que l’exposition, organisée par la Direction de l’histoire militaire de l’État-major général des Forces Armées Royales (FAR), en marge du 30ème Sommet de l’UA à Addis-Abeba, illustrait parfaitement cette vocation du Royaume. Le Maroc dispose aussi d’une grande expérience diversifiée dans le domaine de la prévention des conflits et dans la gestion des crises qu’il apportera au CPS, a-t-il dit, soulignant que cet organe traite également des questions stratégiques pour le Maroc. “Être présent dans cet organe permettrait de faire obstacle à toutes les manipulations et de contrer toutes les stratégies qui visaient pendant toutes ces années à manipuler cet organe et à l’instrumentaliser par rapport à des agendas bien connus de certaines parties”, a souligné M. Bourita.

C’est un moment important depuis le retour du Maroc à L’UA, s’est encore félicité le ministre, soulignant que le Royaume comme l’a dit Sa Majesté le Roi, en janvier 2017 à Addis-Abeba, ne rentrait pas pour diviser, mais pour partager et contribuer”. C’est cette Orientation Royale qui guidera l’action de la diplomatie marocaine au sein du CPS, a-t-il dit.

B.Koné

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  1. Diplômé de l’École française de journalisme (EFJ) en 19803, Vincent Hervouët travaille pour Radio France internationale puis France Info. Entre-temps, il participe à la création de deux stations : radio Alouette en Vendée et Radio Méditerranée au Maroc2.

    « Hervouët est aussi actionnaire de deux entreprises créées par Ahmed Charaï, Audiovisuelle Internationale (qui chapeaute le service radiophonique Radio Med), et Media South, créée en mai dernier et dont le capital social est fixé à 300 000 dirhams (27 000 euros). »

    Mi-décembre 2014, « Chris Coleman », un lanceur d’alerte, divulgue via Twitter les courriels reçus par un cadre de la DGED (service de renseignements et de contre-espionnage marocain) parmi lesquels plusieurs proviennent d’un journaliste marocain, Ahmed Charaï, qui lui transfère (dans le corps, et non en fichiers attachés) des mails censés avoir été envoyés par divers journalistes français (dont Hervouët) et américain qui réclament leur rémunération pour services rendus en faveur de la thèse du « Sahara marocain », notamment par le biais d’accusations de liens entre le Front Polisario et Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI)!

    Plus on epluche le parcours de ce type, plus on découdre la passé trouble de ce personnage et de ce pays qu’est la France!

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