Le président Macky SALL, lors de l’ouverture de la 6e édition du Forum inter-national de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique, s’est étonné le lundi 18 novembre de la dégradation de la situation sécuritaire au Mali avec la présence sur le terrain d’au moins 30 000 militaires maliens, de l’opération Barkhane, de la MINUSMA et du G5 Sahel. Pour lui, il y a un problème que ces forces soient prises en otage par une bande d’individus. La situation est inacceptable, désap-prouve le ministre sénégalais, tout en exhortant l’ONU de reformer son système et adopter un mandat robuste à la MINUSMA. Face à des forces terroristes ar-mées et déterminées, il n’y a d’autre choix que d’opposer des forces militaires supérieures, mieux armées et plus déterminées. Autrement, les groupes terro-ristes vaincus et démantelés ailleurs continueront de trouver dans les zones de vulnérabilité en Afrique des sanctuaires où ils pourront prospérer, se réorgani-ser et poursuivre leur expansion. Toutefois, il estime que les missions des Na-tions unies ne doivent pas servir que de payer des indemnités à des pays.
Excellence, Monsieur le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, Prési-dent de la République Islamique de Mauritanie, cher frère,
Monsieur Edouard Philippe, Premier Ministre de la République française,
Excellence, Monsieur Pierre Buyoya, ancien Président de la République du Bu-rundi, Haut Représentant de l’Union Africaine pour le Mali et le Sahel,
Monsieur le Président de l’Assemblée nationale,
Madame la Présidente du Haut Conseil des Collectivités Territoriales,
Madame la Présidente du Conseil économique, social et environnemental,
Mesdames, Messieurs les Ministres,
Mesdames, Messieurs les membres du Corps diplomatique,
Mesdames, Messieurs les chefs de délégations,
Chers amis, chers invités,
Mon frère et ami, le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, nous a fait le grand honneur de rehausser de sa présence, en tant qu’invité spécial, ce 6e Forum international sur la paix et la sécurité en Afrique. Mes premiers mots seront pour le remercier.
Merci, Monsieur le Président et cher frère. Nous sommes heureux de vous ac-cueillir. Vous êtes chez vous. Votre présence ici traduit notre attachement commun aux relations ancestrales entre les peuples sénégalais et mauritanien, solidement tissées par l’histoire, la parenté, la spiritualité et le voisinage.
Merci à vous, Monsieur le Premier Ministre Edouard Philippe, pour votre vi-site, dans le cadre du séminaire intergouvernemental franco-sénégalais et pour votre participation au Forum.
Je vous remercie toutes et tous, chers invités, d’être venus encore nombreux, d’Afrique et d’ailleurs, à notre rendez-vous annuel.
J’exprime notre gratitude aux partenaires qui accompagnent le Forum de Dakar sur la Paix et la sécurité en Afrique : la France, le Japon, les Emirats Arabes Unis, l’Arabie Saoudite, le Koweit, la Chine, l’Inde, l’UEMOA et la Fondation Konrad Adenauer.
Cette année, le thème du Forum porte sur Paix et Sécurité en Afrique : les dé-fis actuels du multilatéralisme.
Le sujet s’impose de lui-même, tant les défis du multilatéralisme, dans ces do-maines, en Afrique et ailleurs, sont à la fois multiples, complexes et persistants.
Souvenons-nous que la première mission de maintien de la paix des Nations Unies, encore active à ce jour, remonte à 1948, avec l’Organisme des Nations Unies chargé de la Surveillance de la Trève au Moyen Orient.
Il y a eu, depuis lors, plus de 70 opérations de maintien de la paix, dont 13 en cours, parmi lesquelles 7 sont déployées en Afrique.
Il faut rendre hommage à l’action multilatérale. Au fil du temps, les missions de paix des Nations Unies ont considérablement évolué. Elles ont acquis une vocation multidimensionnelle, contribuant à faciliter des processus électoraux, à reconstruire des systèmes judiciaires, aider au désarmement, à la démobilisation et à la réintégration d’ex-soldats, protéger des civils et prendre en charge les besoins spécifiques des femmes, des enfants et des personnes âgées. Les succès du multilatéralisme sont indéniables.
Mais ses défis le sont tout autant. La situation au Sahel en est un exemple em-blématique.
Il y a plus de six ans, la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies au Mali (MINUSMA), a été créée par le Conseil de Sécurité, avec comme mission l’appui aux efforts de stabilisation du pays, la protection des civils, et le rétablissement de l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire malien. Telle était la lettre de la mission de la MINUSMA.
D’un effectif de 6491 éléments à ses débuts, la MINUSMA en compte au-jourd’hui 14.400 ; plus que le double.
Paradoxalement, l’agression terroriste contre le Mali s’est intensifiée ; et pire, le terrorisme étend son spectre ravageur à d’autres pays, charriant au quotidien des morts, des blessés, des réfugiés et personnes déplacées.
Les attaques sont devenues plus fréquentes, plus meurtrières et plus audacieuses, puisque les groupes terroristes s’en prennent de plus en plus aux Forces de dé-fense et de sécurité, jusque dans leurs casernes.
Je voudrais réitérer ici notre solidarité et notre soutien aux pays amis et frères victimes du terrorisme. Je salue leur résilience et celles des populations.
Je tiens, également, à renouveler notre ferme attachement à l’unité nationale et à l’intégrité territoriale de la République sœur du Mali. Pour nous, le Mali est un, le Mali est indivisible. Il faut que l’autorité de l’Etat s’instaure sur l’ensemble du territoire national.
Je salue les efforts du G5 Sahel et des partenaires bilatéraux et multilatéraux engagés dans la lutte contre le terrorisme au Sahel, évidemment sans lesquels la situation aurait été dramatique. Car, n’oublions pas la réaction de l’intervention de l’Opération Serval au début, aujourd’hui nous aurions une autre situation.
Nous devons remercier les partenaires parmi lesquels la France, qui n’a hésité à plonger la 1ere, mais également depuis lors le G5 Sahel et toutes les autres ini-tiatives américaines, européenne et autres qui viennent s’ajouter à ce bourbier sahélien qui mérite nos réflexions au cours de ce 6e forum et proposer des solu-tions.
Dans mon discours devant l’Assemblée générale des Nations Unies en sep-tembre dernier, je rappelais que les périls transcendent les frontières, que leur prise en charge ne saurait être fragmentée, et que la paix, la sécurité et la stabi-lité du sahel sont parties intégrantes de la paix, de la sécurité et de la stabilité du monde.
En conséquence, combattre ensemble le terrorisme au sahel est à la fois un de-voir de solidarité et un impératif de sécurité collective. En Afrique ou hors du continent, nous sommes tous menacés. Nous avons tous intérêt au maintien de la paix. Mais pour maintenir la paix, faudrait-il d’abord la rétablir. C’est l’un des défis qui se posent au multilatéralisme de nos jours.
A travers le thème retenu, cette 6e édition du Forum de Dakar suggère d’interroger nos pratiques et d’explorer les améliorations possibles, afin de rendre plus efficaces les missions de paix et de sécurité en Afrique.
Posons alors les questions de fond.
Pourquoi, en dépit de la présence plus massive des forces internationales, la situation continue de se dégrader au sahel ? Comment articuler et coordonner les différentes initiatives déployées sur le terrain, de façon à rendre leur action plus cohérente et plus efficace ?
Plus de 14 000 hommes de la MINUSMA, G5 Sahel 5 000 hommes. Ce qui fait 19 000 hommes. Barkhane, tout le reste et l’armée malienne, ce n’est pas moins de 30 000 hommes sur terrain qui est pris en otage par une bande d’individus. Il y a u n problème. Pourquoi, nous ne sommes pas capables de régler cette af-faire. C’est un problème, mais où se situe le problème, c’est ça que nous devons trouver. Mettre en cohérence les actions s’il faut on met tout dans un comman-dement unique. C’est là que l’ONU doit évoluer dans le concept. Il ne s’agit pas de faire le procès de l’ONU. L’ONU c’est nous-mêmes mais il faut qu’elle ac-cepte de se reformer et de reformer ses procédures. Il faut un mandat robuste au Mali. Je sais que la France n’est pas contre. On m’a dit que la position des USA a bien évolué, merci si c’est le cas. Le Royaume uni est également d’accord. Il faut que la Russie et la Chine pour le Sahel acceptent de donner le mandat robuste pour qu’on en finisse avec ce qui se passe dans le Sahel.
Qu’en est-il des mandats, des équipements et règles d’engagement ? Voilà toute la problématique qui se pose, autrement ces missions servent payer des indem-nités à des pays. C’est bien, c’est confortable. Mais on perd de l’argent dura-blement et on aggrave la situation sur le terrain. Donc, il urge qu’il ait vraiment des efforts sur le système des opérations de maintien de la paix dans les zones où le terrorisme sévit.
C’est en réponse à cette préoccupation que le Sénégal n’a eu de cesse, au cours de son mandat au Conseil de Sécurité sur la période 2016-2017, de plaider pour des mandats robustes et des équipements et règles d’engagement adéquats pour venir à bout des groupes terroristes au sahel.
Bien évidemment, la réponse au terrorisme n’est pas que militaire. Elle est aus-si dans les stratégies préventives et durables d’ordre économique, éducationnel, social et doctrinal.
Mais dans l’urgence, face à des forces terroristes armées et déterminées, il n’y a d’autre choix que d’opposer des forces militaires supérieures, mieux armées et plus déterminées. Autrement, les groupes terroristes vaincus et démantelés ailleurs continueront de trouver dans les zones de vulnérabilité en Afrique des sanctuaires où ils pourront prospérer, se réorganiser et poursuivre leur expan-sion.
Un autre défi au multilatéralisme en Afrique tient à son articulation avec les mécanismes régionaux.
Le Chapitre 8 de la Charte des Nations Unies, relatif à ces mécanismes, recon-nait l’existence d’accords ou d’organismes régionaux destinés à régler les af-faires qui, touchant au maintien de la paix et de la sécurité internationales, se prêtent à une action de caractère régional, pourvu que ces accords ou ces orga-nismes et leur activité soient compatibles avec les buts et les principes des Na-tions Unies.
Sur cette base, l’Union Africaine, poursuit aujourd’hui une tradition qui re-monte à l’OUA. Ainsi, depuis 2004, année de démarrage des activités du Con-seil de paix et de sécurité de l’Union, l’Organisation a déployé 9 Opérations de maintien de la paix, dont deux actuellement en cours au Darfour et en Somalie et une en préparation pour la République Centrafricaine.
En Afrique occidentale, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest conduit depuis plusieurs années des missions allant du maintien de la paix et de la sécurité, à l’encadrement de processus électoraux et à la lutte contre la criminalité transfrontalière.
Plus récemment, l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine, tenant compte des nouvelles menaces à la paix et à la sécurité dans son espace commu-nautaire, a ouvert un Chantier paix et sécurité coordonné par le Sénégal.
Les deux organisations ont ainsi décidé de contribuer substantiellement au fi-nancement de la lutte contre le terrorisme dans nos espaces communautaires.
L’expérience africaine en matière de prévention, de rétablissement et de conso-lidation de la paix commande donc que le multilatéral soit davantage à l’écoute du régional. C’est ce que veut la Charte des Nations Unies ; et c’est le sens du Cadre commun Organisation des Nations Unies-Union-Africaine pour un parte-nariat renforcé en matière de paix et de sécurité, adopté en avril 2017.
La complémentarité entre le multilatéralisme et les mécanismes régionaux offre des chances de succès aux missions de paix.
C’est le cas en République Centrafricaine, où la signature d’un Accord de paix a permis la réduction de la violence, en Somalie, avec l’adoption d’un système constitutionnel devant conduire à la tenue d’élections en 2020-2021 et au Sou-dan, avec la mise en place d’une transition apaisée.
Par contre, l’impasse en Libye est révélatrice des limites du multilatéralisme chaque fois que l’Afrique n’est pas associée au règlement de ses propres pro-blèmes. L’union Africaine l’a déploré plus d’une fois.
Et en octobre dernier, à l’occasion du débat sur la coopération entre l’ONU et les organisations régionales et sous-régionales aux fins du maintien de la paix et de la sécurité internationales, les pays africains membres actuels du Conseil de sécurité ont réitéré la nécessité de tenir compte du rôle de l’Union Africaine pour la résolution du conflit en Libye, y compris par la nomination d’un En-voyé spécial conjoint.
Voilà, entre autres, les problématiques que le Forum abordera dans ses Ateliers autour de plusieurs questions, notamment : Quelles approches pour repenser la sécurité collective ? Quels mécanismes de prévention des conflits et de sortie de crises ? Quelles réponses aux défis à la paix et à la sécurité face à la crise du multilatéralisme ? Quel rôle pour les populations et les acteurs de la société ci-vile dans la sécurité en Afrique ?
J’espère que les réponses à ces questions, et à d’autres inscrites aux Ateliers, seront à la fois pertinentes, pragmatiques et orientées vers l’action. C’est la fi-nalité même du Forum, afin de contribuer à changer le cours de l’histoire dans le bon sens, pour l’avènement d’une nouvelle ère de paix, de sécurité et de sta-bilité durables en Afrique.
Je déclare ouverts les travaux du 6e Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique.
Je vous remercie.
LE RESPECT NE SE QUÉMANDE PAS. ON L’IMPOSE
UN ETAT N’A PAS D’AMI.
LA MINUSMA N’EST PAS NOTRE AMI ET LA FRANCE N’EN PARLONS PAS.
C’EST AU MALIEN D’ÊTRE DÉTERMINÉ DERRIÈRE LA JUSTICE ET DÉFENDRE NOTRE DIGNITÉ ET HONNEUR PAR TOUS MOYENS FACE A NOS MULTIPLES ENNEMIS.
C’est rare de voir quelqu’un réfugié sur un arbre …..scier la branche où il est en sécurité
Peut-on rappeler que BOKO HARAM sévit toujours au Nigéria, Tchad, Cameroun ..Et qu’aucune armée de ces 4 pays n’a réussi a mettre à genoux ces terroristes …
Ce que pourrait faire maliweb c’est ne pas relayer tous les incidents négatifs de l’armée malienne
A chaque fois que l’on signale les embuscades et les morts qui touchent les Famas ce sont autant d’encouragements pour les djihadistes qui peuvent se vanter de mettre l’état malien à terre
Le Mali est en guerre cela suppose des techniques d’informations
Pendant la guerre 39/45 les Britanniques exposés aux bombes volantes (V2) qui venaient d’Allemagne cachaient les dégats et emmenés par Un CHURCHILL triomphant répondaient aux ennemis avec Humour !!!
Les Anglais montraient des lieux de vie où les gens se détendaient souriants et heureux remontant le moral de tous …
La population n’était pas dupe et préparait activement le débarquement et se battait utilisant les renseignements donnés par la résistance française
VOYEZ CE QUE L ABRAHAMIQUE FAIT, IL SE CROIT MALIN MAIS IL SCIE LA BRACHE SUR LAQUELLE IL SAUTILLE EN CHANTANT COMME UN ROSSIGNOL.
QUE VEUX TU QUE LE DOUBLEMENT DEBILISE PAR L ABRAHAMIQUE ARABE ET SON COUSIN D EUROPE FASSE!?
Au mépris des lois fondamentales de leurs pays, nombre de dirigeants africains affichent une double nationalité. Au Sénégal le débat se pose depuis les années 1960 et les exemples continuent de l’alimenter.
Il y a quelques années les militants du Rassemblement national démocratique (Rnd) aimaient plaisanter entre eux en se référant à « la question ». La voici, reproduite in extenso : « Les citoyens sénégalais ont le droit de savoir si l’homme qui assure la magistrature suprême a pris sa retraite de la Fonction publique française à l’âge de 65 ans, alors qu’il est président de la République du Sénégal, et s’il en est ainsi à quel titre il a pu le faire. Autrement dit, Senghor a-t-il conservé, implicitement ou explicitement, la nationalité française jusqu’à présent ? »
Cette vigoureuse interpellation retentit encore dans les oreilles de tous les patriotes qui avaient le privilège, dans les années 1980, de prendre connaissance, périodiquement, du contenu des parutions de « Taxaw », l’organe officiel du Rnd. Les plus jeunes l’auront deviné : la question, fondamentale entre toutes, était celle régulièrement posée par le professeur Cheikh Anta Diop à son aîné, le président Léopold Sédar Senghor qui, on le sait, s’en est allé plus tard sans y avoir répondu.
Un imbecile ne comprend jamais que nos peuples ne vivent de slogan imbecile ni de patriotisme imbecile ni de fausse fierte’ imbecile!
Senghor etait un GRAND PLUS POUR LES CULTURES DE L’HUMANITE’ EN GENERAL ET LES CULTURES DE L’AFRIQUE NOIRE EN PARTICULIER!!!!
PETIT IMBECILE, L’IDEOLOGIE COMMUNISTE N’EST PAS AFRICAINE ET N’A RIEN A’ VOIR AVEC NOS COMMUNAUTE’S DONT L’AGRICULTURE EST L’ACTIVITE’ PRINCIPALE!
NOUS CHERCHONS A’ SAUVER LE MALI DES IMBECILITE’S DE LA GAUCHE!
AW NEGUE’ BORA!
Il faut lire: “…. NOS PEUPLES NE VIVENT NI DE SLOGAN IMBECILE….”
Capi-Biton,
ne perds pas ton temps à essayer D’EXPLIQUER quoi que ce soit à un con de cette envergure !😂
D’autant que te rappelle que non seulement c’est un effectivement un con, mais que c’est en plus un PSYCHOPATHE !😁😁😁
Or, pour autant que je sache tu es ENSEIGNANT, mais pas……PSYCHIATRE !!😁😁😁
DES ENSEIGNANTS, PD,PSYCHO,VOLEURS,VIOLEURS, …C EST LE ROLE SOCIAL PREFERE DES COMPLEXES ET DES FAIBLES DE NATURE, C EST CONNU, LES LARBINS AIMENT LARBINISER D AUTRES! QUOI DE BON, LA REPETITION DEPUIS DES CENTENAIRES DEJA, LE MONDE AU BORD DU GOUFFRE!….LES MALIENS RECITENT LE CORAN ET A PRESENT SE FONT MASSACRER PAR LES CREATEURS DU CORAN!😊😂 NFPEDE LE CAPIDECAPITE😅😂
QUI T A PARLE DE SOCIALISME OU DE COMMUNISME ICI?
EN CE QUI TE CONCERNE SEYDOU TOI TU EST DEFONCE A VIE, CONTINUES, MAIS PEINE PERDU DE T OPPOSER A L AVANCEE DES NATIONS! LES PEUPLES SE REVEILLENT PARTOUT DANS LE MONDE, LES NUITS ABRAHAMIQUES RELIGIEUSES ET FINANCIERES S EVAPORENT, LA LUMIERE DES PEUPLES CREVERA VOS YEUX DE LARBINS, SOUS PEU!
😂SEYDOU JE VIENDRAIS TE VOIR CHEZ SAMAKE LA PROCHAINE FOIS QUE SERAS A BAMAKO, JE TE CREVERAIS LES YEUX DONT TU N EN AS PAS BESOIN!😂
TU ES TRES CON!!!!
VOS IMBECILITE’S AU NORD NE NOUS INTERESSENT PAS! JE DIS HAUT ET FORT QUE NOS FRERES ET NOS FILS SOLDATS ORIGINAIRES DU SUD NE DOIVENT PAS ETRE SACRIFIE’S POUR VOS CONNERIES! NOUS NE VOULONS PLUS DE VOS PRIERES SUR LES CADAVRES DE NOS ENFANTS. IL FAUT TOUT SIMPLEMENT CESSER D’ENVOYER NOS ENFANTS A’ LA MORT POUR SAUVER DES DUNE DE MERDE QUE PERSONNE NE VEUT!!
IKA BILAKORO KOUMA NEGUE’ BORA!!!
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Lutte contre le terrorisme au Sahel: Macky Sall charge l’ONU et appelle au respect de l’État malien
Par Info-Matin – 20 Nov 201921
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Le président Macky SALL, lors de l’ouverture de la 6e édition du Forum inter-national de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique, s’est étonné le lundi 18 novembre de la dégradation de la situation sécuritaire au Mali avec la présence sur le terrain d’au moins 30 000 militaires maliens, de l’opération Barkhane, de la MINUSMA et du G5 Sahel. Pour lui, il y a un problème que ces forces soient prises en otage par une bande d’individus. La situation est inacceptable, désap-prouve le ministre sénégalais, tout en exhortant l’ONU de reformer son système et adopter un mandat robuste à la MINUSMA. Face à des forces terroristes ar-mées et déterminées, il n’y a d’autre choix que d’opposer des forces militaires supérieures, mieux armées et plus déterminées. Autrement, les groupes terro-ristes vaincus et démantelés ailleurs continueront de trouver dans les zones de vulnérabilité en Afrique des sanctuaires où ils pourront prospérer, se réorgani-ser et poursuivre leur expansion. Toutefois, il estime que les missions des Na-tions unies ne doivent pas servir que de payer des indemnités à des pays.
Excellence, Monsieur le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, Prési-dent de la République Islamique de Mauritanie, cher frère,
Monsieur Edouard Philippe, Premier Ministre de la République française,
Excellence, Monsieur Pierre Buyoya, ancien Président de la République du Bu-rundi, Haut Représentant de l’Union Africaine pour le Mali et le Sahel,
Monsieur le Président de l’Assemblée nationale,
Madame la Présidente du Haut Conseil des Collectivités Territoriales,
Madame la Présidente du Conseil économique, social et environnemental,
Mesdames, Messieurs les Ministres,
Mesdames, Messieurs les membres du Corps diplomatique,
Mesdames, Messieurs les chefs de délégations,
Chers amis, chers invités,
Mon frère et ami, le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, nous a fait le grand honneur de rehausser de sa présence, en tant qu’invité spécial, ce 6e Forum international sur la paix et la sécurité en Afrique. Mes premiers mots seront pour le remercier.
Merci, Monsieur le Président et cher frère. Nous sommes heureux de vous ac-cueillir. Vous êtes chez vous. Votre présence ici traduit notre attachement commun aux relations ancestrales entre les peuples sénégalais et mauritanien, solidement tissées par l’histoire, la parenté, la spiritualité et le voisinage.
Merci à vous, Monsieur le Premier Ministre Edouard Philippe, pour votre vi-site, dans le cadre du séminaire intergouvernemental franco-sénégalais et pour votre participation au Forum.
Je vous remercie toutes et tous, chers invités, d’être venus encore nombreux, d’Afrique et d’ailleurs, à notre rendez-vous annuel.
J’exprime notre gratitude aux partenaires qui accompagnent le Forum de Dakar sur la Paix et la sécurité en Afrique : la France, le Japon, les Emirats Arabes Unis, l’Arabie Saoudite, le Koweit, la Chine, l’Inde, l’UEMOA et la Fondation Konrad Adenauer.
Cette année, le thème du Forum porte sur Paix et Sécurité en Afrique : les dé-fis actuels du multilatéralisme.
Le sujet s’impose de lui-même, tant les défis du multilatéralisme, dans ces do-maines, en Afrique et ailleurs, sont à la fois multiples, complexes et persistants.
Souvenons-nous que la première mission de maintien de la paix des Nations Unies, encore active à ce jour, remonte à 1948, avec l’Organisme des Nations Unies chargé de la Surveillance de la Trève au Moyen Orient.
Il y a eu, depuis lors, plus de 70 opérations de maintien de la paix, dont 13 en cours, parmi lesquelles 7 sont déployées en Afrique.
Il faut rendre hommage à l’action multilatérale. Au fil du temps, les missions de paix des Nations Unies ont considérablement évolué. Elles ont acquis une vocation multidimensionnelle, contribuant à faciliter des processus électoraux, à reconstruire des systèmes judiciaires, aider au désarmement, à la démobilisation et à la réintégration d’ex-soldats, protéger des civils et prendre en charge les besoins spécifiques des femmes, des enfants et des personnes âgées. Les succès du multilatéralisme sont indéniables.
Mais ses défis le sont tout autant. La situation au Sahel en est un exemple em-blématique.
Il y a plus de six ans, la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies au Mali (MINUSMA), a été créée par le Conseil de Sécurité, avec comme mission l’appui aux efforts de stabilisation du pays, la protection des civils, et le rétablissement de l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire malien. Telle était la lettre de la mission de la MINUSMA.
D’un effectif de 6491 éléments à ses débuts, la MINUSMA en compte au-jourd’hui 14.400 ; plus que le double.
Paradoxalement, l’agression terroriste contre le Mali s’est intensifiée ; et pire, le terrorisme étend son spectre ravageur à d’autres pays, charriant au quotidien des morts, des blessés, des réfugiés et personnes déplacées.
Les attaques sont devenues plus fréquentes, plus meurtrières et plus audacieuses, puisque les groupes terroristes s’en prennent de plus en plus aux Forces de dé-fense et de sécurité, jusque dans leurs casernes.
Je voudrais réitérer ici notre solidarité et notre soutien aux pays amis et frères victimes du terrorisme. Je salue leur résilience et celles des populations.
Je tiens, également, à renouveler notre ferme attachement à l’unité nationale et à l’intégrité territoriale de la République sœur du Mali. Pour nous, le Mali est un, le Mali est indivisible. Il faut que l’autorité de l’Etat s’instaure sur l’ensemble du territoire national.
Je salue les efforts du G5 Sahel et des partenaires bilatéraux et multilatéraux engagés dans la lutte contre le terrorisme au Sahel, évidemment sans lesquels la situation aurait été dramatique. Car, n’oublions pas la réaction de l’intervention de l’Opération Serval au début, aujourd’hui nous aurions une autre situation.
Nous devons remercier les partenaires parmi lesquels la France, qui n’a hésité à plonger la 1ere, mais également depuis lors le G5 Sahel et toutes les autres ini-tiatives américaines, européenne et autres qui viennent s’ajouter à ce bourbier sahélien qui mérite nos réflexions au cours de ce 6e forum et proposer des solu-tions.
Dans mon discours devant l’Assemblée générale des Nations Unies en sep-tembre dernier, je rappelais que les périls transcendent les frontières, que leur prise en charge ne saurait être fragmentée, et que la paix, la sécurité et la stabi-lité du sahel sont parties intégrantes de la paix, de la sécurité et de la stabilité du monde.
En conséquence, combattre ensemble le terrorisme au sahel est à la fois un de-voir de solidarité et un impératif de sécurité collective. En Afrique ou hors du continent, nous sommes tous menacés. Nous avons tous intérêt au maintien de la paix. Mais pour maintenir la paix, faudrait-il d’abord la rétablir. C’est l’un des défis qui se posent au multilatéralisme de nos jours.
A travers le thème retenu, cette 6e édition du Forum de Dakar suggère d’interroger nos pratiques et d’explorer les améliorations possibles, afin de rendre plus efficaces les missions de paix et de sécurité en Afrique.
Posons alors les questions de fond.
Pourquoi, en dépit de la présence plus massive des forces internationales, la situation continue de se dégrader au sahel ? Comment articuler et coordonner les différentes initiatives déployées sur le terrain, de façon à rendre leur action plus cohérente et plus efficace ?
Plus de 14 000 hommes de la MINUSMA, G5 Sahel 5 000 hommes. Ce qui fait 19 000 hommes. Barkhane, tout le reste et l’armée malienne, ce n’est pas moins de 30 000 hommes sur terrain qui est pris en otage par une bande d’individus. Il y a u n problème. Pourquoi, nous ne sommes pas capables de régler cette af-faire. C’est un problème, mais où se situe le problème, c’est ça que nous devons trouver. Mettre en cohérence les actions s’il faut on met tout dans un comman-dement unique. C’est là que l’ONU doit évoluer dans le concept. Il ne s’agit pas de faire le procès de l’ONU. L’ONU c’est nous-mêmes mais il faut qu’elle ac-cepte de se reformer et de reformer ses procédures. Il faut un mandat robuste au Mali. Je sais que la France n’est pas contre. On m’a dit que la position des USA a bien évolué, merci si c’est le cas. Le Royaume uni est également d’accord. Il faut que la Russie et la Chine pour le Sahel acceptent de donner le mandat robuste pour qu’on en finisse avec ce qui se passe dans le Sahel.
Qu’en est-il des mandats, des équipements et règles d’engagement ? Voilà toute la problématique qui se pose, autrement ces missions servent payer des indem-nités à des pays. C’est bien, c’est confortable. Mais on perd de l’argent dura-blement et on aggrave la situation sur le terrain. Donc, il urge qu’il ait vraiment des efforts sur le système des opérations de maintien de la paix dans les zones où le terrorisme sévit.
C’est en réponse à cette préoccupation que le Sénégal n’a eu de cesse, au cours de son mandat au Conseil de Sécurité sur la période 2016-2017, de plaider pour des mandats robustes et des équipements et règles d’engagement adéquats pour venir à bout des groupes terroristes au sahel.
Bien évidemment, la réponse au terrorisme n’est pas que militaire. Elle est aus-si dans les stratégies préventives et durables d’ordre économique, éducationnel, social et doctrinal.
Mais dans l’urgence, face à des forces terroristes armées et déterminées, il n’y a d’autre choix que d’opposer des forces militaires supérieures, mieux armées et plus déterminées. Autrement, les groupes terroristes vaincus et démantelés ailleurs continueront de trouver dans les zones de vulnérabilité en Afrique des sanctuaires où ils pourront prospérer, se réorganiser et poursuivre leur expan-sion.
Un autre défi au multilatéralisme en Afrique tient à son articulation avec les mécanismes régionaux.
Le Chapitre 8 de la Charte des Nations Unies, relatif à ces mécanismes, recon-nait l’existence d’accords ou d’organismes régionaux destinés à régler les af-faires qui, touchant au maintien de la paix et de la sécurité internationales, se prêtent à une action de caractère régional, pourvu que ces accords ou ces orga-nismes et leur activité soient compatibles avec les buts et les principes des Na-tions Unies.
Sur cette base, l’Union Africaine, poursuit aujourd’hui une tradition qui re-monte à l’OUA. Ainsi, depuis 2004, année de démarrage des activités du Con-seil de paix et de sécurité de l’Union, l’Organisation a déployé 9 Opérations de maintien de la paix, dont deux actuellement en cours au Darfour et en Somalie et une en préparation pour la République Centrafricaine.
En Afrique occidentale, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest conduit depuis plusieurs années des missions allant du maintien de la paix et de la sécurité, à l’encadrement de processus électoraux et à la lutte contre la criminalité transfrontalière.
Plus récemment, l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine, tenant compte des nouvelles menaces à la paix et à la sécurité dans son espace commu-nautaire, a ouvert un Chantier paix et sécurité coordonné par le Sénégal.
Les deux organisations ont ainsi décidé de contribuer substantiellement au fi-nancement de la lutte contre le terrorisme dans nos espaces communautaires.
L’expérience africaine en matière de prévention, de rétablissement et de conso-lidation de la paix commande donc que le multilatéral soit davantage à l’écoute du régional. C’est ce que veut la Charte des Nations Unies ; et c’est le sens du Cadre commun Organisation des Nations Unies-Union-Africaine pour un parte-nariat renforcé en matière de paix et de sécurité, adopté en avril 2017.
La complémentarité entre le multilatéralisme et les mécanismes régionaux offre des chances de succès aux missions de paix.
C’est le cas en République Centrafricaine, où la signature d’un Accord de paix a permis la réduction de la violence, en Somalie, avec l’adoption d’un système constitutionnel devant conduire à la tenue d’élections en 2020-2021 et au Sou-dan, avec la mise en place d’une transition apaisée.
Par contre, l’impasse en Libye est révélatrice des limites du multilatéralisme chaque fois que l’Afrique n’est pas associée au règlement de ses propres pro-blèmes. L’union Africaine l’a déploré plus d’une fois.
Et en octobre dernier, à l’occasion du débat sur la coopération entre l’ONU et les organisations régionales et sous-régionales aux fins du maintien de la paix et de la sécurité internationales, les pays africains membres actuels du Conseil de sécurité ont réitéré la nécessité de tenir compte du rôle de l’Union Africaine pour la résolution du conflit en Libye, y compris par la nomination d’un En-voyé spécial conjoint.
Voilà, entre autres, les problématiques que le Forum abordera dans ses Ateliers autour de plusieurs questions, notamment : Quelles approches pour repenser la sécurité collective ? Quels mécanismes de prévention des conflits et de sortie de crises ? Quelles réponses aux défis à la paix et à la sécurité face à la crise du multilatéralisme ? Quel rôle pour les populations et les acteurs de la société ci-vile dans la sécurité en Afrique ?
J’espère que les réponses à ces questions, et à d’autres inscrites aux Ateliers, seront à la fois pertinentes, pragmatiques et orientées vers l’action. C’est la fi-nalité même du Forum, afin de contribuer à changer le cours de l’histoire dans le bon sens, pour l’avènement d’une nouvelle ère de paix, de sécurité et de sta-bilité durables en Afrique.
Je déclare ouverts les travaux du 6e Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique.
Je vous remercie.
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21 COMMENTAIRES
Présidents africains à double nationalité 21 Nov 2019 at 10:46
Présidents africains à double nationalité
ww.pambazuka.org/fr/governance/pr%C3%A9sidents-africains-%C3%A0-double-nationalit%C3%A9
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Francopholie : Nous avons honte pour vous, président Diouf
Contributor
avr 26, 2013
Au mépris des lois fondamentales de leurs pays, nombre de dirigeants africains affichent une double nationalité. Au Sénégal le débat se pose depuis les années 1960 et les exemples continuent de l’alimenter.
Il y a quelques années les militants du Rassemblement national démocratique (Rnd) aimaient plaisanter entre eux en se référant à « la question ». La voici, reproduite in extenso : « Les citoyens sénégalais ont le droit de savoir si l’homme qui assure la magistrature suprême a pris sa retraite de la Fonction publique française à l’âge de 65 ans, alors qu’il est président de la République du Sénégal, et s’il en est ainsi à quel titre il a pu le faire. Autrement dit, Senghor a-t-il conservé, implicitement ou explicitement, la nationalité française jusqu’à présent ? »
Cette vigoureuse interpellation retentit encore dans les oreilles de tous les patriotes qui avaient le privilège, dans les années 1980, de prendre connaissance, périodiquement, du contenu des parutions de « Taxaw », l’organe officiel du Rnd. Les plus jeunes l’auront deviné : la question, fondamentale entre toutes, était celle régulièrement posée par le professeur Cheikh Anta Diop à son aîné, le président Léopold Sédar Senghor qui, on le sait, s’en est allé plus tard sans y avoir répondu.
Présidents africains à double nationalité
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Francopholie : Nous avons honte pour vous, président Diouf
Contributor
avr 26, 2013
Au mépris des lois fondamentales de leurs pays, nombre de dirigeants africains affichent une double nationalité. Au Sénégal le débat se pose depuis les années 1960 et les exemples continuent de l’alimenter.
Il y a quelques années les militants du Rassemblement national démocratique (Rnd) aimaient plaisanter entre eux en se référant à « la question ». La voici, reproduite in extenso : « Les citoyens sénégalais ont le droit de savoir si l’homme qui assure la magistrature suprême a pris sa retraite de la Fonction publique française à l’âge de 65 ans, alors qu’il est président de la République du Sénégal, et s’il en est ainsi à quel titre il a pu le faire. Autrement dit, Senghor a-t-il conservé, implicitement ou explicitement, la nationalité française jusqu’à présent ? »
Cette vigoureuse interpellation retentit encore dans les oreilles de tous les patriotes qui avaient le privilège, dans les années 1980, de prendre connaissance, périodiquement, du contenu des parutions de « Taxaw », l’organe officiel du Rnd. Les plus jeunes l’auront deviné : la question, fondamentale entre toutes, était celle régulièrement posée par le professeur Cheikh Anta Diop à son aîné, le président Léopold Sédar Senghor qui, on le sait, s’en est allé plus tard sans y avoir répondu.
Rappelons, avant d’aller plus loin, un fait souvent oublié de nos jours : tous ceux qui, au Sénégal comme dans les autres pays anciennement sous domination française, sont nés avant l’indépendance, disposaient au lendemain de l’accession de nos Etats à la souveraineté internationale, de la possibilité de garder la nationalité de l’ancien colonisateur.
Si Cheikh Anta Diop prit un malin plaisir à seriner la question au président Senghor, c’est bien parce qu’il était en mesure de se prévaloir exclusivement de la nationalité sénégalaise alors que le second ne pouvait, de toute évidence, en faire autant.
Plus tard, le mérite intellectuel de Senghor, universellement reconnu et sa francophilie, également de notoriété universelle, seront récompensés par sa promotion au statut d’’’Immortel’’, aux côtés de ses pairs de l’Académie française, cette assemblée où ne sont admis que des citoyens français, de grand prestige.
Après Senghor, aucun de ses deux successeurs immédiats n’a été publiquement accusé d’avoir troqué sa nationalité sénégalaise contre celle de l’ancien colonisateur. Les rumeurs n’ont toutefois pas manqué dans les milieux politiques, notamment lors des scrutins présidentiels, faisant allusion à leur éventuelle double nationalité. Cela, alors même que la Loi fondamentale de notre pays prohibait et prohibe toujours un tel état de fait.
Et comme pour se moquer encore plus de nous, voici que le président Abdou Diouf, subitement pris par on ne sait quel besoin de se confier, nous apprend, en toute tranquillité, avec le sang-froid qui le caractérise, qu’il se définit lui-même comme étant… un «Français du Sénégal ». Vous avez bien lu : c’est bien un ancien chef d’Etat d’un pays souverain (le Sénégal) qui ose s’exprimer de la sorte, selon un journal de la place (cf. L’AS du 19 mars 2013, en page 2). Et le journal de conclure : «Dommage ».
Le simple fait que cette « pique » de L’As soit passée totalement inaperçue en dit long sur ce qu’il faut bien appeler notre régression mentale. Si nous n’avons pas honte de ces propos, de quoi pouvons-nous bien avoir honte ? Il y a de quoi se demander si le moment n’est pas venu de s’intéresser de plus près à la nationalité de nos hommes politiques.
Dans un passé récent, d’éminentes personnalités de l’opposition sénégalaise, aujourd’hui aux affaires (Moustapha Niasse ? Ousmane Tanor Dieng ? ) ont été montrées du doigt par la rumeur publique. En outre, selon des articles de presse, Idrissa Seck fit, au moins une fois, accoucher son épouse aux Etats Unis d’Amérique pour faire acquérir à son enfant la nationalité américaine. L’intéressé n’a jamais daigné éclairer notre lanterne sur ce sujet sensible.
Chacun se souvient enfin de la polémique d’il y a deux ans à propos de la nationalité de Karim Wade, fils de l’ex-président, alors tout-puissant ministre d’Etat aux ambitions politiques clairement affichées.
Ce sont là autant de faits qui incitent à se demander pourquoi, dans un pays aussi démocratique que le Sénégal, les pouvoirs publics ne se montrent pas plus regardants sur le sujet. Et pourquoi l’opinion elle-même n’exige pas que soit appliquée dans toute sa rigueur les dispositions de notre Constitution stipulant que les candidats à la présidentielle doivent être exclusivement sénégalais.
Pour rappel, l’article 28 de notre Loi fondamentale stipule : «Tout candidat à la Présidence de la République doit être exclusivement de nationalité sénégalaise, jouir de ses droits civils et politiques, être âgé de 35 ans au moins le jour du scrutin. Il doit savoir écrire, lire et parler couramment la langue officielle ».
Cela est, on ne peut plus clair ! On remarquera par ailleurs, que l’exclusivité ne concerne pas seulement la nationalité, mais également la langue de rigueur, en l’occurrence… le Français, que le Législateur nomme ici, pudiquement, « la langue officielle ».
Le mal est en fait bien plus profond et banal qu’on ne se l’imagine. Au lendemain de la deuxième alternance en mars 2012, le Sénégal a eu le « privilège » insolite de compter plusieurs binationaux parmi les ministres de la République (dont, semble t-il, le premier d’entre eux) et même un parfait étranger, en la personne de l’Allemand, M. Abdou Lô… Il a fallu le nationalisme (que d’aucuns ont qualifié d’ombrageux) et la pugnacité du député Abdoulaye Makhtar Diop pour que ce scandale soit au moins évoqué au Parlement.
Pour remédier à une telle incongruité, le chef de l’Etat saisit l’occasion d’un remaniement ministériel, pour décréter… la rétrogradation du ministre allemand, devenu directeur général d’une prestigieuse agence nationale. Quant aux ministres franco-sénégalais du gouvernement sénégalais… rien à signaler, ils sont bien tranquilles. Circulez !
Mais ce n’est pas tout : un député, donc un représentant du peuple en principe démocratiquement élu, en la personne de M. Barthélémy Diaz, n’a pas hésité à faire état, apparemment avec une immense fierté, de sa nationalité… américaine. Il ne manquera pas, pour décourager tout reproche, de se dédouaner en désignant du doigt nos anciens présidents de la République qui seraient tous, à l’en croire, des Français !
Le président Abdou Diouf ne vient-il pas, du reste, de donner raison, en ce qui le concerne tout au moins, à son jeune camarade socialiste ?
Toutefois, si sa récente déclaration a été un coup de massue, le coup de grâce, lui, nous a été assené par… « le petit peuple ». En effet, il y a quelques jours, les Sénégalais ont suivi, sidérés, un micro-trottoir plutôt surréaliste de la télévision nationale : des enseignants, des parents d’élèves, des élèves, s’interrogeant (à juste raison) sur la baisse générale du niveau d’enseignement, s’offusquaient, très innocemment, de ce qu’on ne parle plus le français, ni dans la cour de récréation, ni dans les classes, ni encore moins… dans les maisons !
Ce spectacle désolant et l’aveu du président Diouf m’ont tellement choqué que j’ai demandé par texto à un ami : « Qu’avons-nous donc fait au Bon Dieu pour mériter cela ? » Réponse laconique de cet ami : « C’est ta faute, Ouzin. C’est la mienne. Tous coupables ».
Tous coupables ? Tous coupables, malgré l’œuvre culturelle et spirituelle immense de Cheikh Ahmadou Bamba ? De Kocc Barma Fall ? De Serigne Moussa Ka ? Tous coupables, malgré le formidable travail « d’endiguement » de Cheikh Anta Diop, face aux assauts tantôt fulgurants, tantôt sournois, de la francophonie triomphante et de la « Françafrique » souterraine ?
Il est plus que temps de remettre sur le tapis, en l’élargissant, la fameuse «question» du grand savant sénégalais à Senghor : quelle est la nationalité des Sénégalais, y compris de ceux qui sont nés après l’indépendance comme, par exemple, notre quatrième président, Monsieur Macky Sall ? Et si nous étions encore, tous ou presque, des Français… dans l’âme, notre âme remodelée avec soin par l’ancien colonisateur ? Ce serait plus que dommage. Ce serait tout simplement… malheureux !
Mais peut-être ne faut-il pas désespérer ? Garder intact l’espoir que notre pays donne naissance un jour pas trop lointain à d’autres Cheikh Anta Diop !…
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LE SENEGAL EST LA LARBINERAIE PAR EXCELLENCE! CELA NE VEUT PAS DIRE QUE CE PAYS N A PAS DE FILS DIGNES! CHEICK ANTA DIOP EN EST L EXAMPLE! 20 Nov 2019 at 22:18
“LE SENEGAL EST L EPINE DANS LE PIED DE L AFRIQUE AU SAHEL ET SES VOISINS!”🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄
Pauvre taré !
Comme tu sembles être LE SEUL AU MONDE à ne l’avoit toujours pas remarqué, la grosse (et la seule!) “EPINE DANS LE PIED DU SAHEL” actuellement, c’est LE MALI !!!
Avec son immense territoire d’une part gangrené par les terroristes et d’autre part, juste une armée non formée, non encadrée et sous équipée pour y faire face et un président bouffon et inconscient, c’est NOUS (et bien NOUS!) qui représentons un DANGER MAJEUR pour toute la bande Sahélienne et pour tous les pays voisins!!!!!!
Mais comme toujours chez nous, nous sommes toujours prêts à cracher sur “LES AUTRES”, à les accuser et à les pointer du doigt quels qu’ils soient !!!🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄🙄
Le très dangereux sanctuaire terroriste qui menace toute la sous-region, c’est NOUS pauvre abruti!😡😡😡
tu penses que qlq1 te crois ici?
IL FAUT INTERDIRE AUX BINATIONAUX DE DEVENIR PRESIDENTS DE NOS PAYS ET DE SURPLUS S ILS SONT MARRIES A DES ETRANGERS/ERES CES DERNIERS/RES DOIVENT PRENDRE LA NATIONALITE DU PRESIDENT EN REFUSANT LA PREMIERE NATIONALITE!
IMAGINEZ LA FRANCE AVEC UN PRESIDENT AYANT UNE FEMME SYRIENNE OU ISRAEL AVEC UN PRESIDENT/PREMIER MINISTRE DONT LA FEMME EST ARABE, OU TOUT JUSTE LE CONTRAIRE!
QUAND EST CE QUE LES AFRICAINS COMMENCERONT ILS A SE DEBARRASSER DES INTRUS ARABO FRANCAIS,LES ABRAHAMISES LARBINS INTRUS PARMI NOUS MEMES ET D AILLEURS!
LES IBK,SOUMAILA CISSES, DIONCOUNDA LE TRAITRE, MODIBO SIDIBE, CHERIF MADANI,CHERIF NIORO, DICKO IMAM, ET D AUTRES MILLIERS DE CHEFS RELIGIEUX ET DE PSEUDO INTELECTUELS REPRESENTENT TOUS DES FORCES ETRANGERES D OCCUPATION DU MALI!
L ISLAM ET LA FRANCE SONT LES ENEMIS DU MALI DEPUIS TOUJOURS,LEURS REPRESENTANTS SONT NOS ENEMIS!
LE NEGRE LARBINISÉ N’ EST PAS UNE CRÉATURE DE DIEU-TOUT-PUISSANT-DANIBAH, MAIS UN SOUS-PRODUIT, VOIRE UNE ORDURE PROVENANT DE L’ INGÉNIERIE SOCIALE ABRAHAMIQUE. 20 Nov 2019 at 23:13
SOUMAILA CISSE AUSSI A LA NATIONALITE FRANCAISE!!!!
…..LES MALIENS DOIVENT SE SOULEVER ET FAIRE VOTER DES LOIS INTERDISANT LES BINATIONAUX DE DEVENIR PRESIDENT DU MALI…..
Merci, merci, merci Macky SALL qui semble être plus raisonnable que notre IBK national qui s’assoit et regarde des insultes et des insanités se proférer contre le Mali sans rien dire, quelle honte pour le grand pays? Macky va en direction de l’hymne du wassoulou qui dit, nous citons ” (i) Si tu ne peux organiser, diriger et défendre le pays de tes pères, fais appelle aux hommes plus valeureux ; (ii) Si tu ne peux dire la vérité en tout lieu et en tout temps fais appelle aux hommes plus courageux ; (iii) Si tu ne peux être impartial cède le trône aux hommes justes ; (iv) Si tu ne peux protéger le faible pour braver l’ennemi donnes ton sabre de guerre aux femmes qui t’indiquerons le chemin de l’honneur ; (v) Si tu ne peux exprimer courageusement tes pensées, donnes la parole aux griots, Oh ! FAMA le peuple te fait confiance, il te fait confiance parce que tu incarnes ses vertus.” Fin de citation
Le pays est tellement humilié sur l’échiquier international que l’ensemble des autres nations africaines sont offusqués par le silence de nos gouvernants face à ces comportements intolérables de nos partenaires à savoir l’Algérie, les Nations Unies, la France et l’Europe. IBK réveil toi rapidement sinon le Mali a déjà disparu.
Le mec sale de Dakar : “Lutte contre le terrorisme au Sahel: Macky Sall charge l’ONU et appelle au respect de l’État malien”
Ce sont les sous dirigeants maliens qui sont les premeirs à ne pas respecter l’état malien :
-corruption avec des fonctionnaires millionnaires
-le refus de construire d’un état respectable : justice/police/armée
-le soulard de bamako la poubelle a laissé les armées blanches oxydentales faire du mali le terrain d’entrainement pour leurs armes …
-le soulard est soumis à la franSS au lieu de prendre les lécons du vietnam, de l’algérie, de la centreafrique …
Avant de demander aux autres de te respecter, commence par le faire toi-même : les sous dirigeants maliens n’ont aucune dignité !
A cause de leur lacheté, le peuple malien continue de mourri par centaine …
Tant que l’armée criminelle pédophile franSSaise et l’onul ne seront pas virés, le mali ne sera pas en paix !!!
@ le roi MAUDIT de segou l’enfant digne des wuruwaye. Tu nous parles de tes ancetres, les Indiens d’Amerique, car au Mali tu n’as pas d’ancetres en ayant fui leur nationalite Malienne. Le roi MAUDIT de segou, le Bilalkoron den, tu ne peux pas avoir des deux cotes, tu as la carte VERTE donc tu las fermes, tu nous laisses en paix et occupies to de ton theatre “d’impeachment” que les Democrates bilakorokuntiguiw sont en train de jouer.
Kinguiranke’ le VIEUX BILAKORO DE KINGUI, j’ai depasse’ le stade de la carte verte. JE SUIS UN CITOYEN AMERICAIN ET J’EN SUIS FIER!
TES CONNERIES N’INTERESSENT PERSONNE!!! TU AS ECRIT ICI QUE TU AS DECHIRE’ TON PASSPORT MALIEN ET QUE TU NE TE CONSIDERES PLUS COMME UN CITOYEN DU MALI! AUJOURD’HUI TU ES APATRIDE!!!!! IKA BILAKORO FORO ANI IKA BILAKORO DJOU TA KABO ANDALA!
Dommage que ce sont nos voisins ( Niger et Senegal) qui disent notre verite a notre place.
Avec nos Dirigeants detenteurs de passeports Francais (IBK, Bathily…), voulez vous que le
Mali avance dignement?
L’Afrique Francophone demeure Francaise. Le Mali a ete independant pendant 8 ans (1960-1968).
Honte aux Dirigeants indignes…
Regardez comment les pays d’Asie se gerent…
Pkagame, il faut certes remercier le president Macky Sall pour son soutien au peuple malien mais faisons tres attention pour ne pas nous retrouver dans une situation similaire a’ celle qui existait apres le coup d’etat du capitaine Sanago ou’ la politique etrangere du Mali etait conduite par les presidents de la CEDEAO. EVITONS EGALEMENT DE DONNER L’IMPRESSION QUE LE MALI EST ENTRAIN DE MOBILISER LES PAYS FRANCOPHONES AFRICAINS CONTRE LA FRANCE! Mes amis, soyez tres prudents avec les actes que vous etes entrain de poser. La survie du Mali dependra desdits actes. A la place d’IBK, j’aurais negocie’ la fin de l’enlisement dans les dunes de sable. Il est 1000 fois meilleur de negocier une autonomie de gestion au nord que d’inviter le monde entier a’ venir faire pleuvoir ses bombes sur le nord et le centre. Franchement c’est le cas de Gao qui me preoccupe toujours. Si les partenaires du Mali ont une solution acceptable pour Gao que les populations de Gao acceptent, je ne vois pas de raison pourquoi ne pas la prendre.
MALI MUST CUT ITS LOSSES!!!
LE SENEGAL EST L EPINE DANS LE PIED DE L AFRIQUE AU SAHEL ET SES VOISINS!
Dignes enfants du Mali, je tiens a’ vous annoncer que l’existence de notre faso est menace’e. Le tableau est sombre car les forces obscurantistes djihadistes et les forces politiques obscures de Bamako operent ensemble pour empecher nos paisibles populations maliennes a’ vaquer a’ leurs occupations quotidiennes. Les FAMAs ont d’enormes difficulte’s pour remplir leur noble mission de defense et de protection du Mali. Les jeunes qui ont perdu tout espoir creent l’anarchie. Les religieux ne se contentent plus de nous amener au paradis, aujourd’hui ils sont devenus des politiciens. La corruption a detruit les ressorts sociaux et la classe politique n’a pas de solution. La classe politico-affairiste qui a cree’ le tableau sombre decrit plus haut n’a pas de solution. Le Mali a besoins d’une nouvelle classe politique et de nouvelles strategies. Le Mali a le choix entre la guerre et la paix; ce qui est logique et ce qui ne l’est pas; la sagesse et la fausse fierte’; un Mali uni, fort et respecte’ et un Mali en proie a’ la division, a’ la haine raciale et ethnique; des lendemains sures et des lendemains incertains. Nous avons l’obligation morale de choisir la paix au detriment de la banalisation de la mort. Notre part de responsabilite’ est claire et nous devons l’accepter avec fierte’ mais les autres aussi qui ont cree’ la situation, doivent accepter leur part de responsabilite’ en facilitant l’ouverture de la porte vers la paix.
Les interminables tueries, les massacres, les ruines, la barbarie et la sauvagerie sur la terre de nos ancetres!
ALLAH KA BE’ SON HAKILI GNOUMAN NA!!!!!!
Il faut lire: “…..Les interminables tueries, les massacres, les ruines, la barbarie et la sauvagerie NE SONT PAS ACCEPTABLES sur la terre de nos ancetres!”
Tes ancetres les Indiens d’Amerique, car au Mali tu n’as pas d’ancetres en ayant fui leur nationalite Malienne. Le roi MAUDIT de segou, tu ne peux pas avoir des deux cotes, tu as la carte VERE donc tu las fermes et tu nous laisses en paix.
IBELEKILI TA KABO ANKOUNA!!!! BILAKORODEN! DANGADEN! DJOUGOU SAGODEN! FADENSAGO! ITE’ FOY KALAMA! HARI INFORIKO KAWSA NI IYE’!!!! TU ES UN VRAI TRAITRE, UN IMBECILE ET UN VENDU!
IFORO TA KABO ANDALA!!!!
Merci Macky, mais quand le Mali a un president Boua IBK avec la nationalite Francaise alors nous sommes perdus!
kinguiranke’, peux-tu nous dire ta nationalite’? D’apres toi meme, tu as abandonne’ la nationalite’ malienne! Les lois en vigueur au Mali permettent la double nationalite’!!! Nous savons que l’autre aussi a la nationalite’ francaise! SOUMAILA CISSE’, MOGO CHI MA ITOGO FO!!!!
Le president Macky SALL dit correcte.
AU FOND VRAIMENT ???
CHER Pkagame, ATTENTION CAR CRIER AU “au respect de l’État malien ET Á SA SOUVERAINETÉ” EST CHOSE COURANTE MEME CHEZ NOS ENNEMIS. VRAI OU FAUX???
EN PLUS, NOTRE “FRERE” DU SÉNÉGAL, CONNAISSANT L’ HOMME NE PEUT QUE PRÉSENTER UN n-NIEME COUP TORDU DE LA FRANCE.
PLUS LOIN, PERSONNE PARMI NOS “DIRIGEANTS” ET LEURS MAITRES OCCIDENTAUX NE VEUT DIRE EXPLICITEMENT LE VRAI PROBLEME CONCERNANT LA MINUSMA, CAR CELLE-CI C’EST LAISÉE TRIMBALLER PAR LA FRANCE.
EN RÉPONSE “au respect de l’État malien” SONT PRÉSENTS PLUS DE 20 PAYS, DONT PRESQUE TOUS DE L’ OTAN..
CHOSE INTÉRESSANTE, LES PAYS SE RESPECTANT , SOUS NOS YEUX, ONT RÉSOLUS CE GENRE COMME LE NOTRE, PAR LE BIAIS D’ UNE AU PLUS DEUX RELATIONS BILATÉRALES BIEN DÉFINIES.
NI LA RUSSIE, NI LA CHINE, ET PEUT ETRE LES USA, SONT SCEPTIQUES FACE Á UNE FRANCE AUX RÉFLEXES TIRANT SES RACINES AU SIECLE D’ AVANT LE SIECLE PASSÉ…
ATTENTION, CE QUI VA SE DECIDER SUR LE MALI RESTERA EN VIGUEUR POUR 500 ANS AU MOINS.
Pkagame, BEAUCOUP DE MALIENS IGNORENT QUE NOUS SOMMES TÉMOINS DE LA 3-eme GUERRE MONDIALE: Á CAUSE DE LA PUISSANCE DES Á LA DISPOSITION DES PRINCIPAUX ACTEURS, CETTE SE FAIT PAR PROXY.
LA COMMUNICATION UTILISE LES EXPRESSIONS “GUERRE CONTRE LE TERRORISME”, “RÉVOLUTION DE COULEUR”, ….RIRES…! MDR…!
LES VRAIS MAITRES DES HORLOGES GÉOPOLITIQUES, DEPUIS 2011 EN LIBYE AVEC KADAFFI, LA RUSSIE ET LA CHINE, VEULENT ET ATTENDENT UN CERTAIN DÉTERMINISME DE LA PART DE NOS “DIRIGEANTS” COINCÉS ENTRE LEURS PEUPLES ET LEURS MAITRES OCCIDENTAUX.
PLUS CONCRETEMENT , ELLES VEULENT ÉVITER LES 54 GUERRES CIVILES EN AFRIQUES.
ICI AU MALI, NOUS NE POUVONS PAS NIER LE RISQUE DE GUERRE CIVILE “PRO OU CONTRE LE POUVOIR ACTUEL-LARBIN D’ UNE FRANCE REJETTÉE PAR LES POPULATIONS”.
CHOISIR SON CAMP COMME EN SYRIE (2011), TURQUIE (COUP D’ ÉTAT DE 2016), YEMEN, CENTRAFRIQUE, BURUNDI, …., AVEC DÉTERMINATION POUR SIMPLIFIER LE PROBLEME ET SA SOLUTION.
Á CAUSE DE L’ INDÉCISION CARACTERISTIQUE Á NOS “DIRIGEANTS” POURTANT VOYANT LES RAPPORTS DE FORCES MORAUX, ÉCONOMIQUES ET MILITAIRES CHANGER, IL EST DIFFICILE DE DIRE AVEC PRÉCISION CE QU’ IL SE PASSE AU MALI.
GUERRE SÉPARATISTE?? GUERRE CONTRE LE NARCOTRAFIQUE?? GUERRES INTERETHNIQUES??? VRAIE GUERRE CONTRE LE TERRORISME ISLAMISTE??? OCCUPATION COLONIALE-SIMULACRE-DE- GUERRE CONTRE LE TERRORISME ISLAMISÉ???
QUE SE PASSE T-IL AU MALI??? HEIN…???
EN SOMME, CHER Pkagame, “Le president Macky SALL NE dit PAS correcte” SERAIT JUSTE, CAR C’ EST Á NOS ÉLUS DE PARLER FRANC, COUP FRANC .
ON NE PEUT PLUS CONTINUER Á FAIRE POURRIR LA SITUATION AU RISQUE D’ AVOIR UNE VRAIE MUTITUDE DE GUERRES CIVILES AU MALI, SIX FOIS PLUS GRAND QUE LE SÉNÉGAL, ET FRAIT LE PLEIN JEUX DES OCCIDENTEAUX QUI ONT TOUT LE TEMPS CHIÉ SUR LA SOUVERAINETÉ DES PAYS AFRICAINS PAR RÉFLEXE PAVLOVIEN…
SALUTE
TRES JUSTE NTCHI !
Nous disons et rappelons la vérité fait mal aux malhonnêtes et les met hors d’eux mais apaise et ou rend heureux les honnêtes
*Les anciens et anciennes qui avaient le sens aigu de l’observation nous ont enseigné dans le Bois tard dans la nuit
Que l’ami de ton ennemi est ton ennemi
Et entre tous les ennemis le plus dangereux est celui dont on est l’ami
Que les soi-disant amis ennemis les Autres Anciens Colonisateurs les Autres d’Occident et Organisations et leurs soldats sous mandat de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
N’ont pas d’amis mais uniquement et uniquement des intérêts à défendre
Et s’ils veulent être des amis il faut refuser et le plus rapidement s’en débarrasser au risque d’être Foutu d’être Fichu d’être Fini car ils sont Diaboliques Machiavéliques
*Que l’ami qui n’est ami que par intérêt n’est qu’un ennemi à coup sûr ou deviendra un ennemi à coup sûr
1)Nous disons et rappelons aux maliens et maliennes et aux habitants et habitantes du Burkina-Faso du Niger du Tchad fiers honnêtes ayant un amour profond pour leurs pays
Tout le monde sait avec un brin d’honnêteté mêmes les tarés idiots de naissance et ceux et celles qui refusent de connaitre la vérité d’une situation d’une chose pour des raisons primaires primitives égoïstes partisanes
*BIZARREMENT CURIEUSEMENT ÉTONNAMMENT ÉTRANGEMENT INCROYABLEMENT INVRAISEMBLABLEMENT PHÉNOMÉNALEMENT
Partout où ont été partout où ils sont à travers le monde les diaboliques et machiavéliques soi-disant amis ennemis les Autres d’Occident et Organisations avec leurs soldats sous mandats de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
Il a été et il est apparu constaté découvert enregistré noté prouvé remarqué signalé vérifié à la veille de la fin de leur mandat
*L’accroissement l’augmentation l’exacerbation la hausse l’intensification la multiplication le paroxysme la recrudescence le redoublement le renforcement des attaques et des conflits de toutes sortes
Aux fins de légitimer de justifier de montrer le bien-fondé de démontrer preuves à l’appui leur maintien par le renouvellement de leur mandat
*Et ils sont toujours en train de dire de cacater de hululer de croasser de braire la même phrase perfide félonne fielleuse fallacieuse « LE MANDAT DEVRA ÊTRE PLUS ROBUSTE POUR NON SEULEMENT SE DÉFENDRE CONVENABLEMENT MAIS AUSSI DE TRAQUER »
Et cela à répétition jusqu’à la partition la cahotisassion des pays où ils ont été et où ils sont
Tels les cas de la Yougoslavie avec sa Balkanisation le Soudan avec sa Soudanisation l’Afghanistan l’Irak la Somalie la RDC la Centrafrique etc avec leurs Cahotisassions
Tels sont les cas de leur Mali du Burkina-Faso du Niger etc
2)Nous disons et rappelons aux maliens et maliennes et aux habitants et habitantes du Burkina-Faso du Niger du Tchad fiers honnêtes ayant un amour profond pour leurs pays
Tout le monde sait avec un brin d’honnêteté mêmes les tarés idiots de naissance et ceux et celles qui refusent de connaitre la vérité d’une situation d’une chose pour des raisons primaires primitives égoïstes partisanes
« LE MANDAT NE SERA JAMAIS AU GRAND JAMAIS PLUS ROBUSTE »
Pour non seulement se défendre convenablement et pour traquer les suppôts Satan de voyous de fameux terroristes faux djihadistes faux islamistes maintenant extrémistes violents de Satan pour l’Avènement de leur Nouvel Ordre Mondial Satanique
*Certains de leurs soi-disant amis ennemis les Autres d’Occidents et Organisations sont les maitres et commanditaires de ces voyous
*Les soi-disant amis ennemis les Autres Socialistes les Autres Communistes n’ayant pas de colonies ou anciennes colonies
N’ont jamais cautionné approuver avaliser appuyer les visés de recolonisation de s’appropriation des anciennes colonies de la part des soi-disant amis ennemis les Autres d’Occident
Sous le couvert fallacieux fourbe tartufe de rendre robuste le mandat de leurs soi-disant soldats sous mandats de renouvellement de mandats dans leurs anciennes colonies après y avoir envoyé y avoir transporté leurs tueurs leurs exécuteurs de suppôts de Satan de voyous de fameux terroristes faux djihadistes faux islamistes tels dans les pays du G5 Sahel l’Irak l’Afghanistan la Syrie la RDC etc
Ainsi les soi-disant amis ennemis les Autres Anciens Colonisateurs des pays du G5 Sahel devant la demande des populations maliennes et des pays du G5 sahel réclamant l’intervention des soi-disant amis les Autres Socialistes vue l’intervention efficace en Syrie
Les mettant en mauvaise posture ainsi que leurs soumis leurs esclaves leurs agenouillés leurs courbés de malins lettrés mutants président des pays du G5 Sahel
Ils ont activé un autre soumis esclave agenouillé courbé de malin lettré mutant président d’un pays voisin des pays du G5 Sahel pour dire aux populations maliennes et des pays du G5 Sahel que leur malheur proviendrait de l’attitude de leurs soi-disant amis ennemis les Autres Socialistes les Autres communistes
VRAIMENT QUEL CYNISME QUELLE MÉCHANCETÉ QUELLE IMMORALITÉ
Par ailleurs en vérité à vrai dire assurément certainement UNE COALITION des forces de défense et de sécurité des pays du G5 Sahel et de leurs soi-disant amis ennemis les Autres Anciens Colonisateurs
Dépourvue exempt dégarnie dépouillée de toute pensée néocolonialisme d’accaparement des Bassins Sédimentaires des pays du G5 Sahel
Dans la région de Kidal au Mali aurait mis fin peut mettre FIN EN QUATRE SEMAINES MAXIMUM à l’insécurité dans tous les pays du G5 Sahel
D’où partent les suppôts de Satan de voyous de fameux terroristes faux djihadistes faux islamistes maintenant extrémistes violents de Satan pour l’Avènement de leur Nouvel Ordre Mondial Satanique qui sont AU BON SOIN des soi-disant amis ennemis les Autres Anciens Colonisateurs
Pour attaquer le Mali et les autres pays du G5 Sahel et s’y repliant rapidement après leurs crimes et forfaits
T€RRORI$TRUMPATLANTI$T€ !
3)Nous leur disons et rappelons
*AINSI LES SOLDATS SOUS MANDATS
Sont des soldats d’interposition qui maintiennent une situation de mi paix mi guerre avec le pays divisé entre le pouvoir dit légitime d’une part et les ennemis du pays d’autre part de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
La présence de soldats sous mandats aboutit souvent à la division et création de nouveaux états ou à la balkanisation Soudanisation des pays où ils sont de renouvellement en renouvellement de mandats tels la Yougoslavie avec sa balkanisation le Soudan avec sa soudanisation de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
La présence de soldats sous mandats aboutit souvent à des Génocides tel en Bosnie à des Ethno-Génocides tel au Rwanda de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
La présence de soldats sous mandats aboutit souvent à la CHAOTISASSION du pays où ils sont tels en Afghanistan Irak la RDC la Centrafrique leur Mali etc de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
La présence des soldats sous mandats avec la mi-paix mi-guerre provoque le déplacement massif de populations comme réfugiées de la zone où elles sont basées vers les pays voisins avec exacerbation de massacres à bases tribales raciales tels en Irak en Afghanistan en Somali en RDC la Centrafrique leur Mali etc de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
La présence de soldats sous mandats aggrave accentue la pratique du marché noir ou du commerce illicite et des trafics de tout genre tels les trafics de drogues d’alcools d’armes etc dans les zones où ils sont basés de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
La présence des soldats sous mandats détériore gravement l’économie des pays qui les reçoivent par l’augmentation importante des prix des biens de consommation dans les zones ils sont basés de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
La présence de soldats sous mandats aggrave accentue la pédophilie le viol la prostitution le proxénétisme dans les zones où ils sont basés de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
La présence de soldats sous mandats aggrave accentue les grossesses non désirées et la naissance d’enfants sans pères dans les zones où ils sont basés de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
Les soldats sous mandat ne font que renflouer leur compte bancaire de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats et ne sont pas prêts à mourir à être tués à être explosés pour des inconnus Ils ne meurent le plus généralement que par accidents de mines d’engins attentats et ces types de décès sont prévus car le risque zéro n’existe pas
La présence de soldats sous mandats est une bouffée d’oxygène financier pour les pays pourvoyeurs de renouvellement de mandats en renouvellement de mandats
*ET IL NE PEUT EN AUCUN CAS EN ÊTRE AUTREMENT
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